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 Angélique de Sancerre, la mal-nommée

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MessageSujet: Angélique de Sancerre, la mal-nommée   Angélique de Sancerre, la mal-nommée Icon_minitime29.06.11 0:10

Angélique de Sancerre
(Natalie Portman)
Angélique de Sancerre, la mal-nommée Angeli10


    Âge : 23 ans.
    Titre : Comtesse de Sancerre, en Berry.
    Origines : Noblesse française.
    Situation Maritale : Célibataire, courtisée par Derek de Saxe.


    « Il était une fois ... »

    Angélique... Le prénom était malheureux, mal choisi, inadapté à l'enfant terrible de Sancerre, fier fief berrichon. Angélique avait le diable au corps, disait sa propre mère. Mais, si les implications religieuses étaient bien sensibles pour la jeune femme, elles ne suffisaient pas à réfréner son envie de connaître le monde. De fait, que de trésors, que de plaisirs, que d'objets de fascination hors des murs !

    Le désaccord qui marque la relation d'Angélique de Sancerre avec sa famille commence fort tôt, alors que la jeune fille, encore en cours d'instruction, fait montre d'une volonté d'indépendance bien trop forte, au mépris de toutes les convenances. Mais on lui dévoile les joies de la vie dans l'instruction de son frère Raphaël, destiné à la voie des armes comme le veut la coutume, et la tentation grandit chaque jour. A quoi bon enseigner l'équitation à son frère si c'est pour la priver du plaisir manifeste qu'elle lit sur son visage quand il monte ? Pourquoi enseigner la géographie comme une série de noms de villes, de fleuves et de montagnes lorsque l'on peut les explorer par soi-même ?

    Elle explore donc. Quand elle arrive à échapper à la surveillance de l'espèce de Cerbère (certes pas tricéphale, mais vicieuse pour trois) qui lui sert de gouvernante et de préceptrice, la jeune Angélique fait diverses expériences plus ou moins douloureuses, à commencer par les courbatures dues à la monte, découvre les habits d'homme, la monte à califourchon à la manière de son frère (et l'abandonne quand on lui explique la valeur de sa vertu). Plus tard, une expérimentation chevaleresque, à savoir un simulacre de joute dans lequel un piquet de clôture inutilisé joue le rôle de lance et un arbre le rôle de cavalier adverse, se solde par une épaule luxée, une version de Cicéron, une pénitence religieuse et par rapport au reste de la famille, et l'intense joie d'avoir éprouvé combien son coeur encore sauvage pouvait palpiter dans l'interdit et dans la découverte.

    Quelques mois plus tard, elle s'échappe trois jours pour explorer les campagnes environnant Sancerre, découvre le Berry, les élevages des paysans, leurs cultures... Elle pousse l'encanaillement jusqu'à fréquenter, un soir, une taverne d'un petit village, à une quinzaine de lieues de la demeure familiale. Pour la première fois (et la dernière, du fait du mal de crâne terrible qui la réveille le lendemain matin), elle succombe à l'alcool à outrance. Le lendemain, elle est récupérée par son père, furieux. Le châtiment fut l'un des plus sévères de sa vie. Cloîtrée un mois en la demeure, pratiquement au pain sec et à l'eau, la jeune femme est abandonnée en sa chambre afin qu'elle médite sur ses fautes et sur le respect qu'elle doit avoir pour son sang et sa famille, sur la réserve qu'elle doit savoir conserver en toutes circonstances et, de manière plus générale, sur l'ensemble de ses fautes. Mais rien n'y fait... Angélique préfère des manières directes, parfois trop franches et brutales, même si elle s'avère capable de simuler contrition et repentance pour alléger le sort que lui réservent ses parents à chaque nouvelle frasque, et ce dans le seul objectif de pouvoir se livrer à d'autres expérimentations encore le plus rapidement possible.

    Hors de ses expéditions, expériences et découvertes promptement condamnées par sa famille, qui tente en somme de la dresser comme l'on dresse un cheval rétif, la vie semble assez dénuée d'intérêt aux yeux d'Angélique. La vie de château lui déplait, les conventions et l'étiquette auxquelles doit se plier une jeune fille de son rang lui sont insupportables, son éducation faite de langues anciennes, de littérature, de mathématiques, de rhétorique, de philosophie, de géographie et d'histoire ne l'intéresse pas. La seule joie véritable de l'enseignement que la jeune fille subit réside dans la musique. La volupté de s'asseoir au clavecin pour jouer, de ses doigts légers, gammes et arpèges, pièces pour clavecin seul ou accompagné voire simples improvisations, lui est sans égale, hormis celle d'en faire à sa tête uniquement. Curieusement, c'est dans le cadre assez strict de l'apprentissage de la musique qu'Angélique, suppôt de la liberté, trouve un semblant de bonheur dans ce qui lui parait un océan de privations.

    Ces interdits incessants aboutissent à la seule conclusion que l'on peut attendre d'un caractère aussi entier que celui de la jeune Comtesse. Elle se révolte, elle fuit la demeure familiale, s'échappe plus ou moins loin, parvient même presque à la frontière italienne... Juchée sur le dos de sa monture, dévorant les lieues au galop, elle sentait déjà le goût de la liberté et sa proximité, mais se trouve toujours prise de vitesse par sa famille, décidée à la ramener dans le carcan dont elle ne demande qu'à se débarrasser, ce qui lui vaut divers durcissements de sa surveillance par une mère excédée par ses frasques et ses manies.


    "Cette péronnelle passera donc sa vie à déshonorer son rang ? Elle a le diable au corps !"

    Telle est la réaction habituelle de la matriarche aux fugues d'Angélique, jusqu'au jour où la famille entière se lasse et l'envoie au couvent. Durant cinq longues, cinq très longues années, la jeune fille subit un cadre plus strict encore que ce qu'elle avait jusqu'alors connu, chose qu'elle croyait, à tort, impossible. Si, dans un premier temps, elle tente de réfréner son caractère par respect pour les religieuses qui l'accueillent parmi elles, le naturel revient au galop et compromet assez sérieusement leurs relations. Les blagues de plus ou moins bon goût de la Comtesse fleurissent, les comportements provocateurs également, ainsi que les infractions volontaires et ostensibles aux moeurs du couvent.

    La fausse novice, la pensionnaire involontaire se trouve ainsi amenée par son caractère aussi bien que par sa volonté d'indépendance à mettre en valeur son corps de jeune fille qui devient femme, multiplie les démonstrations d'égoïsme en réaction à l'esprit des Soeurs qui lui semble à la fois fade et effacé, se révèle capable d'être en retard en toutes circonstances, se complait dans l'irrévérence, invente de toutes pièces des confessions échevelées la faisant passer pour un véritable démon se complaisant dans la paresse et la luxure, imagine dans la foulée de ces confessions accusations dans lesquelles elle implique l'évêque de Bourges qui, d'après ses inventions, ne serait pas insensible à la chair fraiche... Et accueille les châtiments dus à son insoumission avec désinvolture. Qu'on lui demande de se flageller en signe de repentance, elle égare providentiellement le fouet dans le puits après une longue promenade "méditative". Qu'on décrète qu'elle doit jeûner une journée pour preuve de repentir, elle adopte une mine contrite, jure tout ce qu'elle sait qu'on ne l'y reprendra pas, et finit par chiper quelque nourriture dans les cuisines devant l'inflexibilité de ses nouvelles Cerbères. Une évasion, ratée une fois de plus en raison de la réactivité des gens de la maréchaussée avertis par les nonnes, vient en point d'orgue d'une longue série de mésententes et de conflits dans un lieu pourtant dédié à la vénération du Père de tous les humains.

    Autant dire que la jeune irrévérencieuse ne fut pas particulièrement regrettée parmi les saintes femmes qui l'avaient supportée cinq ans lorsqu'elle s'enfuit du couvent une bonne fois pour toutes. L'évasion était si bien programmée, si mûrement réfléchie que nulle ne l'avait vue venir. Et bientôt, Angélique était libre. Enfin, libre... Libre de se chercher un toit, surtout, ce qui l'amena, du fil de la maison de Sancerre à l'aiguille des soeurs, à chercher et trouver refuge chez Philippe d'Artagnan, fils du célèbre capitaine. Rapidement, ils se lient d'une profonde et sincère amitié. Ils parlent de tout, complices et compréhensifs. Il l'aide même à assouvir ce profond besoin qui la tiraille depuis des années... Voyager. Il la conseille, lui explique comment s'organiser. Et, finalement, la jeune femme part de son château pour découvrir un monde qu'elle n'a fait qu'apercevoir lors de ses tentatives de fuite, mais reste en contact suivi avec lui.

    C'est lors de l'un de ces voyages qu'elle entend assidûment parler, certes pas pour la première fois mais avec une passion qu'elle n'avait jusqu'alors jamais perçue dans la voix de son interlocuteur, de Versailles et de la Cour royale. L'engouement est immédiat. L'endroit fleure bon le rêve et attise la curiosité d'Angélique. Et, semblable à elle-même, elle se prend par la main, agrippe celle de sa suivante et complique, Marianne Pilogue, cède à la tentation et part pour la Cour. S'il arrive qu'elle s'en éclipse parfois désormais, on peut dire que les quelques pièces qu'elle occupe à Versailles sont devenues sa résidence principale, par goût.



    « Que diable, vous êtes à Versailles ! »

    Un paradis ou un enfer versaillais ?
    Versailles est un fantôme, imaginé seulement par Angélique avant que le pas ne soit franchi et qu'elle n'arrive à la Cour. Versailles est une aventure, un interdit, un fantasme. Versailles est ce que l'on veut en faire... Versailles est un monde de faux-semblants, d'interdits, de règles foisonnantes et implicites, Versailles est un rêve.

    Et la jeune Angélique s'y précipite avec enthousiasme et entrain, y sautant à pieds joints, s'y délectant de ce qu'elle voit, de ce qu'elle ne peut s'empêcher de critiquer... Et de ce dont elle rit sans vergogne. Ah, que les sots qui font leur cour sont drôles ! Qu'un nobliau refoulé peut devenir amusant à mesure qu'il est éconduit, encore et encore ! Et inversement, qu'il est difficile de se maintenir dans cet environnement parfois hostile, de faire bonne figure quand l'on sait que les mots de la personne que vous venez de quitter seront comme autant de poignards enfoncés dans votre dos.

    Elle est sans illusion quant à ses amis et ses ennemis, tente de soigner les premiers et abandonne à leur sort les seconds. Au pays de l'apparence, la naturelle se veut reine par sa simplicité d'approche, et Versailles est un enfer et un paradis.


    Vérité ou fantasme du complot ?
    Le verbe est une arme de guerre, un instrument de survie. Le manier revient à se protéger, à parer les coups, à défendre une réputation si primordiale dans une Cour parfois superficielle. Mais le verbe est double. Le verbe peut mentir ou dire la vérité. Consciente de cette dualité, Angélique peut balancer entre les deux aspirations contraires. A la tentation de l'intrigue vient en général s'opposer la franchise de la jeune Comtesse, pour ne pas dire son franc-parler et son attitude directe. Ainsi, si quelque calcul peut parfois entacher ses décisions ou prises de position, elle en est le plus souvent empêchée par le mouvement naturel de son caractère.

    Quant à sa perception de ce qui se pratique comme réalité ou complots à Versailles, la jeune femme ne se berce pas d'illusions et considère que toute parole qui lui est adressée doit d’abord être considérée comme un mensonge, quitte à amender son opinion quand preuve aura été faite que ces mots étaient le reflet d'une vérité.


    Plutôt colombe ou vipère ?
    Il est impossible de parler d'Angélique sans en faire un portrait en demi-teintes. Elle a encore la fraicheur de la jeunesse, mais elle apprend petit à petit à la cacher, à réfréner tout ce qui peut relever de la candeur ou de l'innocence, ce que son goût pour le jeu facilite. Le monde de la Cour est sans pitié et, vaille que vaille, la Comtesse de Sancerre entend bien y survivre, même si elle doit se tailler une place à coups de crocs ou faire jouer sa bonne entente avec son frère et le fils d'Artagnan. Qui sait, après tout... Ce qui lui vaut les foudres de sa famille pourrait la soutenir et la sauver dans cet environnement implacable, où n'ont sans doute leur place que les intrigants et les sournois.


    « Plus bas la révérence, plus bas. »

    Prénom/pseudo : Sophie/Sindanarie (ou Sinda)
    Âge : 21 ans
    Présence sur le forum : régulière, environ une fois par jour, plus en cas de réponse à un RP en cours.
    ► Code bon by Lisa
    Comment avez vous connu le forum ? Par hasard, en cherchant le blason de la ville de Mortemart.
    Suggestion : Pas pour le moment.


Dernière édition par Angélique de Sancerre le 01.07.11 19:58, édité 1 fois
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Amy of Leeds


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« s i . v e r s a i l l e s »
Côté Coeur: Mère enfin apaisée et femme comblée mais pour combien de temps encore ?
Côté Lit: Le Soleil s'y couche à ses côtés.
Discours royal:



♠ ADMIRÉE ADMIN ♠
Here comes the Royal Mistress

Âge : A l'aube de sa vingt septième année
Titre : Favorite royale, comtesse of Leeds et duchesse de Guyenne
Missives : 7252
Date d'inscription : 10/09/2006


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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre, la mal-nommée   Angélique de Sancerre, la mal-nommée Icon_minitime01.07.11 16:24

Bonjour et bienvenue à toi ! Merci de t'être inscrite! Very Happy

On a changé d'Angélique en un claquement de doigts Razz J'aime ces tours de magie Razz

Si la seconde partie de ta fiche est bien ainsi que ton style et ton orthographe, en revanche ton histoire serait à allonger quand même un peu s'il te plait, développe plus tes liens peut-être ou raconte quelques autres épisodes de ton enfance - adolescence.

On ne te demande pas un roman ne t'en fais pas mais voilà quelques paragraphes de plus par çi par là ne sont pas à négliger, car les membres vont se baser sur ce canevas là pour tes futurs liens Smile

Allez je repasse quand tu as terminé Very Happy
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre, la mal-nommée   Angélique de Sancerre, la mal-nommée Icon_minitime01.07.11 17:02

Avant tout, merci pour l'accueil !

Pour le reste, pas de souci, je m'y mets. Je préviendrai à la suite quand ce sera fini (et ça me donnera l'occasion d'enlever quelques fautes que j'ai vues en relisant). Smile
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre, la mal-nommée   Angélique de Sancerre, la mal-nommée Icon_minitime01.07.11 20:02

Un peu modifié. Si c'est dans la bonne voie, je peux encore en rajouter un peu, je commence à avoir des idées des quatre cents coups qu'Angélique aurait pu commettre...

Par contre, pour les rencontres, ne sachant pas trop ce que l'ancienne Angélique avait fait, je me suis permis de rester assez évasive... Est-ce que tu voulais parler de développer les liens qui sont évoqués dans la fiche du perso prédéfini ? Si oui, je rajouterai quelques paragraphes encore ! Smile

Et, enfin, y a-t-il des choses que je dois savoir sur la précédente Angélique ? Embarassed Je chercherai, naturellement, ses RP, et suis toute prête à reprendre ceux qu'elle n'aurait pas finis.
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre, la mal-nommée   Angélique de Sancerre, la mal-nommée Icon_minitime02.07.11 11:14

Recoucou,

Alors oui tu es bien partie Smile Oui je parlais des liens évoqués dans la fiche d'Angélique à la cour vacante Smile Tu peux inventer ce que tu veux comme épisodes.

Alors si tu veux savoir un peu plus de choses sur la dernière Angélique, c'est actuellement Hortense de Ragny (voilà j'ai dénoncé Popo Razz) Je pense qu'elle pourra t'aider au niveau des liens qu'elle avait quand elle la jouait. Mais bien sûr, tu n'es pas non plus forcée de faire exactement ce qu'elle faisait, tu as tout à fait le droit d'avoir ta propre vision d'Angélique, comme elle avait la sienne, tant que ça reste bien sûr une petite sauvage qui mâchent pas ses mots, pas de problèmes.

Ecoute je te valide, ta fiche est très bien, mais juste vois avec Hortense pour tes futurs rps, ça ne peut que t'aider pour te lancer par la suite Very Happy

Sinon ton avatar n'est pas aux bonnes dimensions, c'est peut-être la faute du logiciel que tu utilises et qui rétrécie automatiquement l'image utilise servimg, chez moi ça marche ^^. Si tu n'y arrives pas envoie moi ta photo aux dimensions 200*320, je tenterai comme je peux te la mettre (à cause de ma connexion) la mettre.

En tout cas bienvenue à nouveau, je te souhaite un bon jeu parmi nous et te laisse prendre le chemin des logements, rangs et fiches de liens Smile
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre, la mal-nommée   Angélique de Sancerre, la mal-nommée Icon_minitime

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