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 Marie Fouquet [Terminé]

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Marie Fouquet [Terminé] Empty
MessageSujet: Marie Fouquet [Terminé]   Marie Fouquet [Terminé] Icon_minitime14.01.11 16:49

Marie FOUQUET
_______ ft. (Rachel McAdams)
Marie Fouquet [Terminé] 14w53c6


    ► Âge : 26 ans
    ► Titre(s) (ou profession) : Marquise de Valbrune
    ► Origines : Issue d'une famille française de haute extraction, à présent déchue.
    ► Situation Maritale : Célibataire


    « Il était une fois ... »

    ~ Prélude :

    ▬ Cela a commencé ?
    ▬ Oui, monsieur le Marquis.
    ▬ Veillez à ce que Madame ne manque de rien.
    ▬ Bien, monsieur.

    Un cri se faisait entendre. Un cri qui résonnait dans l'immense bâtisse. Un bâtiment somptueux, digne du rang de ses propriétaires. Le manoir s'étendait sur plus de 1500 mètres carrés, sans compter les hectares de domaine qui l'environnait. Mais rien n'était trop beau pour une des famille qui commençait à devenir puissante. En cette soirée donc, le manoir résonne des cris d'une femme. Une femme qui n'est autre que la Marquise. Pour une fois dans sa vie, elle n'est plus un titre, un rang, c'est juste une femme qui souffre des douleurs de l'enfantement. Les dames de chambre se pressent autour d'elle, lui tenant la main tandis que la sage-femme guide ses efforts pour la délivrance.

    ▬ Respirez, madame. Vous y êtes presque ! Encore un petit effort.

    Des halètements, des râles. Et soudain, un cri. Un cri strident, vivant. De petits poumons avalent goulûment l'air, avide d'oxygène. De vie. La femme étendue dans le lit a les traits tirés, la mine pâle. Mais un maigre sourire inquiet étire ses lèvres. La sage-femme enveloppe délicatement le nouveau-né dans des langes. La mère se redresse, visiblement tendue. Sa voix fatiguée résonne alors :

    ▬ Et bien ?
    ▬ C'est une fille en très bonne santé, madame la Marquise.

    La déception se peint sur les traits de la jeune femme.

    ▬ Allez en informer Monsieur.

    La sage-femme disparaît après avoir déposé doucement le bébé dans son landeau prévu à cet effet. Quelques minutes plus tard, le Marquis pénètre dans la pièce. Son visage est neutre et un léger sourire l'éclaire. Il fait quelques pas et contemple le bébé. Puis, il tourne la tête vers son épouse.

    ▬ Vous avez comblé tous nos vœux avec cette petite fille, très chère. Elle est le gage que le Marquis peut avoir un héritier en bonne santé. Je vous laisse vous reposer à présent.

    Nicolas Fouquet fait demi-tour et s'apprête à sortir. Soudain, il s'arrête et demande :

    ▬ Mais au fait, Madame, avez-vous songé à un prénom qui vous ferait plaisir ?
    ▬ Oui... Marie.

    ~ Chapitre 1 - L'enfance :

    ▬ Mademoiselle, je vous en conjure, vous allez avoir des ennuis !

    La nurse ne savait plus où donner de la tête. Marie avait grandi. Elle était à présent âgée de 6 ans et ne tenait pas en place. Certes, elle pouvait être une enfant patiente mais elle était également d'une impulsivité incroyable. Très intelligente, elle savait manipuler son entourage, avec habileté, pour réussir à échapper à la surveillance des adultes. Ses grands yeux au regard sombre mettaient bon nombre de personnes mal à l'aise. Elle avait un air réfléchi. On sentait dans son regard qu'elle analysait son environnement en permanence. Marie était plutôt grande pour son âge et fine. Elle avait vécu les six premières années de sa vie dans une ambiance stricte mais choyée. Elle était, pour le moment, l'héritière de la famille et se devait de tenir son rang. Sa mère étant morte peu de temps après l'avoir mise au monde, elle ne connut que sa belle-mère, la femme que son père avait épousé en secondes noces. L'ascension de son père avait été fulgurante. Marie l'avait suivi, émerveillée par les nouvelles richesses qui semblaient inépuisables. On lui avait appris la musique, la littérature, l'art de se conduire en société. Cours de culture générale, d'anglais, d'escrime, d'équitation. Tout ce qu'une future Marquise se devait de savoir. Mais l'enfant avait souvent besoin de s'échapper, de s'évader. Lors de ses rares pauses, elle se glissait à l'insu de sa nurse dans le domaine et grimpait en haut de son arbre favori. Un immense chêne, plusieurs fois centenaire. Marie tentait toujours d'aller plus haut chaque fois. Ce qui créait des sueurs froides à Marguerite, sa nurse. Elle avait aujourd'hui renouvelé l'expérience et se tenait sur une branche massive de l'arbre. Elle s'amusait de voir Marguerite si petite en dessous d'elle.

    ▬ Mademoiselle, s'il vous plaît, descendez ! Si Monsieur le Marquis vous voit, je risque ma place !
    ▬ Ne vous en faites pas, Marguerite. Père travaille, il n'en aura même pas connaissance.

    Marie continua donc prudemment son ascension. Elle entendit un cri et son regard tomba sur Marguerite qui avait plaqué ses mains sur sa bouche. Que se passait-il ? Marie suivit des yeux ce que fixait d'un air hébété sa nurse. Et là, son coeur rata un battement. Son père traversait le domaine d'un pas rapide. Nul doute que Marie allait passé un sale quart d'heure. La petite fille descendit à toute allure de l'arbre, manquant de tomber. La gorge serrée, elle resta immobile, bien droite, essayant discrètement de nettoyer les traces de lichen qui avaient taché sa robe. Le Marquis se tenait à présent devant sa fille. Marguerite n'en menait pas large. Aussi, la surprise fut grande lorsqu'un grand sourire illumina les traits de Monsieur le Marquis.

    ▬ Vite, Marie. Venez avec moi.

    Interdit, elle suivit son père qui marchait à une vitesse incroyable. Ils parcourent les longs couloirs, ne s'arrêtant à aucune porte. Finalement, arrivés tout au bout de l'aile ouest, son père ouvrit la porte donnant sur une pièce dans l'obscurité. Marie interrogea son père du regard et celui-ci lui fit signe d'entrer. Elsa aperçut alors un groupe d'hommes armés avec à leur tête un grand homme à l'air arrogant. Son père se rapprocha et lui posa la main sur l'épaule.

    ▬ Marie, je dois partir avec ces gens. Je ne vous reverrais peut-être plus. Il y a une promesse que j'ai faite au Roi que je n'ai pas tenu. Vous saurez tout le moment venu, mon enfant.

    Marie sentait les larmes lui monter aux yeux mais elle se contint et ne dit rien. Elle se tourna vers son père. Le Marquis la serra contre lui, puis, suivit les hommes armés. Marie subit alors la chute, la déchéance. Elle resta avec sa belle-mère, ruminant des idées de vengeance.


    ~ Chapitre 2 - La découverte :

    ▬ Ne bougez pas tant, je n'arriverai jamais à finir votre coiffure !!

    Marguerite avait pris de l'âge, mais elle n'avait guère changé. Marie, elle, par contre, était presque devenue une femme. A 21 ans, elle avait fière allure. Des cheveux mi-longs, d'un châtain foncé, un visage fin, d'une beauté sauvage, des lèvres charmantes, un regard enjôleur. Son tempérament s'était également affirmé, avait mûri. Elle était sérieuse et calme, mais restait impulsive. Elle était devenue une jeune femme très cultivée, aimant même apprendre. En somme, un bon parti, comme on le définissait dans les familles riches. Tout cela, grâce aux grands penseurs qu'elle avait fréquenté dans les salons pendant son enfance. Mais la rage et le désir de vengeance habitait son coeur. Elle était ainsi venue à la Cour de France pour tenter de retrouver un rang perdu. Elle avait eu de nombreuses propositions de mariage de familles puissantes cherchant à caser leurs fils. Mais elle avait toujours refusé. Marie grimaça. Ses cheveux étaient bien trop tirés. Mais elle devait paraître sous son meilleur jour. Un jeune homme d'une famille très riche, très influente lui était proposé et sa belle-mère semblait emballée par cette proposition. Un bal avait donc été organisé afin de permettre aux deux jeunes gens de se rencontrer. Marie ne se faisait aucune illusion. Ce n'était que pure formalité, le mariage étant déjà sûrement arrangé entre les deux familles. Peu lui importait, après tout. Celui-là ou un autre. Elle refuserait. Enfin prête, elle sortit de sa chambre, saluant Françoise d'Aubigné au passage. Cette jeune femme était sa meilleure amie. Elles se fréquentaient régulièrement dans les salons :

    ▬ Bonsoir, Françoise.
    ▬ Marie. Prête pour voir votre cher et tendre ?
    ▬ Comme un condamné pourrait l'être.
    ▬ Vous parlez comme une femme allant à l'abattoir. Ce n'est pas si terrible, le mariage.
    ▬ On voit bien que vous n'êtes pas consciente de ce que vous dites.
    ▬ Parlons de choses plus joyeuses, savez-vous que Charles d'Hozier sera présent ?
    ▬ Non, je l'ignorais.

    Le bal battait son plein. Marie entra dans la grande salle de réception. Les lumières, les décorations de bon goût, les mets raffinés, tout avait été fait pour impressionner la famille de son futur époux. Marie se sentait étrangère à tout cela. On la mariait comme on vendait du bétail, sans lui demander son avis. Comment aurait-elle pu se sentir concernée ? Son père se plaça à côté d'elle et ils saluèrent les parents du jeune promis. Marie dévisagea le jeune homme. Sans réelle beauté, sans apprêt, il était bien fade. Il ne semblait pas particulièrement intelligent et, au bout de quelques minutes, Marie se rendit compte qu'il n'avait pas davantage de conversation. Elle resta le temps que la courtoisie imposait puis, s'excusant, se dirigea vers le buffet où elle allait demander un verre de champagne. Quand soudain, elle failli rentrer de plein fouet dans une personne qui, manifestement, ne faisait absolument pas attention. Agacée, elle s'apprêtait à lui faire une remarque cinglante, lorsque le jeune homme se retourna. Un visage d'une beauté diaphane, la couleur sombre de cheveux à la texture de soie, un regard noisette. Elle sourit. Ne trouvant rien à dire, elle l'observait avec un air de parfait idiote. Le jeune homme lui jeta un coup d'oeil amusé et lança :

    ▬ Je vous ai connu plus bavarde, ma chère. Est-ce votre mariage qui vous rend ainsi aphone ?

    Marie secoua sa torpeur. Il s'agissait donc de Charles d'Hozier... Elle répondit péniblement, ne se sentant bizarrement pas très bien :

    ▬ Ce n'est que votre beauté qui me trouble, mon ami. Vous avez bien changé depuis que nous nous sommes vus.

    Et soudain, on entendit un cri dans la pièce :

    ▬ Place, place ! La grande danseuse Mme de La Courcelles !

    Marie, surprise, se retourna et contempla le plus beau spectacle de danse qu'il lui eut été donné de voir. Lorsqu'elle se retourna, Charles d'Hozier avait disparu... La fuyait-il ?


    ~ Chapitre 3 - La rebellion :

    Marie avait, une fois de plus, rejeté cet énième prétendant. La jeune femme ne manquait pas de visiter son malheureux père, enfermé à Pignerol. Cette journée, elle se faisait belle pour se rendre dans l'horrible cachot enfermant son paternel. La jeune femme monta dans une voiture élégante qui la déposa devant la bâtisse fortifiée. Poussant un léger soupir, elle montra le laissez-passer qu'elle possédait au garde avant de passer les grilles de la sinistre bâtisse. Elle se dirigea vers le cachot qu'elle avait visité tant de fois... Elle marchait donc d'un bon pas, ayant hâte de revoir celui qui lui manquait tant, quand soudain...

    ▬ AAaaah !!!!

    Marie avait poussé un cri d'effroi. Une ombre s'était dressée devant elle, le visage masqué. Le coeur de la jeune femme battait la chamade et elle mit un temps fou à se calmer. Les gardes étaient accourus pour finalement avoir un sourire ironique. Ils tentèrent de la raisonner. Finalement, ils y parvinrent. Ce n'était qu'un prisonnier dont personne n'avait le droit de voir le visage...

    ▬ Excusez-moi, monsieur. Croyez bien que je ne voulais pas vous offenser mais vous m'avez fait si peur...

    L'homme rit et la rassura. Ils parlèrent finalement assez longtemps, si bien que la jeune femme finit par oublier qu'elle était venue voir son père... Elle salua l'inconnu et finit par rejoindre son père et échanger des nouvelles avec lui.

    Revenue chez elle, Marie resta de longues journée mélancoliques. Le souvenir du jeune homme mystérieux, masqué, dont le regard azur était si intense ne cessait d'obséder ses pensées. Elle devait lui dire. Un soir, Marie alla donc, en tout discrétion, dans une taverne. Elle cherchait quelqu'un de bien précis. Elle salua le tavernier.

    ▬ Un verre d'eau seulement.

    L'homme la regarda de travers et partit lui rapporter une cruche d'eau. Marie localisa rapidement une femme du peuple. Sa tenue mangée par les mites lui indiqua qu'il s'agissait du type de personne qu'elle recherchait. A entendre les hommes crier autour d'elle, la jeune fille devait être comédienne. Marie attendit que l'effervescence se calme et s'installa finalement en face de la jeune femme.

    ▬ Bonsoir. Cela te dirait de gagner mieux ta vie, jeune fille ?

    ▬ Il faut voir, belle dame. Que voulez-vous en échange ?

    Marie sourit. Elle tendit une bourse pleine d'or et murmura :

    ▬ Je te demande seulement d'exercer ton métier de comédienne. Apporte quelques billets à un prisonnier et tu voyageras à mes frais jusqu'à Pignerol, en plus de l'argent que je te donne. Marché conclus ?

    La jeune fille hésita puis, après un hochement de tête, empocha la bourse. Elle se présenta ensuite, elle se nommait Cécile Codron.
    Le temps passa et Marie décida de partir à la Cour de France. Elle en avait assez de vivre en disgrâce auprès de sa belle-mère. Elle avait également appris que l'étrange prisonnier qui s'était emparé de son coeur avait été transféré à la Bastille. Elle prit donc un nom d'emprunt, Isabelle de Valbrune. Isabelle était son deuxième prénom et de Valbrune, un lointain titre que portait la famille de sa mère. Elle arriva ainsi à la Cour. Elle avait un plan. Non seulement la vengeance pour son père enfermé. Mais elle espérait pouvoir faire s'échapper son tendre prisonnier. Elle rendit ainsi visite à une certaine Madame La Voisin. Elle lui vendit certaines décoctions qui pourraient endormir la vigilance des gardes. Une réception était organisée le soir même. Elle s'y rendit et fut présentée à sa Majesté. Puis, elle erra entre les invités, saluant telle Comtesse ou tel Duc. Marie tomba nez à nez avec un homme, le regard vif qui la salua. Elle lui rendit son salut et se présenta :

    ▬ Isabelle de Valbrune. Enchantée monsieur... ?

    Elle n'aimait pas du tout le regard ironique que l'homme lui lançait.

    ▬ Charles d'Hozier. Mademoiselle... De Valbrune, si j'ai bien saisi votre nom. Un nom qui me rappelle quelque chose... Isabelle, dites-vous ? Ne serait-ce pas plutôt... Marie.

    Il avait prononcé cette dernière phrase dans un murmure. Marie sentit ses jambes trembler mais elle n'en laissa rien paraître. Si l'homme la dénonçait, elle était dans de beaux draps. Elle avait cependant un atout qu'il ignorait. Elle décrocha son plus beau sourire et murmura :

    ▬ Je vois que vous êtes habiles, Monsieur d'Hozier. Aussi habile que votre demi-soeur à fabriquer des décoctions...

    A voir le visage choqué d'Hozier, elle sut qu'elle avait visé juste. Elle s'éloigna. Elle aussi le tenait...

    Il ne fallut pas longtemps pour que le Main de l'Ombre s'intéresse à elle. Etait-ce dû à Charles d'Hozier ? Elle n'en sut jamais rien. Toujours est-il qu'ils prirent contact avec elle. Marie était toujours déterminée à se venger et c'est ainsi qu'elle accepta. Elle rencontra un homme, dans ses jardins, le soir. L'homme lui dressa un plan qu'elle s'empressa d'accepter. Elle ignorait alors que son jardinier se trouvait derrière un buisson et avait tout entendu. Quelques temps plus tard, elle reçut la lettre d'un homme qui désirait la voir sous peine de révéler des secrets la concernant. Persuadée qu'il s'agissait encore d'Hozier, Marie se rendit au rendez-vous. Elle ne reconnut pas son propre jardinier, grimé, qui commençait un affreux chantage. Marie comprit alors qu'il lui faudrait un alibi. Qu'elle devait littéralement se forger une double vie. Elle fit ainsi appel à un violoniste, Adrien Goutelin. Elle n'apprécie absolument pas le violon, mais cela est fort utile quand elle reçoit des conspirateurs, pour éviter les oreilles indiscrètes. Un soir, la police du Roi entra brusquement chez elle. Son contact eut juste le temps de disparaître. Adrien Goutelin était allé se rafraichir quelques instants, laissant son violon dans le salon. En quelques secondes, Marie avait caché dedans un mot particulièrement embarrassant. Les policiers expliquèrent qu'il ne s'agissait simplement que d'une visite de contrôle pour déjouer des attentats. Ils ne trouvèrent rien et repartirent. Mais maintenant, Marie est dans de beaux draps... Elle doit récupérer ce papier à tout prix !

    « Que diable, vous êtes à Versailles ! »

    Un paradis ou un enfer versaillais ?

    Versailles est, pour Marie, à la fois un sujet d'émerveillement et d'exaspération. La beauté des courtisans, les vêtements de soie, les dentelles, les révérences, les dorures, tout cela a de quoi vous faire tourner la tête. Marie aime beaucoup cette ambiance de richesse et d'aisance, qui lui rappelle son enfance heureuse où elle ne manquait de rien. Quand elle est arrivée à Versailles, elle savait qu'elle y trouverait un nid de vipères et qu'elle devrait faire très attention. En ce sens, Versailles ne l'a pas véritablement surprise. Elle déteste ces courtisans pour ce qu'il représente, l'humilité jusqu'à être peureux et froussard. L'hypocrisie qui règne là-bas lui est intolérable. Mais il faut bien la supporter si elle veut sauver son père et ce mystérieux prisonnier...


    Vérité ou fantasme du complot ?

    Marie sait pertinemment qu'il se trame des complots. Et pour cause ! Elle a été directement contactée par la Main de l'Ombre. Etant impliquée, elle ne peut qu'y croire. Marie voue une haine violente à l'encontre de ce régime qui l'a privé de son père et l'a déchu, elle et sa belle-mère. Un complot contre le Roi ne lui pose donc aucun problème, bien au contraire. Elle a tendance à vouloir le pire à son souverain. Extatique, elle compte mener sa mission à bien, quel qu'elle soit.


    Plutôt colombe ou vipère ?

    Marie se doit de connaître quelques rumeurs, si elle veut être efficace dans le complot. Elle a découvert des faits embarrassants concernant Charles d'Hozier et ses liens familiaux avec La Voisin. Cependant, Marie ne diffuse une rumeur que quand cela peut servir ses intérêts et ceux de la Main de l'Ombre. Aussi se garde-t-elle de révéler la vérité sur Charles, car ce dernier connaît sa véritable identité....


    « Plus bas la révérence, plus bas. »

    ► Prénom/pseudo : Juju
    ► Âge : 23 ans
    ► Présence sur le forum : 5/7
    ► Code bon by Lisa
    ► Comment avez vous connu le forum ? Par un top-site
    ► Suggestion : Aucune !
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MessageSujet: Re: Marie Fouquet [Terminé]   Marie Fouquet [Terminé] Icon_minitime23.01.11 20:15

Voila ! J'ai terminé !
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Amy of Leeds


Amy of Leeds

« s i . v e r s a i l l e s »
Côté Coeur: Mère enfin apaisée et femme comblée mais pour combien de temps encore ?
Côté Lit: Le Soleil s'y couche à ses côtés.
Discours royal:



♠ ADMIRÉE ADMIN ♠
Here comes the Royal Mistress

Âge : A l'aube de sa vingt septième année
Titre : Favorite royale, comtesse of Leeds et duchesse de Guyenne
Missives : 7252
Date d'inscription : 10/09/2006


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MessageSujet: Re: Marie Fouquet [Terminé]   Marie Fouquet [Terminé] Icon_minitime23.01.11 22:53

Pour ma part c'est parfait. Tous tes liens sont présents et ton histoire est fidèle au prédéfini.

Je te valide donc sans problèmes. Very Happy Très bon jeu parmi nous ! Smile

Juste une petite chose pas bien grave : génère ton humeur versaillaise dans ton profil et complète la s'il te plait.

Je te laisse prendre le chemin des rangs, logements et fiches de liens. ^^

A très vite Very Happy
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MessageSujet: Re: Marie Fouquet [Terminé]   Marie Fouquet [Terminé] Icon_minitime23.01.11 23:06

Merci !

Hâte que Vincent d'Augier arriver ^^
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MessageSujet: Re: Marie Fouquet [Terminé]   Marie Fouquet [Terminé] Icon_minitime

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