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 On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac

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On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Empty
MessageSujet: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime29.09.12 21:13





Marie


D'Assérac




(Rachel Hurd-Wood)


On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac 611024tumblrm81rwiUcXC1qb0im5o1500

« La larme dit au sourire ''Je t'envie car tu es heureux'' Le sourire lui répond ''détrompe-toi, je n'existe que pour mieux cacher ta douleur'' »


    ► 23 ans
    ► Marquise
    ► Française
    ► Mariée
    ► Catholique
    ► Hétérosexuelle



♕ PROTOCOLE ♕
VERSAILLES : PARADIS OU ENFER ?

Versailles, le luxe, la capital, vivre dans l'entourage du roi... Longtemps Paris ne fut qu'un monde dangereux pour une pauvre fille de la campagne candide et innocente, rêvant d'Héros et de courage. Les beaux bijous du grand monde l'indifférent, pourquoi vivre au côté du grand Roi quand on peut se promener dans les jardins. Discuter poésie et scultures autour d'une tasse de thé. Admirer peinture avec des petits gâteux.
Aujourd'hui, elle s'est résonnée. Paris n'est plus dangereux pour elle et si elle préfére toujours sa vieille campagne, elle aime un peu plus le tout nouveau luxe de ce châteaus si célèbre. Elle y découvre les opéras, les spectacles danser. Mais aussi les intrigues, les complots. Un enfer qui pourrait bien devenir la plus grand paradis pour Marie.
Mais si elle aime Versailles. Maryse d'Armentière commence à franchement l'énervé à la prendre pour le diable réincarné. Un jour, la très douce Marie risque fort de devenir un peu moins douce.

COMPLOT : VÉRITÉ OU FANTASME PUR ?

Les complots à Versailles. Y en a eu des milliers sur le trône de France et c'est sans doute pas fini. Comme dernier gros exemple, on a la Fronde. Un contre Louis XIV m'étonnerais. Pourquoi un seul ? C'est plus le nombre qui me surprendrais. Un seul, seulement. Il y a tellement de personnes qui ont intérêt à faire tomber le Roi-Soleil. Les espagnoles, les germaniques, les anglais, les ottomans... Comme le Roi-Soleil doit vouloir faire tomber l'Autriche, la Prusse...
Si elle connaît l'existence des ses complots par son père, elle n'avait jamais rencontré personne. Elle ne comprend pas qu'on puisse en vouloir au bourbons. C'est une vérité totalement étrangère à l'innocente Marie. Pour longtemps reste la question ?

COLOMBE OU VIPÈRE ?

Marie est pour le moment eu dehors ou presque des intrigues. Elle tente bien de jouer les Marieuses avec Rebecca of Richmond. La vérité, c'est qu'elle n'est pas très racontards. Mais, elle a tentée d'amadouer Nicolas de la Reynie pour sauver son frère. Si le risque la fait frémir, elle pourrait bien prendre goûts à l'adrenaline des intrigues.
Une douce colombe aux dents de vpère en somme. Sutout avec certaines personnes.

DES LOISIRS, DES ENVIES A CONFIER ?

Marie aime :

•Les oeuvres d'arts. Initiée depuis son enfance aux arts par sa très cultivée mère, Jeanne. Elle aime particulièrement la peinture à laquelle elle s'est essayée. Si elle ne fait pas de chefs-d'oeuvres, elle se débrouille et cella suffit à sa joie.
•Les promenades. Depuis sa tendre enfance, elle a pris l'habitude de se promener, s'assoir sur un banc et rêver pendant des heures. Elle aime surtout les labyrinthes. Ce en quoi Versailles la régale
•La littérature L'un de ses premier souvenir est qu'elle est assise à côté d'Arnaud qui lui lit un livre. Elle a lu beaucoup pour une fille. Une passion de jeunesse, transmise en partie par son frère. Elle aime lire dès qu'elle le peut. Et de tout.
•Les bals et la danse qui ne font qu'unDepuis petite, elle a une passion notable pour la danse et la musique. Gracieuse, élancée, agile et légère, elle a tous les avantages pour faire une bonne danseuse. Depuis qu'on l'éduque, on lui apprend à danser, à sa grande joie.


♕ HOP, RÉVÉRENCE ! ♕

►Al/Alya
► 14 ans
► Beaucoup normalement
► Longue vie au roi
► Mon ami Google
► Pas la moindre.



On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac 961610ImageforumATV
Chapitre unique

"La première valse masquée"

_________________________________________________



Je suis Marie. Marie d'Assérac, fille de Jean-Emmanuel Rieux Assérac et Anne Mangot. Marquise d'Assérac par mes parents. Ce lieu au sud de la Bretagne, ce titre offert par loyauté par le bon roi Henri III à ma famille pour fidélité. D'Assèrac, oui je suis bien de la même famille que le si célèbre Arnaud d'Assérac. C'est même mon frère ainé qui a été détruit par ma faute. Mais pour comprendre ma vie et ma relation avec Arnaud, il faut revenir bien plus tôt. Il faut revenir à ma naissance en une bien sombre matinée de 1643. Arnaud est alors âge de 3 ans.

Si la nuit fut longue pour la maisonnée des Assérac, elle n'est pas fini. La marquise est prise de douleur au ventre. On craint l'accouchement à venir, l'hiver ayant été rude et très long. La pauvre femme s'épuisait et le temps s'étirait. On couru prévenir le marquis partit chassée de bon matin. Il revint très vite en apprenant la nouvelle. Il était heureux et inquiet pour ça femme. Son fils ainé, Arnaud jouait en silence dans la pièce voisine. Arrivé dans le corridor, un cri d'enfant se fit entendre. Le marquis accéléra encore. En ce jour béni de Dieu, vers 9 heures du matin née une petite fille nommée Marie. Si cette douce enfant était en bonne santé, ce ne fut pas le cas de sa mère Anne Mangot qui mourut. Son père attéré alla la présenter à la maison puis à son frère. On lui raconta qu'elle fut présentée par son père avec ses mots :

"-Elle est la femme de la maison à présent."

Nous sommes désormais en 1645, âgée de deux ans la petite Marie n'a aucun souvenir de sa mère. Aucune idée de ce qu'est un mère. Les gouvernantes s'occupent d'elle. Elle ne voit son père que très rarement. Mais pour les autres, le manque d'une présence féminine âgée se fait ressentir. Marie étant bien trop jeune, le marquis décide de prendre pour épouse sa cousine Jeanne-Pélagie de Rieux, comtesse de Châteauneuf et vicomtesse de Donges. Cette femme ressemble beaucoup à Marie, des cheveux entre le brun et le roux, des yeux tantôt émeraude tantôt vert d'eau. La comtesse était belle avec sa taille fine et son sourire respirant la jeunesse et la joie de vivre. La petite Marie s'attacha très vite à sa belle-mère et la réciproque fut vrai.


Beaucoup de vent à souffler depuis, nous sommes en 1649. Le fronde soulève la France depuis deux ans déjà, les grands du royaumes, les princes de sang mettent le royaume à sang profitant de la faiblesse de Louis XIV. Du haut de ses sept ans, Marie est bien loin de la guerre et de la peur. La vie en campagne n'a pas changé. La petite famille s'est juste agrandie. Sa belle mère a mit au monde un petit bout de chou nommé Jean-Gustave. Très fière de son petit frère, elle aimé jouer avec lui et sa mère. Mais ce qu'elle aimait par dessus tout, c'était aller jouer dans les jardins avec son frère ainé et adoré Arnaud. Elle aimait courir dans les jardins, lui faire peur en arrivant par derrière, se cacher malgré ses cheveux flamboyants.
Sa mère lui racontait toujours de belles histoires de Héros et de princesses. Pour la petite fille, son père était un héros. Elle voulait par dessus tout épouser un homme digne et fort comme son père. Un homme capable de protéger son roi et sa chère épouse qu'il aimerait. Une seule chose vient ternir l'image de son père dans l'esprit encore jeune et innocent de Marie. Dans ses lettres, le marquis s’intéresse peu à ses autres enfants par rapport à son intérêt pour son héritier.

Une sourire éclaire mon visage. Mon cher père nous a envoyé une lettre, je cours aussi vite que je le peux retrouver mère. Il y a déjà Arnaud et Jean-Gustave. Je me précipite et j'attends avec impatience que mère finisse de décacheter la lettre avec des gestes délicats pleins de grâce. Elle commence à lire :

"Bonjours chers enfants. Je me vois dans le profond désarroi de vous annoncer que je ne pourrais pas rentrer pour l'anniversaire du petit Jean-Gustave, des affaires me retiennent. Vous m'en voyez profondément désolé et je vous enverrais un cadeau par un homme de confiance.
Comment allez vous ? Arnaud a t'il fait des progrès en latin ? En combat ? En géographie..."


La voix de ma Mère se perdit dans un brouillard de pensées. Je m'en voulu d'en vouloir à mon père. Mais que faire. J'attendis patiemment que la lettre se fini et que mes frères partent pour demander à mère :

"-Pourquoi père ne demande-t-il que des nouvelles d'Arnaud ?
-Parce que c'est son fils aîné.
-Il ne nous aime pas ?
-Évidemment qu'il t'aime, dit-elle en me caressant le bout du nez. Pourquoi cette question ? Allons nous promener et discuter de votre avenir. "

Je lui pris la main et nous sortîmes marcher dans le jardin, détaillant les fleurs entrain de s'ouvrir.


Ce manque de sollicitude blesse la jeune Marie qui demande juste un peu d'amour. Heureusement avec sa mère de cœur, Jeanne, elle s'habille de jolies robes, se promène en ville, discute dans le jardin. Malgré son jeune âge, on commence déjà à lui apprendre à lire. Elle veut découvrir le monde, un peu plus loin que la France.
Cette même année, son frère Arnaud quitta le château familiale pour la Flandre sous les yeux pleins d'étoiles de Marie. Elle aussi veut être promise à un jeune homme beau et fringant. Un homme qu'elle attendra en brodant de la guerre, qui la chérira, l'aimera et la protégera. Comme dans les contes de son enfance. Comme dans son rêve.

Nous sommes en 1654, Marie a aujourd'hui 11 ans, un sourire magnifique, des cheveux cuivres à la taille et des yeux mutins. Elle apprend maintenant l'anglais, le latin, la danse, les bonnes manières. Tout pour pouvoir être bien mariée, pour devenir une épouse modèle. La vie lui sourit. Quand, elle ne travaille pas, elle aide sa mère et apprend beaucoup. Elle s'occupe beaucoup de son frère Gustave, un ange au cheveux blés et aux yeux verts. Si il reste beaucoup avec sa mère et sa gouvernante, il aime sa sœur Marie.
Presque tous les dimanche, Marie et Arnaud vont s'amuser dans les bois. Arnaud tente de ne pas lâcher une seconde cette diablesse aux cheveux roux.

C'était un après-midi d'été, je courrais dans la forêt. Ma robe émeraude assortie à mes yeux me fondant dans la forêt. Le soleil ne perçait pas beaucoup cette étendue verte. Arnaud me suivait, je tentais de lui échapper. Mais du bas de mes 11 ans, je ne faisais pas le poids. Je me suis donc terrée dans un buisson en le regardant passé. Une fois qu'il fut passé, je lui sauta dessus.
-Arnaud !
-Oui Marie ?
-Tu m'avais vu ? demandais-je des yeux pleins d'espoir.
-Non, affirma-t-il en m'effleurant le bout du nez.
-Alors, j'ai gagné, dis-je en souriant et en hochant la tête frénétiquement.
Nous rentrâmes alors main dans la main. Le sourire aux lèvres en rigolant. La vie était un présent qui nous comble parfaitement. Pour toujours.


2 ans se sont écoulés depuis cette promenade, et l'été 1656 est chargé d'une mauvaise nouvelle. Leur père, le marquis d'Assèras est revenu blessé de la bataille de Valenciennes. Une rude bataille où les preux se sont affichés par dizaines, dont le marquis. Ce fut la jambe du marquis qui fut blessé, une jambe à jamais boiteuse. Un simple coup d'épée a ruiné une vie. Marie fut emplie de tristesse, son héros était tombé, il lui en fallait un autre où sortir de cette douce enfance. Du haut de ses 13 ans, Marie choisit de grandir. Ses cheveux cuivres, maintenant aux omoplates, étaient retenus par un bandeau ou libre. Elle commençais à perdre les rondeurs de l'enfance. Elle avait un nez busqué, quelques taches très discrètes de rousseurs et une peau laiteuse. Une belle jeune fille en devenir.
Elle commença à se promener seule, à ne plus vouloir qu'on s'occupe d'elle. Peu de temps après, début 1657, Arnaud partit à la guerre comme il le voulait depuis le retour de son père. Elle n'était qu'une fille, elle pouvait juste se marier, mais elle le voulait maintenant. Elle prit donc l'habitude de s'occuper de Jean Gustave, le petit dernier. Il avait maintenant 8 ans et il adoré se promener dans le parc avec sa sœur. Elle apprit à broder, à tisser. A tenir une demeure.

Arnaud revient un ans plus tard, mais il aurait pu s'en écouler 10 tant il avait changé. Ses cheveux bruns un peu plus longs, des yeux noisettes plus matures et son corps avait pris du muscle. Toutes les filles du village le voulaient. Il les repoussaient toutes d'une simple phrase, ce qui faisait beaucoup rire Marie.
Mais cette dernière ne restait pas en reste justement. A 15 ans; elle avait de quoi en damner plus d'un. Des cheveux toujours aussi cuivres, des yeux émeraudes, une peau de porcelaine et une taille gracile. Un peu coquette, elle se maquillait légèrement. Depuis peu, elle avait une relation avec un jeune seigneur voisin nommé Charles. Un comte de pauvre richesse mais de vieille noblesse. Un amour de jeunesse, innocent et candide. La naïve Marie se voit déjà marié à ce garçon sans fortune. Si, elle était enchantée par cette relation. C'était moins le cas de son frère qui la surveillait et vint jusqu'à la voir un soir.

Mon regard se perdit dans la Lune. Cette astre de tous mes rêves. La voix de mon frère me parvint de loin, pleine de reproches et de remarques. Sur son amour, sur la droiture d'une épouse. Tant de choses lointaines pour mon coeur amoureux et passioné. Je vais m'assoir à côté de lui et je lui réponds donc en le regardant droit dans les yeux :
"-Arnaud, ne vois tu pas que je suis amoureuse ?
-Je le vois et c'est ce qui m'inquiète.
-Mais pourquoi ? Pourquoi n'épouserais-je pas celui que je veux ?
-Ce n'est pas de mariage que je te parle, tu le sais bien, répondit mon frère d'un ton bien plus sérieux."
Je me lève et je retourne contempler la lune. C'est d'une voix un peu moins posée que je réplique, tellement faiblement. Mais arguments ne valent rien et je le sais bien.
" -Pourtant, toi tu n'es pas comme les autres garçons. Pourquoi pas lui ?
-Parce que Père m'a promis à une demoiselle il y a plusieurs années. Cela peut paraître futile pour beaucoup mais cette promesse me tient à cœur, je ne me vois pas la trahir avant même de passer devant l'autel.
-Te plais t'elle cette demoiselle d'Armentières ? L'aimes tu ? "
Il ne répond pas, il se lève et me prend dans ses bras en murmurant à mon oreille tout bas :
"-Je ferais tout pour qu'il ne t'arrive rien. Tout. "
Il déposa un baiser sur mon front et me laissa seule. J'allais m'assoir par terre, contemplant une nouvelle fois la lune une bonne partie de la nuit. Mon frère allait sans doute bientôt me quitter et que ferais-je sans lui ?
.


La vie était paisible, le mariage d'Arnaud approchait, tout le monde était heureux et tout allait bien dans le meilleur des mondes. Personne ne pouvait se douter qu'une simple journée allait tout changer. Ce samedi 19 avril 1660 restera à jamais graver dans les mémoires, particulièrement dans celle de Marie. Quelques minutes de vie dans une longue histoire. Ou comment gâcher une vie en quelques minutes. C'est inquiétant comme un simple choix peux changer une vie. La journée avait pourtant bien commencé. Le soleil brillait dehors, Marie avait reçu les félicitations de son maître de danse et Jean-Gustave réussi une botte d'escrime. De plus, qui irait imaginer que dans le petit village de Rieux il se passerait quelque chose.

Chantonnant, mon ancienne gouvernante finit d'attacher ma jolie robe vert d'eau. Un cadeau de mon oncle qui vient aujourd'hui. Père avait promis que nous pourrions aller en ville Arnaud et moi.
Mes cheveux roux étaient retenus par un simple ruban assorti à la robe. Je me trouvais particulièrement bien mise aujourd'hui. A ma grande joie, je devais en plus aller voir une amie proche.
Une bruit résonna dans la cour du vieux château. Mon oncle, Michel Mangot était arrivé. Je me calmai, arrangeai ma coiffure et je descendis calmement les escaliers comme il le sied à une demoiselle de bonne famille
.


Arnaud, Marie et leur oncle partirent alors en ville. Marie resta chez une amie pendant quelques heures. Puis, elle commença à s'ennuyer et décida donc de rentrer seule. Elle salua son amie et rentra chez elle. Elle en avait assez de patienter, d'attendre. Une envie d'aller se promener là où elle avait rencontré le jeune seigneur la prit. Ce garçon au cheveux blonds. Son plus grand péché. Mais que pouvait-elle faire face à ses yeux verts. A ce sourire pleins de fossettes. Elle voulait juste vivre son amour avec ce comte. Juste ça. Elle partit donc pour les bois.

Le soleil passe discrètement et je commence à chantonner quand j'entends une voix derrière moi. Le curé de Rieux,Monsieur de Roberval, à moitié saoul. Ce curé est plus habitué à la luxure qu'à la prière. Noble par naissance, il est aussi pieux et tourné vers Dieu que Lucifer. Le curé s'approche de moi. Il me parle d'une voie torve, je n'écoute pas. Je lui assène juste un regard plein de pitié, de mépris et je continue à marcher. Une main m'attrape alors par les cheveux et me fait tomber à genoux. Le choc me coupe la respiration. Avant que je n'ai le temps de réagir, il me relève et ma plaque contre un arbre. Je veux crier, sa bouche se pose sur mes lèvres. Il tente de passer sa langue. Je lui la mords, m'accordant un répit. Des larmes manquent de couler, mais on m'a quand même bien élevée et je les retiens. Le curé, énervé par ma faible résistance me donne un gifle magistrale. Je continue quand même de résister. Pendant qu'il tente de me toucher, m'embrasse ou d'autres avanies, je crie. Un cri très court. Il m'embrasse puis commence à m'embrasser dans le cou. Je supplie :

-Mon père, je vous en supplie laisser moi. Sil vous en plaît.

-Il ne m'en plaît pas, mon bon enfant.

Pour prononcer cette simple phrase, il a un peu arrêter de m'embrasser. Je continue de me débattre mais malgré son âge, ce curé est plus fort que moi. Il balade ses, mains sa bouche sur mon corps. Je commence à croire que je ne serais jamais sauvé. Que je finirais excommuniée, jamais mariée, reniée par ma famille...

Un mouvement m'attire le regard... Arnaud. L'espoir renaît, il repousse Roberval et lui met son épée sous la gorge. Il lui dit d'une voix à peine contrôlée :

Espèce de monstre ! Tu n'as pas honte, je devrais te tuer !

Ta sœur est une traînée !

L'insulte m'atteint en plein cœur. Les larmes tant retenue gagent mes yeux. Mais c'est un curé saoul qui dit ça. Une étincelle de colère règne dans son regard. Il va le tuer. Je ne veux pas qu'il s'abaisse à cette acte. Je le retiens. Avec le peu de force qu'il me reste. Je suis incapable de parler. Trop de mots, trop d'émotions se bousculent dans ma bouche. Mon sauveur se résigne à ne pas le tuer. Mais toute sa colère se ressent dans ses simples mots :

Contrairement à toi, je suis un homme d'honneur. Décuve un peu, prends une épée et reviens ici dans une heure. Même les sales types dans ton genre peuvent mourir dans l'honneur, cracha-t-il.

Il me prit par les épaules. Je me laisse aller sur son épaule, à écouter les battements furieux de son cœur. Sa chaleur me remonte le moral. Je me calme, je veux juste m'endormir.

Viens, petite sœur.


Il la déposa chez une amie. Marie le vit partir d'un pas rapide. Elle a peur qu'il fasse une bêtise. La jeune fille n'avait jamais vu ce regard chez lui. Il doit se mettre encore plus en colère. Son amie avait reçu pour ordre de ne pas la laisser partir. Marie dut pleurer, tempêter, s'énerver, hurler pour finir par réussir à sortir. Elle se précipita vers le lui du crime. Le combat avait déjà commencé. Elle n'osait pas 'approcher de peur de prendre un mauvais coup. L'épée d'Arnaud s'enfonça dans la chair, des fleurs pourpres apparurent sur la tenue du curé. Le visage de l'homme se contracta sous la douleur. Il s'écroula, mort sur le coup.

Arnaud, hurla Marie en accourant vers son frère, qu'elle prit dans ses bras.

Arnaud restait sans bougé. Perdu, l'épée au poing. Personne n'avait rien vu. Ce rêve fut brisé par des bruits de conversations. Arnaud partit en courant. Les personnes achevèrent Marie de leur question. Elle prit la fuite et rentra au château. La peur de viol était passée. Marie craignait pour Arnaud. Tuer un curé, rompre l'interdit des duels. Aussi puissant soit leur oncle, il n'était ni dieu ni roi pour s'opposer à Louis XIV. Et puis les Roberval allait vouloir la peau d'Arnaud. La jeune femme pourrait bien s'offrir en échange. Mais Arnaud ne voudrait jamais qu'elle le fasse. Elle était encore une fois inutile, impuissante. Son frère était en danger par sa faute et elle n'y pouvait rien. Elle pleura un court moment dans les bras de sa mère. Elle la calma et lui conseilla de joindre la grande salle.

Le silence règne dans la grande salle quand la voix de père retentit :

-Vous êtes désormais mes seuls enfants. Arnaud n'est plus mon fils. Dites-lui Adieu. Il part.

La sentence tombe comme une hache sur moi. Les mots résonne dans mon esprit. Je suis comme lâché au dessus d'un gouffre infini. J'entends mon père sortir. Mon frère entre alors dans la salle. Il étreint mère et Jean-Gustave qui pleure. Ce bambin ne comprend pas pour Arnaud part. Mon frère arrive vers moi et ouvre les bras. Je mis engouffre. Les larmes tant contenues roulent sur mes joues. Tout s'entraîne, tout s'achève aujourd'hui. Je me sens coupable. Si seulement, je m'étais laissé faire. Il y avait tellement peu de chances que quelqu'un soit au courant. J'aurais survécu et mon frère serait là. Il épouserait cette Maryse.

C'est... ma ... faute...

Tu n'y es pour rien, Marie. Garde en tête que je t'aime et qu'il faut que tu prennes soin de toi et de la famille. Fais attention à toi.

Il m'embrasse sur le front et part. Il quitta la salle sans un regard. Je cours à la fenêtre, je le suit de regard jusqu'à ne plus pouvoir le voir. Je m'écroule alors comme une poupée de son. Plus rien. Je suis vide, je ne sens pas Jean-Gustave me serrais dans ses bras. Je pleure.


Cela fait une semaine que Marie ne bougent plus. Elle ne boit plus, ne mange plus, ne bouge plus. Elle se sent coupable pour tout. Mais ce jour, elle avait décidé de ne plus être passive. Elle a tort de ne plus bouger. Elle ne pourra jamais retrouvé son frère. Marie se releva et sortit. Elle devient moins gigotante, plus sage. Elle avait en grande partie perdue son caractère. Marie sortait moins. Elle étudia pour une seule chose. Aller à Versailles, connaître la situation de son frère et le sauver si possible. La jeune femme était devenue silencieuse. Un grand autre changement c'était produit, Marie refusait tout contact avec son père qu'elle juge indigne et misérable. Son père fait de son mieux pour éduquer Jean-Gustave. Mais, il n'a pas l'étoffe d'un grand marquis. Il se contenterais d'un titre de baron, puis il voudrais partir à la guerre, devenir mousquetaire et battre le roi.

1662, une année tournante. Marie a quitté l'adolescence. Son père, le marquis de d'Assèrac tomba malade en février. Personne ne savait qu'elle était cette maladie. Père s'alita. On pensait qu'il ne se relèvera pas. Il passait ses journées à tousser ou à dormir. La maladie l'avait rendu bien maigre. Disparue cette image du héros blessé revenant de la guerre. Il n'est plus qu'un pauvre homme, détruit par la maladie. Ceux que Marie ne savait pas c'est que son père ne pensait qu'à une seule chose. La marier avant de trépasser. Un mariage qui remplacerais ou supplanterais celui qu'aurait du faire Arnaud. Sitôt pensé sitôt fait.

Le père de Marie était très résistant. Il guérit en novembre 1662 et trouva pour Marie un mari très riche de préférences. Son choix tomba sur Maxence. La jeune fille commença d'abord par protester. Elle ne voulait pas se marier avec ce garçon faible. Elle voulait un homme qui puisse la protéger. Mais, elle n'avait qu'un objectif. Aller trouver des nouvelles de son frère.

La rencontre se passa un froid jour de décembre. Il était tôt. La froid faisait frissonner. Elle portait un robe grise, très échancrée. La rencontre se passa sur le perron.

On me pousse vers le devant. Le froid fait naître des nuages de vapeurs autour de nous. Un carrosse approche. Une femme en descend. L'air très rigide. Encore une matrone pleine de bons sentiments psycho-rigide. Puis, mon futur mari descend. Il est assez beau. Il a des yeux bleus. Des cheveux bruns et pas une perruque. Je ne supporte pas les perruques. Il est plutôt grand et assez musclé. Je l'ai peut-être mal jugée. Je m'incline légèrement. Il ne semble pas vraiment que savoir dire. Il se contente de me tendre la bras. Père s'échine à flatter la marquise. Je sourie légèrement. Il nous conduit alors dans le salon. Ils nous présentent et nous ne me laisse juste le droit de me taire. Il me laisse strictement rien. Comment juger quelqu'un sur quelques regards échangés et des longs silences d'ennuis. Je sais bien que c'est un mariage d'intérêt. Je ne suis plus une enfant. Mais moi aussi j'ai mes intérêts dans ce mariage. Mais, je suis tout de même déçue. J'aurais aimé un allier dans mes ennuis. Je regrette de ne pas pouvoir plus discuté. De ne pas avoir essayer de le comprendre, de comprendre ce regard triste. J'aurais aimé qu'on parle, on pourrait s'entre aider. Je me promis alors de faire des efforts pour qu(on puisse un jour parler, s’entendre, s'aider même. J'aimerais quelqu'un a qui confier mes doutes, mes peurs pour Arnaud. Un jour peut-être que nous serons alliés. Un jour, peut-être.



6 mois plus tard. Le mariage a eu lieu, fin du chapitre. Une nouvelle histoire commence. Bien plus dangereuse. Marie se retrouve à Paris. Elle se perd dans cette ville, elle se perd à Versailles et elle se perd. Personne n'est là pour l'aider. Comment faire des recherches sans se mouiller aucune chance. Elle pouvait toujours tester. Elle décida donc de vivre sa vie. Il y a bien longtemps que notre apprentie entendait parler des salons. Et particulièrement du salon Scarron. La jeune femme décida donc de se mettre en route vers ce salon. Elle prit son courage à deux mains et ouvrit la porte. Au début, elle se contentais d'écouter les vers déclamer avec flammes en latin, les citations de Cicéron ou les légendes des dieux grecs. Puis, elle commença à se prendre au jeu. Quelques phrase par-ci par-là. Un humour qu'elle ne se connaissait pas, un esprit qu'elle découvrait. La dame d'Espinay se rendait compte pour la première fois qu'elle pourrait être une femme d'esprit, dotée d'un caractère caustique. Elle était souriante, joyeuse... parfois discrète mais toujours attentive. Si Marie aime tant la salon Scarron, c'est aussi grâce à Françoise d'Aubigné, la veuve Scarron. Pour la jeune marquise, la belle femme est un exemple de vie un modèle. Et la personne qui la comprends le mieux. Elle irait presque jusqu'à se confier. Presque. Elles discutent de tout de rien mais pas de se qui ronge Marie.

Mais Versailles n'avait pas fini d'étonner la jeune bretonne. Elle n'avait jamais connue un telle luxe. Le luxe était tellement omnipotent qu'il en était inquiétant. Elle se faisait des amis mais pas que. Comment la jeune provinciale pourrait-elle lutter contre des manipulatrices, des femmes d'esprit, des lieutenants de police...

L'été 1664 fut une saison digne des plus grands romans. Marie avait toujours aimé le théâtre. Elle pouvait en profiter pleinement à Parsi et n'allait pas s'en empêcher. Elle allait voir de nombreuses pièces. Elle aimait particulièrement celle de Racine. Un homme brillant tout simplement. Elle n'était elle même pas mauvaise comédienne. Avec son frère, ils s'amusaient à cela dés fois. Quand on le leur permettait. Elle aimait aussi le théâtre pour ça. Pour la nostalgie qui l'envahissait à l'approche du dénouement final. Elle se rendait un soir à l'hôtel de Bourgogne pour voir Alexandre le Grand. La représentation débuta, mais malgré son amour du théâtre, elle ne put lâcher du regard le personnage principal. Il lui semblait proche et si lointain. A la fin, elle se leva et se retint de justesse de courir jusqu'aux loges des artistes. Soudain, Arnaud apparut devant elle. Alexandre, c'était lui. Elle allait pour l'embrasser puis se retient. Tout vient à qui sait attendre. Elle attendit qu'il se fut éloigner puis le suivi discrètement. Aussi invisible qu'on puisse l'être habillée en jaune. Elle vit, ne pu retenir un cri de joie et s'engouffra dans ses bras. Il y a bien longtemps qu'elle ne s'était plus sentie autant en sécurité.

-Oh Marie, comme tu m'as manqué.

Je sourie à cette phrase. J'étais si heureuse. Je n'osais plus espérer que de retrouver son corps. Et là,
je découvre mon frère, bien vivant à quelques lieues chacun.

-A...Armaud, je n'en reviens pas.

Je ne peux alors me retenir, en l'enlaçant, je laisse quelques larmes de joie coulaient. Je fais le récit de toutes nos aventures. Mes défaites et mes faiblesses, mes joies et mes sourires. Qu'il m'avait manqué. Il me narre son voyage au nouveau monde. Je m'épouvante de le savoir encore autant en danger. Je compte bien le sortir de ces mauvais pas. La base d'un plan germa alors dans mon esprit. Il y a quelques jours, j'avais croisé Nicolas de La Reynie. Notre cher lieutenant de police. Peut-être que si j'arrive à la sédui...convaincre de l'innocence d'Arnaud, il le sauvera. Reste encore à mettre se plan en place. Je continue mon récit par mon mariage plutôt déconcertant.

-Et toi ? Es-tu heureuse avec ton époux ?
-Je ne suis pas malheureuse dirons-nous. Père m'a choisi un bon mari, il me traite bien mais je le trouve secret. Dire que nous sommes en de bons termes seraient mentir odieusement et je ne saurais te mentir. Il y a plus une absence de relation que du concubinages ou de l'amour. Nous ne sommes pas dans un roman.

Ils durent se quitter. L'heure tourner et Maxence cherchait son épouse. Ils ne pouvaient pas rester plus longtemps sans risquer d'être découvert.


Ils se promirent de se revoir. Ce qu'ils firent rapidement. La belle rousse se rendait souvent à l'hôtel de Bourgogne, rendre visite à son frère. Les commères les prenaient pour des amants et cela les faisaient beaucoup rire. Mais, les deux amants-frère/sœur voulaient rattraper leurs années de séparation. Malheureuse, ils ne le pouvaient pas.

Avant de mettre son plan avec de la Reynie en place, Marie voulait se faire des alliés, des relations. Elle choisit deux personnes. L'une par simple plaisir, l'autre par logique. La première se nommait Rebecca of Richmond. Les deux femmes s'étaient rencontrer durant un bal et s'apprécier beaucoup. Les braises de leur relation s'éteignirent lors d'une promenade d'Août 1665.

Elles avaient rendez-vous pour une promenade. La jeune rousse fut des plus ponctuelle à la joie de sa camarade. Elles commencèrent à discuter, la conversation s'orienta vers leurs époux. Marie cru remarque des dissensions entre les Richmond. Elle pris la partie de jouer l'ange réconciliateur. Elle lui dit donc :
-Vous devriez faire le premier pas vers lui ma chère, acceptez les concessions qu'il vous demande, ce serait faire preuve de sagesse ! Alors vous retrouveriez sans doute un peu de cette sérénité qui vous fait défaut ! Peut-être brûle-t-il en attendant désespérément une de vos lettres ! Ne soyez pas cruelle, écrivez-lui... Faites la paix.

Devant l'air médusé de compagne de promenade. Marie se tut. Les yeux de Rebecca lançaient des éclairs. Elle fit demi-tour, abandonnant Marie à ses réflexions.

L'autre alliée pourrait-être Maryse d'Armentière. Celle qui fut un jour la promise d'Arnaud. Marie tournait autour de l'appartement de la jeune fille. Maryse avait oublié le rapprochement entre Marie d'Assérac, aujourd'hui plus connue sous le nom de Madame d'Espinay et Arnaud d'Assérac. Dès que Maryse voit Marie, elle ne peut s'empêcher de lui envoyer des piques. Mais la jeune fille en a marre de subir. Il se peut qu'un jour, elle s'oublie et devienne vraiment la rousse que Maryse croit qu'elle est.

Octobre 1665, Marie a enfin réussi à obtenir un rendez-vous avec Nicolas De La Reynie. Elle mit l'une de ses plus belles robes. Elle était belle et elle le savait. Pour la première, elle comptait abuser de ses charmes et cela la gêner autant que l'étonner. Elle arriva dans le bureau, discuta quelques instants puis tenta de finir son plan de séduction si bien ficelé. Cela aurait marcher avec n'importe quel homme mais pas Nicolas. Si il était montés aussi haut, il était un homme intègre.
-Que vous prend-il, Madame. Je ne vous connaissais pas si frivole. Pourquoi donc agissait vous ainsi.
Marie ne put que prendre la fuite. Elle se trouve une excuse. Elle sortit rapidement et s'abandonna contre un mur pour calmer sa respiration. Elle était mal et elle le savait. Nicolas était intrigué. Les jours suivants, il fit beaucoup pour la coincer et connaître la raison de ses actes.
Marie n'en a pas finie. Elle joue, elle perd mais peut-être finira-t-elle par gagner.










Dernière édition par Marie d'Assérac le 30.10.12 11:20, édité 41 fois
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime29.09.12 21:30

Bonjour et bienvenue sur le forum Isabella Smile

Je me permets de poster dès maintenant, car deux ou trois détails très importants me sautent aux yeux et je ne veux pas te laisser finir ta fiche pour te le dire. Ça serait pas sympa de ma part. Déjà il s'agit de ton pseudo :

- L'Aquitaine est une terre française, rattachée à la couronne de France depuis 1472. On ne plus être : de Bourgogne, de Bretagne ou d'Aquitaine par la naissance tout au moins. Les titres appartiennent au roi, qui les offrent aux personnes de sa famille très proche: Enfants et petits enfants. Le staff se voit mal de fermer les yeux, si l'Aquitaine avait été rattachée il y a 5 ans, je ne dis pas, mais là ça fait des siècles. Désolé de Lisa

- L'Aquitaine n'a jamais été germanique, elle a été anglaise, elle a été française, mais germanique non.

- L'Aquitaine n'a jamais été un marquisat mais un duché.

En clair, tu peux être née d'une province germanique sans problèmes, d'où ta religion protestante. Tu peux avoir épousé un marquis originaire d'Aquitaine sans problèmes aussi, mais tu ne peux pas être née en Aquitaine et te prétendre germanique, tu serais automatiquement française et le titre ne sera jamais marquise d'Aquitaine. Pioche dans une ville d'Aquitaine quelconque, sauf Bordeaux et ça ne me posera plus de soucis.

J'espère ne pas te démotiver, mais comme je l'ai dit, je ne préfère pas te laisser aller au casse pipe et au dernier moment te demander de changer. Nous ne sommes pas des puristes ici, sinon Versailles n'existerait pas, mais on ne peut pas laisser tout dire et tout faire. J'espère que tu comprends.

Si tu décides de rester, tu peux m'envoyer un mp avec le nouveau pseudo que tu décideras d'utiliser pour Isabella. Clin d'Oeil
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime30.09.12 13:32

Je voulais faire changer mon identifiant mais je n'es malheureusement pas pu. Je voulais faire une Habsbourg, genre la soeur de Ferdinand III ou Léopold I. Est ce possible ?7
Et par la même occasion, Alexis Bledel ou Nina Dobrev sont-elles libres, je n'es pas compris la liste des avatars.

Evidemment que je comprends et je ne suis pas du tout démotivée. Je me suis inscrite directement après avoir lu le titre du forum. Je n'ai réfléchit qu'après. Je m'excuse tout de même du dérangemment et je comprends parfaitement l'obligation que vous avez de gérer un aussi grand forum. Very Happy
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime30.09.12 14:06

Rebonjour Isabella,

Je suis rassurée de ne pas t'avoir démotivée. Pour te répondre, pour jouer une soeur de Léopold Ier, ça me semble difficile malgré tout ... Désolé de Lisa

Il y a Marie Anne d'Autriche, qui a épousé le roi d'Espagne, mais euh ... que viendrait-elle faire dans la cour de France ?

Il y a Eléonore qui est quand même très jeune : 13 ans. scratch

Les soeurs de Ferdinand III, elles ont plus de 50 ans, ça n'irait donc pas avec les avatars que tu proposes.

En fait le problème liés aux puissants personnages historiques étrangers, ce sont les motifs qui les conduisent à Versailles, nous allons avoir une guerre et donc les étrangers déjà ne seront plus trop tolérés à la Cour (tu vas devoir repartir très vite) après en effet tu peux rejoindre un des deux partis, mais enfin disons que pour des princesses du sang, c'est délicat. Même sans guerre, vas chercher le motif qui leur permettrait de rester de longue sur le sol français, on les mariait très vite et donc elles devaient aller dans le pays du mari.

Ca me laisse perplexe je t'avoue. Pourquoi vises tu si haut ? A la rigueur peut-être pourrais tu voir avec Aliénor de Wittelsbach présente sur le forum, pour être de sa famille, si tu tiens à être germanique hautement titrée. Sinon pour un premier compte, vraiment peut-être devrais tu te tourner vers les scénarii des membres ou nos PVs, tu aurais une meilleure intégration. Smile

Quant à Alexis Bledel, c'est un PV pris par un joueur : Elisabeth d'Alençon et Nina Dobrev c'est également un PV : Monica de Murcia. Sorry. Désolé de Lisa N'avais tu pas d'autres options pour ton choix d'avatars ?
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime30.09.12 14:24

Entendue. Je m'incline tu as raison. Je choisis Gabrielle de Vendôme. C'est possible au mons ? XD
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime30.09.12 14:34

Tu as le même parcours qu'une autre membre du forum, c'est terrible. Razz Elle voulait elle aussi une proche de Léopold Ier puis s'est rabattue sur Gabrielle de Vendôme. Désolé de Lisa Du coup, c'est pénible pour moi de te le dire ... J'aime pas mettre des freins, tu vas croire que je le fais exprès alors que pas du tout.

Mais enfin notre règlement prévoit que deux personnes peuvent postuler pour le même personnage, nous prenons le membre qui a fait la meilleure fiche. Je peux donc changer ton pseudo en mettant une étoile derrière Vendôme. C'est donc comme tu le souhaites.

Sinon malgré tout, si tu veux rester sur une germanique, il y a Petra de Limbourg dans la Main de l'Ombre. Là c'est comme tu veux, j'essaie de t'ouvrir des pistes. Clin d'Oeil
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime30.09.12 14:55

XD. Sa me fait rire à ce niveau là. Ne te casse pas la tête. C'est juste l'avatar que j'aimais bien. Bah, je sais plus là.
Euh... je ne sais pas trop. Je suis du genre à être fidèle au roi. Marie D'Assérac est elle libre. Et sans vouloir avoir l'ai de la fille jamais contente, pourrais-je la durcir un peu avec le temps ?
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime30.09.12 15:07

Elle est libre oui Wink Je vais donc changer ton pseudo. Clin d'Oeil

L'évolution des personnages est libre, tu en feras ce que tu en voudras, mais il faut quand même rester dans la logique des personnages, qu'elle ne change pas non plus du tout au tout à la seconde et sans explications. Clin d'Oeil
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime30.09.12 15:14

Promis. Je vais donc changer ma présentation^^
Et je suis très heureuse d'avoir réussi à trouver un PV's. Clin d'Oeil Parce que je commençais à croire que le mauvais sort s'acharner.
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime18.10.12 15:33

Bonjour Marie,

Où en es tu de l'avancement de ta fiche ? As tu besoin d'un délai ? Smile

Si nous n'avons pas de nouvelles de ta part d'ici quelques jours, nous serons obligés d'archiver ta fiche et de supprimer malheureusement ton compte. Désolé de Lisa

A très bientôt je l'espère.
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime18.10.12 19:21

Désolée. J'avance lentement mais surement.
Je ne suis pas très présente, mais j'ai été plus prise que prévu par des voyages scolaires...

Bref. Inutile de supprimer. Je m'y remets et je veux bien un délai supplémentaire.

Je passe mon temps à créer des problèmes

Bisous
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime18.10.12 19:24

D'accord, pas de soucis pour le délai. Clin d'Oeil

Merci de nous avoir tenus au courant. Smile

Si tu as besoin que j'enlève certains de mes messages pour les besoins de ta fiche, n'hésite pas à me le dire.
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime29.10.12 0:48

J'AI presque FINI !!!!!

Je voulais savoir si je pouvais changer l'avatar. Je n'aime pas vraiment Emma Stones, je trouve qu'elle fait plastique

Dieux et déesses du forums, pourrez la changer en Rachel Hurd Wood Triste Incliner .

J'ai évidemment fait attention à la garder rousse et elle n'est pas dans la liste des avatars pris. Banane Banane Banane Sil vous plait.
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime29.10.12 19:54

J'ai enfin FINI !!!! Banane Banane Banane Banane Banane Banane Banane


Je m’excuse de mon retard, de la maigre longueur et qualité. Et du fait que je suis très embêtante Siffle. Et pour l'avatar à la mauvaise taille. J'ai longuement essayé et je n'ai pas réussi. Donc, je m'en excuse platement en espérant qu'on trouve une solution Pervers

Puis-je être validée chers dieux ? Ou y a t-il un problème pour le personnage, quelque(s) chose(s) que je devrais modifié.

Je vous aime In Love

Al
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime29.10.12 19:55

Bonsoir Marie ^^

Suite à ta demande par mp, le staff a décidé de te laisser changer d'avatar, Emma Stone nous semblait plus pétillante pour le rôle mais on peut comprendre que tu te sentes mieux avec une autre actrice. Tu peux donc prendre Rachel Hurd Wood. Wink Pour mettre ton avatar aux normes 200*320, passe par des hébergeurs d'images, comme casimages, servimg ou hostingpics.

Ca c'était pour la bonne nouvelle, j'en ai une moins bonne, c'est qu'il va falloir revoir un peu ta fiche.

En effet la façon dont tu écris ta fiche est un peu trop paternaliste du côté de Maxence. ça donne un sacré côté macho, cette fille fragile qui veut être à tout prix protégée par son mari. On aimerait donc que tu revois un peu la rédaction de ta fiche.

Autre petit problème : le code du modèle de présentation. Que s'est-il passé ? Shocked ça déforme tout et ça fait bizarre. Razz Apparemment il ne manque aucune balise, as tu désactivé le html, tu peux le voir en éditant dans la partie options. Wink

Voilà Smile

Merci pour ta compréhension.

PS : Nous avons écrit nos messages en même temps. Wink D'ailleurs, s'il te plait arrête de double poster pour nous prévenir que tu as terminé ta fiche ou d'envoyer des mps, une seule fois suffit. Ce n'est pas méchant hein mais si nous répondons pas tout de suite, c'est que nous avons une vie IRL. Nous demandons un peu de patience de la part de nos membres. ^^ J'espère que tu comprends. ^^
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime29.10.12 21:53

Bonsoir Lisa

Toutes mes excuses pour les appels répétitifs dirais-je, mais mon ordi a passé l’après-midi à beuguer. Je ne pensais donc pas que les messages avaient marché. Excusez-moi, j'en suis navrée.

Commençons par ce qui m'énerve un peu. Pour l'avatar, j'ai essayé beaucoup, sur d'autres forums et il ne marche pas correctement qu'ici. Ensuite, j'utilise Hostingpics. Le forum refuse, je n'y arrive pas et je ne suis pas idiote. J'ai longuement essayé et rien du tout. Désolée, mais j'ai fait ce que j'ai pu. Voici mon lien Hostings qui ne marche pas à mon grand désarroi :
Code:
[URL=http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=9889422bmp10.jpg][IMG]http://img11.hostingpics.net/pics/9889422bmp10.jpg[/IMG][/URL]

Ensuite, j'ai revu ma fiche. J'avais compris cela dans la fiche. Je me suis trompée, j'ai corrigé et expliquer les raisons de sa déception. Cela va-t-il ?

Merci beaucoup pour l'avatar. J'ai passé l’après-midi à chercher des images au cas où. Et Rachel a une robe "d'époque" sur certains. Je vous remercie sincèrement Incliner Incliner Incliner

J'avais déactivé le HTLM. Je l'ai remis à la normal. Je pense que c'est bon. A vous de juger

Al/Marie
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime31.10.12 23:04

Bonsoir Marie

Je suis assez embêtée te concernant. scratch Malgré tes modifications, tu ne t'es pas appropriée Marie, comme on l'imaginait. Je ne sais pas, c'est une version un peu trop édulcorée, on a rien contre un peu de romantisme ou de fragilité, mais comment dire ... Elle est encore trop fleur bleue. Désolé de Lisa Je vais te paraître chieuse, mais on a mis tellement de temps avec ma collègue pour penser puis écrire la bio, puis écrire les liens de nos prédéfinis, que l'on veut les voir entre de bonnes mains. Ce n'est pas qu'avec toi Marie ne l'est pas, mais il manque ce petit quelque chose, on dirait que tu survoles le personnage, que tu ne grattes pas bien la surface. Peut-être parce qu'au début ce n'était pas ce personnage que tu voulais. C'est possible.

Du coup j'ai peur qu'une fois validée, si tu n'as pas bien compris qui tu vas interpréter, ça coince carrément, autant avec toi même qu'avec les autres, tes liens prédéfinis et ceux qui ne le sont pas. Ils n'auront pas l'image de la Marie qu'ils ont imaginé, qui est notre vision. Bien sûr que nous laissons énormément de marge aux joueurs d'imaginer ce qu'ils veulent, bien sûr qu'il ne s'agit que de grandes lignes, mais là c'est trop : J'ai besoin de me sentir protégée. Tu ne l'as pas bien cernée. Désolé de Lisa

Ça me chagrine un peu de te dire ça, car malgré quelques fautes d'orthographe, tu écris plutôt bien et tout ... mais je suis obligée de me rendre à l'évidence.

Comme pour Elisabeth, j'ai peur qu'à revenir 100 fois sur ta fiche, tu te démotives, ça te saoûle etc etc ... c'est déjà ma énième intervention. Sache que ce n'est rien de personnel. Je ne vais pas te demander non plus de changer encore une fois de personnage, ça ferait too much là aussi. Je préfère te dire non en espérant que tu comprendras pourquoi nous te refusons et que l'on a absolument rien contre toi.

Je te souhaite bonne continuation Al. ^^
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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime01.11.12 18:33

Je double poste pour te dire que je prends bien en compte ta demande de changement de personnage. Je ferai les modifications demain une fois que nous en aurons reparlé et que j'aurai pu t'aiguiller sur plusieurs autres pistes parmi lesquelles tu feras ton choix ...

Ta grande motivation pour le forum que tu m'as très bien exprimée par mp et le fait que malgré ton jeune âge ton orthographe soit bon et ton style sympathique, m'a convaincue de te donner ta chance avec quelqu'un d'autre à incarner. Clin d'Oeil

A demain donc, j'archiverai bien sûr cette fiche là puisqu'elle n'aura plus lieu d'être. Clin d'Oeil

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MessageSujet: Re: On peut tenter le diable et se brûler les ailes... ♣ Marie D'Assérac   On peut tenter le diable et se brûler les ailes...  ♣ Marie D'Assérac Icon_minitime

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