Il était une fois ... Le plus beau cadeaux du ciel
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On venait de fêter noël la veille au château de Blois . La duchesse était sur le point d’accoucher et tous avait prier pour la naissance d’un mâle capable de devenir roi de France en tant que petit fils de France . Marguerite s’était couché tard après la messe . Elle se trouvait à Blois en exil en raison de l’attitude de son tendre époux pendant la fronde et de sa belle fille . Elle aimait son mari et ensemble , il avait essuyer les foudres de Mazarin lors de leur union . Quand à son illustre belle fille , celle-ci la méprisait et Madame avait peur qu’une fois ses enfants grands , leurs demi sœur s’en prennent à eux . Son époux l’avait rassurée et ainsi elle me se mit à table , buvant du vin et mangeant du faisan . Sa fille jouée et elle la regardait qu’elle belle enfant et bien que son sexe eu déçu son père il l’aimait . Une fois les réjouissances terminées , elle avait regarder le tableau de sa belle mère , la reine douairière morte il y’a quatre ans déjà , puis elle avait écrit à son frère , le duc de lorraine , petit fils du fameux Henri de Guise . Elle s’endormit en se 25 décembre .
Le lendemain madame s’habilla chaudement car il faisait froid et la neige tombée . Son enfant marguerite Louise venait de rentrer et à peine âgée de un ans dit
-Maman , tout blanc dehors
Elle l’embrassa
-Oui ma chérie , regarde il neige Elle pensa à sa jeunesse en lorraine et son hymen quand Gaston était venu la chercher . Il l’a surnommée l’ange , ah quel bon vieux temps
Soudain , la duchesse voulut se lever mais impossible , elle mit ses mains sur son ventre et dit
-
C’est le moment je crois , marguerite rentre dans tes appartements La petite fille partit et la madame se mit à hurler et à gémir . Ses dames l’installèrent sur son lit à baldaquin et préparent de l’eau avec un gant mouillée . La duchesse allait accouchée dans la chambre tendue de gésine où Anne de Bretagne , Claude de France et Catherine de Médicis le firent avant elle . Au pied du lit aux draps blancs, un lévrier s'agite et pousse soudainement un aboiement strident. Dans les escaliers derrière la porte, des bruits de pas retentissent. Brutalement, la porte s'ouvre, laissant place à un homme habillé, Gaston ,
. Haut comme une armoire, épais comme le même meuble, il est pourvu d'une barbe fournie ce qui fait de lui un homme assez beau Ses petits yeux sont presque cachés par des sanglots de larmes et de sa bouche lippue, une flopée de jurons s'échappe. Il contemple un spectacle pour le moins impromptu . Il veut un fils mais à si peur pour sa femme !
Notre pauvre marguerite s’accroche au draps , Rare chose pour l’époque , il s’approche du lit et lui tient la main
-Tenez bon ma mie , dieu sait que j’ai besoin de ma femme C'est mauvais, grogne la vieille sage femme dans la barbe de son menton, tandis qu'elle grimpe quatre à quatre les escaliers de pierre.
Enfin, elle parvient à sa patiente à bout de souffle, empêtrée dans sa tenue de nuit. Le seigneur beugle plus fort que la dame, couvrant la scène d'un vacarme assourdissant. Le chien tente de sauter sur le lit, rendu fou par l'odeur de sang qui parvient à son museau
-
ARRRR , elle serre les dents , les contractions sont très fortes , elle pousse . D'une taloche bien ajustée, la paysanne envoie balader le canin, et entame son travail , le médecin est déjà la comme le confesseur . Marguerite tremble , a peur , oui elle ne veut pas mourir et surtout le confesseur est déjà la , elle va tenir bon . Au bout de trois heures , dans cet hiver glaciale au milieux de la neige retentit le dernier hurlement et laisse lace aux pleurs du bébé et à ceux du père qui embrasse la jeune mère . Celle-ci exténuait , commence à fermer les yeux
-
Qu’est ce demande fébrilement Gaston
-
Une fille votre grâce mais une merveilleuse fille , je n’ai jamais vu de plus beau bébé , si bien fait Le prince s’approche et en dépit de sa déception tombe sous le charme de cet enfant chevelu au yeux bleu , il regarde la mére qui vient de prendre l'enfant dans les bras et l'ebrasse
-MOn adorée , merci c'est le plus beau cadeaux du ciel ! Je veux l'appeller Elisabeth comme ma chére soeur qui sera sa maraine Deux jours plus tard , le bébé est baptisée en grande pompe et dans tous blois , les cloches sonnent .
Quand Louis XII reçoit la nouvelle , il félicite le pére et pousse un
-Ouf de soulagement
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>II Les hommes doivent souffrir leur départ comme leur venue ici-bas ; le tout est d'être prêt.
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Extrait de Le Roi Lear
Elisabeth courrait dans les jardins renaissances du château de Blois en compagnie de son amie Louise et bien sur toujours chaperonnée par sa nourrice , normale à deux ans à peine ! Sa sœur Marguerite arriva en compagnie de petit chien dont bijoux
-Bijoux dit t’elle de sa voix enfantine
Les enfants s’amusaient quand la duchesse , Marguerite arriva et leurs coururent après . C’était un des rares priviléges qu’imputait la vie à la campagne .
Maman , maman dit t’elle avant de tombée
-Elisabeth mon cœur j’arrive .
La mére prit sa fille préférée dans les bras et l’amena vers la marre
-Regarde les poissons rouges lui dit ’elle en pleurant
Bien maintenant rentrons
Une fois à l’intérieur la petite vie sa mère en larme au côté de son pére
-Vient mon enfant
Elle avança
-Ta grande tante , vient de décédée , paix à son âme et ton oncle veut que tu ailles prendre sa place tu comprends ?
-NON
-TU vas allez voir ton oncle , le duc
La petite fit ses malles et le lendemain matin elle entra avec sa nourrice dans le carrosse . La duchesse pleurait et embrassa sa fille
-JE t’aime maman .
-Moi aussi , prenez bien soin d’elle
Au loin les voges étaient sa destination et à seulement deux ans elle quittait tout
III [center]Jésus, de retour sur terre, s'étonnerait qu'on le commente tant et qu'on essaie si peu de l'imiter.
[Jacques de Bourbon Busset]
Les larmes montèrent au yeux de la jeune fille qui courut chez la mére supérieur bien qu’en titre c’est elle l’abbesse
-
Ma mère dit t’elle d’un ton solennel sa grâce monsieur mon pére me commande de retourner sous sa protection . La mère se leva et s’approcha de la jeune fille
-
Ah mon enfant s’a y’est vous nous quitter … elle la regarda Vous êtes trop belle pour faire une bonne moniale , sachez ne pas oublier mes conseils , votre dévotions et tous ce à quoi nous vous avons inculquer pour être par la suite une bonne épouse . Soyez docile mais ferme , allez ma fille Après trois jours de voyage , Elisabeth en tenue de noble arriva au château lieu de son enfance
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Ma fille dit sa mère en pleurant , ainsi que la jeune fille
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Ma mère , la dernière image que j’ai de vous est en pleurant et la nouvelle de même dit t’elle en riant -Laissez moi vous présenter vos sœur . Ainsi elle rencontrait les cadettes et retournait Marguerite qui l’embrassa
Est-ce comme cela que l’on fait ici -Oui mademoiselle , oubliez la rigidité des nonnes . La vie repris son cour bien que Elisabeth resta marquer par cet éducation allant chaque jour à la chapelle et passant ces moments avec sa sœur ainée et sa mère qu’elle adoraient .
Elle retrouva son père qui avait manifestement vieilli et qui lui portait une attention toute particulière en raison de son esprit assez avisée , de sa grande culture et de sa beauté .
IV Toute religion n'est qu'un système imaginé pour concilier des contradictions à l'aide des mystères.
[Baron d'Holbach]
Extrait de Le bon sens
-
Elisabeth tu as 16 ans ! Nous allons allez à la cour , danser , nous marier à Quelle vie !-
TU veux allez à la cour toi ? -
Oui maman a reçu une lettre aujourd’hui La duchesse qui était veuve depuis deux ans venait de rentrer dans la salle .
-
Faites vos valise les filles -
Non dit t’elle -
Vous m’obéirez ma fille-
Pour allez dans un lieu de perdition , avec un roi vivant dans l’adultère , son frère étant un homosexuel notoire , ah sa non non -Elisabeth , douce Elisabeth chaque jour je regrette votre envoie au couvent … Après plusieurs jours Elisabeth du se résoudre à l’inévitable , la nuit sa sœur la rejoint
-N’ai tu pas heureuse ?-
-
Je ne sais j’ai peur de la cour en vérité -
Nous allons danser , lire , rencontre des jeunes hommes !-
Oh de quoi parle tu , c’est péché -
La vie entière est péché retient cela .
Cette phrase résonnait dans sa tête
-Imagine ton galant derrière toi , t’embrassant n’est ce pas agréable ?-
Si ..-Alors comprends le roi qui n’a pas épouser une femme qu’il aimait a le droit … -
Mais ils sont uni devant Dieu -
RHO comprend tu il n’ y a pas de mal à aimer , arrête de te torturer entre la Elisabeth gaie et la religieuse .
-Soit
V Il m'était plus facile de penser un monde sans créateur qu'un créateur chargé de toutes les contradictions du monde.
[Simone de Beauvoir]
Extrait de ses Mémoires d'une jeune fille rangée
Ainsi la jeune femme quitta son enfance à Blois pour Versailles , ou elle fut reçu avec honneur . Durant tout le voyage en calèche , elle pleura dit à sa mère , qu’elle allait la corrompre , l’emmener dans un lieu dans un lieu de perdition . Elle arriva en pleine nuit et s’étala dans le lit qu’on lui avait dressée . Comme toujours sa sœur dormi avec
Le lendemain , une dame vint la coiffer et l’habillait
-
Je veux être belle mais pas trop de luxe apparent .
Seulement sa mère arriva , et après tant d’années d’exil , elle voulait montrer à tout le monde la beauté de ses filles .
Ainsi la jeune beauté enfila une robe blanche à paniers signe de la virginitée avec un chignon agrémenter de perles blanches et roses . Enfin une anglaise tombée sur son charmant visage .
Elle entra dans la grande salle quand le chambellan annonça
-Sa grâce Elisabeth d’Orléans duchesse d’Alençon .
Elle plongea dans une belle révérences laissant voir sa gorge ainsi qu’une petite croix qu’elle portait toujours prés de son cœur . Elle lança une bref regard à la reine qui chrétienne comme on le disait était effectivement assez fade
*J’en ferai mon amie bien que peux influente *
Par la suite elle regarda monsieur qu’elle trouva beau mais fort petit puis regarda Henriette . Ah Henriette elle qui l’avait critiqué comme son cousin pour ses mœurs dissolue la trouva belle et lui adressa un agréable sourire
*Comment peut-il la trompé ? c’est de la faute de lorraine .
D’ailleurs celui-ci , elle voulait en faire son ennemis et s’imposer comme championne des mœurs normales loin des italiennes
*Toi qui est la cause de la perdition de ma famille , je te haie *
Enfin elle regarda le roi , qu’elle trouva magnifique . Vraiment le soleil lui correspond bien et elle comprit pourquoi aucune femme ne lui résistait .
Elle vit sa sœur qui venait d’apprendre son mariage avec un prince Italien , en toscane , sourire sans arret à leurs cousins . Ceux à quoi elle la pinça légèrement et chuchota
-
Il est marier Personne ne parler dans l’assemblée et pour rompre le silence , elle se retourna vers le chambellan
-Fille de Gaston prince de sang et de marguerite de lorraine , je descend du feu roi henry IV et par lui de Jeanne d’Albret roi de Navarre ainsi que de la maison de bourbon . Elle marqua une pose et reprit d’un ton sensuelle et fier
-Quand à ma mère , je suis l’héritière de la célèbre maison de Guise . Elle pris sa demi sœur à témoin et en dépit de l’étiquette s’avança vers elle
-Ah ma sœur comment se porte les travaux de votre domaine de Moulin avant de se retourner vers le roi
-
Sa majesté l’aura compris je suis fière de mes origines en tant que PETITE FILLE DE France A ses côtés elle remarqua un garçon et eu des pensées peu catholique avant de courir faire bruler un cierge pour son père et prier comme toujours