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| " Je vais prier Dieu, afin qu'il t'illumine ou pour qu'il t'élimine ! " {Eléonore & Rebecca : Rp à réponse unique} | |
| Auteur | Message |
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Rebecca Stuart
« s i . v e r s a i l l e s »Côté Coeur: Quelle question ? Au plus offrant bien sûr ! Côté Lit: On n'y fait pas comme chez soi et certainement pas son mari !Discours royal:
♠ Shine like a diamond ♠
► Âge : 24 ans
► Titre : Comtesse of Rosyth, Duchesse of Richmond
► Missives : 418
► Date d'inscription : 30/01/2012
| Sujet: " Je vais prier Dieu, afin qu'il t'illumine ou pour qu'il t'élimine ! " {Eléonore & Rebecca : Rp à réponse unique} 24.06.12 21:28 | |
| [Rp de préparation à un flash back] « Chère Gisèle,
Permettez que je ne m’égare point dans des préambules de politesse, l’affaire est bien trop grave. L’homme de notre connaissance vient d’être transporté à l’hôtel Dieu de Paris. Son état est jugé critique. Je sais que vous allez accourir dès réception de cette missive, je vous y attends donc. Bien à vous,
Eléonore Sobieska. »Au cours de la lecture, une boule épaisse s’était formée au creux de son estomac. Rebecca en avait dû même s’asseoir et était à présent aussi pâle qu’un linge. Ecrasant le papier entre ses doigts, elle porta les mains à sa tête, avec la sensation que tout son être était sur le point de jaillir d’elle-même. Son cœur tambourinait, son esprit tentait en vain de réfléchir et tout valsait devant ses yeux. Elle n’était plus maîtresse de son corps qui tremblait à présent des pieds à la tête. Un malaise la saisissait violemment. Selon toute vraisemblance, le porteur de la lettre dont l’essoufflement témoignait d’avec quelle hâte, il avait fait la distance de l’hôtel Dieu à son domicile, s’en rendit compte. Il venait de se pencher sur elle. - Tout va bien m’demoiselle ? - Oui … en fait non pas vraiment … Apportez-moi un peu d’eau s’il vous plait. Aussitôt dit, aussitôt fait. Le garçon prévenant avait couru jusqu’au puits pour y puiser l’eau demandée et en était revenu avec un verre. Verre un peu terreux, mais pour cette fois-ci bien trop préoccupée, elle n’y fit guère attention. Que lui importait à cette heure, de porter de riches habits ou de connaître le contenu du porte feuille d’un passant à l’apparence fortuné ! La culpabilité lui tenaillait les entrailles, au point qu’elle pouvait les sentir presque s’échauffer au fond de son ventre. Ses joues étaient en feu et passaient étrangement du blanc à l’écarlate, ses yeux incrédules quant à eux balayaient la pièce, pièce qui dans l’esprit de la duchesse de Richmond n’existait pour ainsi dire déjà plus. - Il y a-t-il autre chose pour v’tre service, m’demoiselle ? - Pourriez-vous me conduire à l’hôtel Dieu ? J’ignore où il se trouve. - Pour sûr m’demoiselle. J’suis le meilleur guide de Paris et le plus rapide aussi. - C’est ce qu’il me faut, allons y voulez-vous. Je vous rétribuerai bien. S’étant redressée par l’unique perspective de sortir de cet endroit, où désormais elle étouffait, elle alla jusqu’au tiroir de son secrétaire. Lourde erreur qu’elle ne commettait jamais et pourtant elle venait de montrer l’endroit où son argent était dissimulé. L’angoisse bien trop grande lui faisait perdre toute prudence. Lançant une bourse entière dans la paume du jeune homme, ce dernier tout sourire, ouvrit la porte et galamment la laissa le précéder de quelques pas. - Permettez que je prenne la liberté de tenir v'tre main, mais nous allons traverser des quartiers bondés et si nous devons courir, ça s’rait trop bête qu’on s’perde de vue. - Faites ! Faites !A vrai dire, la peur faisait à présent place à l’agacement et c’est d’un ton très irrité qu’elle lui répondit. Elle aurait tout donné pour être déjà parvenue à destination, être informée par n’importe quel moyen, catholique ou pas, pécunier ou non, de l’état de santé de l’écossais ! Plusieurs fois, elle s’entendit répéter la même phrase tandis qu’ils se dirigeaient à perdre haleine vers l’hôtel Dieu. « Je ne voulais pas ça … Je ne voulais pas qu’il meure. »Mais cette intention pure lui offrirait-elle une place au purgatoire ? Elle avait tout fait pour conduire cet idiot tout mourant qu’il était, à ce lit d’hôpital sur lequel il se trouvait. L’humiliation cuisante qui lui avait fait subir, méritait-elle pareil sort ? « Il doit vivre ! » Et s’il parlait ? S’il répétait ce qu’il savait … Elle n’arrivait pas à y croire ! Elle osait penser à son propre salut et à celui d’Eléonore tandis que sa « victime » se trouvait entre la vie et la mort. Inutile de dire que la jeune femme bénit le caillou qui tout à coup venait de pénétrer dans un de ses souliers et de lui arracher quelques douleurs. Elle ne méritait que cela ! Que la souffrance ! Ce soir peut-être, de vénale, elle deviendrait criminelle, non pas par légitime défense mais cette fois, par calcul froid dû à une rancune tenace. L’addition avait cependant eu un résultat bien involontaire mais dont elle aurait dû se douter … Cette addition là plus que salée, elle en payait déjà le prix et au centuple ! Et cette phrase qu’elle lui avait lancée, en début de matinée, la hantait déjà. « Je vais prier Dieu afin qu’il t’illumine, ou pour qu’il t’élimine ». Réplique prononcée sur l’instant, poussée par la colère, mais elle aurait pu en pleurer des larmes de sang si l’appréhension n’avait pas été déjà si lourde. Au bout d’une vingtaine de minutes qui lui parurent des heures voire des siècles, ils arrivèrent à bout de souffle et en sueur devant l’imposante porte de la bâtisse. Rebecca martela cette dernière avec frénésie, comme si ses craintes pouvaient s’apaiser par ce biais : la violence. Une sœur lui ouvrit, le sourcil froncé et lui demanda ce qu’elle désirait. C’est presque un bégaiement qui sortit de sa gorge. - Je voudrais me rendre au chevet du comte John McDonnel. Je suis écossaise comme lui, je le connais depuis mon plus jeune âge. La nonne eut un instant de doute clairement peint sur le visage, pourtant il s’agissait de la vérité. - Je vous en prie … L’hospitalière se mit sur le côté pour lui laisser le passage, Rebecca l’en remercia rapidement d’un hochement de la tête, puis prit la direction des chambrées. Quelques apothicaires lui désignèrent celle du malade qu’elle recherchait. Parvenue à la salle de soins, elle vit au loin la chevelure très rousse d’Eléonore et lui fit signe de la rejoindre. Elle s’apprêtait à y pénétrer, lorsqu’une jeune fille en larmes, mouchoir en dentelle littéralement baigné par ces dernières, en sortit. A la vue de Rebecca, son regard se fit perçant et même dément ! La duchesse recula de plusieurs pas, la boule venait de se loger à présent aux confins de sa gorge. - Je ne connais pas ton nom, monstre, peste … mais tu es responsable de la mort de l’homme que j’allais épouser ! Sois maudite ! Sois maudite ! Tu n'es qu'une garce ! John était donc décédé. John avait-il parlé ? Pourtant, il lui semblait avoir pris toutes ses précautions. Pourquoi tant d’accusations dans la bouche de sa fiancée ? Comme si elle venait de lire dans ses pensées, la promise poursuivit dans son persifflage qui avait le don de la crucifier à la croix d’une culpabilité croissante. - Il n’a eu besoin que de me dire : « C’est elle ! » pour que je sache qu’il s’agissait de toi … Le fantôme du passé ! Mais tu ne l’emporteras pas au paradis … Un charriot où les médecines se superposaient eut le malheur de passer à leurs côtés et sans qu’elle ne put faire un geste pour l’en empêcher, la jeune fille s’était saisie d’un flacon. Le débouchant à la hâte, une odeur âcre vint furtivement aux narines de la duchesse. Qu’était-ce ? Que comptait-elle faire de ça ? L’espace de quelques secondes fut suffisant pour obtenir malheureusement la réponse ! La jeune femme venait de lui lancer avec haine et rage la substance dangereuse au visage. Simultanément, les paupières de Rebecca s’étaient closes par réflexe et sa tête s’était baissée sous le choc. Les brûlures naissantes à son cou, et à ses joues lui arrachèrent ses premiers gémissements tandis qu’un rire sadique s’échappait des lèvres de l’enragée. - Je ne vois plus rien ! - J’espère que tu en resteras défigurée à vie ! Maintenant à genoux, cherchant à tâtons un mur sur lequel se tenir, perdant tous ses repères, se concentrant sur son visage à présent tout en feu qu’elle tenait dans ses mains, Rebecca titubait. - Mes yeux ! ça brûle ! C’était à présent des cris entrecoupés de soubresauts de tremblements et non plus le silence qui régnait en ces lieux. |
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| Sujet: Re: " Je vais prier Dieu, afin qu'il t'illumine ou pour qu'il t'élimine ! " {Eléonore & Rebecca : Rp à réponse unique} 03.08.12 0:42 | |
| La culpabilité n'était pas un sentiment qu’Éléonore Sobieska ressentait souvent. Bien au contraire, malgré tous les actes répréhensibles qu'elle avait pu commettre dans son existence, tous les hommes qui s'étaient effondrés devant elle, sans vie, victimes de son bras vengeur, elle n'avait aucun remord. Elle n'avait jamais eu le choix. De temps à autre, les visages de ceux dont elle avait causé la fin revenaient la hanter et elle s'abîmait en prières. Dieu, le miséricordieux, pardonnait. Elle expiait ses péchés par la douleur, par la peur et par ses exils. Et Dieu lui pardonnerait car le Tout-Puissant voulait que son frère monte sur le trône et elle ne faisait que servir Ses volontés. Mais ce jour-là, alors qu'elle faisait nerveusement les cent pas non loin d'un lit d'hôpital, un poids inconnu pesait sur les épaules de la jeune Polonaise. C'était le sentiment d'être responsable d'une situation catastrophique qu'elle n'avait jamais désirée. Elle ne cessait de se répéter que les choses s'étaient emballées et qu'elle avait perdu le contrôle. Les conséquences seraient funestes, elle n'en doutait pas. Il suffisait de voir les visages fermés et sombres des nonnes qui allaient et venaient dans la chambre de l'homme que l'on avait amené en catastrophe jusqu'à l'Hôtel-Dieu. Malgré sa foi inébranlable, Éléonore n'était pas assez stupide pour penser qu'elles pourraient faire un miracle. C'était trop tard pour lui, les sœurs ne pourraient certainement que lui apporter un réconfort dans les derniers instants. Et un réconfort... Si elles ne condamnaient pas son geste et ne lui promettaient pas les flammes de l'Enfer. Rien ne devait être plus horrible que s'éteindre devant des mines désapprobatrices. Dommage pour lui que l'on n'ait pas autorisé la jeune Polonaise à s'approcher plus près – non qu'elle ne l'ait vraiment voulu par ailleurs, elle préférait voir de loin la petite sotte de fiancée verser des larmes de crocodile -, elle l'aurait abreuvé de reproches et de cris, il aurait été content de fermer les yeux devant un tel spectacle. Mais en tant qu'assassin involontaire, Éléonore trouvait que rester à l'écart était bien plus confortable.
Elle fit de nouveau volte-face et croisa le regard de Gisèle de Brévailles. C'était à elle que la rousse avait pensé en premier quand elle avait appris la nouvelle pour McDonnel. Au moment même où elle se précipitait à l'Hôtel-Dieu, sans même prendre la peine de faire préparer sa voiture, choisissant de courir dans les ruelles sordides de Paris pour arriver au plus vite, elle avait envoyé une missive griffonnée à la hâte à l'attention de la demoiselle, en croisant les doigts pour que cette dernière soit bien chez elle. Leur plan entier venait de s'effondrer, leurs espérances de se faire dépasser. Et comme elle s'y était attendue, Gisèle était arrivée bien peu de temps après. Éléonore fit un signe négatif de la tête en direction de son alliée mais celle-ci était bien trop bouleversée pour même la voir. Non, Gisèle, ne t'approche pas. N'y va pas. C'est trop tard. Paradoxalement, ce fut la vue des larmes qui menaçaient de déborder des yeux de la jeune femme, de ses tremblements qu'elle ne pouvait réprimer que la culpabilité d’Éléonore s'envola. L'être méprisable qu'était John McDonnel ne méritait rien de tout cela. Et combien même la façon dont il avait mené sa vie l'en aurait rendu digne, il n'était pas le temps de se lamenter. La fiancée sortait de la chambrée et venait de buter contre Gisèle, sans voir Éléonore qu'elle connaissait sous un faux nom et qu'elle considérait jusqu'alors comme une amie.
- Je ne connais pas ton nom, monstre, peste … mais tu es responsable de la mort de l’homme que j’allais épouser ! Sois maudite ! Sois maudite ! Tu n'es qu'une garce ! Criait-elle à sa rivale.
La situation tournait mal, il était grand temps de quitter cet endroit avant de se faire accuser plus explicitement et devant témoins. De toute façon, on ne pouvait plus rien pour l'homme qui venait de s'éteindre. On aurait tout loisir d'examiner les responsabilités plus tard. Mais Gisèle semblait rendue muette par ces paroles haineuses et rancunières et presque pétrifiée. La vipère, quant à elle, continuait à cracher son venin dans le but évident de frapper là où cela faisait mal. Plus grave, certaines nonnes, dont l'une conduisait un chariot empli de substances destinées aux malades, commençaient à être à portée d'oreilles des accusations de la désespérée. Le sang d’Éléonore ne fit qu'un tour et comme toujours dans ce genre de situation, elle sut exactement comment agir sans avoir besoin de réfléchir. Elle se laissait porter par son impulsivité, ses gestes allaient plus vite que sa pensée. Mais c'était déjà trop tard pour sauver Gisèle. La fiancée avait saisi un flacon et jeté le liquide au visage de sa rivale qui s'était mise à hurler, rompant la quiétude qui régnait habituellement en ces lieux. Des cloques énormes apparaissaient déjà sur son visage.
- Je ne vois plus rien ! - J’espère que tu en resteras défigurée à vie ! - Et j'espère que ta haine t'étouffera, que ton venin t'empoisonnera et que les insultes que tu profères t'étrangleront, c'est tout ce que tu mérites ! S'exclama Éléonore, en s'interposant soudain entre les deux femmes.
D'un geste formidable car sa force était décuplée par la rage, elle repoussa la fiancée contre le chariot pour l'écarter de Gisèle. Cette dernière, qui ne s'y attendait pas, bascula en arrière, ses mains se fermèrent pour tenter de se retenir à quelque chose mais en vain, elle s'effondra sur les fioles et le chariot craqua sous son poids dans un bruit qui dut résonner dans le tout Paris. Les flacons s'étaient brisés et les substances s'attaquaient désormais aux plaies de la jeune femme, rendues béantes par le verre coupant. Le cri qu'elle poussa alerta tout l'Hôtel-Dieu.
- Remercie-moi, rugit Éléonore avec cruauté, grâce à moi, tu as désormais une bonne raison de pleurer sur ton sort, cela ne vaut pas la peine de verser des larmes pour un homme qui ne t'aimait pas et qui est mort pour une autre !
Sans attendre de réponse, la Polonaise prit la main de Gisèle et la serra fort dans sa paume pour tenter de la rassurer avant de l'entraîner à sa suite.
- Suivez-moi, je vais nous sortir de là. Faites-moi confiance !
On tenta de les arrêter mais de manière générale, le personnel était bien trop choqué pour tenter quoi que ce soit contre Éléonore. De toute façon, la Polonaise, devait-elle y laisser ses griffes, n'avait aucune intention de se laisser retenir dans cet endroit après son acte irréfléchi. Il fallait mettre la plus grande distance possible entre sa nouvelle victime et elle. Dans cette tâche, le pas hésitant de Gisèle était un boulet. Cette dernière, aveugle, ne savait pas où se diriger et sembler craindre de se cogner à chaque instant. Voyant des marches arriver, Éléonore opta pour une nouvelle solution : elle prit la jeune femme par la taille et la serra contre elle pour mieux la guider.
- Stoppez tout de suite, madame, vous devez répondre de vos actes ! Tenta l'hospitalière qui s'occupait de l'ouverture de la porte. - Personne n'est capable de m'enfermer, répliqua Éléonore d'un ton sans appel, bien plus concernée par les gémissements de douleur de son amie, quant à répondre de mes actes, voilà une affaire qui ne concerne que Dieu et moi-même.
Devant l'Hôtel-Dieu, traînait toujours le jeune garçon auquel elle avait demandé de donner la lettre à Gisèle, sans doute dans l'espoir d'obtenir un nouveau travail de ces dames qui payaient plutôt bien. Voyant Éléonore en difficulté, à la demande de celle-ci, il se plaça de l'autre côté de la blessée et les aida à se déplacer dans la foule. Aussitôt qu'elles tournèrent dans une rue passante dans laquelle on ne leur prêtait guère attention malgré les plaintes de Gisèle, Éléonore se sentit soulagée. Plongées parmi les gueux, on ne pouvait les retrouver.
- Où va-t-on ? Demanda le gosse. - Chez la demoiselle, tu iras chercher de l'eau au puits dès notre arrivée puis tu feras appel au premier guérisseur venu, je ne veux pas prendre de risque.
Arrivés chez Gisèle, le garçon sortit en toute hâte, laissant Éléonore allonger son alliée qui se tordait de douleur sur son lit. Les cloques étaient vraiment affreuses mais la Polonaise avait déjà vu des blessures plus horribles dans sa vie, ce n'était pas cela qui allait la choquer. Elle espérait juste que la vue de Gisèle ne serait pas atteinte et qu'elle ne resterait pas défigurée comme la fiancée le lui avait promis. Avec l'eau rapportée par le gamin des rues, la Polonaise tenta de calmer les souffrances de la Rosière de Paris, avec une douceur tout à fait inaccoutumée venant de sa part, et en attendant la venue du médecin, voulut, de manière un peu désespérée, lui changer les idées en faisant la conversation – en réalité, un monologue car Gisèle était incapable de prononcer deux mots d'affilée :
- Vous allez vous rétablir, je vous le promets... Rassurez-vous, vous retrouverez bientôt toute la beauté de votre jeunesse, ce n'est pas une garce qui peut vous atteindre... Tenez, j'avais oublié à quel point cet endroit était petit, il est vrai que je ne suis pas venue bien souvent...
Elle s'interrompit en songeant que rappeler sa première venue ici manquait singulièrement de tact. Car c'était ici, quelques mois auparavant, que toute cette petite comédie aux conséquences dramatiques avait débuté. C'était ici que leur alliance avait été scellée, qu'elles avaient prononcé des paroles irréparables. C'était aussi ici que commençait maintenant leur pénitence. |
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