"Les yeux ne vieillissent pas, l’alentour prend des rides mais le regard sera toujours le même..." Joséphine

PRÉNOM


NOM

(AVATAR)

« CITATION CITATION CITATION »

► Âge : 24 ans.
► Comédienne dans la troupe de Molière, joue plus particulièrement les rôles de Coquettes, d'ingénues et d'amoureuse.
► Française.
► Mariée, elle fuit son époux qui la tapait régulièrement.
► Catholique.
► Hétérosexuelle.

♕ PROTOCOLE ♕

► VERSAILLES : PARADIS OU ENFER ?

Quand elle a du me produire pour la toute première fois à Versailles elle était enchantée, c'était pour elle, une simple fille venant de la campagne, un réel honneur. Ce château était un plaisir pour les yeux, mais malheureusement ça s'arrêter là. Il faut bien avoué qu'elle n'est pas le modèle de la bienséance, bien que je n'aille pas jusqu'à dire qu'elle n'ai aucun savoir vivre... Elle n'est juste pas de celle qui essaye d'attirer l'attention en faisant les yeux doux. D'aussi loin qu'elle se souvienne, elle a toujours été d'une grande spontanéité, et c'est surement pour cette raison qu'elle s'attire quelques regards mauvais de la part de femmes le plus souvent.

► COMPLOT : VÉRITÉ OU FANTASME PUR ?

Joséphine n'est pas a Paris depuis un long moment, mais elle est certaine qu'il y a du complot dans l'air, et ça ne lui plait absolument pas. Même si elle est totalement contre ces agissements de l'ombre, elle ne fait rien, évitant de s'attirer plus d'ennuis qu'elle en a déjà. Mais parfois, elle se surprend a vouloir en attraper pour leurs régler leurs compte. Mieux vaut être discrète, si elle se fait trop remarquer, son mari pourrait la retrouver...

► COLOMBE OU VIPÈRE ?

La jeune femme n'est pas du genre à prendre part aux médisances et autres. Bien qu'il ne soit pas inconcevable qu'elle dise quelques méchancetés à certaines femmes de la cour de temps à autre. En ce qui concerne les ragots, ce n'est pas vraiment sa tasse de thé, elle en entend quelques fois sans trop s'en intéresser.

► DES LOISIRS, DES ENVIES A CONFIER ?

►Le théâtre ; depuis qu'elle joue dans cette troupe, elle y prend goût. Joué un rôle pour échapper à ses démons...
►Rire ; s'il y a bien une chose qu'elle fait souvent c'est rire, habituellement avec Charlotte, même si elle fait partie de la troupe opposée.
►Se balader ; Durant toute son enfance pour échapper aux cris à la maison, elle s'en allait marcher dans la forêt, depuis sa lui est resté, elle ne peut pas passer une seule journée sans sortir marcher un moment.

♕ HOP, RÉVÉRENCE ! ♕

► Prénom/pseudo : Elora
► 15 ans
► 5/7 ; Je serais beaucoup moins présente lors des vacances d'été.
► Code du règlement
► J'ai connu le Forum sur ForumGratuit.Org
► J'adore vraiment le contexte de ce RPG.

BIOGRAPHIE

VERSAILLAISE

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On dit souvent la campagne tranquille, surtout dans le sud de la France, une comédienne vous prouvera le contraire. Joséphine a toujours été témoin de violence conjugale. Son père fut le premier à lui démontrer toute l’agressivité dont les hommes pouvaient être capables, non pas en s'en prenant à elle mais à sa belle-mère. Joséphine ne l'aimait pas, trouvait cette femme idiote. Non pas qu’elle méritait les coups et les injures. Non ce n’était pas cela et personne ne méritait une telle chose. Mais elle se refusait à devenir comme cela : soumise et sous l'emprise d'un homme. Alors pour passer le temps, l'enfant partait dans les champs avec ses amis où elle s'amusait, loin des tensions familiales, et trouvait refuge chez des voisins amicaux où elle reçut une petite éducation, au moins savoir lire et écrire. Sa mère était morte deux ans auparavant et son père s'était remarié pour avoir une présence féminine à la maison. En grandissant, la demoiselle devint une jolie jeune femme et ne rendait pas les hommes indifférents. Elle était plus instruite que la plupart des filles de la campagne. Lorsqu'un vieux bourgeois vint donner une bonne somme pour qu'elle épouse son fils, le père ne se fit pas prier et offrit sa fille à un homme, qui se révéla fou et violent. C'était le début du cauchemar. Les années qui suivirent furent douloureuses pour Joséphine, à moitié séquestrée dans son nouveau chez soi et battue lorsque son époux n'était pas satisfait. Une fois, elle tomba enceinte et plutôt que de le garder, la jeune femme préféra s'en débarrasser en se jetant dans les escaliers. Un soir, elle saisit l'unique chance de s'enfuir : son mari avait oublié de fermer une fenêtre. La voilà donc en cavale. Paris lui tendit les bras et pour vivre, Joséphine enchaîna les emplois dans les tavernes ou de couturière. Finalement, elle se fit engager chez Molière comme couturière, secrétaire et, sur un coup de chance, un désistement d'une comédienne tombée enceinte, elle se fit engagée comme comédienne. Officiellement toujours mariée, Joséphine se fait appeler par le nom de jeune fille de sa mère et prie pour que son mari n'ait pas l'idée de venir la chercher sur Paris ou à Versailles. En attendant, elle vit en partie dans l'insouciance et sur les planches, mais garde une trame sombre et prie le soir pour que son mari ne la retrouve pas.