Alvise Contarini "la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu'amour"

TEXT

Raphaëlla Di Venezia Demie soeur et mère d substitution Sans elle, Alvise n'aurait pas eu de figure féminine avenante dans sa vie, et il est fort probable qu'il se serait mis à détester ou fuir les femmes. Remercions donc Raphaëlla d'avoir évité ce drame. Sa demie soeur est la seule des enfants Contarini à connaitre la vérité sur sa naissance, mais elle a toujours pris grand soin de le cacher aux étrangers et à Francesco. Malgré tous ses défauts, elle entend bien protéger ce petit frère de la méchanceté environnante du monde et le préserver du scandale. Elle s'efforce aussi de faire en sorte qu'Alvise reste ignorant de tout cela, ne voulant pas qu'il souffre à l'idée de ne pas être l'égal de ses frères et soeurs. Elle a toujours agi en mère poule avec le petit Alvise, se substituant à Paolina Contarini qui ignorait sciemment et copieusement le bâtard de son mari. Alvise lui est donc très attaché et a souffert de la voir éloignée de Venise par le biais d'un mauvais mariage mais il la soupçonne de lui cacher quelque chose et ne prend pas le silence pour réponse.

TEXTE

Sofia Di Parma Fantasme de l'homme, modèle préféré de l'artiste et ex fiancée du frère Bella come il sole! Alvise se laisse mener par le bout du nez sans faire de difficulté par la petite mais caractérielle princesse. Il la connait depuis son enfance, chose normale quand on pense qu'elle avait été un moment la fiancée de son frère idôlatré. Elle l'avait toujours fasciné, de loin, et maintenant qu'il a l'occasion de s'approcher d'elle et d'être pris au sérieux (du moins c'est ce qu'il pense) il en profite. Elle est pour lui l'incarnation humaine de la déesse de l'amour, la perfection faite femme. Ses rêves érotiques sont peuplés par son visage et il la fait poser pour lui aussi souvent que possible. Elle l'obsède littéralement bien qu'il n'en soit pas amoureux. Disons qu'elle est l'idéal même de la beauté pour lui.. sans compter le fait qu'elle ait été "aimée" par son frère , ce qui ajoute à sa valeur naturelle. Il n'arrive pas à comprendre ce qui a pu pousser son frère à abandonner pareille perle et culpabilise à sa place.

TEXTE

Eris d'Orival Liés par un fanatisme commun/ une relation ambiguë à trois personnes Il y avait donc un deuxième Contarini? La baronne d'Orival avait été étonnée . Pourtant dès qu'elle avait vu le jeune homme, ses cheveux bruns et ses yeux d'un bleu irréel, elle avait tout de suite su que c'était lui le frère de son aimé, c'était aussi évident qu'un coup de pied dans un carreau. Ils se ressemblaient d'une façon troublante et puisqu'elle ne pouvait avoir Francesco, elle décida qu'Alvise suffirait bien pour le moment. Lui de son côté, avait été charmé instantanément lorsqu'il l'avait vu déclamé les vers de Monsieur Racine, auteur qu'il admirait par dessus tout. Elle avait été enchanteresse, habitée par son rôle et il s'était levé en applaudissant à tout rompre, débordant d'enthousiasme à l'Italienne, ce qui lui avait valu quelques regards surpris. Il savait qui elle était, son grand frère lui avait souvent parlé, avec un sourire de maniaque que décryptait maintenant parfaitement Alvise, d'une jeune fille qui se jetait à corps perdu dans ses bras, comédienne et baronne . Un étrange duo. Maintenant qu'il la voyait en chair et en os, il rêvait de pouvoir profiter des restes de son frère, une façon de s'identifier à son maitre pensant, un peu malsain je vous l'accorde. Depuis, ils se sont revus à plusieurs reprises, et leur relation s'est faite intime.. mais dans cette relation plâne l'ombre de Francesco, omniprésent. En définitive, ces deux là vivent une relation à trois de manière abstraite, Alvise et Eris pensant chacun à Francesco mais ne nourrissant aucun sentiment amoureux l'un pour l'autre

TEXT

Alaina of Cork Artiste amatrice et élève d'Alvise Quel étonnement pour Alvise lorsqu'il reçut des nouvelles de ce Monsieur Leperse qui lui avait tenu compagnie lors de ses tristes et longues heures à Rome dans la garde pontificale. Le jeune compositeur français était parti faire le grand Tour afin de trouver de nouvelles inspirations pour son art. . En mélomane averti Alvise n'avait pas hésité à aller parler à cet homme qui gribouillait des notes sur des bouts de papier.Il était doué, il avait de l'esprit, Alvise l'avait tout de suite apprécié. Et voilà que de retour en France, son ami lui parlait avec le plus grand enthousiasme d'une jeune demoiselle de la cour répondant au doux prénom d'Aline, une créature fantastique dansant comme personne et chantant comme un ange. Quand Alvise avait débarqué à Versailles, curieux, il avait recherché la jeune femme, se basant sur les indices fournis par Julien, une vague description physique, un prénom et un titre.( non l'utilisation du mot indice n'était pas voulu) Sans peine il l'avait retrouvé, s'était présenté rapidement et lui avait parlé de cet ami commun qui lui avait tant vanté ses talents. Puis avec un sourire enjôleur mais tout à fait innocent, il lui avait demandé si elle maitrisait aussi bien l'art du dessin? Quand elle avait répondu non, tout en joie, il lui avait proposé ses services et ma foi, elle n'avait pas refusé trouvant amusant le jeune homme. Le cours qui porterait sur les académies d'homme deviendrait sans nul doute un moment d'anthologie...

TEXTE

Francesco Di Venezia Grand frère et idole vénérée Merci de respecter mon travail et de ne pas redistribuer ce css ! Il a été codé par mes soins et le crédit en fin de message ne doit pas être enlevé ! Diamine (: www.mycandids.tk Et voilà le Lorem Ipsum ! Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Fusce ullamcorper nisl eget lectus commodo vehicula. Phasellus cursus suscipit ipsum, pretium blandit tellus blandit a. Cras sed erat a est adipiscing sollicitudin. Quisque non nulla at diam rhoncus cursus. Proin laoreet tristique nisi id dictum. Duis ac orci eu est vulputate porttitor ac non sapien.

TEXTE

Michele Barberini Homme détesté par tous qu'il lui faut protéger. Enragé violent à maitriser. Merci de respecter mon travail et de ne pas redistribuer ce css ! Il a été codé par mes soins et le crédit en fin de message ne doit pas être enlevé ! Diamine (: www.mycandids.tk Et voilà le Lorem Ipsum ! Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Fusce ullamcorper nisl eget lectus commodo vehicula. Phasellus cursus suscipit ipsum, pretium blandit tellus blandit a. Cras sed erat a est adipiscing sollicitudin. Quisque non nulla at diam rhoncus cursus. Proin laoreet tristique nisi id dictum. Duis ac orci eu est vulputate porttitor ac non sapien.

TEXTE

Luigi Di Paliano, Ennemi du précédent. Une réelle amitié ou bien un jeu de dupes? L'amitié entre deux personnes originaires de la botte, une utopie? On pourrait le croire car les quelques Italiens qui évoluent à Versailles semblent tous se détester cordialement. Alvise n'avait jamais adressé la parole au prince Colonna. Après tout il n'avait pas grand chose de recommandable pour lui, sa muse le détestait, son frère crachait presque son nom et Barberini.... bon, son opinion n'était pas vraiment à prendre en compte puisque celui ci détestait à peu près le monde entier, mais le tressautement de sa veine frontale et les gestes qu'il faisait de la main lorsqu'on lui parlait de Luigi Di Paliano étaient plus qu'évocateurs des sentiments qu'il éprouvait à l'égard de son cousin. Bien sûr, étant chargé de la protection rapprochée de Barberini, le jeune Contarini n'a pas besoin de voir ces réactions quasi allergiques de son "patron" pour être au courant de la haine que se vouent les deux cousins. Soucieux de mener à bien sa mission, et sachant cela, il a donc décidé de se rapprocher de Luigi, car il est souvent dit qu'il faut savoir garder ses ennemis près de soit pour pouvoir mieux les surveiller... et puis surtout pour apprendre à les connaitre afin d'être capable de prévoir leurs mouvements. Ce qu'il ne sait pas c'est que Luigi, lui même, a suivi un raisonnement quasiment similaire et se sert de lui pour glaner des informations afin de pousser pousser Barberini à sa perte. Quoi de mieux que de se rapprocher de la personne chargé d'assurer la sécurité de sa proie pour s'approcher de celle ci impunément pour faire son oeuvre. Sauf qu'au final, et plutôt surpris de cela - Alvise ayant bu les paroles de Sofia qui insultait copieusement Colonna, le croyait digne du voyou de la pire espèce et Luigi ayant quant à lui déduit des fréquentations d'Alvise et de l'identité de son frère qu'il devait être un être borné et stupide - les deux s'entendent remarquablement bien et seraient presque pour ainsi dire amis, discutant de tout et de rien et partageant une sensibilité commune. Sauf qu'utiliser un ami pour arriver à ses fins.. ce n'est pas précisément très amical..Barberini est donc à l'origine de leur amitié, mais également la personne qui se dresse entre eux. Sans compter que Luigi est au courant de l'origine peu glorieuse d'Alvise, dont celui ci est totalement ignorant, ce qui pourrait altérer la relation des deux jeunes gens, mais bien sûr, tout dépend de la suite des évènements!

J'avais dit que je viendrais

En fait quand Alvise était encore un scénario, j'avais réfléchi au lien Barberini/Alvise mais aussi à un potentiel lien Alvise/Luigi Vu qu'on a du monde en commun, ça me semblait logique puis nous formons une communauté d'italiens alors autant se lier, même si la plupart se détestent entre eux

J'avais plusieurs idées mais j'ai une petite base déjà. Luigi a bossé au Vatican durant plusieurs années, il a été espion pour son oncle et sait de nombreux secrets de famille, surtout sur les grandes familles. Vu que les Contarini en sont une, on peut dire qu'il y a un cardinal Contarini (il y en a déjà eu dans le passé) et qu'en enquêtant sur eux, Luigi et son oncle soient tombés sur la bâtardise d'Alvise. C'est le genre d'informations qu'on garde bien précieusement bien sûr, qui pourrait resservir à l'occasion (et j'ai même une occasion pour la ressortir ). Donc Luigi serait au courant de la véritable naissance d'Alvise.

Après pour leur relation en elle-même, j'ai plusieurs idées :

1° Luigi se rapproche d'Alvise vu qu'il est le garde du corps de Barberini. Luigi et Barberini sont cousins mais ne peuvent pas se voir, une genre de vendetta qu'ils perdurent et chacun aimerait voir l'autre mort. Mais en ayant le garde du corps dans sa poche, Luigi pourrait s'approcher plus facilement de son ennemi. Bien sûr, Luigi n'est pas sans cœur, il trouverait Alvise sympathique puis intelligent, ils pourraient avoir de longues conversations ensemble car ils apprécient les belles choses et ont une grande culture. Ce serait une relation à double-niveau en fait : le côté pro qui pousse Luigi a utiliser Alvise et le côté perso qui le prend en ami.

2° Alvise a trois grands ennemis de Luigi en proches : Barberini, Sofia et Francesco. Le premier est une vendetta perpetuelle, la 2e est une haine indéfectible et le 3e Luigi l'a séduit pour lui voler des documents Sûrement que les trois ont pu parler de Luigi à Alvise qui le détesterait, influencé par les autres. Là soit Alvise peut aussi devenir un ennemi de Luigi ou, + fourbe, il pourrait être utilisé par un des trois pour s'approcher de Luigi, s'en faire un ami pour mieux le trahir.

3° Mixer les deux idées En gros hacun se sert de l'autre mais en fait ils commencent à bien s'apprécier

Ah j'aime quand on vient à moi avec des idées (je suis une fainéasse mais j'assume ) et en plus elles sont toujours parfaites ces idées, jamais rien à redire

Bon alors j'ai fait un petit résumé.. j'aime bien faire ça, tu me dis si ça concorde avec ta vision des choses et si je respecte bien l'idée générale?!

L'amitié entre deux personnes originaires de la botte, une utopie? On pourrait le croire car les quelques Italiens qui évoluent à Versailles semblent tous se détester cordialement. Alvise n'avait jamais adressé la parole au prince Colonna. Après tout il n'avait pas grand chose de recommandable pour lui, sa muse le détestait, son frère crachait presque son nom et Barberini.... bon, son opinion n'était pas vraiment à prendre en compte puisque celui ci détestait à peu près le monde entier, mais le tressautement de sa veine frontale et les gestes qu'il faisait de la main lorsqu'on lui parlait de Luigi Di Paliano étaient plus qu'évocateurs des sentiments qu'il éprouvait à l'égard de son cousin. Bien sûr, étant chargé de la protection rapprochée de Barberini, le jeune Contarini n'a pas besoin de voir ces réactions quasi allergiques de son "patron" pour être au courant de la haine que se vouent les deux cousins. Soucieux de mener à bien sa mission, et sachant cela, il a donc décidé de se rapprocher de Luigi, car il est souvent dit qu'il faut savoir garder ses ennemis près de soit pour pouvoir mieux les surveiller... et puis surtout pour apprendre à les connaitre afin d'être capable de prévoir leurs mouvements. Ce qu'il ne sait pas c'est que Luigi, lui même, a suivi un raisonnement quasiment similaire et se sert de lui pour glaner des informations afin de pouvoir pousser pousser Barberini à sa perte. Quoi de mieux que de se rapprocher de la personne chargé d'assurer la sécurité de sa proie pour s'approcher de celle ci impunément pour faire son oeuvre. Sauf qu'au final, et plutôt surpris de cela - Alvise ayant bu les paroles de Sofia qui insultait copieusement Colonna le croyait digne du voyou de la pire espèce et Luigi ayant quant à lui déduit des fréquentations d'Alvise et de l'identité de son frère qu'il devait être un être borné et stupide, absolument abominable- les deux s'entendent remarquablement bien et seraient presque pour ainsi dire amis, discutant de tout et de rien et partageant une sensibilité commune.
Sauf qu'utiliser un ami pour arriver à ses fins.. ce n'est pas précisément très amical..Barberini est donc à l'origine de leur amitié, mais également la personne qui se dresse entre eux.
Sans compter que Luigi est au courant de l'origine peu glorieuse d'Alvise, dont celui ci est ignorant, ce qui pourrait altérer la relation des deux jeunes gens, mais bien sûr, tout dépend de la suite des évènements!

Tu as ... parfaitement résumé la situation
Ca c'est du lien rapide

Je suis repassée sur le fofo pile au moment où tu as posté aussi

Bon bah on voit à travers ce "résumé" que je ne suis pas douée pour la synthèse allez je te rajoute illico presto!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

En même temps, il y a beaucoup à dire

Pour ma part, voici ma rédaction :

Alvise di Venezia Un Contarini à la solde de Barberini et petit toutou d'une Farnèse ? Ca semblait très mal parti ! Mais Luigi en excellente tête brûlée a décidé de relever le défi : amadouer Alvise, se faire passer pour un ami pour se rapprocher de son mortel ennemi, Michele Barberini. Ce que l'espion ne sait pas, c'est qu'Alvise, nourri de la haine de trois personnes, fait la même chose. Ils sont partis sur une amitié purement hypocrite comme Versailles connaît si bien. Mais à parler d'art, littérature et philosophie, ils se sont découverts des points communs et, mieux encore, une vraie amitié est née. C'est fâcheux car Luigi ne veut pas utiliser ni trahir un ami, surtout qu'il est si rare de voir deux italiens s'entendre. Puis Colonna sait beaucoup de choses grâce à ses entrées au Vatican, comme le fait qu'Alvise n'est pas un enfant issu du couple Contarini, et cette information, bien que confidentielle, pourrait se révéler utile un jour ...

J'ai essayé de pas faire trop long

Magnifique, voilà un vrai résumé!! Pas comme le mien

Toutou d'une Farnèse, non mais oh
Oui bon c'est vrai qu'il est tout sucre tout miel avec Sofia

Comme je n'ai plus Éris, j'aurais voulu avoir un nouveau lien avec le beau Alvise.

Est-ce que tu as de la place pour Athénaïs dans ton petit coeur?

Contente de te voir de retour dans les parages !

J'ai pas encore fait de MAJ comme tu as pu voir. Mais ça ne saurait tarder.
Oh mais le petit coeur d'Alvise est tout prêt à accueillir Athénaïs. Encore que je n'ai pas encore d'idée sur ce qui pourrait lier ce benjamin de la famille du doge à la Montespan. Je mets mon cerveau en mode on pour y réfléchir.

Deux phrases de ta fiche m'ont fait tiquer, parce qu'il y a définitivement quelque chose à faire:

«Adorateur de la beauté sous toutes ses formes (même les plus diaboliques)

Manie aussi bien le pinceau, le fusain etc.. que la rapière.»

Tu connais évidemment un peu le caractère de la Montespan, je n'ai pas besoin de te faire un dessin

J'imaginais un peu faire un mélange des liens qu'Éris avait avec Alvise et qu'Athénaïs avait avec Henri (elle en faisait son jeune amant, il était distrayant, jeune et naïf, mais elle se faisait prendre à son propre jeu comme elle tombait "un peu" amoureuse de lui, et il partait à la guerre et Athé s'inquiétait pour son petit protégé).

Alors je pensais qu'Athénaïs pourrait avoir recruté Alvise pour peindre un portrait sensuel et un brin érotique d'elle pour le Roi. Évidemment, elle doit être un peu déshabillée, question de mettre mal à l'aise Alvise Athé le trouve mignon, elle aime bien voir l'effet qu'elle a sur lui. Au fur et à mesure des séances, il y a une complicité qui se créé et Athé commence par prendre Alvise comme un petit protégé, et plus si affinités?

Hop hop hop j'ai rédigé ça, dis moi si c'est bien ce que tu avais en tête , et désolée pour le retard:

Contrairement à son frère, Alvise n'était pas un homme à femmes. Il se contentait souvent de les admirer de loin et de fantasmer à leurs propos,on le voyait rarement passer à l'attaque à tel point que certains prétendaient du vénitien qu'il avait des mœurs florentines.

Il n'avait en effet jamais été un séducteur, et cela était d'autant plus vrai depuis que son amante la belle comédienne Eris s'était évanouie dans la nature sans prendre la peine de lui faire ses adieux. Etre ainsi abandonné l'avait déterminé à conserver une attitude passive devant les femmes.

Qu'à cela ne tienne, certaines femmes n'avaient pas peur de prendre les devants.La rumeur disait d'Athénaïs de Montespan qu'elle était de celles ci. Et justement, elle l'avait abordé avec l'intention de se faire faire le portrait. Il s'était attendu à devoir la portraiturer en diane chasseresse, mais voilà qu'elle s'était dévoilée à lui dans son plus simple appareil.Dieu qu'elle était splendide. Il n'en était pas à son premier nu mais il y avait dans l'attitude de la Montespan quelque chose qui le mettait mal à l'aise. Il se sentait comme une brebis prise au piège face au loup...

On pourra éventuellement mettre ça en branle. J'aime bien l'idée qu'Athénaïs se pense au dessus de tout ces stupides sentiments, mais finalement, oops! elle est comme les autres et se retrouve sous le charme d'un jeunot.
Je t'ajoute dès maintenant