♥ Juliette Charlotte de Bourgogne | La passion a un nom |

19 Âge
Dame de la cour
Française les débuts furent difficiles mais on finit toujours par y arriver lorsqu'on à la technique =)
Célibataire


« Il était une fois ... »

Tout commença pour Juliette Charlotte lors d'une soirée costumée. Cette soirée était organisée par le bon Duc de Bourgogne qui avait en cette époque un charme très français et une façon de parler noble donc personne ne pouvait résister. Il avait pour l’occasion invité les nobles mais aussi les pauvres de son pays. Tous étaient parés de milles merveilles ainsi que d’un somptueux masque puisque la soirée ce voulait déguisée. Le Duc, comme à son habitude trouva bon de faire des faveurs à de nombreuses jeunes filles ce soir là, mais il fut arrêter dans sa course de conquête par une beauté des plus rares. Une petite brune se présentait face à lui et il ne put résister à son charme dévastateur. La jeune femme touchée ne put résister à la tentation de partager sa couche mais le réveil en fut que plus douloureux lorsque le Duc s’aperçût qu’il venait de coucher avec une simple pauvre qui lui cultive ses légumes, lès révérences de la belle paysanne ne suffirent pas, elle fut renvoyé dans son village pour faire ce qu'elle avait fait durant toute sa vie : cultiver des légumes. Il fit bien sûr taire l’affaire et se maria avec une marquise quelques mois plus tard. Seulement la jeune brune paysanne était enceinte, se demandant comment elle pourrait faire pour élever un le batard qu’elle avait conçu avec un Duc. Heureusement pour elle, ce batard ne fut pas un garçon mais une adorable petite fille qu’elle prénomma Juliette Charlotte. Malheureusement pour le beau Duc de Bourgogne toujours dans son château la marquise rousse qui lui servait de femme ne le satisfaisait qu'a peine : ses manières n'était pas digne d'une duchesse et son accent Italien très prononcé n'arrangeait pas ses affaires. Malgré cela le père "originel" de Juliette Charlotte réussit à avoir 3 enfants : aucun des droits n'ayant une éducation très soignée car le duc avait autre chose à faire que de penser à la manière dont il serait éduqué et les alliances par le mariage qu'ils pourraient tirer d'eux. Juliette Charlotte fut élevée par sa mère, la jeune paysanne brune qui l'éleva correctement. Bien que sa mère n'eu pas les moyens de lui faire fréquenter des grandes écoles, Juliette Charlotte appris de nombreuses choses par ses lectures, elle visitait également la Duchesse de Bourgogne, sa belle mère mais elle l'ignorait encore à ce moment là dans son château. Elle pouvait ainsi copier les manières de ses dames d'honneurs et finit par s'en sortir à merveille : voilà à quoi elle passa son enfance.
Elle avait des amis de jeux lorsqu'elle était petite mais sa meilleure amie fut la petite princesse de Corse qui fut envoyer dans un château près de son village pour avoir une éducation des plus française et être unies à un comte ou un roi d'une petite province.
Les deux fillettes se rencontrèrent dans le château de Bourgogne et Juliette adorait déjà la petite princesse de Corse, les années passèrent mais elles étaient toujours aussi complice, elle se comprenait à merveille peut être parce qu'elle n'avait qu'un seul objectif : finir à Versailles.
Inutile de préciser que la jeune Juliette n’eut jamais connaissance de son père mais son caractère très particulier changea les choses.
Sa mère, à l'inverse de sa fille était très terre à terre, elle c'était remariée avec un vieil homme très malade mais qui avait un peu de bien, c'était un prince déchut car il n'avait pas mené à bien une guerre : la mère de Juliette Charlotte fut une espèce de garde malade pour lui jusqu'a la mort de ce prince déchut.
Alors ce jour là, Eve, mère de Juliette Charlotte décida d'unir sa fille à un petit bourgeois très laid selon Juliette qui vivait en Normandie mais qui avait toujours eu une fascination pour la petite.
Juliette Charlotte avait quatorze ans et refusa ouvertement la proposition du petit bourgeois, elle voulait s'élever dans la noblesse. Sa mère ne savait plus quoi faire face à cette jeune femme qui refusait de sa marier, Juliette Charlotte eu pourtant l'intelligence de dire avec les quelques nobles mots qu'elle savait :
" Madame si je ne veux m'unir avec un homme qui à un peu plus de votre âge comprenez que je ne me refuse pas à vos ordres mais que je désire plus que tout que cet homme bon et riche vous soi destinez".
Eve retenu la leçon de sa fille et décida de partir en Normandie où elle s'unirai avec le petit bourgeois : Juliette avait gagnée grâce à son intelligence le droit de se marier avec un autre homme mais malgré cette séparation elle garda un contact avec sa mère car elle l’aimait énormément : ce fut la seule personne présente pour elle.
Juliette Charlotte habité désormais seule et rechercher l’amour véritable avant de se marier malheureusement les hommes fascinés par sa beauté se dissuader d’être intéresser à un mariage lorsqu’il apprenait le rang miséreux dans lequel était Juliette Charlotte.
Elle faisait toujours de nombreuses visites au château de Bourgogne en ignorant que son père réelle y habiter ainsi qu’a la petite princesse de Corse, elles étaient toujours les meilleures amies et les meilleures confidente que le monde ai connu. La petite princesse de Corse nommé Louise proposa un jour même à la jeune paysanne Juliette :
« Cela fait bientôt dix ans que je vis dans le château Beaune et je n’ai qu’une amie qui réside non loin de Dijon et qui peut me voir que rarement »
« Je suis sûre Madame que vous avez d’autres amis que moi »
« Hélas aucune qui me comprenne aussi bien que vous, devenez ma dame d’honneur maintenant que j’ai l’âge d’en avoir deux »
« Mais je ne crois pas que ce soit une bonne idée »
« Si, j’en suis résolue et nous découvrirons ensemble qui est votre père pour que vous deveniez une petite princesse comme moi »
Juliette Charlotte arriva au château de Beaune à peine un an : les deux filles avaient seize ans et Louise devait être mariée. Louise devait être envoyé à plusieurs châteaux afin que l’ont étudie ses manières pour la marier de la façon la plus heureuse et la plus avantageuse qui soit. Le hasard voulu qu’elle fut envoyé de nombreux mois dans le château de Bourgogne que la jeune Juliette connaissait par cœur.
Juliette en plus de servir Louise qui était devenue une femme très en vue et qui avait beaucoup de monde à ses pieds servit Madame la duchesse de Bourgogne qu’elle avait tant observée lorsqu’elle était petite. Cette ancienne marquise était bien déçut de son mari et fatigué de ses enfants et des années qui portaient de vilains aspects à son visage, petit à petit la duchesse lui disait :
« Savez-vous Madame que le Duc eu de nombreuses maitresses avant son mariage dont l’une était une paysanne bonne uniquement à nettoyer le sol »
Juliette Charlotte fut très malheureuse après cette confession et se rendait compte qu’elle ne pourrait peut être jamais devenir noble : elle commençât à détester la Duchesse qu’elle avait tant aimée si jeune.
Louise, sa meilleure amie n’avait toujours pas d’époux, ni de fiancer ; son père commençait à s’impatienter. Le Duc de Bourgogne proposa en mariage son unique fils : le compte de Chalon.
Louise accepta ignorant qu’elle se marier avec le frère de sa meilleure amie. Le compte de Chalon et la Princesse de Corse fut envoyer à Versailles comme le voulait leur rang de princesse de sang.
Juliette Charlotte resta elle cantonner en Bourgogne, elle ne pouvait suivre sa meilleure amie à Versailles mais étant devenu une personne bien connu au château de Bourgogne et ayant de bonne manière elle fut autoriser à rester grâce à la Duchesse qu’elle n’aimait pourtant pas beaucoup mais que la duchesse adorait. La Duchesse bien faible et désormais malade était très entretenue par les médecins et les dames d’honneur n’avait guerre leur place.
« Peut importe »
Dit le compte de Bourgogne son mari
« La première dame d’honneur restera auprès de la Duchesse, la seconde servira auprès de notre fille Olive, duchesse d’Autun et la dernière auprès de notre dernière fille Thérèse duchesse de Chinon. »
La dernière comme vous vous en doutez était Juliette Charlotte qui fut contraint de servir sa demi-sœur Thérèse. Elle lui dit un jour alors que Juliette Charlotte lui brossait les cheveux :
« Madame ma mère m’avait dit que vous étiez sa meilleure dame d’honneur, hélas je ne sais pas à part votre conversation ce qu’elle vous trouvez car vous n’avez ni richesse, ni espèce de courtoisie »
Juliette Charlotte lui répondit sans démordre :
« Madame il est juste mais peut être que madame votre mère avait l’art de reconnaitre les gens qui avait l’art de la parole et de l’intelligence »
Thérèse, la duchesse d’Autun ne répondit rien.
Le Duc de Bourgogne était toujours très puissant et les titres pour lui ne faisait que pleuvoir par son gout pour les combats. La Duchesse se portait au plus mal et on se demandait qui pourrait au mieux s’occuper d’elle, Juliette Charlotte demanda au médecin qu’on arrête les saignées trop fréquente : les médecins la prirent pour une folle mais voyant l’état de la Duchesse et n’ayant plus rien à perdre ils arrêtèrent les saignées : La duchesse se rétablit miraculeusement.
La jolie Duchesse fut sauvé et Juliette Charlotte se rendit compte en pensant à la mort de celle-ci qu’elle tenait à elle plus que ceux qu’elle pouvait le penser. La jolie Duchesse dit en se réveillant :
« Il est si dommage que vous n’ayez aucun titre Madame, vous avez une bonne éducation et j’aurais était tellement heureuse d’être votre mère » ( Ici belle mère, la duchesse ayant eu le dessin de marier son fils le duc d’Autun à Juliette Charlotte plutôt qu’a Louise).
La jeune Juliette Charlotte lui répondit :
« Hélas vous savez comme moi que ma naissance ne me permet un mariage avec un homme de ce rang. »
« En parlant de naissance d’où venez vous Madame »
« J’ai trop peur de vous dire ma naissance »
« Je suis passé à côté de la mort et c’est vous en persuadant les médecins d’arrêter de me saigner comme un porc qui m’avait sauvé la vie ! Je vous serez louable toute mon existence »
« Madame je suis la fille d’une paysanne et mon père et inconnu, ma mère m’a tue son nom, si je suis ici c’est par la simple volonté de Louise mon amie de toujours »
La duchesse ne répondit rien et s’en voulut même d’avoir poser une telle question.
Juliette avait dix-sept ans à peine et il lui arriva la plus belle des choses qu’elle n’aurait jamais imaginer : le petit bourgeois que sa mère avait épousé et qui vénérer Juliette Charlotte obtint le titre de compte d’un tout petit village. La famille de Juliette Charlotte était enfin noble, bien que ce fut une noblesse infiniment petite Juliette Charlotte retrouva les considérations de la Duchesse de Bourgogne qui lui dit :
« Je suis fort aise de voir que vous soyez désormais une noble »
« Madame la Duchesse ne vous emportez que trop peu, je suis à peine une noble, je n’ai nul droit sur un village de 100 têtes »
« Vous êtes nobles quand même »
« Il est vrai et cela me ravit bien »
« Que pourrais-je faire pour vous aider car vous savez désormais que nous sommes presque de la même famille »
« Non, il y a plusieurs formes de noblesse et je suis la plus pauvres de ces formes mais j’ai une chose à vous soumettre il est vrai »
« Dites, dites moi laquelle Madame »
« Vous qui êtes la Duchesse devait bien détenir quelques secrets »
« J’ai ouï dire quelques mots d’antichambre, certes »
« Je vous serez gré de trouver l’homme qui m’as mis au monde »
« Vous devriez au lieu de faire ceci remercier celui qui épousa votre mère et lui donna son titre »
« Je le ferais Madame, je vous l’assure »
Juliette Charlotte tint parole et envoya avec encore plus d’ardeur des lettres louant la bravoure de son beau père qui avait faillit devenir son époux. Ses deux détestables demi sœur qui avait quinze et seize ans furent mariées à un mois d’intervalle et les deux mariages furent les plus beaux que l’ont ai jamais connus. Juliette Charlotte ne fut pas touchés par ses mariages : si elle n’aimait guerre la Duchesse elle détestait ses demi sœur sans savoir son lien de parenté avec elle. Elle avait même une grande pitié envers elle : ces deux femmes étaient mariées à des comptes qu’elle n’aimeraient jamais et Juliette c’était toujours promis de se marier avec l’homme qu’elle aime.
La Duchesse menait son enquête et entretenue Juliette Charlotte au moment de son lever :
« Vous avez ses yeux »
« De qui parlez vous Madame »
« Vous avez les yeux de votre père, ses jolis yeux verts »
« En effet ceux de ma mère sont bleu mais comment le savez-vous Madame ? Vous A-t-il fait une confession ? »
« Non, Madame pourtant il a confié à son conseiller avoir une fille qu’il reconnut dès qu’il la vue, dès qu’elle fréquenta le château, même lorsqu’elle venait à dix ans à peine il savait que c’était sa fille et aujourd’hui encore il continue de l’observer en secret car il sait qu’il a une fille présente en ce château »
« Mais Madame qui est donc cet homme et son conseiller ? »
« Mon époux très chère »
Juliette Charlotte fut atterré par cette nouvelle, elle savait désormais que son père était le compte de Bourgogne et qu’elle était l’ainée de ses enfants : grâce à lui son titre de noblesse tant espéré devenez bien plus qu’une simple espérance.
Juliette Charlotte tut cette affaire. Elle continuai de servir la Duchesse en lui demandant si elle pouvait encore avoir cette décence, la Duchesse lui répondit que les maitresses de son mari étaient nombreuses et qu’elle avait toujours était au courant mais que le duc faisait bien son choix car il avait fait sans le vouloir une enfant des plus délicieuse.
Juliette fut touchée par ce discours mais le Duc ne parlait toujours pas de la légitimé, pourtant vierge Juliette Charlotte avait toutes les espérances d’avoir un mari aimant et noble.
Alors qu’elle s’occupait des plaies de la Duchesse, elle lui demanda :
« Madame puis-je espérer qu’un jour mon rang s’élève si votre époux reconnait ses tords et ses travers en m’ayant eu pour enfant »
« Madame je suis bien aise de vous dire en étant son épouse que monsieur votre père ne fait jamais les choses que s’il y a derrière un intérêt certains. »
Juliette Charlotte passa un séjour chez sa mère et son beau père, celui-ci fit de nombreuses avances à Juliette Charlotte qui déclinait toujours en disant :
« Monsieur, nous ne pouvons faire une telle trahison à ma mère sous ses yeux »
Le petit bourgeois devenu compte répondez toujours avec une naïveté certaine :
« Comme vous avez raison Madame, je ferais tout pour vous plaire »
Juliette Charlotte lui glissa alors à l’oreille :
« Aimer donc un peu plus ma mère et cesser alors de penser que vous partagerais un jour le lit de sa fille »
Le petit compte ne répondit pas à l’attaque de sa belle fille qui partit dès le soir ne voulant pas faire de scandale. Le petit compte pourtant était toujours épris de cette jeune fille qu’il adorait, il aurait tout fait pour lui plaire, peut être un peu trop même, il échangea toute sa fortune pour doter sa fille qui fut marier à un vieux marquis. La fille du petit compte trouva là de nombreux avantages et ayant toujours eu de nombreux amants elle ne vit pas la gêne d’en avoir un supplémentaire.
Juliette Charlotte rentrait en Bourgogne reçut une lettre de sa mère qui lui annonça :
« Monsieur votre beau-père est un homme désormais heureux, il a doter sa fille et elle est désormais Marquise de Normandie : vous avez atteint le but dont vous avez toujours rêvez ma fille nous sommes enfin de bon nobles. »
Juliette Charlotte toute heureuse le communiqua à la Duchesse, elle fut très heureuse pour elle et sans perdre une minute on su bientôt la nouvelle. Le Duc de Bourgogne qui avait toujours détester cette fille sans naissance s’intéressa miraculeusement à Juliette en lui disant alors qu’elle était dans sa couche :
« Madame votre sœur est Marquise de Normandie »
« Il est vrai Monsieur mais je ne connais point cette sœur malheureusement et elle n’est pas sœur de sang »
« Madame je crois que vous ignorez votre naissance »
« Je sais que vous êtes mon père Monsieur »
« Bien, c’est justement cela que je m’étais résolu à vous dire »
« Que voulez vous au juste »
« Et bien vous savez que Madame la Marquise de Normandie possède la Normandie »
« Cela me semble exact »
« Et je paie plus d’un million livres pour envoyer des soldats en Normandie chaque mois car nous sommes en guerre voilà deux ans »
« Vous voulez que ses attaques cessent ? »
« Vous avez devinez Madame, si seulement la paix pouvait être rétablie entre nos deux pays, que je serais heureux »
« Cela sera fait si vous légitimer l’enfant en face de vous »
Le Duc de Bourgogne pris au dépourvu répondit tout simplement :
« Qu’il en soit ainsi »
Juliette Charlotte, alors qu’elle venait d’avoir dix huit ans envoya une lettre au compte qui avait épouser sa mère lui demandant dix milles excuses et lui priant de le mettre en relation avec sa sœur et son époux. Le petit compte accepta avec plaisir et bientôt Juliette put envoyer des lettres au Marquis de Normandie :
« Mon très cher frère,
Je suis si heureuse de vous écrire, je sais que nous n’avons jamais était présenté mais je suis la sœur, non de sang mais d’union de votre épouse, la magnifique Marquise de Normandie.
Je viens vous querir pour vous priez de cesser votre guerre avec la Bourgogne, mon Dieu ne nous a pas créer pour que les hommes se tapent les uns sur les autres. Si Dieu voit que vous êtes résolu à arrêtez cette guerre je suis sûre que vous gagnerez de sa part le salut éternel. Monsieur croyez en moi, je ne me trompe jamais. »
Trois mois après la guerre fut terminée et la paix fut officiellement scellé par le mariage du frère du Marquis de Normandie avec la cousine du Duc de Bourgogne.
Le Duc de Bourgogne ne pouvait plus reculer et ce fut devant la cour, les conseillers, les nobles, les pauvres et tout ceux qui avaient dénier venir qu’il annonçât haut de fort :
« Je vous prie de traiter désormais ma fille comme un être supérieur, ma fille que vous ne connaissez pas et qui est pourtant présente avec nous la belle Juliette Charlotte de Bourgogne. Juliette Charlotte hérite de mon nom et du titre de Duchesse de Macon. »
Tout la cour se leva et applaudit la nouvelle Duchesse. On l’envoya dès son légitimement à la cour de Versailles car les nobles disaient d’elle qu’elle pouvait encore acquérir de la noblesse.
Elle continua d’envoyer des lettres à sa mère et à la Duchesse de Bourgogne.
Juliette Charlotte devint donc en tant qu’ainée Duchesse de Bourgogne et adopte le nom de son père qu'elle déteste toujours.Elle découvre Versailles avec une grande candeur mais ne trouve toujours pas l’amour qu’elle espère tant.



« Que diable, vous êtes à Versailles ! »

► Un paradis ou un enfer versaillais ?

Pour elle biensur Versailles est le paradis dont elle a toujours rêver, les belles robes que quelques courtisants lui offre pour lui plaire, le champagne qui coule à flot, les jeux d'argent qui la fascine car elle gagne toujours. Les ragots de la cous n'ont aucune importance pour elle. Pour le moment elle découvre Versailles, elle est donc toujours dans l'innocence, la beauté de la cour, les merveilles du château. Elle ne voit pas encore qu'on pourrait facilement la faire tomber dans de dangeureux piègs.


► Vérité ou fantasme du complot ?

Fantasme ! Evidement, elle ne croit pas une seconde à ce complot. Pour elle c'est une rumeur comme toutes celle qu'on entend à Versailles. Elle ne pense pas qu'on puisse atteindre le roi car elle le voit comme une véritable idole et comme un Dieu vivant. Elle se dit que si il y a conspiration quelqu'un finirat ben par déjouer le complot avant qu'il n'arrive quelques malheurs.

► Plutôt colombe ou vipère ?

Les deux. Question épineuse. Mais en gros elle est plutôt colombe, assez innocente, plein de paix et d'espoir, elle délivre dans son visage plus de sagesse que de mépris. Elle ne s'énerve pas pour rien mais quand elle s'énerve on peut la traiter de vipère, elle n'hésite pas à manipuler ce qui l'ont trahi, blesser ou qui ot abuser de sa gentille. Elle est aussi du genre à vouloir tout savoir et à tout raconter après mais si c'est un véritable secret elle restera muette comme une carpe.


« Plus bas la révérence, plus bas. »

Juliette alias Queen-Juliette
16 ans
7/7 Normalement
Code bon by Lisa
Pas pour le moment, où bien accueillir votre nouveau membre (a)