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| Karl Ludwig van Bevernick | |
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| Sujet: Karl Ludwig van Bevernick 01.02.15 16:41 | |
| Karl Ludwig van Bevernick. (Benedict Cumberbath.) 33 ans. ♔Médecin et Botaniste. ♔ Hollandais. ♔ Veuf. ♔ Cartésien. ♔ Hétérosexuelle. ♔ Médecins. ♔
(Chercher une explication avant de connaître tous les faits est une erreur capitale. Le jugement s'en trouve faussé.)
Quelques questions de protocole ... ♔ ÊTES PLUTÔT PARIS OU VERSAILLES ? Karl est dégoûté par la ville de Paris. Il est las de voir les pigeons et les rats courir dans les rues, las de voir ses habitants jeter leurs déjections par les fenêtres. Les pauvres l'insupportent et les mendiants l'indiffèrent. Il n'a que faire des personnes qu'il croise dans la rue et n'aime pas les bas quartiers de la ville. Cependant, il aime beaucoup se promener dans les beaux quartiers de Paris, il aime les senteurs qui émanent des boulangeries et les musiques qu'il perçoit des opéras et des théâtres qu'il visite souvent avec joie et délectation. Cependant, il passe aussi quelques temps dans les auberges pour écouter les chansons des différents bardes qui croisent sa route et, afin de se rapprocher du peuple pour être au courant des différentes informations de la ville. Le médecin préfère largement Versailles. Il trouve le château d'une grande beauté et apprécie le visiter où y soigner ses différents patients. Il aime beaucoup observer la bâtisse, digne d'une architecture royale. Il trouve qu'elle est digne du roi qu'il respecte. A son arrivée, Karl était bercé d'illusions, il pensait que Paris était la ville des riches, ou du moins, qu'elle était beaucoup moins sale et moins remplies de ces parasites de pigeons et de rats. Il est dégoûté par ces animaux qu'il souhaiterait bien voir mourir. Il pensait pouvoir rapidement faire fortune mais il s'est trompé, cependant, il savait que le nombre de malades de la ville ferait très vite son fond de commerce. ♔ CROYEZ VOUS AU COMPLOT ? Karl est loin d'être naïf. Il sait que beaucoup de complots se jouent dans l'ombre, il connait même quelques uns de ses instigateurs mais, il n'y prend pas part. Il a beaucoup plus d'intérêts de rester dans le droit chemin que de participer à ces coups d'Etat. Même s'il partage les idées de ces différents complots, il préfère continuer de tester ses poisons sur ses patients avant de ne plus être criblé de dettes, et souhaite faire en sorte de devenir un médecin à la renommée mondiale, plutôt qu'un prisonnier à la Bastille. ♔ VOUS SENTEZ VOUS PLUS COMME UNE DOUCE COLOMBE OU UNE GROSSE VIPÈRE ? Karl est loin d'être une colombe, il est une vipère et empoisonne ses patients pour son propre intérêt. Il entend souvent que le roi pourrait avoir des tendances homosexuelles ou qu'il aurait eu un fils avec une domestique. Il ne croit pas à tous ces ragots. Il n'en rapporte pas et préfère les écouter, les enregistrer et s'assurer qu'ils soient vérifiés afin de s'en servir pour ses propres fins. ♔ QU'AVEZ VOUS A DIRE SUR LA GUERRE ? Lors de la guerre, Karl était encore adolescent et resta à Amsterdam où il continua d'y étudier, écoutant les ragots et les différentes informations qui fusaient du front. Il espérait que la guerre ne viendrait pas jusqu'à chez lui et s'intéressait de très près à l'histoire de cette guerre qu'il étudia même avec joie. Il préférait la suivre dans l'ombre plutôt que d'y prendre part. Il continua donc ses études tout en suivant les nouvelles du front, priant pour que la famille pour lequel il était partisan, comme son professeur, remporte la victoire. ♔ QUELS SONT VOS LOISIRS ? AVEZ VOUS UN BUT PRÉCIS ? Karl est un scientifique dans l'âme, il est passionné par son métier de médecin et de botaniste, donc son travail est un loisir en soit. Il apprécie aussi, contre toute attente, inventer de nouveaux poisons, ou faire différentes expériences qu'il teste sur ses cobayes : ses patients. Il apprécie aussi énormément jouer du violon, instrument qu'il a apprit étant plus jeune. Il est aussi passionné par l'histoire, l'histoire des guerres plus particulièrement qu'il étudie encore aujourd'hui. Aussi, il aime la lecture, la poésie et le seul domaine qu'il déteste, n'aimant pas les choses trop lyriques. Il aime les récits de guerres, ou d'investigations, ou encore les récits historiques dont il se délecte. Enfin, il entretient un amour tout particulier pour la musique et le théâtre. Il va souvent à des concerts ou à l'Opéra ou encore au théâtre. Et, il aime se balader dans les rues pour y pécher toutes sortes d'informations pour son propre intérêt.
Derrière le masque ... ♔>Clémence ♔ 19 ans ♔ Régulière. Bontemps a raison . ♔Le forum était dans les partenaires du premier forum où je me suis inscrite. ♔ J'aime beaucoup le style, il est très original, bravo!
Dernière édition par Karl Ludwig van Bevernick le 26.02.15 13:49, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Karl Ludwig van Bevernick 01.02.15 16:51 | |
| Mémoires du Grand Siècle
Cadet d'une bonne famille d'Amsterdam, il devait tout d'abord s'associer avec son frère pour reprendre l'entreprise de négoce mais il décida de sa voie autrement. Autodidacte et malicieux, il prend un malin plaisir à faire tourner en bourrique ses professeurs par des questions pièges. À quatorze ans, il se rendit à Leyde pour compléter ses études, il étudia avec ardeur l'hébreu, le latin, l'histoire, la philosophie, les mathématiques, puis devint apprenti chez un apothicaire et étudia la médecine. Les agitations politiques des Provinces Unies l’intéressèrent aussi, mais pour ne pas froisser des professeurs, il décida de ne pas prendre parti officiellement, malgré le républicanisme de sa famille et l'adoration de la famille d'Orange par son professeur. Officieusement ? Comme son professeur, le jeune homme est un partisan de la famille d'Orange. Passionné et motivé, Karl Ludwig est employé comme médecin légiste par la cour d’Amsterdam. Il donne également des conférences de botanique, et travaille au jardin botanique d'Amsterdam qui prend son essor, et fit venir des plantes de tous les pays, via la Compagnie néerlandaise des Indes orientales. Mais les Provinces Unies s'agitent pendant le pouvoir de Joan de Witt, et Karl Ludwig est rapidement suspecté de sympathie avec la famille d'Orange. Profitant d'une opportunité d'emploi en France au Jardin Royal et fuit sans demander son reste. Il reprend rapidement son activité et profite de ses amitiés avec des navigateurs pour agrandir la collection royale, et achète la charge d'aide-apothicaire dans la Maison du Roi, lui donnant l'occasion de mettre un pied à la Cour de temps en temps, mais c'est surtout son intelligence, son charme et son bagout qui plaît par ses démonstrations d'anatomie ou ses grands discours. Mais Paris recèle bien des dangers, on y perd vite son argent et son âme : endetté et se voyant refuser des traitements expérimentaux, le voilà à trafiquer avec un réseaux d'empoisonneuses, et tester ses remèdes, pas toujours fiables, sur des patients pas toujours consentants. Si ça s'apprenait, il sait que la pendaison n'est pas loin. Lorsque Karl considère Paris emplie de danger, il faut le croire. Il se trompe rarement à ce sujet et connaît certains de ses périls, mieux que quiconque. Le botaniste était encore jeune lorsqu'il arriva à la ville lumière. Il n'était âgé que de 27 ans, et déjà, il inventait des traitements et était un partisan de Descartes, voulant toujours plus améliorer la science moderne. Populaire, il voyait son commerce fleurir, et l'argent arriver en masse. Il devenait de plus en plus réputé tant par ses talents que par son intelligence qui lui permettait de voir juste quant à la maladie de ses patients. Or, le jeune Hollandais, ivre de tout cet or qu'il recevait, et noyé dans ses envies toujours plus grandes de découvrir Paris dans son entièreté, dépensa rapidement la totalité de son salaire et se retrouva bien rapidement criblé de dettes. Très vite, bien sûr, et sans scrupules, il rencontra une société secrète, entièrement fait de femmes qui sévissait à l'aide de poisons. Ne dit-on pas que c'est l'arme des femmes? Quoi qu'il en soit, elles apprirent les talents de Karl et lui demandèrent, un soir, alors qu'il rangeait ses affaires dans son cabinet, de les aider à trouver de nouvelles formules qu'il pourrait tester sur qui il voulait, afin d'en user sur des personnes de mauvaise réputation. Sans scrupules, l'Hollandais accepta et décida qu'il essayerai ses nouveaux poisons sur ses patients, leur faisant croire que ce sont des médicaments. Néanmoins, son petit fond de commerce criminel, ne resta pas dans l'ombre très longtemps. Un jour, Karl reçut la visite d'un patient peu commun qui en écoutant les rumeurs de certaines personnes, soupçonna le botaniste d'empoisonner ses patients, et malheureusement pour le médecin, il avait raison. Le bourreau du nom de Richard Sanson prit donc rendez-vous pour une consultation auprès de Karl. Il revint plusieurs fois, durant plusieurs années. Et, tandis que Karl atteignit l'âge de 30 ans, le bourreau revint pour une énième consultation. Une fois dans son cabinet, s'ensuivit des coups de la part de Richard qui fit rapidement comprendre au botaniste qu'il savait son secret. Il lui avait fallu plusieurs années d'enquête pour recueillir toutes les informations nécessaire pour démasquer l'homme de science, connaître tous ses secrets. Il devint son maître-chanteur et lui rendit plusieurs fois visite, pour lui rappeler que sa vie était entre ses mains et que s'il continuait de fermer les yeux sur ses activités et celles de sa soeur, Richard le laisserai en paix et ne mettrai pas fin à ses jour. De plus, l’Hollandais doit aussi faire affaire avec la soeur de Sanson, du nom de Diane. Au fond, il trouve un certain arrangement à tout cela car il se fait tout de même beaucoup d’argent, cependant il n’est qu’un pion et si le commerce de la jeune Sanson venait à disparaître, il se retrouverai accusé de tout. Karl vit constamment dans la peur, terrifié à l'idée que son bourreau puisse lui rendre visite n'importe quand pour s'en prendre à lui. Heureusement pour le médecin, ce dernier réussi plus ou moins à cacher ses émotions derrière un masque de froideur et d'arrogance ce qui lui permet de ne pas trahir sa véritable peur, même quand Richard entre dans son cabinet. Au fil des mois qui suivirent cette altercation avec son maître chanteur, Karl, au début, passa énormément de temps dans les salons de thé ou les cafés théâtre. C'est d'ailleurs dans l'un de ces lieux qu'il rencontra un autre homme de science, du moins, un idiot doublé d'une incompétence flagrante, selon l'Hollandais : Tristan Vaillant Les saignées, quelle méthode barbare, et pourtant cet homme que Karl ne pouvait même pas considérer comme son confrère usait de cette pratique, assez souvent, sur ses patients. Le botaniste avait rencontré cet autre médecin dans un salon de thé à la réputation assez réputé où un débat médical avait lieu. On reconnaissait les carthésiens qui condamnaient les méthodes archaïques des ancien médecin et l'utilisation peu rigoureuse des plantes médicinales. Eux s'affairaient à écouter le patient, à observer plutôt que d'agir et procédaient à un diagnostique méticuleux et sans douleur afin de cibler au mieux la maladie. Puis, ils se plongeaient dans les ouvrages et essayaient d'associer les symptômes de leurs patients aux différents troubles connus de leur époque. La plupart du temps, cette pratique s'avérait être un franc succès. Ses “confrères”, eux, n’étaient pas du même avis et étaient tous, pour la plupart, de fervents croyants. Il soutenaient que les techniques des carthésiens étaient inutiles et que les leurs, étaient plus rapides. Une forte dispute s’ensuivit entre Karl et Tristant qui s’insultèrent de tous les noms, Tristant, accusait l’Hollandais d’être trop plongé dans ses livres et Karl, jugeait que Vaillant était tellement idiot qu’il était persuadé qu’il avait la science infuse. Finalement, ils furent tout deux renvoyés du salon de thé et les deux hommes rentrèrent chez eux, se promettant de ne plus jamais se revoir l’un l’autre. Dans les jours qui suivirent, le jeune homme continua d’arpenter les salons. C’est d’ailleurs là-bas qu’il rencontra l’un de ses seuls amis : Christian de Sudermanie. Il est lui aussi un homme de science et est rapidement entré dans l’estime de Karl. Ils ont longuement discutés et sont tombés d’accord à plusieurs reprises, et sont heureux de pouvoir faire partie tous les deux de l’Académie des sciences. Ils ce sont revus plusieurs fois, et avec plaisir. Christian est un homme que le Hollandais respecte énormément et inversement, c’est d’ailleurs pour cette raison que le Suédois lui a un jour parlé d’une organisation secrète nommée : Le Projet Sophia. Karl, très intéressé par cela, demanda plus amples informations et accepta même de l’intégrer. Bien sûr, l’Hollandais dû passer quelques épreuves et son ami apprécie s’amuser à mener la discorde dans l’esprit de son ami en lui faisant croire qu’il est le créateur de cette société, ou en lui donnant des informations, soit avérées, ou fausses. Raisonné et calme, Karl réussi rapidement à distinguer le vrai du faux et passe les épreuves sans encombre, sans savoir où cela le mènera véritablement. Malgré son appartenance à cette organisation, Karl poursuivit ses trafics, toujours endetté. Il avait auparavant fait la rencontre de l’élgante princesse : Anne-Marie de Montpensier. L’hollandais découvrit rapidement que son ennui l’avait poussé à se lancer dans un petit trafic légal d’herbes exotiques. Elle rendit visite au médecin et lui parla de son affaire. Cette dernière lui demanda de lui laisser utiliser son nom afin de ne pas se retrouver déshonorée si on venait à apprendre les réels actes de la jeune femme. Y trouvant son intérêt, Karl accepta et feigna la sincérité. En vérité, il se servait pour payer des créditeurs, ou poursuivre son trafic de poison. De plus, il ne se privait pas pour mélanger ses herbes à ses propres poissons afin de créer de nouvelles formules et de faire prospérer son commerce, ou de satisfaire ses capricieux clients. Le botaniste se se lave de tout soupçons auprès de la princesse en feignant l’ignorance afin que soient acceptés ses traitements expérimentaux. Karl continua de vivre à Paris et d’y prospérer malgré ses nombreux soucis. Cependant, il y a une seule et unique personne avec qui il s’entend à merveille, mieux que toutes les autres personnes qui l’a pu rencontrer dans cette immense ville. Il s’agit bien entendu de Simon de Brabant. Il est un membre de la famille d’Orange-Nassau et il est le seul qui puisse avoir l’entière confiance de l’Hollandais, à qui il a juré fidélité. Ils s’étaient rencontrés alors que Karl n’était qu’un adolescent. Simon se promenait souvent dans le jardin où il y rencontrait le jeune homme aux mains pâles et délicates qui faisaient grandir les plantes d’Afrique. Ils se parlaient régulièrement et très vite, ils se lièrent d’amitié bien que Karl ne connaisse pas réellement Simon. Au fil de ses rencontres silencieuses, ou teintées de monologues sur les plantes et les fleurs, Simon s'ouvrit peu à peu, à discuter, donner son avis et ... se confier. Oh, il n'allait pas non plus raconter sa vie de A à Z mais faisait suffisamment confiance au botaniste, jusqu'à en faire une sorte de conseiller officieux. Toujours respectueux, Karl Ludwig veilla au départ à ne pas froisser le duc, puis à devenir plus franc et donner son avis. Cela continua dans leur correspondance, et cela reprit à Versailles pour leur grand plaisir. Très vite, le jeune homme ressentit une profonde amitié pour ce dernier a qui il envoya de nombreuses lettres. Il lui faisait part de ses nouvelles rencontre avec grand plaisir mais aussi de ses tristesses. L’hollandais était toujours heureux de recevoir les réponses de Simon avec qui il s’entendait bien. Parfois, il lui disait qu’il avait envie de le voir, de lui faire découvrir les jardin royaux de Versailles et de lui montrer ses nouvelles expériences. Il se languissait parfois de lui et ressentait un peu d’amour à son égard sans que cela ne dépasse l’affection spirituelle. C’était un homme qu’il respectait profondément et avec qui il aimait discourir. Karl Ludwig osa même parler à Simon de ses soucis, expliquant à demi-mots les poisons. Brabant lui garantit sa protection et l'aider à couvrir ses traces même si, il faut l'avouer, si Karl Ludwig venait à avoir de gros problèmes, Simon ne voudrait pas voir son nom entacher. Karl prospéra en tant que médecin mais fit une étrange rencontre d’une femme qui, il dû l’avouer, l’émouva avec talent. Cette dernière se nommait Constance de Prie et était venue dans son cabinet pour quérir son aide et s’était écroulé à ses pieds, en pleure. Elle désirait un enfant, plus que tout et en dépit de ses efforts, rien ne marchait. Karl l’osculta et arriva à la conclusion que le problème venait sûrement de son mari qui pouvait être stérile et que si elle désirait réellement un enfant, elle devait trouver un autre homme. Cependant, le regard étrange de la jeune femme intrigua Karl qui semblait penser à quelque chose sans que l’Hollandais n’arrive à savoir de quoi il s’agissait. Elle fini par partir et elle vint souvent lui rendre visite, parfois sans qu’elle ne soit malade. Karl fait de nombreuses rencontres à Paris, toutes plus étranges les unes que les autres, mais il continue de penser que c’est un ville hautes en couleur et malgré les quelques problèmes qu’il y rencontre, il ne ressent pas l’envie de la quitter.
Dernière édition par Karl Ludwig van Bevernick le 26.02.15 13:48, édité 1 fois |
| | | Paris de Longueville
« s i . v e r s a i l l e s »Côté Coeur: Une servante de ma connaissance...Côté Lit: la servante sus-citée l'a déserté, profitez-en!Discours royal:
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| Sujet: Re: Karl Ludwig van Bevernick 01.02.15 16:59 | |
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| | | Invité
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| Sujet: Re: Karl Ludwig van Bevernick 01.02.15 22:17 | |
| Merci beaucoup! Qui est heureux de me voir? |
| | | Paris de Longueville
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| Sujet: Re: Karl Ludwig van Bevernick 04.02.15 21:22 | |
| Oh on a déjà une fan de Capaldi, évidemment, et le joueur de Francesco |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Karl Ludwig van Bevernick 04.02.15 22:10 | |
| Ah, bah forcément! x)
Par contre, je préfère prévenir tout de suite, et je ne sais pas si je peux poster autre part qu'ici tant que je ne suis pas validée, mais je ne pourrais finaliser ma fiche que dans deux semaines. J'ai mon bac blanc :/ |
| | | Paris de Longueville
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| Sujet: Re: Karl Ludwig van Bevernick 05.02.15 13:08 | |
| En effet, nous n'ouvrons le flood qu'aux joueurs validés, mais cet espace is for you Pas de souci pour le délai, je le note Bon courage pour le bac blanc, que la Force soit avec toi! |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Karl Ludwig van Bevernick 05.02.15 18:25 | |
| Merci beaucoup! Au pire, je l'aurais à la façon Dark Vador! |
| | | Paris de Longueville
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| Sujet: Re: Karl Ludwig van Bevernick 28.02.15 21:49 | |
| Coucou Ludwig! Alors j'ai pu lire ta fiche qui est très bien et très complète, mais il y a un petit mais....... en effet, dans la partie "Que pensez-vous de la guerre", il s'agit de la guerre de 1667, dont tu trouveras un petit résumé dans la partie Annexe C'est assez important, car les liens/alliances sont particuliers dans une telle époque, surtout vu la nationalité de Karl-Ludwig Du coup il faudrait juste que tu glisses un petit mot là-dessus et ça sera parfait Et pour ton avatar, si tu ne trouves pas plus grand, tu peux aller voir sur Visage du Passé (le Tumblr d'une de nos admin )Bazzart qui en propose...mais s'il s'agit d'un problème d'apparence, il faut que tu mettes l'url de l'image dans la case "Lier l'avatar à partir d'un autre site" A très vite! |
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