personnage inventé

Bonjour,
Je compte m’inscrire sur votre forum. J'ai parcouru les PVs mais je dois dire que j'ai du mal peur de ne pas être a la auteur au niveau et ne pas savoir m'approprier le personnage.

J'aimerai donc créer mon propre personnage.

→ Nom-prénom: Marie Bonneau de Rubelles, dame de Miramion
→ Âge: J'aimerai qu'elle est entre 20-27 ans
→ Avatar souhaité: Je n'ai pas encore choisie. J'attends d'être au point sur le personnage avant de choisir.
→ Est-ce un personnage:
[]historique
Bien que j'aimerai modifier plusieurs choses. En effet Miramion est née est 1629 or j'aimerai la décaler dans le temps pour qu'elle est 20-27 ans. Pour sa fille je ne sais pas si je dois la rendre inexistante , morte , ou disponible en Pv.


→ Nationalité: Française, née à Paris
→ Situation maritale: Veuve ( Jacques de Beauharnais seigneur de Miramion, conseiller au Parlement.)
→ A-t-il des parents encore en vie? Des frères et soeurs encore en vie? Orpheline depuis ses 18 ans, mais elle possèdent ses beaux-parents dont elle est très proches. Elle a aussi son frère Pierre.

→ Titre de noblesse: Dame de Miramion
→ Métier: attention, logiquement, les nobles ne peuvent travailler, sauf la noblesse de robe (voir Annexes)

→ Petite bio rapide jusqu'en 1667: n'oublie pas de parler de la guerre!

(Ecrite rapidement, je la développerai d'avantage si vous acceptez que je joue ce personnage. )

Marie Bonneau est née à Paris le 26 novembre de l’année 16XX. Elle est la fille de Jacques Bonneau, sire de Rubelle, contrôleur des gabelles et bourgeois de Paris, et de Marie d'Ivry, appartenant à la haute bourgeoisie.
Au décès de son père, durant sa quinzième année, son oncle devient son tuteur.
A quinze ans et demi elle se doit d’épouser Jean-Jacques de Beauharnais, seigneur de Beauharnais et Miramion sous les conseils de son tuteur. Bien que de nature rebelle et ayant d’autres projets elle se plie aux devoirs qui sont les siens. Le couple s’installe dans l’hôtel de Caumartin-Miranion, rue du Temple. Les deux époux s’entendent fort mal mais tentent de faire bonne figure. La jeune fille reste toutefois très proche de ses beaux-parents. A son grand bonheur elle est libérée de son union au bout de huit mois de mariage à la mort brutale de son mari lors d’une partie de chasse.
Même si elle n’avait pas souhaité être veuve à seize ans, rien ne pouvait mieux lui convenir. Enfin elle était libre ! C’était l’occasion pour elle d’accomplir tous les projets qui lui tenaient à cœur. Car en effet elle jeune fille est richissime puisque la mort de son père lui a fait hériter plus de 1 200 000 livres.
Mme de Miramion se retrouve vite convoitée pour sa fortune et, le délai décent de veuvage écoulé, elle est assaillie de demande en mariage, qu’elle repousse toute impitoyablement.
A 18 ans Marie à d’autres choses en tête, elle passe le plus clair de son temps à visiter les pauvres. C’est avec le père Clément, son confesseur et directeur de conscience, qu’elle se consacre aux bonnes œuvres.
Mais Marie va se retrouver célèbre pour une toute autre raison.
Le comte Bussy-Rabutin, cousin de Madame de Sévigné et futur auteur de l’Histoire des Gaules, envie la fortune de la dame de Miramion, le frère Gabriel qu’il a rencontré par hasard lui rapporte que la demoiselle vaut 400 000 livre de rente et qu’en plus de cela elle est ravissante. Le curé pour de 2 000 livres lui propose de s’introduire auprès d’elle et de plaider en sa faveur. Le frère Gabriel lui fait accroire qu’il agrée à la belle et quelle ne souhaite qu’une chose : être à lui, quoiqu’elle ne puisse se montrer aussi directe. Elle ne voudrait pas nuire à sa réputation. Pour garder l’honneur de la dame sauf il se doit de l’enlever. D’abord surpris Roger de Bussy-Rabutin se laisse convaincre par le félon.
Le comte l'enlève, par l’intermédiaire de son frère Guy de Bussy-Rabutin, pour tenter de l'épouser. Elle est conduite en compagnie de sa femme de chambre dans un corps de garde désaffecté. On lui apporta à manger qu’elle refuse ne voulant être empoisonnée ou droguée. Le lendemain elle rencontre enfin son ravisseur. Elle l’attend, robe froissée, l’ai épuisée, mais farouche, le pistolet à la main. Marie jure ne connaitre le curé et encore moins avoir fait pareille demande. Le comte comprend bien tard que les protestations de la dame de Miramion ne sont pas des minauderies et qu’il a été dupé par le frère Gabriel.
Très vite les forces royales sont alertées. Pierre de Miramion , informé de l’enlèvement de sa sœur arriva au château du comte avec plus de six cent hommes. Roger de Bussy-Rabutin , informé par l’un de ses homme qu’une troupe arrivée, consentit à laisser la Dame. Au bout de 36h de captivité la jeune Marie de Miramion retrouve sa liberté.
La jeune femme s’enfuie du château, avec sa femme de chambre, en courant et rencontre l’armée des gabelles. Elle tombe dans les bras de son, lui explique brièvement l’aventure dont elle a été victime et s’évanouit. Son état est si alarmant qu’on lui donne l’extrême-onction. Mais la jeune femme se rétablira en quelques jours.
Cet enlèvement défraie la chronique. On en parle dans tout le royaume et même dans l’Europe entière. Marie qui est très éprouvée par cet enlèvement va, sous les conseils de son frère, se retirer dans un couvent.
Aujourd’hui, après deux ans d’absence, elle est de retour à Paris.

→ Pourquoi est-il à Paris/Versailles, et quelle est l'évolution que tu souhaites lui donner?
Elle vient de sortir du couvent et regagne Paris espérant oublié sa mésaventure avec le comte Bussy-Rabutin.

La jeune femme est convaincue que s'est par l’éducation qu'on sort le peuple de la pauvreté.Elle voudrait fonder la communauté de la Sainte Famille, composée de sept à huit personnes, vouée aux soins des malades et à l’instruction des petites filles pauvres. Cette communauté s'agrandira et deviendra les Filles de Sainte-Geneviève, «les Miramiones».

Elle se consacrera aux activités des Dames de la Charité, association de femmes fondée par Vincent de Paul pour répondre au grand besoin d'assistance sociale. Elle visitera les malades, les prisonniers, les filles de mauvaise vie.

→ Idées de liens:
Son Frere
Sa femme de Chambre
Roger de Bussy-Rabutin

→Une question, une angoisse, une crainte ?
Je suis ouverte a tout vos conseils afin de m’intégrer au mieux a ce merveilleux forum.


Merci d'avoir pris le temps de me lire.

Désolée pour le double poste.
Je vous informe juste que j’ai créé mon compte.
Et j'en profite pour m’excuse des fautes, le soir j’ai un peu de mal.

Bonjour Marie et bienvenue sur ATV !

Concernant l'âge, nous n'avons jamais fait de bond dans le temps concernant l'âge d'un perso, donc je t'avoue que je ne sais pas trop, sur ce point, il faudrait que l'on voit avec mes collègues. ^^

Concernant ton personnage, tes idées sont très sympathiques, je pense juste qu'il faudrait t'ouvrir d'autres horizons en + de ceux que tu voudrais. Je te dis tout ça pour une question d'intégration au forum, afin que tu aies le + possible de liens au moment de te lancer dans le jeu.  

J'ai moi-même joué une personne enlevée et j'ai eu tellement de mal à surfer sur cette intrigue, que j'ai dû me résoudre à l'abandonner en fin de compte.   Je ne voudrais pas que ce soit le cas pour toi.  

Tu parles par exemple de son séjour au couvent pendant deux ans, peut-être dans ce cas pourrais tu la faire rejoindre la société des dévots où quelques uns de nos membres sont, je pense à Jean de Baignes et à Elisabeth d'Alençon. Tu trouveras + d'infos à ce sujet à ce lien là : https://autempsde-versailles.actifforum.com/t3282-a-versailles-les-societes-9813

Tu as également dit que tu étais la veuve d'un parlementaire, ça peut être intéressant par rapport à l'actualité du parlement. Le Parlement va être assiégé dans l'une de nos intrigues par le peuple, le Parlement est également beaucoup divisé, certains ne pardonnent pas au roi sa tyrannie et d'autres espionnent pour le compte du roi. Marie pourrait trouver une place dans cette intrigue là, peut-être que son mari pourrait être tâché par une accusation quelconque post-mortem et elle devrait se battre pour le laver de tous soupçons, ou bien elle prend un parti en son nom.

Enfin quel est son avis sur les protestants ?

En rejoignant peut-être une société "secrète", en te mettant même si c'est que peu dans l'intrigue du Parlement et en prenant un parti au niveau du protestantisme montant, je pense que tu pourras mieux t'ancrer sur le forum.

Au niveau des liens à présent, je t'ai déjà parlé de Jean et d'Elisabeth :

Je pense également que par rapport à Bussy Rabutin, tu pourras avoir un lien avec Olympe de Coligny qui est en contact avec lui et l'aime beaucoup, c'est ma future perso sur le forum. Ça peut te servir pour cette histoire d'enlèvement.   Nous pourrons éventuellement voir ça, si tout ça se fait.

Et concernant les prostituées, nous avons Rose Beauregard sur le forum avec qui tu pourras éventuellement te forger un lien.

Mais tout ce que je te dis là n'est que mon avis, je laisse bien entendu mes collègues te donner leur propre avis sur ton personnage, et si elles pensent éventuellement à d'autres choses.

On te tient au jus très vite.

Allez, je donne mon avis aussi !

Pour la rajeunir, perso, je n'ai pas trop de problème là dessus car Miramion n'est pas non plus d'une importance capitale dans l'histoire, mais au vu de son histoire, il serait plus logique qu'elle ait davantage 25-27 ans que 20, histoire d'éviter de tomber dans le too much.

Pour l'enlèvement, vu que ça se faisait pas mal à l'époque, j'aime bien Ce n'est pas un enlèvement au sens dramatique avec séquestration et enfermement, c'est un enlèvement galant, même si souvent pour un enlèvement, les deux sont consentants. Comment Marie prendrait cette mésaventure ? Bien ou mal ?
En tout cas, à la Cour, ça a du jaser, autant dire qu'il y aura des gens qui se moqueront d'elles, ceux qui penseront qu'elle était vraiment avec Bussy-Rabutin (donc une relation hors mariage), et ceux qui la croiront de son non-consentement. Sans être capital, ça peut apporter un lot d'histoires à la Cour

Pour le Parlement, ma collègue a bien expliqué.

Je reviens sur le couvent. Tu peux l'enfermer si cela te semble plu adapté mais il y avait des abbayes "ouvertes" où des dames y passaient quelques temps, notamment Penthemont, ce qui lui permettrait de se refaire une santé spirituelle mais tout de même voir du monde.

Pour les bonnes oeuvres, c'est une bonne idée, il y a pas mal de dames (Elisabeth d'Alençon, Aliénor de Wittelsbach, Marie-Thérèse d'Autriche ...) qui s'y adonnent aussi, cela peut donner lieu a des amitiés, voire même à des concurrences. Dans quelques choses de plus léger, le Comité des Dames met en avant des artistes femmes. Dans une société d'hommes, ça ne fait pas de mal

En dernier lieu, vu l'histoire, la position et la fortune de ton personnage, une place à la Cour serait plus que logique. Elle peut être chez la Reine (plus sage), chez Madame (plus frivole), chez la favorite (un mélange des deux), cela te permettra d'avoir des liens et un certain réseau.

Juste pour Beauharnais, vu qu'il n'est pas encore joué, je préfère que tu attendes l'arrivée du personnage pour l'intégrer à ton histoire

Sinon, le personnage se tient, tu peux avoir les clés pour faire un personnage soigné et facilement intégrable

Eh bien eh bien

Je n'ai vraiment pas grand chose à ajouter de plus, mes collègues sont d'une efficacité redoutable

Mais je viens tout de même poster pour te donner mon consentement (qui, de Paris de Longueville, n'est pas rien )


Sache que je suis celle qui joue Jean de Baignes, et il serait ravi d'avoir une personne de plus dans son harem Il est aumônier de la Reine et désespère chaque jour de trouver des gens bien à la cour
Tu peux donc sans souci me contacter sur ce compte pour en discuter (c'est mon compte avec accès Admin, donc j'y suis plus souvent connectée )


A très vite!

Petit coucou pour vous dire que je suis toujours en vie.
J'ai juste eu pas mal d’imprévus ces derniers temps.
Je suis désolée. Mais je me remets sur mon histoire de ce pas!

Pas de soucis Marie.  On comprend très bien.

Pas de soucis, mais poste le squelette de fiche déjà, pour la remplir au fur et à mesure (au moins les questions de la première partie), histoire de savoir où tu en es