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| Sujet: Ambroise Beaumanoir 16.07.12 21:53 | |
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AMBROISE
BEAUMANOIR
Aurélien Wiik
« Medicus curat, natura sanat. »
► Âge : 25 ans ► Titre (ou profession) : Mire, Chirurgien, Apothicaire, Astrologue ► Origines : Inconnue ► Situation maritale : Célibataire ► Religion : Catholique ► Orientation sexuelle : Hétéro
♕ PROTOCOLE ♕ ► VERSAILLES : PARADIS OU ENFER ?
Que dire de Versailles, et ses fastes, ses intrigues et ses complots ? De par son éducation chrétienne, Ambroise à un grand respect pour la royauté, pour les nobles, tout comme il en a pour les anciens qui ont à lui transmettre leur savoir. Il connait ainsi les protocoles et l’étiquette étudiée avec le Père Alphonse durant sa prime jeunesse. Même s’il respecte le rang, il a par contre une opinion bien personnelle et réaliste de la noblesse, souvent cupide, hautaine, ayant soit d'un pouvoir éphémère, se complaisant dans la luxure et le vice. Pour lui, la vraie noblesse vient du cœur. Et son professeur à l’université de Paris lui a assez dit ce proverbe « Omnium artium medicina nobilissima est » qui veut dire « De tous les arts, la médecine est le plus noble. » Ambroise ne donnera pas sa confiance facilement et observera toujours son entourage avant de la donner, mais quand il la donne, il devient fidèle et loyal envers ses amis.
► COMPLOT : VÉRITÉ OU FANTASME PUR ?
Ambroise est à la recherche de ses origines. Cela entrouvre éventuellement une possibilité de complot sur sa famille, sur son passé. Qui sait ? Rien est encore écrit et il espère un jour retrouver sa famille, mais à quel prix ? Sinon, Ambroise n’a rien d’un comploteur mais sait tenir sa langue et rester discret si le besoin s’en fait sentir, comme le confesseur à son ouaille.
► COLOMBE OU VIPÈRE ?
En tant que médecin, Ambroise peut être souvent témoin de discussions, de ragots lors de ses visites à domicile mais comme le dit le Serment d’Hippocrate, il a un devoir de réserve envers ses patients et garde le secret médical sur tout ce qu’il pourrait entendre. Pour répondre à la question première, Ambroise serait plutôt Colombe que Vipère. Son entourage dirait même qu’il est vertueux et pieux.
► DES LOISIRS, DES ENVIES A CONFIER ?
Ambroise aime le jeu de paume, sport qu’il a pratiqué lors de ses études à l’Université de Paris. Il apprécie également les jeux des cartes, les échecs et plus intimement, la cartomancie et l’astrologie qu’il pratique régulièrement en secret. En tant qu’érudit et lettré, il apprécie la poésie mais également la musique, en particulier la harpe, instrument qu’il affectionne beaucoup.
♕ HOP, RÉVÉRENCE ! ♕ ► Prénom/pseudo : Mon prénom est Laurent. ► Âge : 37 ans ► Présence sur le forum : Présence régulière ► Code du règlement : Longue vie au Roi. ► Comment avez vous connu le forum ? Par hasard ► Suggestions ? Ne connaissant pas encore le jeu, difficile de donner des suggestions.
Dernière édition par Ambroise Beaumanoir le 30.07.12 22:03, édité 12 fois |
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| Sujet: Re: Ambroise Beaumanoir 16.07.12 21:54 | |
| BIOGRAPHIE
VERSAILLAISE _________________________________________________ Le premier cri : C’est par une belle journée de printemps qu’un nourrisson emmitouflé dans une couverture en laine pleurait à chaude larme devant les portes de l’Abbaye Saint-Mesmin de Micy en Orléanais. Nulle trace des parents, ni âmes qui vivent, sauf ce petit bambin qui réclamait sa tétée. Quand les moines trouvèrent l’enfant, ils furent tristes de voir ce bébé ainsi abandonné. D’autres voyaient en cet événement, une arrivée providentielle. Quoiqu’il en soit, tous les moines accueillirent cet enfant avec la bénédiction du Très-Haut, comme tout enfant de Dieu.
Seulement un nouveau mystère sema le trouble dans la communauté à l’examen du couffin. Celui-ci était de confection raffinée. Seul des parents de la bourgeoisie ou de la noblesse pouvaient avoir les moyens d’un tel luxe. Habituellement, les enfants abandonnés à la porte des lieux de culte étaient souvent d’origine bien plus modeste parce que les parents n’avaient pas les moyens de subvenir au besoin de l’enfant. La couverture portait des initiales et des armoiries. Une bourse bien garnie y était également cachée. Le nourrisson portait juste un bracelet en or avec son prénom gravé dessus : Ambroise. C’est ainsi que l’enfant fût baptisé Frère Ambroise par le Grand Prieur de l’Abbaye et devient ainsi membre de la congrégation cistercienne. Il fût ainsi nourrit au lait de chèvre pendant son enfance puisque le monastère ne pouvait accepter de nourrice en son sein.
L'âge de la parole : Dès 3 ans, Ambroise commença à recevoir l’éducation chrétienne. On lui parle aussi bien en françoys qu’en latin pour qu’il apprenne les deux langues. On lui octroie même un parrain parmi les moines, une sorte de précepteur pour l’aider dans son apprentissage mais également le surveiller. Frère Mathieu s’occupa ainsi de l’enfant en pleine découverte de la vie. De suite, l’on remarqua la curiosité de l’enfant et sa soif d’apprendre. Ambroise aimait courir dans les jardins de l’Abbaye, et rejoignait souvent les moines au potager et au jardin de simples. Il était curieux de connaitre le nom des fruits, des légumes et des plantes. Il aimait aussi jouer, tentant d’attraper les coccinelles et les papillons.
L’âge du jeu : A 5 ans c’est l’âge où commence vraiment l’éducation pour Ambroise. On lui apprend la différence entre le bien et la mal, les valeurs chrétiennes, et avoir foi en Dieu. Il apprit également ce qu’est le péché et la vertu. L’enfant est épanoui, mais bien trop intéressé par jouer avec le Frère Mathieu. Les moines lui apprirent à bien se tenir à table. Il fallait apprendre dès le plus jeune âge les bonnes manières en communauté. Et puis, le Grand Prieur voulait lui donner les meilleurs atouts si jamais les parents venaient à rechercher leur fils.
L’âge de raison : C’est à 7 ans qu’Ambroise commença sa scolarisation au sein de l’abbaye. On lui apprit l’Art des Lettres, l’enseignement en latin. Ambroise devient même enfant de cœur dans la chorale. Il continue ainsi à recevoir une éducation stricte comme le veut la tradition chrétienne en suivant le catéchisme. Ambroise apprit également ses premiers travaux au potager, à traire les chèvres et vaches du cheptel. Frère Mathieu lui apprit également ses premières leçons de maniement du bâton afin d’offrir au garçon les moyens de se défendre.
La majorité : Il fête l’anniversaire de ses 12 ans par sa profession de foi, résultat de ses années de catéchisme avec son moine instructeur, le Père Alphonse. Il lui apprit ainsi la compréhension profonde des saintes écritures, des doctrines et mystère du christianisme. Il l’éclaire ainsi sur le mystère trinitaire, la divinité et l'humanité du Christ, la présence réelle dans le Saint-Sacrement, le credo, les conciles, la doctrine sociale de l'Église, le plan de salut, l'amour de Dieu, la Rédemption, l'Assomption de Marie, la création du monde, la parole évangélique, la morale chrétienne, le pardon, et bien d’autres choses encore.
Discernant chez l’enfant son enthousiasme à découvrir le monde végétal, et en particulier les vertus des plantes médicinales, le Père Alphonse, moine mais également mire du monastère, lui enseigne les bases de la phytothérapie. Ambroise est un élève studieux qui trouve ainsi son équilibre en s’abreuvant de connaissances. Il apprend ainsi la langue des anciens, celui du Père de la médecine, Hippocrate, pour comprendre les ouvrages légués par les ancêtres. Il fût également passionné par la vie de l’abbesse bénédictine Hildegarde de Bingen, une religieuse pour qui le jouvenceau confesse une grande adoration, espérant pouvoir suivre son chemin. Il commença même à réaliser son propre herbier recueillant les informations de divers traités et antidotaires pour son usage personnel.
L’âge adulte : 15 ans, tel est l’âge d’Ambroise où il devient oblats cistercien et le Grand Prieur décide de l’envoyer à l’Université de Paris poursuivre ses études, avec l’aval de l’Evêque d’Orléans. Il utilise une partie de l’héritage de l’enfant retrouvé dans son couffin pour payer ses études. Ambroise était très ouvert d’esprit pour son âge et le Grand Prieur l’avait bien compris.
Il passa ainsi ses premières années à étudier les arts libéraux à la faculté des arts, d’abord le premier degré, le Trivium, l’enrichissant de l’usage de la langue françoyse avec des leçons de grammaire, de dialectes et de rhétorique. Ensuite, il étudia le second degré qui comprend les cours d’arithmétique, de géométrie, d’astronomie mais également de musique. Tel était les bases de l’instruction à l’Université de Paris avant de pouvoir accéder à la Faculté de Médecine.
Bien qu’Ambroise soit un brillant élève apprécié par son professeur, le galopin fût séduit pas une jeune demoiselle nommé Constance venu apprendre la médecine afin de devenir sage-femme. Hélas, les parents de la jolie blonde, fortuné et noble de surcroit, ne vit pas d’un bon œil cet idylle avec un roturier. Ils s’arrangèrent pour que les tourtereaux ne puissent plus jamais se revoir. C’était la première fois que l’étudiant en médecine tomba amoureux et en garda un triste souvenir et une grande souffrance de cette déconvenue. Et depuis ce jour, il ferma son cœur aux charmes féminins se concentrant uniquement à la médecine.
Au cours de son apprentissage, il apprit ainsi l’anatomie, la chirurgie, la phytothérapie, la lythotérapie mais aussi l’astrologie. Il termina ses études avec la soutenance de sa thèse devant le doyen de la faculté de médecine et les professeurs. Bien que l’épreuve fût difficile, il réussit avec fruit se études et obtient même les éloges du doyen qui souhaitaient le garder à l’Université comme enseignant, mais Ambroise était plus disposé à mettre en pratique ses connaissance et aider son prochain. Le voilà ainsi jeune licencié Docteur ès Médecine à l’âge de 24 ans après avoir prêter le traditionnel serment d'Hippocrate.
Après un an de pratique à l’Ostel-Dieu de Paris à soigner blessés et malades, à aider les miséreux, le Doyen de la Faculté lui écrit pour lui proposer une mission plus délicate. Il ne voyait qu’Ambroise pour cette périlleuse fonction. Devenir la mire attitré du Marquis de Cortenvaux, l’occasion rêvée d’entrer à Versailles, et l’espoir de retrouver sa famille. Ambroise accepta le défi malgré les rumeurs qui court à l’égard du patient, pas très conciliant et plutôt rebelle avec le corps médical. Il lui fallait donc un homme patient, au grand cœur et à l’écoute. Ce que le doyen avait repéré en lui pendant son séjour à l’Université de Paris.
Dernière édition par Ambroise Beaumanoir le 31.07.12 10:41, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: Ambroise Beaumanoir 30.07.12 22:07 | |
| Voilà, ma fiche est terminée. Désolé pour le retard |
| | | Amy of Leeds
« s i . v e r s a i l l e s »Côté Coeur: Mère enfin apaisée et femme comblée mais pour combien de temps encore ?Côté Lit: Le Soleil s'y couche à ses côtés.Discours royal:
♠ ADMIRÉE ADMIN ♠ Here comes the Royal Mistress
► Âge : A l'aube de sa vingt septième année
► Titre : Favorite royale, comtesse of Leeds et duchesse de Guyenne
► Missives : 7252
► Date d'inscription : 10/09/2006
| Sujet: Re: Ambroise Beaumanoir 31.07.12 23:37 | |
| Bonsoir Ambroise, J'aime beaucoup cette fiche et ton style assez original. Cependant sans te demander de nous faire un roman, comme tu es un personnage inventé, je te demanderais d'étoffer certains passages, comme son adolescence ou le passage à l'âge adulte. Il faut garder à l'esprit que ta fiche est vraiment la vitrine de ton personnage et que c'est elle qui fournira les idées à nos joueurs pour se lier avec toi. Rien de bien méchant donc, mais peut-être ta biographie est-elle encore un peu trop succincte. Quelques paragraphes de plus, par çi par là et ça sera parfait. Je te remercie. |
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| Sujet: Re: Ambroise Beaumanoir | |
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