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 Charles Borqueaux

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MessageSujet: Charles Borqueaux   Charles Borqueaux Icon_minitime07.03.10 22:50

Charles - BORQUEAUX
_______ ft. Elijah Wood

Charles Borqueaux Avatar17


    ► Âge : 26 ans
    ► Titre(s) (ou profession) : Maître-Ecuyer (C’est un palefrenier qui s’occupe des chevaux, les soigne, les travaille.)
    ► Origines : Français (Campagne Parisienne)
    ► Situation Maritale : Célibataire

    « Il était une fois ... »

    _ La famille Borqueaux est une famille de paysan depuis des générations. Ils travaillent la terre et en tirent un revenu aussi bon que possible. Ils avaient quelques hectares de blé qu’ils se transmettent de père en fil. En général, c’était le fils aîné à qui on donnait les terres, les autres fils étaient placer dans des métiers divers, certains devenaient forgeront, d’autre enter dans l’armée. L’avenir d’un homme ne lui appartenait pas, à cette époque la famille décider pour les enfants. Le père prenait les grandes décisions maritales et professionnelles. La femme n’avait qu’un droit de parole du la dote de sa fille, si la famille avait eut la chance d’avoir une fille. Les enfants étaient voués au travail dés leur plus jeune âge. En général, ils étaient élevés par les femmes pour apprendre à lire, à écrire et à compter, si c’était dans les connaissances de la mère bien entendu. A partir de 13 ans, voir plus jeune, les jeunes garçons aidaient dans le travail quotidien. C’est dans cet esprit là que survient la mort de la reine.

    _ Huguette : Chérie, j’ai apprit de la voisin, Janine, que la reine est mort cette nuit. Il parait qu’il y avait un troupeau en contre bas de sa fenêtre pour attendre sa mort.

    _ Jaques : Les charognards. Je suis sûr qu’ils voulaient voir ce qu’ils pouvaient tirer de cette mort.

    _ Ne raconte pas n’importe quoi, Jaques.

    _ Ce sont un tas de fumier qui nous vole notre argent durement gagner, tu ne me diras pas le contraire Huguette !

    _ …

    _ J’espère que le futur souverain sera plus clément.

    _ Avec le deuil de sa mère, il ne faut pas s’attendre à grand-chose, Dieu nous bénisse.

    C’est une des nombreuses discussions que le couple avait. Ils ne parlaient pas de politique devant leurs enfants. Huguette n’aimait pas que les enfants entendent, elle disait toujours qu’ils devaient être protégé du monde noble et pourri qui vivait à Versailles. Jaques n’était pas du même avis, il pensait qu’au contraire, ils devaient être prévenu que les hommes n’étaient pas tous égaux et que certains vivaient dans le luxe alors que d’autre étaient complètement démuni. Mais sur ce point là c’était toujours Huguette qui avait gain de cause.

    _ Charles Borqueaux : Fils de Jaques et Huguette Broqueaux, aîné de la famille. 7 ans
    Juliette Borqueaux : Fille de Jaques et Huguette Borqueaux, cadette de la famille. 5 ans
    Paul Borqueaux : Fils de Jaques et Huguett Borqueaux , Benjamin de la famille. En conception.
    [i]Charles et Juliettte malgré leurs deux années d’écart, s’entendirent toujours bien. Charles étaient un peu protecteur envers sa sœur. Il l’aimait beaucoup et pour cause, ils étaient presque toujours ensemble, jusqu’à l’âge de 13 ans. Ils jouaient souvent dehors dans le sous bois à côté de la maison. En général Charle l’entrainait toujours dans les pires bêtises qu’ils pouvaient faire mais sa sœur suivait très volontiers, vouant un amour total à son frère.


    _ Charles : Aller vient sœurette, tu vas voir on va bien s’amuser.

    _ Mais Maman nous attend pour dîner, il se fait tarde Charles.

    _ Trouillarde !

    _ Tu vas voir si je t’attrape.

    Charles et Juliette s’élancèrent dans une course poursuite que Charles était sûr de gagner. D’abord car il avait de plus grand jambe mais aussi car il était plus physique que sa sœur. Il courait donc vers le vieil arbre ou ils aimaient jouer. Il sauta une branche plus grimpa au tronc. Sa sœur derrière hurler qu’il ne pouvait plus lui échapper. Il sourit en sachant très bien par ou biaiser Juliette pour fuir et peut être la prendre à revers. Il monta plus haut dans l’arbre et s’assit sur une branche pour attendre sa sœur qui montait plus lentement. Il riait et la narguait en lui faisant des grimaces puériles. Elle arriva presque à sa hauteur quand il sauta sur une autre branche. Juliette lui cira dessus mais il fit le tour de l’arbre et redescendit rapidement. Il rit puis une fois le pied à terre, il salua sa sœur et parti en courant vers le bois profond. Il se retrouva rapidement seul. La nuit n’était pas loin mais Charles n’était pas peureux. Il était très heureux de sa blague et était pressé de voir la tête de sa sœur qui n’était pas arriver à le rattraper. Il marchait au travers de la forêt en commençant à se demander ce que faisait sa sœur. Elle était plus lente que lui mais ce n’était pas un escargot quand même. Charles commença à s’inquiéter. Il revient sur ses pas pour découvrir sa sœur en haut de l’arbre qui pleurait. En bas, reniflant le tronc et grognant, il y avait deux loups. Charles resta tétaniser en voyant les deux bêtes. Sa respiration se coupa et il s’immobilisa. Il ne savait pas quoi faire. Il était terrifié par la situation. Il aurait voulut parler, dire à sa sœur qu’elle n’avait rien à craindre. Il avait d’ailleurs raison puisque c’était lui le plus exposé. Il recula doucement mais il posa le pied sur une branche qui céda sous son poids. Les loups eurent vite faite de se tourner et de foncer sur Charles. Celui-ci entama alors une course folle pour rejoindre la ferme. Il sorti du bois très rapidement et sauta la clôture de la ferme et arriva dans le champ ou pâturaient les chevaux. Il se dirigea rapidement vers les 3 chevaux. Effrayaient les chevaux reculèrent mais Charles eut le temps d’attraper la crinière de l’un d’eux et de s’y accrocher comme à la vie. Charles ne se souvient plus de la suite, trop d’émotion, trop de sentiment se bousculèrent dans sa tête. Il sait que son père l’a retrouvé prés de la grange avec les chevaux autour de lui.
    Comment expliquer ce sauvetage ? Surement un hasard. Charles ne se l’explique pas mais c’est de là que vient sa passion pour les équidés. Depuis ce jour, sa sœur reste prés de la maison et lui a voué sa vie aux chevaux.

    _ Charles avait 13 ans quand sa mère mit au monde un enfant, un garçon du nom d’Hugo. Il était heureux d’avoir un frère mais ne put en profiter, ce fut sa sœur qui aida sa mère à l’élever. C’est elle qui jouait avec lui, qui le promenait, qui le changeait, bref Charles était bien triste de cette situation mais il ne pouvait rien faire. Il aurait aimé aussi s’occuper de son frère et pouvoir jouer mais il était occupé au travail. Il se perdit alors corps et âme pour la ferme. Il redoubla d’effort à la tâche et se consacra aux chevaux.
    C’est à l’âge de 16 ans qu’il fut remarqué par un homme de la cour du Roi. Le palefrenier du Roi, rien que ça. Cet homme fut étonné de voir un garçon du petit peuple connaître aussi bien les chevaux. La rencontre des deux hommes restera gravée dans la mémoire de Charles.
    C’est un jour d’été, le jour le plus chaud du mois. Le marché du bétail se tenait sur la place centrale. Charles était ici avec son père pour vendre un cheval trop vieux pour le travail des champs mais encore en forme pour le transport des voyageurs. Charles tenait le vieux cheval pendant que son père parlait avec un acheteur potentiel, c’est alors qu’un étalon s’emballa au coin de la rue. Le cheval d’une rare fougue et d’une robe brune éclatante au soleil, fonça dans la rue obligeant les passants à s’écarter. Charles d’instinct sauta à cheval et barra la route de l’étalon. Celui-ci ralentit sa course et stoppa devant l’obstacle. Le jeune garçon lança alors une corde autour de l’encolure du cheval pour le maitriser. C’est comme ça que le Maître Ecuyer du Roi remarqua le jeune Bourqueaux.


    _ Frédérique : Mon garçon, tu es fou ! Tu aurais put te faire mal !


    _ Charles : C’est votre cheval ? Vous devriez mieux le tenir la prochaine fois.

    _ Jaques : Charles, comment oses-tu parler ainsi à un inconnu. Frappe le garçon derrière la tête. Veuillez m’excuse Monsieur.

    _ Il n’y a pas de mal, cet enfant parle librement c’est une des qualités et des avantages de la jeunesse. C’est votre fils ?


    _ Oui, Je suis Jaques Borqueaux et voici Charles.

    _ Ravi de vous rencontrer. Regard à Charles.

    _ Moi aussi Monsieur.


    _ C’est qu’il est bien élevé malgré tout ce gosse. Puis-je m’entretenir avec vous Mr Broqueaux ?

    _ Bien entendu. Charles garde les deux chevaux s’il te plait.

    Charles se retrouva avec les deux bêtes et soupira en voyant partir son père et l’inconnu. Ce qu’il ne savait pas c’est qu’il venait de croiser la route de son destin.

    _ C’est ainsi que Charles entra à Versailles. Le vieil homme transmit tout son savoir à son apprentie. Il lui expliqua tout ce qu’il faut savoir pour soigner les chevaux, les travailler. Il apprit à monter de mieux en mieux. Au fils des années, il saisit doucement l’essence du cheval. Le cheval ne se monte pas simplement avec des techniques mais il faut le ressentir, il faut des émotions et laissait libre court à son corps et à ses idées. N’est pas un moment fabuleux quand le cheval anticipe un mouvement, une idée du cavalier. N’est pas la communion parfaite quand un cheval souffle dans les chevaux de son maitre après avoir été travailler. C’est des instants magiques qu’on ne connaît qu’au compte goûte. Charles était déjà comblé d’être à Versailles mais en plus d’être sous l’ail d’un grand maître de l’équitation reconnu dans tout le pays, c’était pour lui une chance inouïe. Il ne manqua pas de suivre à la lettre les ordres, les conseilles. Entre son travail de palefrenier, ou il curait les boxes et nettoyer les allées de l’écurie et le travail de transport, ou il aidait à préparer les chevaux d’attelage, il montait le plus souvent possible.
    Pour en apprendre plus, il suivait aussi les guides, ceux qui dirigeaient les calèches et faisait les transports des nobles. Il attendait des heures dans le froid pour ramener les dames de la cour après un bal costumé. Mais ça lui plaisait ! Il aimait attendre dans le froid, le bout des doigts gelait, les oreilles et les lèvres bleutés. Il n’avait d’œil que pour les chevaux mais ce soir là, il crut voir un ange.


    _ Inconnu : Charles prépare toi, ils arrivent.

    Charles sauta à terre et se frictionna les bras et le visage pour se réchauffer. Il sautilla sur place et vit les convives sortirent. Charles posa sa main glacé sur la poigner et attendait les dames. C’est alors qu’il vit une jeune femme, environs son âge, une fille si belle et si élégante. Il resta un moment immobile tellement que la mère de cette jeune femme bouscula le garçon pour qu’il réagisse.

    _ Inconnu : Vous attendez qu’il prenne froid ? Aller dépêchez vous !!!!


    _ Pardon Mesdames.

    Charles se reprit mais n’oublia jamais le visage de cette jeune fille.

    _ Depuis ce soir là, Charles n’à jamais oublier cette jeune fille. C’est d’ailleurs une belle journée de Printemps qu’il la revu. Elle était avec son petit amie, enfin son soit disant amant. Elle était dans le coin de la carrière, elle observait l’entrainement des chevaux de sport. Il croisa son regard et une flamme qu’il ne connaissait pas, s’alluma en lui. Il frissonna et le cheval sous lui senti sa gêne et s’énerva. Le maître Frédérique vit que le jeune garçon, qui avait maintenant 20 ans, était prêt pour reprendre le flambeau.

    _ Frédérique : Charles. Ne te déconcentre pas.

    Charles secoua la tête puis se retourna à son travail, en espérant pouvoir revoir cette jeune femme même sans lui parler. C’est ce soir là que Frédérique lui expliqua qu’il était temps qu’il travail seul, qu’il devient à son tour maître Ecuyer. Charles comprit que l’heure était venue, que la fatigue et la vieillesse avaient rattrapé l’homme. C’était maintenant à lui de gérer les affaires de l’écurie, les transports de Versailles et tout ce qu’il touche aux chevaux. Frédérique se retira quelques jours après, le temps de mettre les affaires en ordre et d’avertir le Roi du changement. Celui-ci aillant autre chose à faire ne s’y opposa pas, ayant confiance en Frédérique. Voila donc maintenant 5 ans que Charles s’occupe des affaires de la cavalerie. Il croise de temps en temps la jeune femme inconnu mais si belle. Il ne connaît rien d’elle mais il l’admire et la croque du regard. Il espère pouvoir en apprendre plus sur elle, oubliant le complot et le royauté.

    « Que diable, vous êtes à Versailles ! »

    Un paradis ou un enfer versaillais ?
    Versailles, c’est le palais, là ou habit le Roi. Avant ses 16 ans, c’était simplement un regroupement de noble. Mais quand il apprit qu’il y avait là bas les plus beaux chevaux du pays, les meilleures écuries, Versailles devient le paradis pour Charles. Il ne peut rêver plus belle endroit, des jardins magnifiques pour détendre les chevaux, des installations pour travailler les éralons. Charles n’en avait que faire de vivre dans une pièce aussi petite qu’un placard du moment qu’il pouvait voir les chevaux chaque jours. Certes il aimerait pouvoir rendre visite à ses parents plus souvent. Il aimerait prendre des nouvelles de sa sœur et de son petit frère, il serait curieux de savoir comment va la ferme et les chevaux. Mais il ne peut pas, il doit rester à Versailles pour assurer le soin de la cavalerie. Cependant il ne se plaint pas, il est heureux ici et ne changerait son mode de vie pour rien au monde.

    Vérité ou fantasme du complot ?
    Charles à entendu des rumeurs, à vue des regroupements plus ou moins étrange. Il a fait des transports en secret sous les ordres de différent noble. Il commence à penser que le complot est une réalité mais il n’en a que faire puisque quelque soit le Roi, il restera toujours un homme du petit peuple alors que ce soit un tirant ou non cela ne change rien. Il ne veut pas participer et de tout façon même s’il voulait, personne ne l’accepterait. Il n’a pas toujours comprit la politique, il ne comprend pas que des hommes mangent à leur faim à quelques pas d’autres qui se battent pour survivre. Il n’arrive pas à saisir l’idéologie du siècle, les nobles et les pauvres. Il espère qu’un jour cela changera mais il n’est pas sûr d’être encore là quand ça se produira.

    Plutôt colombe ou vipère ?
    Ni l’un, ni l’autre plutôt fourmi. Il ne prend pas part aux complots, rumeurs ou autre ragots. Il les entend, il ne les comprend pas tous mais en aucun cas il les divulgue ou en crée. Il préfère de loin le hennissement des chevaux aux flots de parole cynique des humains. Il aime le silence ou les bruits de sabots d’un cheval au vacarme d’un bal costumé.


    « Plus bas la révérence, plus bas. »

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    Bref, en tout cas bravo pour ce forum, il est vraiment très agréable à parcourir et à découvrir Very Happy J'espère que ma fiche est correct et sans trop de faute ^^'


Dernière édition par Charles Borqueaux le 08.03.10 23:01, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Charles Borqueaux   Charles Borqueaux Icon_minitime08.03.10 12:55

Bonjour et bienvenue à toi ! Smile

Ta fiche s'annonce bien mais pour autant, pourrais tu plus développer ton histoire s'il te plait ? Elle me semble un peu trop courte ...Désolé de Lisa Parles nous plus de ton passé, de ta personnalité, de potentiels ennemis ou amis, d'amourettes, peut-être.

Nous nous te demandons pas un roman, mais tu pourras en effet remarquer que les fiches de présentation de nos membres (prédéfinis ou pas) sont plus étoffées.

Je reviendrais te lire plus tard ^^ Merci de ta compréhension !
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MessageSujet: Re: Charles Borqueaux   Charles Borqueaux Icon_minitime08.03.10 23:05

Voila j'ai refait l'histoire. Je suis désolé, j'avais vraiment hâte d'être valider et j'ai fait des raccourci.
Je peux aussi développé les idées sur Versailles si vous voulez ?
J'espère que les modifications sont correct.
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MessageSujet: Re: Charles Borqueaux   Charles Borqueaux Icon_minitime08.03.10 23:21

Merci d'avoir étoffé ton histoire ! Wink

Pour les trois parties, c'est en effet un peu court mais tu as respecté le minimum de lignes, je ne vais donc pas chipoter ! ^^

Je te valide donc mais en revanche j'ai pu observer pas mal de fautes d'orthographe, bien sûr ça peut arriver à tout le monde dans un moment d'inattention, mais on est assez à cheval sur ce genre de trucs ! (Oui notes le pauvre jeu de mots Razz ) Donc fais attention s'il te plait et aussi à ce genre de phrases : " Ravi de vous rencontrer. Regard à Charles. " Les phrases entières sont quand même mieux ! Wink

Voilà après ces recommandations, il ne me reste plus qu'à te valider et à te souhaiter un bon jeu parmi nous !

Je te laisse prendre le chemin des logements et des rangs ! ^^

Je vais créer une catégorie écurie pour toi !

PS : C'est qui la fille ? What a Face (Sinon je te valide plus Razz Nan je rigole ! Razz )
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MessageSujet: Re: Charles Borqueaux   Charles Borqueaux Icon_minitime08.03.10 23:40

D'accord je ferais attention aux fautes ^^
En tout cas merci pour tout Very Happy Je suis ravi d'être valider.
Pour la fille justement il faut que je trouve une personne intéressé pour ce rôle :d
Mais il me semble que toi tu es déjà en couple non ?
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MessageSujet: Re: Charles Borqueaux   Charles Borqueaux Icon_minitime

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