La famille n'est pas toujours le plus sur soutien | Comte de Chalon, Frère de Juliette |

Jean de Bourgogne, Comte de Châlon est le fils du Duc de Bourgogne et de la Duchesse de Bourgogne. Sa mère était une jeune italienne dont les manières étaient contestées ouvertement au château de Bourgogne et son père était un homme qui aimait le pouvoir et les femmes sauf la sienne. Son père ne s’est jamais intéressé à ses enfants car il ne prévoyait pas un mariage très intéressant pour eux. Jean a grandit avec ses deux jeunes sœurs, deux pestes capricieuse nommée Olive et Thérèse qui étaient les préférées de son père. Sa mère malgré ce qu’on pouvait dire d’elle a toujours essayé d’être la pour lui-même si elle était maladroite elle lui donna tout l’amour qu’elle pu.
Seulement ce ne fut pas assez, comme beaucoup d’adolescents insolent et en quête de gloire, pour prouver à tous ce qu’il était Jean commença à enchainer les conquêtes d’un soir : cela nuisait considérablement à sa réputation même si cela était courant sa mère voulut le marier pour ne pas qu’il devienne un infidèle comme son père.
A cette époque rodait dans le château une princesse de sang Louise de Corse, elle était presque la dernière de sa famille et ses parents ne la considérer pas comme pouvant Reigner préférant ses frères ainées à elle : ont décida de faire un mariage entre Jean et Louise.
Le mariage fut heureux : les deux amants apprirent à se connaitre et s’entendent plutôt bien. Ils arrivèrent à Versailles puisque Louise est une princesse de sang. Seulement les joies du mariage fut gâchée par une peine atroce dans l’esprit de Jean : son père légitima une fille ainée nommé Juliette Charlotte. Jean ne conçut pas cet enfant qu’il avait eu avec une paysanne, il ne comprit pas que son père put donner un titre à la jeune femme et depuis il détesta son père.
Son père décida quand même de lui laisser son héritage mais Jean prit son propre nom : De Chalon.
Louise lui apprit que Juliette Charlotte sa demi-sœur avait toujours sa meilleure amie et que c’ était une personne fort agréable, qu’il devait être fière d’avoir comme sœur. Il accepta ainsi de ne pas la haïr mais il prévint sa femme qu’il n’aimerait guerre cette femme, ses sentiments changerons t-il lorsqu’il la rencontrera pour de vrai ?