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 Alfie Of Surrey

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MessageSujet: Alfie Of Surrey   Alfie Of Surrey Icon_minitime04.08.09 12:10

Alfie Of Surrey Aga0310
    Alfie Of Surrey
    _______ ft. (Adam Grégory)

    ► 24 ans
    ► Duc de Surrey
    ► Anglais
    ► Célibataire

« Plus bas la révérence, plus bas. »

    ► Alex
    ► 22 ans
    ► Régulière
    Code bon (by myself)



« Que diable, vous êtes à Versailles ! »


    Un paradis ou un enfer versaillais ?
      Versailles serait un véritable enfer, sans le Chevalier de Lorraine pour l'embellir ! Je me souviens de mon arrivée... tout cela s'est fait par hasard, Père n'ayant pas de grands espoirs pour moi. Il faisait des pieds et des mains pour me marier, peu importe à qui, je m'en moquais un peu. A vrai dire, je n'ai jamais vraiment été comme mes aînés, à vouloir m'approprier tel ou tel titre, telle ou telle fortune. Je suis tout simplement satisfait de ma vie, j'en profite. Ma jeunesse, ma liberté, je les chéris. Lorsque Monsieur m'invita à rejoindre la Cour à Versailles, ma famille, prévenante et probablement très envieuse m'a dit que je serais un intrus. Ce n'était pas faux... je n'ai pas le caractère de feu qu'il convient d'user à outrance dans ce monde de brutes épaisses. Les terres, les possessions et multiples richesses ne m'intéressent guère. Mon père affirme que ma personnalité est inexistante, qu'il fallait quelqu'un d'imposant, à la carrure digne d'un Noble. J'ai voulu lui montrer qu'il avait tort. Mais cela s'avéra plus difficile que prévu. Il y avait trop de personnalités parasites autour de moi. Jeune et beau, j'ai été abordé par je ne sais combien de femmes et d'hommes en quête d'amant, de passe-temps ou d'un bel homme avec qui s'afficher et donc pavaner. Et lorsque venait l'heure de décliner les offres, le venin de ces gens blessés se répandaient comme une traînée de poudre. Acerbes et peu disposés à garder mon amitié, j'ai pris des gifles, des rumeurs ont été colportées... et j'apparus bientôt comme un jeune Duc sans panache, ridicule... fort heureusement, mon amitié avec le Prince Philippe d'Orléans, me permit de rester dans ce jeu où le but était de sortir, après pugilat, et Dieu sait que plus il durait plus ses auteurs y prenaient plaisir, un concurrent ou un ennemi. Monsieur, comme il aime qu'on l'appelle a fait beaucoup pour moi et nous sommes proches. Même si seul Philippe de Lorraine, à la beauté si éclatante, me fait oublier tout le reste. Sans Versailles, je ne l'aurais pas connu, je ne vivrais pas ce rêve... Oh ! Paradis ou Enfer, qu'importe, un sourire, une présence de cet homme, ce Lorrain, valent plus que l'un et l'autre !


    Vérité ou fantasme du complot ?
      Croire que l'on peut comploter impunément contre le Roi est une drôle d'idée, surtout à la Cour du Roi Soleil... Depuis que je suis à Versailles, j'entends des drôles de choses. On murmure par ci, par là qu'un assassin a été payé par Monsieur pour faire tuer son propre frère. Une pure invention ! Jamais Monsieur ne ferait du mal à quelqu'un de près ou de loin. Pas même à son frère qu'il apprécie. En attendant, d'autres parlent d'une secte, d'une confrérie sataniste, aux rituels fort étranges. Pour tout dire, tout cela m'importe peu. Entre les racontards des uns pour paraître important et la médisance des autres pour continuer d'exister malgré leur personnalité et leur tenue exécrable, je ne crois absolument pas à une quelconque théorie du complot. Et quand bien même existerait-elle, ce n'est pas de mon devoir d'y tremper les pieds. Je laisse ça aux compétents et aux bienheureux... L'autre jour cependant, on racontait que le beau Chevalier de Lorraine avait pour projet d'empoisonner Monsieur, ce dernier ayant trop d'amants. Il est vrai que le frère du Roi lui a brisé le coeur, cela se ressent quand ils se voient. Peut-être ai-je ma chance ? En tout cas, je réfute plus que jamais le fait que le valeureux Philippe de Lorraine soit pris pour un assassin ! Et je ne manque pas de leur clouer le bec à chaque fois que j'en ai l'occasion. Si complot contre la famille royale ils veulent inventés, qu'ils aillent se choisir un autre coupable !!! Pas Philippe de Lorraine, il est bien incapable de tuer un homme. C'est un homme vertueux, courageux et fidèle. Par le biais des complots, certaines personnes aiment à accroître l'inquiétude et la méfiance du petit peuple. Peut-être espèrent-ils les terroriser pour mieux les manipuler...


    Plutôt colombe ou vipère ?
      Contrairement au reste de ma famille, je suis peu enclin à concevoir des rumeurs et à les propager. J'aime la qualité et la beauté des tenues vestimentaires, l'élégance et le raffinement. M'abaisser à dire du mal des uns, des autres, en permanence toute la journée, ne fait pas partie des dons hérités à ma naissance. Je pourrais passer des heures à vous parler de tissus, de broderies, de poésie... mais déserver des propos pleins de haine sur une personne, non, c'est en dehors de mes capacités. J'ai beaucoup trop de respect pour une personne pour tomber aussi bas. Si j'ai un différend, je l'explique posément, en privé. Mon attitude ne correspond pas du tout à Versailles, je le sais. Ai-je bien fait de venir ici ? Oui, mais parfois, je regrette de ne pas pouvoir me moquer de certains. Ils font ça avec une telle facilité ! Je sais parfaitement que je suis leur cible... la colombe est décidément si blanche, que certains veuillent la ternir pour être moins éblouis.


Dernière édition par Alfie Of Surrey le 01.11.09 23:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Alfie Of Surrey   Alfie Of Surrey Icon_minitime24.10.09 22:17

« Il était une fois... »


    La nuit commençait à tomber au dehors. En ce doux après-midi d'été, les fenêtres ornées du Château de Versailles restaient ouvertes pour que chacun puisse respirer les agréables senteurs des jardins. Les oiseaux, dans de petits piaillements aigus, rejoignaient l'arbre le plus proche pour y dormir à l'abri. Alfie les regarda longuement, songeur. Lui aussi, il aurait bien aimé voler, se sentir aussi léger que le vent qui parfois venait caresser les feuilles dans une ondulation parfaite. Des images de sa terre natale lui revinrent. Sa belle Angleterre, brumeuse, plate et peu boisée en son Sud. Cela devait faire trois ans qu'il n'y avait pas remis les pieds. La dernière fois qu'il était parti, il avait pris un gallion à Brighton. Il avait fait embarquer la totalité de ses affaires, ses habits, ses chaussures, ses bijoux, son nécessaire, ses livres, ses tableaux et son magnifique cheval. Il n'aimait pas se promener à pied. Le fait d'avoir une monture était pratique, sauf pour la faire monter sur le bateau ! Son canasson n'avait pas apprécié d'être bousculé sur une passerelle où il avait moins d'un mètre pour se mouvoir. Et il le fit savoir en envoyant un coup de sabot dans le torse du marin qui le poussait... L'homme était mort sur le coup, il avait reçu un tel coup que sa vie avait été ôtée. Alfie donna les fonds nécessaires pour les funérailles puis ils partirent pour un court voyage. Sa famille s'était entendue avec Philippe d'Orléans. Le Prince de France envoyait un convoi et une escorte au port du Havre, pour que le Duc de Surrey puisse rejoindre Versailles sans se soucier de ses affaires et sa sécurité. Comme prévu, le gallion arriva au Havre et y jeta l'ancre pour décharger les effets personnels du Duc. Les carosses attendaient là, au nombre de trois. Au terme d'une longue journée de route, Alfie Of Surrey arriva enfin à Versailles, il fut accompagné par Monsieur à ses nouveaux appartements et y emménagea. Epuisé par ce voyage, il n'avait pas tardé à s'endormir, le coeur peiné d'avoir tout de même quitté ses proches. Son sommeil avait été de plomb, tant et si bien qu'il s'était réveillé le lendemain dans l'après-midi, empêtré dans ses draps brodés aux armoiries du Duché, étalé par terre ! Il n'avait même pas senti qu'il était tombé du lit !

    - Dear Alfie, que ces années vous ont changé ! Vous avez perdu de l'embonpoint et vous avez encore grandi !

    Alfie se tourna vers un vieil homme, au style très british, bacchantes et monocle fièrement exhibés. Il lui fit un sourire plein d'entrain, dévoilant des dents blanches, rares pour l'époque. Le Duc prenait toujours soin de lui, ça faisait partie de son charme. Et du charme, il n'en manquait pas. Sur tous les enfants qui composaient sa fratrie, il était de loin le plus beau et le mieux proportionné. Grand et élancé, il se tenait toujours droit, en toute circonstance. Ces dernières années, il avait perdu du poids, même s'il n'avait jamais été gros ou enrobé. Les ballades à cheval nécessitait un effort physique qu'il fournissait volontiers. Il n'avait pas peur de transpirer et de partir au triple galop, pour explorer le monde, en tout cas son centre. Oui, car Versailles n'était pas seulement la Cour du Roi Soleil, c'était le lieu où il fallait être, le noyau de la Terre ! Il n'avait jamais assez voyagé pour tout visiter, donc, dès qu'il le pouvait, il n'hésitait pas à partir dans un bois, entouré de gardes quand même, pour le protéger de gredins et de bandits, nombreux et sanguinaires. Non, de tout jeune, il n'avait jamais été un battant. L'épée, le tir, les combats à mains nues, cela faisait partie des disciplines qui jamais ne lui avait apporté le moindre intérêt. Alfie jeta un dernier coup d'oeil au dehors, et prit la parole. Il avait un voix calme, grave et posée, qui donnait l'impression illusoire que son charisme écrasait ses interlocuteurs. Il n'en était rien, car à laccoutumée, c'était un homme très conciliant et diplomate, assez réservé.

    - Harry, n'exagérez pas, la dernière fois que nous nous sommes vus, j'avais 22 ans, j'étais encore avec ma barbe longue et mal taillée...

    Il se souvenait de cela comme si c'était hier... depuis son adolescence, Alfie avait gardé une certaine marque de fabrique, il laissait pousser sa barbe, de façon plus ou moins anarchique, sur plusieurs mois, et ne la coupait qu'à l'occasion. S'il avait changé d'avis, c'était en partie à cause de Philippe de Lorraine, cet homme qui avait fauché son coeur trop jeune et qui faisait naître en lui, les plus doux sentiments. Non, mieux valait éviter d'y penser maintenant ! Il allait encore se perdre dans la multitude de sentiments qui l'envahissait à chaque fois que le Chevalier inspirait ses idées. Enfin, désormais, il n'avait plus de barbe. Son visage était mis en valeur par un petit duvet, purement décoratif. Il faut dire qu'il n'avait pas un visage des plus moches... la beauté à l'anglaise ! Des traits fins et dessinés d'une main de maître, des yeux d'un bleu azur, envoûtants, des cheveux brun, châtain-foncé coupé courts mais souvent couvert d'une perruque, comme il était coutume à cette époque. Le Duc de surrey avait hérité du nez parfait de sa mère et de ses lèvres fines, donnant une harmonie quasi parfaite à son sourire enjôleur.

    - Vous avez changé, croyez-moi. Vous ressemblez plus que jamais à votre père ! Il va se sentir très fier !

    - Oh... non. J'en doute fort, Harry. La seule fierté qu'ait éprouvé mon père à mon égard, c'est lorsque je lui ai annoncé que j'avais chassé le renard dans le bois de Vincennes et que Monsieur en personne avait vanté les mérites de la fourrure de l'animal. A aucun autre moment, mon père, ni mes frères n'ont été fiers de moi.

    Harry sembla géné par le ton que le Duc avait employé. Il ne s'attendait pas à un aveu aussi direct. Alfie savait que pour sa famille, il n'était pas une source d'orgueil. Il se contentait des choses simples, ne cherchait pas à savoir se battre, à se mettre en avant en permanence, à acquérir quelconque terre ou à montrer virilité à qui veut. Et en cela, il fut bientôt, la honte de sa fratrie. Grands et petits frères, tous lui montraient leur mépris ou l'ignoraient superbement. Seule sa soeur lui montrait respect et attention. Diana Of Surrey avait eu une enfance difficile, marquée par la maladie, mais elle avait survécue, au moins jusqu'à ses dix-huit ans. A bout de force, elle n'avait pu continuer à se battre et s'était éteinte. Alfie en avait gardé un vide, et une peine si profonde qu'il en faisait parfois des cauchemards. Sa confidente, sa seule source de réconfort était morte... Alors il avait décidé de montrer son indépendance, plus rien ne le retenait en Angleterre. C'était en partie pour ça qu'il avait accepté ce fameux départ sur Gênes, pour y être fiancé avec une jeune femme. Son père lui avait assuré des richesses à récolter. Il s'en moquait, car au bout de quelques semaines, il fut entiché de la jeune femme. Elle ne lui déplaisait pas, elle était belle, cultivée... et surtout cupide et manipulatrice. Elle eut tôt fait d'embobiner le Duc et d'en faire une marionnette. Il s'en rendit compte et en fut blessé, ce qui le poussa une nouvelle fois à fuir et à accepter la proposition de Philippe d'Orléans : rejoindre Versailles.

    - Navré, très cher, je ne souhaitais pas vous mettre mal à l'aise. Je n'en veux pas à ma famille, je serais prêt à leur venir en aide, s'il le fallait. Mais je suis bien ici, je n'ai pas l'intention de revenir même si mon pays me manque. Harry, je sais pourquoi vous êtes ici, vous êtes mon confident depuis la mort de ma Diana... je sais que vous ne voulez que mon bien et que celui du Duché, mais soyons sincères, vous savez que ce que vous tentez est vain.

    - Alfie, je vous en prie... ce jeu est dangereux... il ne s'agit pas de n'importe quel homme...

    - Je le sais bien ! Il s'agit de Philippe de Lorraine... un homme encore plus beau qu'Apollon ou je ne sais quel autre dieu païen... il s'agit de l'incarnation du charme, de la finesse, de l'intelligence et du paradis. Je l'aime, Harry, je me fiche de savoir que c'est contre-nature, proscrit par Dieu, ou que cela puisse créer des tensions entre le Royaume de France et l'Angleterre ! J'ai donné à ma famille tout ce qu'elle voulait, quant elle le voulait, j'ai accepté de fréquenter et de convoler avec des comtesses, des marquises pour conclure des affaires. Aujourd'hui, j'aime vraiment quelqu'un. Je le sais, je le ressens chaque fois que je croise son regard, chaque fois que je pense à lui. Je ne peux l'oubler ou en faire abstraction. J'estime avoir le droit, pour une fois dans ma vie à penser à moi, à suivre mes sentiments.

    Le Duc s'assit sur la lourde table de bois massif, qui ornait ses appartements. Il avait parlé avec une sincérité touchante, la voix passionnée par le propos. Si bien qu'Harry soupira, en signe de résignation.

    - Soit... mais dans vos récents courriers, vous m'indiquiez que Monsieur était devenu âpre envers vous. Êtes-vous sûr que ça n'est pas lié avec le Chevalier de Lorraine ?

    - Je crains de bien avoir offensé le Prince... mais j'ignore de quelle façon. Son amitié m'est chère, cependant, le changement est radical. J'hérite souvent des besognes de serviteurs... je ne sais quoi en penser, peut-être que je devrais lui parler, pour tirer cela au clair. Mais c'est un Prince... et je sais qu'il admire Philippe. A savoir si tout cela est lié, je ne sais que répondre. Gisela non plus, ne semble pas trop connaître de réponse.

    Harry fit un grand sourire et sembla se détendre. Le nom de Gisela lui faisait plaisir à l'écoute :

    - Ah, Miss Gisela ! J'espère qu'elle se porte à merveille ! J'en avais presqu'oublié que vous étiez de très bons amis. Cela date maintenant... de l'époque où vous achetiez chevaux et vêtements à son père, je crois bien. Ma mémoire me fait parfois défaut. Vous avez toujours pu compter sur elle, malgré vos humeurs qui diffèrent souvent ! Quel plaisir aurais-je à le revoir, cela fait si longtemps !

    - Il est vrai que notre amitié est une chose très solide. Je dirais unique, voyez, même avec Louis de Mortemart, nous en discutons mais de façon moins proche. Lui aussi, il sait être un excellent ami et aussi un très bon compagnon de jeu et de chasse. Nous avons tous deux des relations, je n'ai pas vraiment le sentiment d'être priviligié, avec lui, nous discutons d'égal à égal.

    - Et qu'en est-il de Karl de Bavière ? Vous êtes-vous revus ?

    Alfie ne répondit pas tout de suite. Sa relation avec Karl avait été spéciale. Il avait partagé beaucoup plus avec lui en une nuit qu'avec d'autres amantes. Il s'en souvenait comme si c'était hier... leurs deux corps enlacés, cherchant la chaleur de l'autre, répondant à un langage des corps, à un code de l'inconscient qui ébranlait leurs deux êtres. Oui, cela avait été charnel, passionnel... quelque chose aurait pu se construire sur cela. Mais Karl avait de son propre chef mit un terme à leur relation. Il prétexta une envie de repartir à zéro, de faire table rase du passé. Depuis...

    - Non, il a préféré mettre de la distance. Si je puis vous faire un aveu, tout cela m'importe désormais très peu, Karl ne fait pas le poids face à Phillippe de Lorraine. Mon coeur a choisi, Harry.

    L'homme haussa les épaules, regarda le jeune homme et concéda, visiblement vaincu

    - Eh bien... comme dirait un adage des terres du sud... Alea jacta est.
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Philippe d'Orléans


Philippe d'Orléans

« s i . v e r s a i l l e s »
Côté Coeur: Il a été brisé, piétiné et maintenant celui qui était à mes côtés est devenu mon ennemi. Quelle cruelle destinée !
Côté Lit: Le lit de mon palais est si confortable et accueillant !
Discours royal:



ADMIN TRAVESTIE
Monsieur fait très Madame

Âge : 27 ans
Titre : Prince de France, Monsieur le frère du Roi, Duc d'Orléans, de Chartres, d'Anjou, seigneur de Montargis
Missives : 10014
Date d'inscription : 03/01/2007


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MessageSujet: Re: Alfie Of Surrey   Alfie Of Surrey Icon_minitime02.11.09 22:36

J'ai du te retirer ton horrible écriture Vivaldi Razz
Sinon hé bien ... tu vas souffrir Siffle

Allez validé, maroufle !
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MessageSujet: Re: Alfie Of Surrey   Alfie Of Surrey Icon_minitime03.11.09 0:04

Mais euh !!!
Ma font Vivaldi ! Sad Sad Sad

Je te remercie pas, mégère ! Laughing Laughing Laughing Laughing
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MessageSujet: Re: Alfie Of Surrey   Alfie Of Surrey Icon_minitime03.11.09 20:52

Quoiii ! Toi tu vas te prendre un coup de pieds là où je pense tiens !
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MessageSujet: Re: Alfie Of Surrey   Alfie Of Surrey Icon_minitime04.11.09 23:18

Tu te penses si bas ??? Siffle Siffle Siffle
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MessageSujet: Re: Alfie Of Surrey   Alfie Of Surrey Icon_minitime

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