Louise, un vrai petit ange.

► 22 ans
► Marquise de La Vallière
► Tours (France)
►Un amour chaste est toujours bon a prendre

« Il était une fois ... »

A côté de la petite ville de Tours, dans la campagne, un manoir s’élève parmi les champs. Derrière l’une des nombreuses fenêtres, une frêle lumière brille. Et dans la pièce que la bougie éclaire un heureux évènement viens a eu lieu : Mlle Françoise Louise de La Baume Le Blanc, fille d’un militaire et d’une riche veuve est née. La maisonnée est en fête et le nourrisson est un joli bébé grassouillet. Toute la famille est penchée sur le berceau et soupire d’aise de voire ce magnifique poupon. Ces yeux bleu océan charme tout le monde et ses petits cris appellent la nourrisse pour téter du lait. Il mange bien et est éveillé, tous les bons signes pour une longue vie. On félicite la mère, lui offre des cadeaux pendant que les domestiques s’occupent du nouveaux née.
Tout se passe bien, le bébé grandit et on ne le nomme plus que par Louise. La petite fille active et curieuse qu’elle est devenue fait la fierté de sa mère. Elle adore jouer dans la campagne et courir derrière les chiens. Ses longs cheveux blonds, boucles jusque sous ses épaules. Sa taille fine et ses longues jambes sveltes, se glisse parmi les fleurs des champs. Tous les matins elle va voir sa nourrice et lui demande si son père est là. Car a six ans on ne sait pas forcément pourquoi l’être qu’on chérie le plus au monde n’est pas près de nous. Mais a chaque fois la réponse est négative. A lors Louise prend une moue boudeuse et insiste.

-Mais tu m’avais pourtant dit que père serait là dans très peu de temps. Nana, tu n’es qu’une menteuse !

Elle se retourne, ses nombreuse jupes tournant autour d’elle, et par en courant vers les champs. Mme de La Vallière n’aime pas trop la voir dehors avec les paysans et la surveille de près. Elle fait tous pour que Louise ai une bonne éducation. Heureusement, sa fille est studieuse et ne ronchonne pas quand il est l’heure d’aller à la messe. Mais pour plus de précaution, la veuve décide de la faire déménager à l’hôtel de Crouzille dans la ville même de Tours. Louise et sa nourrice ainsi que quelques autres domestiques l’accompagneront. Le lendemain tout est prêt et les carrosses partent pour 2 heures de route. Louise ne sais pas encore que ce sera la dernière fois qu’elle vera son petit cocon.
Dans le château c’est l’effervescence, alors que l’on vient de poser les bagages de la jeune Mlle de La Vallière on ne regarde qu’elle. Elle rentre dans l’hôtel avec grâce et douceur posant ses gants en dail sur les mains d’une servante ou alors en se laissant enlever sa cape blanche. Ses longues boucles blondes lui descendent dans le dos. Ses grands yeux bleus captive l’attention du moindre passant. Ses pommettes saillantes rougissent encore de ce qui lui est arrivé. Depuis que son père est mort à l’âge de ses sept ans, la jeune et pieuse jeune fille ne vit que pour le bon Dieu. Tous les matins, elle se rend à la messe avec le sourire aux lèvres. Ses trois belle sœur de comprennent pas pourquoi cela.

-Allez dépêchez-vous ! Insiste sa mère. Il est tant de manger et le marquis n’attendra pas encore longtemps.

Louise se presse de se dirigeais vers la grande salle des repas. Ses cheveux ainsi que sa robe lilas volant derrière elle. Après la mort de feu son père, sa mère n’a pas tardé à se remarier à jacques de Courtavel, marquis de Saint-Rémy. Il avait lui aussi eu trois filles d’un premier mariage. L’ainée était la plus raisonnable et Louise s’entendait bien avec elle, la cadette était trop frivole à son gout et la benjamin n’était encore qu’un bébé.
Louise s’assit sur la chaise en velours que lui présentait si gentiment le valet. Son humeur joyeuse rendit le sourire à toute la famille. La Marquis, un vieil homme gras et sa mère encore assez jeune discutaient affaire. Gertrude, qui avait le même âge qu’elle, lui prit la main en lui souriant. Bien que la jeune fille n’était pas très belle, il y avait une certaine bonté dans le regard qui charmer beaucoup de monde.

-Monsieur mon beau-père, j’ai rencontré cet après dîner un fort beau jeune homme !

-Louise, se n’est pas 15 à peine que vous allez virevolter entre tout les jeunes hommes qui il a dans la ville. Je vous préviens, je vous aurez au doigt et à l’ œil.

Cette phrase choqua Louise et l’attrista. Elle si pieuse et timide faire une gourgandine ? Elle sentit les larmes monté et sotie de table avec fracas. En faite cet après-dîner, la jeune fille avait rencontré Gabriel de Pontbriand. Alors qu’elle allait a cheval sortir de la ville, celui-ci se cabras et la vie tomber dans l’herbe fraiche d’un parc. Un jeune homme alors avait accourue et l’avais charmé avec ses boucles brunes et ses yeux verts.
La jeune fille se mis l’idée de le revoir contre l’avis de on beau-père. Et c’est ce qu’elle fit. Chaque dimanche, alors qu’elle et Gertrude devait donner l’aumône au pauvres, elle allait rejoindre Gabriel. C’était un amour chaste mais alors que le marquis avait découvert le potto rose et dû dire au revois a son amour. A ce moment, elle l’embrassa avec fougue et ce fus son premier baiser.
Le soleil perçait les vitres de l’immense chambre. Nana, secouait avec douceur le joli corps qu’elle avait vu grandir. Celui-ci ne bougeait pas.

-Allez, Louise il faut faire tes bagages ! Ton carrosse part dans moins d’une heure !

Sur ces mots, le corps se leva et se frotta les yeux. La servante pris un peigne et se mis en devoir de lui brosser les cheveux. La jeune fille de 15 ans avait maintenant pris des formes plus avantageuses. Une belle gorge et un port altier lui donné la beauté que toute femme lui envierait. Louise ne faisait pas ses 18 ans et son entrée au service de Madame ne l’excitait pas plus que ça. Elle ne voulait pas quitter sa terre natale et pourtant ! Dans moins de 5 jours elle serait au milieu des courtisans.
Le carrosse arrivait a destination en franchissant les grandes grilles en ors. Louise regarda comme même par là fenêtre et vit de merveilleux jardins ainsi qu’un somptueux château. Et ce soir il y aurait un bal, ou toutes les demoiselles de compagnies d’Henriette Anne Stuart de France et d’Angleterre, serraient présenté à la cour de France et au Roi !
Une fois dans les petits appartements qu’on lui avait attribués. La jeune fille se changea et mis la robe qui convenait. Son vertugadin redressant le tissu blanc éclatant de sa robe. De la dentelle de Lyon était cousue au décolleter ainsi qu’aux manches. Ses cheveux rattachaient en un chignon, dont quelques mèches s’échappaient. Et là elle entra dans la grande salle ou tout les yuex étaient fixé sur elle. Louise savait que maintenant tout ne serrait plus pareille.
Et effectivement plus rien n’a été pareille. Comme toutes les jeunes filles de son âge, elle tomba amoureuse du roi. Celui-ci remarqua sa beauté et sa fraicheur et la mit dans son lit. Elle retourna au près de Madame mais le roi ne lui adressa plus que des souri ou alors des phrases qu’il dirait a n’importe qui. Louis XIV prit la jeune Amy of Leeds comme favorite officiel, celle-ci ne fut que la cible des complots et ragots d’Athénaïs de Montespan. Louise dont la douceur n’avait pas changée décida de devenir amie avec la favorite et de la soutenir. Mais alors qu'elle trainait dans les jardins, Louise vut un valet lui tendre une lettre et l'ouvrir. Ce qu'elle lut la boulversa. Gabriel enfermait a la Bastille !


« Que diable, vous êtes à Versailles ! »

► Un paradis ou un enfer versaillais ?
Dans sa plus tendre enfance, Louise n’a jamais envisagé de faire son entrée à la cour. Aimant la prière, le calme et la campagne, cette idée ne lui a jamais traversé l’esprit bien que sa mère y en ai fait plusieurs fois allusion. Et en grandissant, son idée resta fixe. Mais parfois elle se laissa penser au Louvre, aux jardins et même aux beaux tissus qu’elle pourrait porter.
Ce n’est que quand elle fut prise au service de Madame, épouse de Monsieur, qu’elle bougea de sa terre natale jusqu’à Versailles. Quand elle franchit les grandes grilles dorées de la cour, la vision qu’elle vit la choqua. Les pauvres venant réclamés de la nourriture aux cuisines, les gardes soul allongeaient dans un coins. Et le bruit qu’elle ne supportait pas. Elle avança vers le grand et beau château et tout ce luxe la surprit. Mais c’était tellement beau et frais. Son appartement était petit mais cela lui convint car Louise savait qu’elle avait la chance d’être logé au château.
Les jardins la laissèrent bouche bée et elle prit plaisir à y passer du temps quand elle n’était pas au service de Madame. Quand aux bals, ils étaient plus majestueux les uns que les autres. Elle y allait et discutait avec ces nouvelles compagnes. La jeune fille pensait souvent qu’avec autant d’argent on pourrait nourrir beaucoup de pauvre gens dans le besoin. Mais bien sur, ça il ne fallait pas le dire.
Le roi occupait la plupart de ses pensées, vous allez me dire quand même temps pour une jeune fille de 18 ans, cela est tout à fait normal. Devenir la favorite du roi était le rêve de toute jeune fille.
Ce qui par contre la répugné au plus au point était tout ces courtisans. Elle ne supportait pas de les voir de battre pour un titre ou de rabaisser les autres. Mais étant une femme, elle s’effaçait plus qu’autre chose.

► Vérité ou fantasme du complot ?
Les intrigues…Jamais Louise n’a osé en faire partie. Etant beaucoup trop timide et réservé, elle n’aurait pas fait un bon pion dans l’échiquier. Et puis pourquoi risquer de se faire exiler alors qu’elle était si tranquille ? Par contre, la jeune fille en entendait beaucoup parler et parfois elle se retrouvé au milieu de l’intrigue sans le vouloir. Athénaïs de Montespan, femme la détestant sans aucune raison apparente, était la créatrice de ces nombreux pièges. Visant souvent la jeune Favorite Amy of Leeds. Louise n’étant pas rancunière, parlait avec plaisir à Amy, car tous le savent, elle a bien été dans le lit du roi.

► Plutôt colombe ou vipère ?
Guère de plaisirs pour les potins et autres ragots. Louise ne fait jamais attention a eux. Bien que parfois elle se plait a écouter sa domestique lui parler d’un courtisans un peu trop sur de lui ou alors d’un valet un peu trop maladroit. Qui ne rirait pas de certaine situation. La jeune fille sait bien que c’est contre l’église de ne pas respecter son prochain et elle applique au mieux cette loi. Elle houspille souvent sa domestique quand celle-ci s’emporte un peu trop. Encore cette fois Athénaïs de Montespan est dans le coup, c’est encore elle qui se venge contre la pauvre Amy. Louise soutiens au mieux cette dernière. Mais que faire contre la plus brillante femme de Versailles ?

« Plus bas la révérence, plus bas. »

► Alexia/Riss (aucun rapport je sais)
► 14 ans
► Je serais frécamment sur le forum
► Longue vie au Roi
► Comment avez vous connu le forum ? Par annuaire
► Et bien vous pourriez mettre une Chatbox.