Joan of Leeds ♌ Aveugle celui qui veut !

JOAN


OF LEEDS

(Willa Holland) "Avec l'accord d'Amy"

« Le jeu, c'est un corps-à-corps avec le destin. »
Anatole France

► Vingt ans
► Comtesse de Danby et de Maridor
► Officiellement fille d'Angleterre et de France, officieusement la France est sa terre natale.
► Célibataire
► Anglicane
► Hétérosexuelle

(Noblesse)

♕ PROTOCOLE ♕

► VERSAILLES : PARADIS OU ENFER ?

Je ne serais jamais allée à Versailles si Amy n'avait pas demandé à ce que je vienne la rejoindre. Je savais que la vie pouvait être dur dans le Palais Royal mais je ne pensais pas que l'humanité pouvait tomber aussi bas. Je ne pouvais pas parler de splendeur la première fois que j'y ai mis les pieds, les conversations, les bals et les rencontres secrètes étaient tout ce à quoi j'avais le droit. Insultée avant même d'avoir ouvert les lèvres pour parler, je ne pouvais me fier à personne et je crois que je suis toujours aussi méfiante aujourd'hui. J'ai eu la chance de recouvrer la vue et ce que je peux en dire c'est que Versailles est un Paradis Déchu ou un Enfer au destin prometteur. Tout dépend du point de vue et du sentiment de chacun.

► COMPLOT : VÉRITÉ OU FANTASME PUR ?

Le complot est une affaire d'état. On ne peut vivre sans complot, c'est surement une des spécificités de la Haute Noblesse. Les intrigues rythment la vie, chacun veut tirer son épingle du jeu. Commander telle compagnie de commerces avec le monde lointain, accéder à un poste de haut gradé dans le domaine militaire ou tout simplement soulever le peuple contre le roi. Oui le complot existe, certains y participent plus que d'autres, certains veulent renverser l'ordre des choses et imposer leurs propres lois. Je ne vais pas dans le sens du complot, je crois même qu'on ne m'a jamais approché pour y participer et je ne vois aucune utilité à rejoindre une conspiration quelconque. Je veux vivre sereine et si je pouvais je le ferais loin de Versailles.

► COLOMBE OU VIPÈRE ?

Il n'y a pas de colombes à Versailles, seul l'enfant nouveau né peut prétendre être bon en tout point mais son éducation fera de lui un nouveau pion de la Cour. Dès qu'on met un pied à Paris, un pied à Versailles alors on perd son innocence. Je voulais me faire passer pour une colombe, mais aujourd'hui je sais que je ne peux plus l'être. Le comportement hostile que la plus part des courtisans dirige contre ma sœur provoque en moi une rage sourde mais pourtant bien présente. Alors si je ne me vois pas non plus comme une des vipères qui ont la langue si bien aiguisée par les sarcasmes qu'elles répandent à longueur de temps, j'ai décidé que je jouerais le jeu, pour ma sœur, son honneur et ses filles.

► DES LOISIRS, DES ENVIES A CONFIER ?

►Entendre de la littérature.
►Broder.
►Chevaucher en liberté.
►Apprécier ce qu'on voit.
►Apprendre à lire et à écrire.
►Avoir le courage de dire la vérité à sa sœur sur sa cécité.
►Pouvoir toujours protéger sa famille.

La vie est pleine de surprises, les envies évoluent, les choix transforment la voix qu'on emprunte. Tout dépend de nos relations, des rencontres et des phénomènes que personne ne peut prédire.

♕ HOP, RÉVÉRENCE ! ♕

► Virginie
► 20 ans
► 4/7 jours (Étant en dernière année de licence ça peut parfois être compliqué)
► Longue vie au Roi !
► J'avais été un membre il y a bien longtemps
► Aucune ! Continuez ainsi

BIOGRAPHIE

VERSAILLAISE

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Ҩ Il était une fois … Une vie Ҩ

Je ne saurais dire ce qu'était ce pays vers lequel nous avions été conduit pendant bien des jours sur les routes du Royaume de France. Le Duché de Guyenne me semblait à des milliers de lieux de Paris, de Versailles et je ne pouvais avoir tout à fait tord car si je n'avais pas eu l'occasion d'étudier les cartes, ma curiosité m'avait accompagné pendant le voyage demandant sans cesse où nous étions. C'était un peu un retour à l'exil, mais cette fois ce n'était pas le mien, mais celui d'Amy, ma si douce sœur dont le ventre ne cessait de s'arrondir alors qu'elle portait en elle un enfant de sang royal. Nous allions retrouver le calme, loin du tumulte de la vie de la Cour, de ses mensonges et trahisons qui régnaient en maître sur les Petites gens tout comme sur le Roi Soleil. Les yeux étaient trompeurs, ils se fiaient à des apparences qui rassuraient l'âme et le cœur. J'avais appris à voir à travers l'ouïe, improbable chose que cela et pourtant. Le souffle était un code à lui tout seul, un soupir de contentement, un hoquet de surprise qu'un éventail apprêté tentait de cacher sous un mouvement régulier, une toux sèche et grave qui priait silencieusement l'interlocuteur à plus de distinction ou de discrétion. A Versailles, la maîtrise de soi devait être parfait, et je le savais sans condition, personne ne se méfiait de moi. Une ombre sur un tableau, une infortunée, une handicapée opportuniste qui avait fini dans ce si beau palais pour le bon plaisir de sa sœur décrite comme la « Putain » du Roi. Tout ce monde se trompait. Je n'avais pas le cœur à jouer aux mêmes jeux qu'eux, l'art du mépris et de la désobligeance me semblait pour le moment inaccessible et puis je n'avais pas les cartes en main pour vouer mon être à l'infamie la plus pur.

L'ombre me convenait le mieux. Je vivais dans l'obscurité, m'y complaisait allègrement. Je préférais rêver de paysages dont seule moi avait le secret, mes couleurs étaient les miennes, mes sentiments secrets. Les senteurs, le goût, le toucher étaient mes armes pour m'adapter à mon environnement. Je faisais bien plus que de survire. Oui, j'étais capable de vivre même si ma naissance s'était accompagnée d'un deuil. Le deuil d'une mère dont j'avais causé la perte en venant au monde, le deuil d'un part pour qui je n'avais surement jamais existé, le deuil d'une vie où ma punition avait été de naître sans voir. Mais elle, elle était là. Sa main dans la mienne, je l'imaginais en train de me sourire. Pendant longtemps mon seul moyen de communication avait été le toucher, ma paume se dirigeait alors sur son visage et j'essayais de retenir chaque parcelle de sa peau, les traits fins, parfois irréguliers, les plissements qui naissaient sur son front signe d'une profonde inquiétude ou la petite fossette qui apparaissait non loin de ses lèvres quand elle souriait, amusé par mon investigation. Elle était toujours là, me tenant par la main, me prenant par les épaules avant de m'avoir laissé avancer seule. Elle voulait faire de moi une femme du monde, une de ses femmes qui avait de la conversation, une femme qu'on pouvait dire érudit sans réellement en parler haut et fort pour laisser aux hommes le soin de se complaire dans un état de supériorité qui ravissaient leurs ego sans leur ciller guère. Mon apprentissage me semblait complet ou presque, si j'avais été dispensé de la lecture pour cause de ma cécité, je savais parfaitement parler le français, l'allemand, je me prenais même à m'intéresser aux langues slaves qui avaient une certaine résonance en moi. Je me passionnais d'histoire, ne me lassant jamais d'écouter mes précepteurs qui me rendaient un certain enthousiasme face à cet engouement. L'art de la mondanité, des salons avait été quelque chose de plus laborieux. Mes pas de danse avaient été la cause de plusieurs maux de pied dont je ne pourrais tarir mes excuses auprès de mes partenaires courageux. Mes doigts pouvaient encore sentir parfois la piqûre de l’aiguille quand l'heure de la broderie était arrivée, et encore si c'étaient les miens qui en étaient la cible. Heureusement, tous ces moments étaient souvent plus propice à la détente, riant à gorge déployée de mes maladresses involontaires. La littérature me convenait bien mieux, n'ayant pas l'occasion de porter le nez dans les manuscrits à chaque fois que je le désirais, je retenais par cœur les mots pour pouvoir me les réciter une fois seule. La comédie aurait surement été un art pour lequel j'aurais voulu me donner.

Une France de Nobles Lettres m'avait accueillis. Loin de la capitale, les bords de la Loire étaient un refuge agréable et si je n'avais jamais su pourquoi mon père m'avait envoyé dans ce pays pour lequel rien que le nom le mettait en horreur, je savourais enfin le plaisir de quitter un domaine familial de plus en plus en proie à de violentes tensions. La seule raison qui arrivait à me plonger dans la peine était la séparation avec ma complice de toujours ma très chère Amy. Elle avait fait son entrée dans le Grand Monde, tout le monde voulait sa place dans la plus grande cour d'Europe et elle avait eu la chance et tout autant de talent pour y faire son nid. Elle m'avait appelé à la retrouver pour mon plus grand plaisir ou mon plus grand déplaisir. C'était un monde sauvage, où l'humain devenait le pire prédateur pour son congénère. Oui, ce voyage jusqu'en Guyenne permettrait de regagner un peu de paix même si le poids de la couronne est toujours là.

BIOGRAPHIE

VERSAILLAISE

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Ҩ Il n'y a pas que Versailles, il y a aussi Saintonge. Ҩ

« Bordeaux. » Je relevais la tête doucement, reposant dans un geste soigné ma broderie sur mes genoux, mes doigts continuaient à caresser le dessin, tendre geste qui parvenait à calmer mon esprit et à éviter tout autant que je ne perde ma concentration. « Bordeaux ? » J'osais un sourcil, signe de mon questionnement face à cette empressement. « Bordeaux ma chère amie est une ville. » Je souriais doucement alors que de nombreux froissements de jupons se faisaient entendre autour de moi. « Je vous remercie de me prendre pour la dernière des ignorantes ... » Des mains douces agrippèrent les miennes, celles de ma suivante que je reconnaissais sans aucun effort, elle était mon appui en tout. « Je pensais Madame, qu'une promenade vous ferait le plus grand bien. Tout le monde s’affaire déjà pour s'y rendre. » Je retenais un soupir de protestation alors qu'une légère effluve de parfum fleurit embaumait soudainement la pièce, un pas féminin mais assez lourd se faisait entendre sur les boiseries du salon. Amy. Elle était là, bienveillante à n'en pas douter, m'empêchant de refuser une nouvelle fois une telle proposition. « Ramenez-moi donc quelque chose de Bordeaux. De plus, le soleil a fait son apparition, il serait bien dommage de ne pas en profiter. ». Je me mordais la lèvre inférieure, tentant de cacher un léger sourire amusé qui se dessinait. Je déposais mon ouvrage sur mon fauteuil et d'un geste silencieux on m'accompagna jusqu'à elle. Mes bras se portèrent autour de sa taille avant de glisser dans son dos, je la pressais comme je le pouvais contre moi, sentant un petit être donner un coup à travers le corps de sa mère. « Promettez-moi d'être prudente en mon absence, du repos, du repos et encore du repos. » Murmurais-je au creux de son oreille avant de reculer. Je posais mes mains en douceur sur son visage et je baissais tendrement celui-ci pour baiser son front. « Nous serons de retour avant la nuit. »

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Je poussais la table de toutes mes forces, envoyant le vase de porcelaine explosé en milles morceaux sur le sol. « Il n'était pas si compliqué de la protéger ! » Je portais la main à mon front avant de m’effondrer sous le poids du chagrin. Je n'avais pas pu la rattraper. Je l'avais abandonné. « Ramenez-moi donc quelque chose de Bordeaux. » Avait-elle dit d'un ton joyeux, et j'avais préféré l'écouter, j'avais joué les coquettes enhardis par l'air d'une nouvelle ville, je m'étais laissée aller à acheter une nouvelle toilette, n'oubliant pas une pièce de dentelle dans laquelle je pensais pouvoir créer un vêtement pour mon futur neveu ou ma future nièce. Mais tout ceci n'avait plus aucune importance maintenant et alors que je pleurais une sœur, mon esprit me faisait défaut, une douleur aiguë me martelait la tête depuis cette maudite chute que j'avais fait en tendant de rattraper le carrosse qui enlevait Amy, j'avais l'impression que des tâches de lumière floues dansaient devant mes yeux mais cela ne pouvait être du qu'aux larmes amères et salées qui coulaient sur mes joues. « Faites attention Madame vous allez vous couper ... » On ramassait les morceaux de mon gâchis à prix d'or mais que valait un tel objet quand une vie avait peut-être été enlever. « Me couper est bien le cadet de mes soucis. C'est de votre faute tout ceci ! A cause de votre obstination pour vous rendre dans cette ville. Apprenez Madame que vous n'êtes qu'une sotte et si paraître à la face du peuple vous manquiez tant vous n'aviez aucune raison de quitter Paris ! Je me serais parfaitement bien passer de vos services et de vos idées incongrues ! Je vous ordonne de quitter ma chambre et Saintonge par la même occasion. » La porte se referma sur des sanglots. Je voulais être seule. Seule.

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Je souriais, c'était surement une injure mais je souriais. L'herbe était d'un vert scintillant, les gouttelettes de rosée reposant dessus, le ciel se muait en différentes couleurs passant du bleu le plus foncé à un rose saumoné. Le soleil se levait majestueux, embellissant la nature par des milliers de rayons dorés qui s'étendaient autour d'elle. De toutes les manières rien n'auraient pu être plus beau que ce que je voyais aujourd'hui car à la différence de tous les autres jours, je voyais. Ma cécité avait disparu et je ne pus retenir un hurlement de joie qui avait surement du perturber la tranquillité de la faune locale. Je ne pouvais m'empêcher de rire bêtement, un sentiment me touchait de plein fouet, c'était une chance si exceptionnelle. « Madame vous connaissez déjà la nouvelle ? » Je me retournais vers le jeune valet qui courrait dans ma direction une lettre à sa main. J'essayais tant bien que mal de reprendre pied, de cacher mes émotions et je fronçais les sourcils, ne comprenant pas où il venait en venir. « Votre sœur ! » Il reprit son souffle alors que mon cœur battait à milles à l'heure dans ma poitrine. « Votre sœur a été retrouvé. Elle est à Versailles ! » Je tombais à genou, remerciant Dieu pour ce nouveau cadeau et j'embrassais le front de l'enfant avant de reprendre d'une voix émue. « Cours, et demande à tout le monde de se préparer, nous repartons immédiatement pour la capitale ! »

BIOGRAPHIE

VERSAILLAISE

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Ҩ D'accord je vous l'avoue, il y a surtout Versailles. Ҩ

« M'aimes-tu ? Je sais que tu vas dire oui, et je te croirai sur parole. Ne le jure pas : tu pourrais trahir ton serment : les parjures des amoureux, font, dit-on, rire Jupiter … Oh ! Gentil Roméo, si tu m'aimes, proclame-le loyalement … » Silencieusement, je récitais également les mots de Shakespeare dans une litanie que j'avais si bien apprise depuis des années. Ma lectrice d'hier était devenue mon amie d'aujourd'hui, Sophie avait été un soutien précieux à Saintonge et l'enlèvement d'Amy n'avait fait que renforcer notre lien. Mais Saintonge était bien loin, tout autant que l'Angleterre où j'avais découvert pour la première fois les paroles de ce fabuleux auteur. Rien à Versailles n'avait semblé avoir changer, alors que mon monde avait mil fois fait le tour sur lui-même. Notre retour de Guyenne avait été des plus précipités, la chance de retrouver une sœur, le bonheur de connaître une nièce et la tristesse d'en avoir perdu une m'avait touché de plein fouet. Des larmes avaient coulés alors que je me penchais pour embrasser le visage si pale de ma sœur. Je n'osais poser les questions qui brûlait mes lèvres, et encore moins penser aux souffrances qu'elle avait enduré. C'était une nouvelle épreuve qu'il fallait endurer à deux. Promesse avait été fait que jamais je ne la laisserais plus, mon dévouement pourrait me coûter cher mais je me moquais bien de cette petite Cour, et je leur rendais au centuple le mépris que devait subir chaque jour durant ma sœur bien-aimé. De plus, je ne pouvais que me réjouir d'avoir trouvé un nouvel allié. Aussi surprenant que cela puisse être, un « fou » avait réussi à démasquer la tromperie à laquelle je jouais depuis mon retour à Versailles. La cécité m'avait quitté et de nouveaux réflexes avaient commencé à prendre place. Ferdinand d'Anglerays avait su écouter mon histoire pendant une nuit durant et j'avais enfin trouvé un ami et un confident à qui faire confiance. Collaboration surprenante qui me ravissait particulièrement, il était devenu une sorte de mentor pour moi dans l'art de l'espionnage.

« C'était l'alouette, la messagère du matin, et non le rossignol. Regarde, amour, ces lueurs jalouses qui dentellent le bord des nuages à l'orient ! Les flambeaux de la nuit sont éteints, et le jour joyeux se dresse sur la pointe du pied au sommet brumeux de la montagne. Je dois partir et vivre, ou rester et mourir. » Le soleil était déjà haut dans le salon, m'éblouissant par moment alors que Shakespeare continuait à résonner dans la pièce. Partir et vivre était surement une bonne idée, Versailles finirait par nous tuer j'en suis certaine, pas forcément le corps mais le cœur et l'esprit par tant de maux qui nous poussent à d'incroyables actions. Amy s'était finalement mariée sur ordre du roi, et mon probable mariage avait fini dans les limbes alors que mon identité volait en éclat. Mon secret était bien gardé, il n'y avait aucun doute mais je n'étais pas certaine de pouvoir vivre avec celui-ci sans en avoir finalement honte. Je n'étais qu'une enfant du pêché, celle qui était née d'un amour de jeunesse refoulé et qui avait été abandonné par son père. La Rochefoucauld. Voilà à quelle famille noble de l'aristocratie française à qui j'appartenais. Et cette triste vérité n'aurait jamais vu le jour si je n'avais pas risqué de me retrouver marier à mon propre demi-frère, le Prince de Neufchâtel, Paris de Longueville dont il était aussi le fils. Je crois sans mal que mon honneur est sauf par l'avortement de ces fiançailles, car la réputation de celui que je peux aujourd'hui appeler mon frère l'avait fortement précédé. De plus, il m'a l'air beaucoup plus agréable de le rencontrer dans une situation fraternelle que maritale.

Tu es validée !

Bienvenue à

Versailles !

Tu vas nous faire une merveilleuse Joan écoute, encore merci d'avoir eu un coup de coeur pour ce personnage. Alors déjà ton style, je l'aime beaucoup, tout est de qualité dans ce que j'ai lu et je suis bien contente d'être tombée sur une joueuse comme toi pour incarner ma Joan. De plus, tu as très bien saisi le personnage. A la fois colombe et pas vraiment pourrie par la cour, mais qui a ses armes maintenant pour lutter à Versailles.

Je ne vois donc pas ce que j'aurai à redire sur ta fiche, tout y est, tes liens sont là et même s'ils ne sont pas très développés, le fond y est. Je sais que ça sera fait par rp donc je m'inquiète pas du tout. Merci d'avoir pris en compte le fait que ton lien avec Matthias était avec un ancien Matthias et que je ne voulais pas le lui imposer. Ton inscription a précédé de très peu, sa validation. Je te laisserai voir ce lien directement avec le nouveau pour voir ce que vous voulez modifier, garder, supprimer tout ça tout ça.

Bien je n'ai plus qu'à te souhaiter la bienvenue parmi nous ! J'espère que tu t'amuseras bien par ici, n'hésite pas à passer par le flood et à venir nous dire coucou. J'ai hâte de rpiser avec toi en tout cas, l'intrigue du mariage est toujours ouverte si tu veux y faire un tour.

Je te demanderai juste de générer " Si Versailles " dans ton profil et de remplir, ton côté coeur et ton côté lit. Merci beaucoup et à très vite donc.

Une fois la validation passée, il faut recenser ton avatar, puis créer ta fiche de liens et consulter celle des autres, remplir le point info et le consulter pour savoir qui fait quoi.
A partir de 50 messages, vous pourrez un rang personnalisé.
Viens faire un tour sur le flood et n'oublie pas de mettre tes liens de présentation, fiche de liens et point info dans ton profil