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| MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 12.01.11 22:50 | |
| Philippe Julien Mancini
Concurrent au duché de Nevers
Philippe Julien Mancini • 25 ans - 26 mai 1641 • Italien • Duc de Nevers, dit de Nivernais • Neveu de Mazarin • Frère de Laure-Victoire, Paul, Olympe, Marie, Hortense, Alphonse et Marie-Anne • Venu à Versailles sur ordre de son désormais défunt oncle, dont il a hérité d'une partie de la colossale richesse • A fréquenté le salon de Paul Scarron • Volage et coureur de jupons • Entretient des relations éphémères et sans profondeur avec les femmes • Phobique de l'engagement sentimental • Se préserve sous ses airs de beau garçon pour trouver un prétexte à l'infidélité à une seule femme • A déjà couché avec des hommes • Féru du Carnaval de Venise, dont la beauté et la vivacité l'émerveillent • Ouvert d'esprit • Chaleureux • Dragueur • Libre • et bien d'autres choses encore... *** Je veux dormir ! dormir plutôt que vivre ! Dans un sommeil aussi doux que la mort, J'étalerai mes baisers sans remord Sur ton beau corps poli comme le cuivre.
Pour engloutir mes sanglots apaisés Rien ne me vaut l'abîme de ta couche ; L'oubli puissant habite sur ta bouche, Et le Léthé coule dans tes baisers.
Dernière édition par Philippe Julien Mancini le 22.01.11 13:37, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 12.01.11 22:50 | |
| Mesdames, mesdemoiselles...
| Marie-Anne Mancini ; « Chère Soeur... » Je vous aime, chère et tendre soeur dont la Nature m'a fait cadeau. Tout ce que je n'ai jamais désiré ne fut que votre Bien, et tout ce en quoi je pense à votre égard n'est que plus noble encore que le titre que vous occupez. Cependant je n'aspire qu'à vous faire découvrir la véritable vie, celle qui se dérobe sous le masque qu'elle porte chaque jour, vous m'avez laissé vous initier aux charmes et aux plaisirs divins et interdits. Ne trouvez-vous pas la vie plus belle ainsi ? Du haut de vos dix-sept fraîches années, vous m'avez tout d'une princesse, d'une reine même, et notre relation va bien plus loin que les simples convenances froides et distances des nobles fratries habituelles. Vous m'êtes bijou, vous m'êtes source de confessions des plus diverses et variées, nous partageons maintes aventures qui font le siège de nombreux ragots. Nous nous en rions, parce que lequel de ces infortunés est en mesure de juger cet amour fraternel que nous nous portons mutuellement ? Bien plus loin qu'un simple protecteur, plus proche encore qu'un ange gardien, Votre frère pour vous servir, mademoiselle. |
| Elodie de Froulay ; « homme ? » Que se cache-t-il donc sous les vêtements de ce jeune mousquetaire que je croise parfois ? Cette allure féminine me laisse bien des soupçons à votre égard, Eric de Froulay. Et quand je vois votre double féminin se trimbaler dans les rues versaillaises, cela ne me fait plus aucun doute : vous êtes étrange, vous êtes énigme. Et bientôt, je trouverai comment la résoudre. Un duel, des capes et des épées. Bientôt je saurai tout de vous, je découvrirai votre secret. Un coup de lame et votre poitrine se découvre, enroulée de bandages, et toutes mes questions s'évaporent en fumée : seules persistent les réponses que je cherchais. J'use de cette découverte à profit personnel, bien entendu, en vous utilisant pour faire tomber mon principal ennemi de titre, Gabriel de Gonzague. Vous ne m'appréciez pas - je ne vous porte pas dans mon coeur - mais voyez comme nous pouvons nous arranger lorsque mon silence trouve acheteuse en vous. |
| Isabelle de Saint-Amand ; « courtisane courtisée » Votre beauté est incontestable, Isabelle. Je défie quiconque de prétendre le contraire. Seulement vous me paraissez si aisément domptable ; n'y a-t-il donc que mon argent qui vous intéresse ? Ou ce jeu auquel nous nous livrons aurait-il tendance à devenir dangereux par la suite ? J'aurais peine à comprendre que vous ne voyez en moi qu'un tas de Louis d'Or, vulgaire pièces de métal pour lesquelles les hommes ne se battent que trop souvent. Derrière ce regard sombre qui vous habite, dites-moi réellement ce que vous ressentez, en plus de partager seulement la même couche que moi-même. Nos unions autres que sentimentales sont toujours très agréables, et j'aurais crainte à vous savoir apprécier les draps d'un autre plus que les propres miens, sans doute question d'orgueil masculine. |
| Gabrielle de Longueville ; « une promise perdue » Veuillez me pardonner cette lourde erreur de ma part, belle Duchesse. Jamais je n'aurais dû profiter des belles formes de votre dame de compagnie, la charmante Perrine, alors que nous étions promis l'un à l'autre. Je n'ai pourtant rien fais de préjudiciable, votre frère ne m'en a pas laissé le loisir. Depuis ce jour le conflit est réapparu, bien qu'il fut toujours bien présent, entre nos deux familles qui jamais ne trouveront quelconque trêve à ce conflit qui dure. Quel incapable fus-je de craquer alors que j'étais sensé faire bonne impression auprès de votre père, afin de prouver que les Mancini savent très bien se tenir. Foutaises, nous sommes ce que nous sommes, et je ne suis pas certain que ce mariage vous aurait rendue heureuse ; mon caractère volage et infidèle auraient porté sur moi les plus grandes rumeurs qui sans doute se seraient répertoriées sur notre union. Je m'en suis voulu de vous avoir causé pareille déshonneur, belle Gabrielle, vous ne méritiez pas cela. Que votre mariage futur vous soit plus agréable. |
| Eugénia de Cortès ; « perle de l'ennemi » Belle espagnole au tempérament de feu malgré votre méconnaissance des plaisirs physiques, vous êtes sa prunelle. Gabriel de Gonzague est fou amoureux de vous, et ne dit-on pas que tomber amoureux était se découvrir un point faible ? Vous êtes le sien ; et je ne vais pas rester sans m'en servir. Je m'approche, vous vous laissez faire, je vous séduis faussement car bien entendu je ne désire rien d'autre que de faire enrager cet homme, vulgaire usurpateur de mon duché. Je vous mets aux faits des magouilles de votre bien-aimé, je n'en attend pas plus de votre part que d'ouvrir les yeux. Je m'excuserais volontiers de vous utiliser ainsi si j'avais eu des scrupules à vouloir toucher au coeur ce voleur. Je veux lui donner l'impression de vous avoir séduite, pour qu'il voit ce que cela procure comme sensation de voir un autre graviter autour de nos biens. À vous désormais, belle Milena, d'utiliser les informations que je vous procure à bon escient. |
| Perrine Harcourt ; « perso. en PV libre » texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte. |
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Dernière édition par Philippe Julien Mancini le 28.01.11 13:38, édité 12 fois |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 12.01.11 22:50 | |
| Messires, messieurs...
| Philippe d'Orléans ; « Monsieur, nous fûmes jadis des amants » Nous partageâmes autrefois la même couche en vos soirs d'infidélité, mon bon Monsieur. Quoique notre plus belle qualité en ces temps fut jadis notre jeunesse. Nous nous quittâmes d'un commun accord, après avoir été le centre des ragots versaillais, et ce n'est pas sans regrets que l'adversité m'éloigna à votre vue. Depuis, votre couche n'est cependant pas plus vide, car j'ai ouïe dire que vous n'êtes pas plus seul que ne l'est votre frère, tout charmant homme que vous êtes devenu. De retour à la Cour après mon périple au travers du monde et mes nombreuses frasques italiennes, à quoi devrais-je donc m'attendre de votre part ? Que tenter pour rentrer à nouveau dans vos bonnes grâces, si vous n'avez point effacé mon bon souvenir de votre noble mémoire ? |
| Gabriel de Gonzague ; « concurrent au titre » Je ne saurais point qualifier mes sentiments à votre égard, De Gonzague, mais sachez que le duché que vous convoitez me revient de droit, mon oncle en ayant fait l'acquisition avant que ne sonne pour lui le glas. Je serais fort aise de vous priez d'abandonner vos requêtes mais l'un comme l'autre savons que c'est là un domaine fort en convoitises. Je redoute d'être un jour à court de moyens pour prouver que vous ne méritez point ce qui en réalité est - ou en tout cas devrait être - en ma possession. Un tel héritage familial ne devrait point être souillé par la volonté d'acquisition d'un prince qui par bien des points possède déjà beaucoup. De ce fait, nos relations ne peuvent en être que plus médiocres encore, ce qui par le fait ne me laisse aucun remords lorsque je mets en oeuvre tous les moyens qui sont en ma possession pour vous discréditez. Grâce à votre nonchalance, je peux grâce au Ciel dormir sur mes deux oreilles sans crainte de ne vous causez du tort, puisque c'est là ce que vous semblez chercher. |
| Paris de Longueville ; « texte texte texte » texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte. |
| Guillaume du Perche ; « texte texte texte » texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte. |
| Frederick von Lobkowicz ; « texte texte texte » texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte. |
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Dernière édition par Philippe Julien Mancini le 16.01.11 15:45, édité 6 fois |
| | | Invité
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 12.01.11 22:50 | |
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| | | Invité
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 13.01.11 1:03 | |
| ... On ne s'oublie pas, hein, cher et définitif ennemi (a) Faut mettre au point tout ce qu'on a diiit |
| | | Invité
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 13.01.11 1:06 | |
| Chère et définitive toutes époques tout lieux confondus, n'est-ce pas ? ennemie, nous ne nous oublions pas, promis ! *on en parle sur MSN, as usual, j'ai envie de dire* |
| | | Paris de Longueville
« s i . v e r s a i l l e s »Côté Coeur: Une servante de ma connaissance...Côté Lit: la servante sus-citée l'a déserté, profitez-en!Discours royal:
ADMIN BIZUT Phoebus ৎ Prince des plaisirs
► Âge : 20ans
► Titre : Prince de Neuchâtel
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► Date d'inscription : 12/01/2010
| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 14.01.11 17:03 | |
| Comme je vous l'ai sous-entendu par MP via une tierce personne, un lien plus que négatif est nécessaire, cher italien. Si je n'aime pas votre cadette - incarnation de l'insipidité - je serais d'accord pour vous détester cordialement, voire vous haïr s'il le faut. Pourquoi donc? La première raison est que je cherche un ennemi viscéral depuis quelques mois... Pour la seconde, éloignons-nous un instant du sentier battu de la guéguerre familiale inspirée du passé...j'imagine une affaire bien plus lourde, qui aurait pu avoir d'importantes conséquences sur ce présent. Une affaire qui aurait pu irrémédiablement sceller notre détestation commune. Une jeune fille perdue par votre faute? (ah nan, pas par la mienne, je suis un saint... ) La disparition tragique d'un proche commun? Cette rancœur non étouffée se traduirait bien plus que par de simples mots. Une volonté de détruire la réputation de l'autre, des intrigues politiques afin de le faire tomber... Un genre de duel à la Colbert et Fouquet: dépassons les limites des joutes verbales (sans les oublier pour autant ) et engageons-nous sur un terrain bien plus glissant. Cette idée vous conviendrait-elle? |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 14.01.11 17:20 | |
| Cher - ou pas d'ailleurs - Paris de Longueville J'ai bien lu le MP de cette tierce personne, et effectivement un lien négatif semble s'imposer de lui-même. Vous cherchez un ennemi viscéral ? Vous l'avez trouvé. Soyoons fouuuus, on a pas dit que dans la vie on a que des amis ! (x Une affaire qui aurait sceller notre détestation commune ? J'ai une petite idée en tête mais après c'est tout dans le domaine de l'inventé donc je ne sais pas si ça va coller avec Longueville. Je m'imagine bien, lors d'une réception cordiale au sein de la maisonnée Longueville - quelques années auparavant, peut-être disons.. une dizaine ? - un certain Philippe Mancini âgé d'une quinzaine d'années, qui à l'époque ami avec Paris de Longueville, s'adonnait à des jeux dans la forêt avec son camarade, rien de bien méchant. Et un ravin, ou une course poursuite de sanglier - ou un loup peut-être ? Don't know - qui les auraient amenés à s'enfuir très vite (chacun pour sa peau quoi ), laissant derrière eux la pauvre dame de compagnie que Longueville considérait comme sa propre mère ? Non, ça ne va pas. Ou aloooors... Mancini qui aurait pu être promis à l'une des soeurs de Longueville et qui serait venu pour - à la base - être présenté à son père. Il passe quelques jours chez eux histoire de prouver au père qu'il est digne de sa progéniture, sauf que le jeune Paris, qui avait bien remarqué à quel point Mancini ne tenait pas à se marier, l'a en plus de cela surpris en train de profiter des rondeurs de la bonne dans un coin discret ? Je creuse un trou et je m'enterre dedans ? Parfait ! XD Je ne sais pas, sinon.. Que pensez-vous ? ( Il faudra caler l'Affaire des Sonnets aussi, mais plus tard, quand on aura un Jean Racine *,* ) |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 14.01.11 19:06 | |
| Comme dit le joyeux dicton : les ennemis de mes ennemis sont mes amis Ca tombe bien, des amis, je n'en ai pas beaucoup et vu ce que je lis ici, ça commence mal pour toi aussi Associons nous donc Je n'ai que des pistes pour un probable lien en combinant tout ce que nous avons en commun : votre soeur, le sens du libertinage, le carnaval de Venise et notre certain physique Avec tout cela, trouvons un intérêt commun ! Tout d'abord, j'avais pensé partir de Venise. Apparemment Philippe s'y rend régulièrement, tout comme Guigui. Je vois bien au début une sorte de concurrence sous masque. Jouons sur cette petite ressemblance, qui peut être accentuée grâce aux masques. Genre des proies de Guillaume tombent dans les bras de Mancini et inversement. Les deux peuvent se chercher, à connaître qui est ce voleur de dames. Mais plutôt que d'en faire un ennemi (il y a aussi du Longueville ), Guillaume apprécierait le culot et la personnalité de Philippe. D'où peut être une certaine association dans les 400 coups Après, je commence par y voir mon intérêt, mais qui dit Philippe Mancini dit Marie Anne et Guillaume a une grande envie, c'est de la mettre dans son lit (et si j'ai tout suivi, Philippe veut faire de même ) donc il pourrait se servir de son ami pour approcher la demoiselle ... Ca c'est la partie immergée de mes idées que tu peux piocher. Mais c'est pas assez tordu à mon goût J'avais en tête de jouer encore sur le physique des deux pour tenter d'avoir Marie Anne ... Mais il me faut déjà ton point de vue et ce que tu pourrais y gagner |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 14.01.11 23:16 | |
| Alors là je dis : AMEN. Des amis je n'en ai pas beaucoup non plus, donc une association de malfaiteurs de rejetés s'impose ! - Guillaume du Perche a écrit:
- Je n'ai que des pistes pour un probable lien en combinant tout ce que nous avons en commun : votre soeur, le sens du libertinage, le carnaval de Venise et notre certain physique
Avec tout cela, trouvons un intérêt commun ! Hallelujah ! XD Alors, pour le carnaval de Venise, excellente idée ! J'aimerais bien voir une conquête de Mancini venir le voir en lui disant un truc du genre "Une nuit passée à vos côtés comme celle de la soirée précédente vaut au moins trois fois le prix d'un palais." alors que la nuit dernière il n'était pas avec elle. Genre "Quooooi ?" Mais qui est donc ce mystérieux homme que l'on prend pour moi et qui procure du plaisir à MES conquêtes ? (Ouais, soyons fou, Guillaume flatte trèèèès bien les dames entre leurs draps, je pense ) Bref, sinon oui une association dans les 400 coups me semble très bien ! Puis Perche pourrait avoir le soutien de Mancini dans les moments délicats - pour n'importe quelle affaire, je ne sais pas - et vice versa, non ? J'ai vu aussi que Guigui courrait après Elodie - muahaha - tout comme Longueville ? Donc dans cette lutte acharnée, étant donné que Mancini a un moyen de pression sur la jeune mousquetaire, il pourrait s'arranger pour qu'elle fuit Longueville comme la peste... (Après c'est sous réserve que Elodie accepte, ainsi que Paris, bien évidemment). Alors, Philippe ne veut pas mettre sa soeur dans son lit, non, en fait il veut simplement la dévergonder, en quelques sortes. Il est à l'origine de son caractère un peu frivole - dont il n'est pas peur fier - parce qu'il veut qu'elle découvre la vie telle qu'elle doit être vécue... Par contre il est super super protecteur avec elle, il la défendrait de tout et n'importe quoi.. Faudrait que j'y réfléchisse plus en profondeur, n'hésite pas si une idée te vient (: |
| | | Paris de Longueville
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 15.01.11 8:40 | |
| Alors.... D'ores et déjà, pour l'épisode 1, c'est fichu d'avance En effet, Paris a passé son enfance en Normandie, où fut exilée la famille pour un prétexte complètement fallacieux, comme quoi ils auraient voulu la peau du Mazarin :p De plus, je doute que Maman-Longueville accepte que son rejeton préféré et adulé s'acoquine avec un Mancini Auparavant, Condé aura refusé que son frère épouse la fille de la Chevreuse, et il aura également mis son véto à un autre projet...je me demande si ça n'est pas celui de laure Mancini et Mercoeur, mais j'ai un doute. Bref, donc un descendant des Bourbon-Condé n'aurait jamais pu être ami avec un Mancini, tant que plane sur lui l'ombre de ses parents Mais en réfléchissant sur ta deuxième proposition,j j'entrevois un truc. Vu que Gabrielle a proposé qu'on dispose d'elle, je lance l'idée en l'air, on en discute avec elle et on voit si ça retombe ^^ Henri de Longueville, pour se rabibocher avec Mazarin - comme l'on fait la plupart des "Grands" - aurait pu promettre la main de son unique fille Gabrielle à Philippe-Julien. La famille vient passer quelques petits jours - ou une seule journée - afin de sceller les modalités du contrat. Mais pendant cette journée, Philippe se révèle au grand jour, comme tu l'as proposé...on peut en effet utiliser la bonne, mais encore mieux: Perrine Harcourt (femme de chambre et confidente de toujours de Gabrielle), pour qui Paris a toujours eu un bien gros faible. Il séduit Perrine pour profiter de ses jolies formes (arrive-t-il à l'avoir?), il est surpris par Paris. Après, on peut en discuter avec Gabrielle, mais si par exemple Philippe aura vraiment profité de Perrine, il est évident que la haine que Paris ressentira sera assez tenace. Sinon j'avais en tête un truc moins fouillé: une jeune fille à qui les deux hommes sont très attachés. La jeune fille tombe enceinte: déshonneur total. On peut imaginer une suite catastrophique: décès en couches ou autre. Chacun accuse l'autre de ce fait. Mais j'avoue que ton idée de se faire surprendre avec la bonne est pas mal Si ça ne te dérange pas de jouer les salops dans l'affaire, ça correspondra en tout cas avec le caractère de Paris: il est volage, mais est très attaché à l'honneur et il reste intransigeant sur beaucoup de points. Le fait que son éventuel futur beau-frère ai pu faire tomber sa Perrine dans le déshonneur pourrait vraiment le faire sortir de ses gonds ^^ |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 15.01.11 17:11 | |
| - Paris de Longueville a écrit:
- Henri de Longueville, pour se rabibocher avec Mazarin - comme l'on fait la plupart des "Grands" - aurait pu promettre la main de son unique fille Gabrielle à Philippe-Julien.
La famille vient passer quelques petits jours - ou une seule journée - afin de sceller les modalités du contrat. Mais pendant cette journée, Philippe se révèle au grand jour, comme tu l'as proposé...on peut en effet utiliser la bonne, mais encore mieux: Perrine Harcourt (femme de chambre et confidente de toujours de Gabrielle), pour qui Paris a toujours eu un bien gros faible.
Il séduit Perrine pour profiter de ses jolies formes (arrive-t-il à l'avoir?), il est surpris par Paris. Léon Tolstoï m'a inspiré cette idée, à vrai dire XD & J'ai pensé que ça pourrait parfaitement coller, il faut voir ce qu'en dit Gabrielle désormais ! Mais je suis bien partante pour garder cela, même si effectivement Mancini passe pour le pire des ... séducteurs, pour rester polie (a) On garde ça, donc ? |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 15.01.11 18:19 | |
| Cher Mancini,
Victoire me fait dire qu'elle en veut à Marianne de ne pas vous avoir présentés (oui, Victoire est mon premier personnage, vive les schyzo )
Bref, j'ai une idée pour Frederick. Si vous acceptez d'être son ami, vous pourrez l'appeler Freddy, ce qui est un honneur ô combien recherché J'ai cru comprendre que vous ne portiez pas Gabriel de Gonzague dans votre coeur, ca tombe bien, Frederick non plus ! Les deux hommes étaient très amis dans le passé, mais les rancoeurs ont pris le dessus sur cette amitié si précieuse, et c'est une longue histoire. Maintenant, Frederick lui voue une haine féroce. Peut-être serez vous intéressé lorsque je vous dirai que Frederick est proche de l'Empereur du Saint Empire Germanique, inutile de préciser alors qu'il est influent. Ambassadeur à la cour de Louis XIV, qui plus est. Vous voyez où je veux en venir ? |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 15.01.11 20:55 | |
| Juste un passage éclair pour vous dire que j'aime beaucoup l'idée de départ . Si ça se concrétise, je rajouterais ça à l'histoire de Perrine dans les perso vacants... Reste à savoir si Julien réussit à avoir Perrine ou pas. Je réfléchis sur un lien plus précis entre Julien et ma petite Gabie et si tu as une idée, je suis ouverte à toutes les propositions =). |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 15.01.11 23:07 | |
| PARIS & GABRIELLE : *Tolstoï - Guerre et Paix - guide donc mes mots XD* Gabrielle, chère Gabrielle, J'avais pensé justement que Mancini ne pourrait pas avoir Perrine, mais pas loin. Il aurait peut-être réussi à la charmer et l'aurait embrassée de manière assez ... approfondie, dirons-nous, et se serait fait surprendre torse nu juste avant de passer à l'action, par Paris de Longueville qui lui aurait cassé son coup et en plus qui aurait pu balancer à sa soeur - ou même au père, ce qui expliquerait le mépris familial - et donc refroidit les ardeurs de Mancini, qui du coup, aurait été quelque peu gêné de cette situation quoi XD Du coup, et bien Gabrielle pourrait être vexée à cause de cela, et déciderait - ou non - de pardonner à sa dame de compagnie ? Enfin, après c'est à toi de voir comment les choses se passeraient (: Et pour un lien plus approfondi, on peut par exemple dire qu'après cet incident, Mancini aurait pu revenir voir Gabrielle en secret - à cause de son frère Paris - pour tenter de se faire pardonner, mais je ne sais pas, là encore, si ça colle avec ton histoire.. Qu'en penses-tu ? & toi Paris, qu'en penses-tu ? FREDDY - je me permets d'avance Une amitié fondée sur l'aversion que l'on porte à Gonzague ? Parfait =P - Freddy a écrit:
- Peut-être serez vous intéressé lorsque je vous dirai que Frederick est proche de l'Empereur du Saint Empire Germanique, inutile de préciser alors qu'il est influent. Ambassadeur à la cour de Louis XIV, qui plus est. Vous voyez où je veux en venir ?
Donc Mancini pourrait entretenir des relations cordiales avec Frederick avec l'espoir qu'il l'aidera à récupérer son dû, c'est-à-dire le duché de Nevers ? Pensant bien entendu qu'une telle influence et qu'un tel ami sur qui compter parmi ses rangs ne ferait que l'aider dans cette quête... C'est très intéressant, idée à développer ! *-* |
| | | Paris de Longueville
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 16.01.11 0:14 | |
| Du point de vue Paris-ien, ça me va C'est cool que le scénario te plaise, Gabie!! Il découvre la posture assez...légère...de Mancini sur Perrine...j'imagine une montée de sang chauffé à blanc qui le fait agir avec force...pourquoi pas une gifle (ah nan, pas de coup de poing, il risquerait d'abîmer ses mains ) ou un truc de ce genre. Il ne chercherait donc même pas à savoir si Perrine est en tort ou non ^^ Le père Longueville rapidement mis au fait de l'affaire; il étouffe le tout et fait savoir au cardinal que sa fille ne peut épouser Mancini. Finalement, il serait assez content, ça lui fait une sacrément bonne excuse (Julien: pour expliquer le mépris familial, je pense que le mot "Fronde" résume aisément la situation Les Longueville mari et femme ont participé très activement à la Fronde, donc ont été ennemis farouches de Mazarin...d'où la belle aubaine pour le duc de Longueville d'avoir une raison valable pour refuser l'union ^^) Cependant, cacherait-il la raison exacte au cardinal? Ca pourrait être un truc à ressortir A vous de me dire, Gabie et Julien |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 16.01.11 9:57 | |
| Cher cher Mancini ,
Vous m'avez parfaitement comprise, et je suis persuadée que nous nous entendrons très bien. Pour la rencontre, j'ai pensé que vous auriez pu surprendre une conversation où Frederick manifeste sa haine contre Gonzague, ou, encore mieux, si vous êtes perspicace, vous auriez pu surprendre un regard de Frederick vers Gabriel qui manifesterait ses sentiments. Tout le monde sait à Versailles que Freddy est ambassadeur impérial. Tentant le tout pour le tout, vous profitez d'un moment où Freddy est seul (il est solitaire, ce ne sera donc pas difficile, l'allemand arrive parfois à laisser tomber ceux qui le suivent) pour le voir, et vous présenter. "Prétendant au duché de Nevers" ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd...mais rien ne trahit les pensées de Frederick, pas même un sourire. Je pense qu'au début, ce serait plus une amitié intéressée, où l'on servirait juste ses intérêts, vous avoir le duché, Frederick porter atteinte à Gonzague... Mais par la suite, les deux hommes s'apprécieraient vraiment, même si Frederick ne serait pas trop d'accord avec ce que fait Mancini. Une idée subite me vient. Mancini pourrait trouver Freddy trop effacé, ne s'amusant jamais, et pourrait avoir envie de le dévergonder. Qu'en dîtes-vous ? |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 16.01.11 14:23 | |
| Paris, j'aime l'idée d'une petite claque histoire de ne pas s'abîmer les mains (frappez, bougre d'homme *SBAF*), et la raison de se réjouir finalement de cette rupture d'union est très bonne. La Fronde expliquerait cette haine qui aurait été ravivée par le comportement instable de Mancini, c'est tout parfait. Pour ce qui est de cacher la raison exacte au cardinal, oui c'est faisable, faut-il encore savoir quelle autre excuse on pourrait mettre sur le tapis ? Mais sinon, pour l'idée toute entière, je prends, c'est parfait ♥. Mon cher Freddy, Capter un regard haineux, merveilleux ! Je ne sais quoi rajouter à cette ébauche de liens que vous me proposez... C'est tellement bien dit Donc on part sur une relation amicale, à la base par intérêt l'un pour l'autre vis-à-vis de Gonzague, et ensuite une amitié plus sincère ? C'est fou ce que l'amertume et l'aversion envers un même homme peuvent rapprocher les gens Pour ce qui est de dévergonder un peu Freddy, pas de problème de ce côté-là, Mancini devrait bien avoir quelques charmants contacts à présenter au jeune homme ! C'est extra, j'aime beaucoup (: |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 22.01.11 20:07 | |
| - Philippe Julien Mancini a écrit:
- Alors, pour le carnaval de Venise, excellente idée ! J'aimerais bien voir une conquête de Mancini venir le voir en lui disant un truc du genre "Une nuit passée à vos côtés comme celle de la soirée précédente vaut au moins trois fois le prix d'un palais." alors que la nuit dernière il n'était pas avec elle. Genre "Quooooi ?"
Mais qui est donc ce mystérieux homme que l'on prend pour moi et qui procure du plaisir à MES conquêtes ? (Ouais, soyons fou, Guillaume flatte trèèèès bien les dames entre leurs draps, je pense )
Bref, sinon oui une association dans les 400 coups me semble très bien ! Puis Perche pourrait avoir le soutien de Mancini dans les moments délicats - pour n'importe quelle affaire, je ne sais pas - et vice versa, non ?
J'ai vu aussi que Guigui courrait après Elodie - muahaha - tout comme Longueville ? Donc dans cette lutte acharnée, étant donné que Mancini a un moyen de pression sur la jeune mousquetaire, il pourrait s'arranger pour qu'elle fuit Longueville comme la peste... (Après c'est sous réserve que Elodie accepte, ainsi que Paris, bien évidemment). Désolé de ne pas avoir répondu avant, j'ai l'impression de ne pas voir le temps passé ! Alors tout cela me plaît aisément Pour Elodie, faudra voir elle et l'autre crétin de Longueville mais si on peut créer quelque chose d'amusant et de tordu, je suis pour ! J'ai eu une idée aussi qui pourrait peut être t'intéresser ... ou pas, mais je propose : Guillaume est un espion du Roi mais personne le sait sauf un cercle hyper restreint (le Roi, d'autres espions et son homme à tout faire). Mais parfois, il doit se rendre à plusieurs endroits et vu qu'il ne peut pas se dédoubler, il pourrait demander à Mancini d'y aller à sa place. Pas des trucs dangereux, mais genre des parties de cartes clandestines où les hommes sont à moitié masqués, Guigui dirait à Mancini d'absolument gagner car l'un des hommes lui doit de l'argent. Mancini écouterait les conversations et pourrait tout raconter à Guillaume sans savoir les activités d'espionnage de son ami. Peut être dans l'avenir, Mancini pourrait avoir des doutes selon les situations et complots à venir. Qu'en penses tu ? |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 22.01.11 20:31 | |
| Alors ÇA c'est une idée ... merveilleuse ! Je ne vois pas d'autre mot ! Mais quelle bonne idée, sérieusement. Je suis totalement pour, si bien que je ne saurais que rajouter pour ne pas paraître simpliste. Entièrement d'accord, tu t'en doutes bien, je n'ai même rien à surenchérir pour parfaire le tout parce que c'est déjà très complet ! ;P Je t'ajouterai bientôt, et en plus comme c'est un lien qui peut être évolutif c'est nickel =) |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 22.01.11 22:32 | |
| Incompatibilité des caractères, moi je dis, c'est l'excuse parfaite . Non, sinon, le père Longueville a pu arguer qu'il n'avait pas assez de garanties pour offrir sa fille en mariage, que le cardinal n'offrait pas assez. Ou alors c'est Julien qui a insisté pour rompre auprès de son oncle contre la menace de tout révèler de sa conduite ^^. Bref, faute de mieux... Sinon j'avais pensé à quelque chose qui concernerait plus Perrine et Gabie mais je vous le soumets tout de même : et si Perrine avait succombé pour rendre service à sa meilleure amie, dans le simple but de se faire surprendre en compagnie de Julien dans une position peu bienséante afin que le mariage soit rompu (--> après à voir si elle aussi s'est laissée prendre au jeu, ce sera au choix de la future joueuse =)). Sinon pour notre lien, très cher, j'avais pensé que Julien pourrait regretter d'avoir laissé échapper ce mariage prestigieux, avec le recul (et surtout pour une raison aussi stupide) et chercherait à se rapprocher de Gabrielle soit pour réparer son erreur ou pour se faire pardonner comme tu le proposais. Après je ne sais pas ce qu'il pourrait ressentir envers elle mais j'imaginais bien ceci du côté de Gabie ( oui, j'aime beaucoup le personnage de Julien) : outre une détestation d'autant plus accrue qu'elle frissonne encore à l'idée de l'avoir échappé belle, elle pourrait avoir une sorte d'attirance pour lui, un désir qu'elle ne s'avouerait pas à elle-même, car elle le méprise comme un Mancini qu'il est. Mais j'y réfléchis encore |
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 22.01.11 23:53 | |
| Gabrielle, c'est nickel ! Je t'ai déjà ajoutée, dis-moi ce que tu en penses |
| | | Paris de Longueville
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 23.01.11 3:29 | |
| Gabie!!!! Après l'éloge que fait de moi Perche ("ce crétin de longueville", je cite) tu me balances cette vilénie de la part de Perrine! Je suis martyrisé de toute part, mais la joueuse plussoye dans ce sens: j'y adhère |
| | | Invité
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| Sujet: Re: MANCINI ♦ « dans l'abîme de votre couche » 23.01.11 13:37 | |
| Paris, j'ai envie de dire comme dans les Simpsons pour vous : XD Sinon ravi que ça te plaise Mancini, je sens que cela va être amusant à jouer ! Je te rajoute très vite |
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