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 Fraîchement arrivée d'Italie, venez découvrir cette belle intriguante et son sombre passé ...

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MessageSujet: Fraîchement arrivée d'Italie, venez découvrir cette belle intriguante et son sombre passé ...   Fraîchement arrivée d'Italie, venez découvrir cette belle intriguante et son sombre passé ... Icon_minitime19.09.10 15:56

Constance - DE FRIVOLIS
_______ ft. (Claire Pérot)
Fraîchement arrivée d'Italie, venez découvrir cette belle intriguante et son sombre passé ... 255987lmh


    19 ans
    Musicienne
    Franco-italienne
    Célibataire


    « Il était une fois ... »

    5 Décembre 1647, Cerignola, Sud de l'Italie. Les cris d'une nouvelle-née se font entendre dans la demeure des Frivolis: Constance, la petite dernière de la famille, vient de voir le jour. Dès sa naissance, Henriette de Frivolis sue tout de suite que sa fille ne serait pas comme ses autres enfants. Elle avait dans les yeux une étincelle sauvageonne, et sur son beau visage, une moue rebelle, provocatrice.
    La jeune demoiselle grandit paisiblement parmit ses trois soeurs et cinq frères. Elle était très caline, affectueuse, surtout envers son père qu'elle suivait le plus souvent possible. Alessandro de Frivolis, malgré ses quarante ans, avait encore toute la fougue et la robusté d'un homme de vingt ans et cette frivolité si propre aux italiens. Chaque week-end, il emmenait sa fille dans un endroit différent et à chaque fois s'amusait de son émerveillement. Cette dernière se familiarisait avec la nature, courrait dans les champs fraîchement labourés, sautait derrière les lièvres tout en écoutant son père lui raconter l'histoire de ses ancêtres. Constance avait soif d'aventures, ses proches le remarquèrent bien vite. Ce côté garçon manqué était compensé grâce aux belles toilettes que lui achetait sa mère, à sa douce voix et à son visage envoûtant qui charmait tout le village et ses alentours. Seulement, l'année de ses six ans, son père du travailler beaucoup plus dur, et souvent elle ne le voyait pas du week-end. M. de Frivolis dirigait une imprimerie mais les affaires allaient mal depuis l'arrivée de concurants dans le bourg d'à côté.
    Un jour, alors qu'elle s'ennnuyait plus que jamais, Constance décida d'attendre son père devant l'imprimerie. Elle attrapa son manteau, ses gants et sa jolie coiffe, puis sortie sans faire de bruit, laissant derrière elle sa mère qui la croyait naïvement entrain de jouer dans sa chambre. Dehors, des flocons tombait par milliers, recouvrant la route, s'emmelant dans les cheveux de la jeune fille et s'infiltrant sous ses habits. Malgré cela elle passa chemin, mais au bout de quelques minutes se perdue. Qui sait combien de temps a-t-elle attendue sous se vieux porche que quelqu'un vienne la chercher, regrettant de ne pas être restée sagement chez elle ? Quand son frère, alors agé de douze ans l'eut enfin retrouvée, tremblante de froid avec ses cheveux noirs de jais ébouriffés et détrempés, elle n'eut même plus la force de se
    lever. Il la porta jusqu'à chez eux, où elle fut accueillie par des cris de soulagement et de colère.
    Constance, grippée, resta plusieurs jours au lit, en proie à une terrible fièvre. Ses parents, inquiets qu'elle fugue à nouveau, décidèrent qu'il fallait trouver une activité capable d'intéresser et d'occuper la jeune fille, tout en contenant son caractère rebelle. Une seule chose s'imposa : la musique. Comment auraient-ils pu deviner que cela deviendrait sa raison de vivre ? La petite musicienne montra vite un grand intérêt pour cet art enchenteur; elle commença par apprendre le violon. Elle était très assidue, ne manquait jamais d'écouter son maître et, au grand étonnement de ses parents, était très calme lors de ses leçons. Son professeur, un jeune italien de 17 ans, prodige et virtuose, ne tarrissaient d'éloge sur sa petite protégée. Il encourageait les Frivolis à payer plus de leçons à leur fille, tandis que cette dernière faisait des caprices de plus en plus fréquents pour se consacrer entièrement à sa passion. De vrai liens commencèrent à se tisser entre
    le maître et l'apprentie. Alessandro et Henriette commencèrent à regretter cette décision, la musique prenant trop d'ampleur à leur goût dans la vie de leur fille.
    Un soir, alors que l'on servait le repas, Constance demanda à apprendre le clavecin. Son père entra dans une colère noire.

    << Il suffit ! N'en as déjà tu pas assez ? Jamais tes frères et soeurs auraient eu le droit de suivre des cours de musique ! Tu es bien trop gâtée ma fille, comment veux-tu obtenir autant de diplômes qu'eux en ... en passant tes journées à t'amuser, au lieu de te consacrer à ton avenir ?!

    _ Mais la musique est mon avenir père ! J'y consacrerai ma vie, je mettrait tout mon coeur et toute mon âme à son service !

    _ Sottise ! Ce n'est pas ça qui te permettra de vivre ! Il est temps de cesser cette comédie : à partir de maintenant et jusqu'à ce que tu trouves un métier convenable, tu ne joueras plus de musique.>>


    Sans le savoir, M. de Frivolis venait de réveiller la rebelle qu'était son enfant. Cette dernière se réfugia dans sa chambre, le coeur brisé, modissant se père qu'elle avaittant adoré ...

    Le lendemain matin, Constance, qui avait pour habitude d'aller à l'école en compagnie de son frère de neuf ans, prétexta qu'elle avait un devoir à rendre à son professeur et qu'elle devait partir plutôt. Sa mère, enchantée que sa fille est de nouveau repris ses esprits, accepta sans mal et la félicita de cette résolution. La belle enfant s'en alla donc en sifflotant, la mine réjouit. Cependant, ce n'est pas son maître d'école qu'elle alla retrouver, mais son cher professeur de musique, Ambrogio. Au début, il fut surpris de la voir venir car Alessandro lui avait fait envoyer une épître qui lui expliquait qu'il n'aurait pu à enseigner à son élève tant chérie. Il céda facilement à cette petite demoiselle si intriguante. Leur mascarde dura un certain temps. Constance se révélait "habitée" par la musique, ses dons étaient inés.
    Lorsqu'elle eut 14 ans, le violon n'avait plus de secret pour elle, ses doigts voletaient sur le clavecin et elle pouvait tirer n'importe quelle mélodie de sa flûte. Chaque jour, elle retrouvait son bel italien, sans que ses parents ne sachent rien, car elle s'arrangeait toujours pour passer à l'école faire ses devoirs et récupérer ses leçons.
    L'année suivante, la jeune femme eut une révélation : elle possédait une voix magnifique. Seulement, elle ne chantait jamais en public, seulement pour son maître, émerveillé et sous le charme de cet ange déchu. Leurs sentiments étant trop évidents l'un pour l'autre, ils vécurent leur amour en secret pendant 4 ans malgrè leur différence d'âge.
    1666, cette année marqua la fin de leur amour innocent. En effet, un soir de printemps, on présenta un gentilhomme à Constance; ils devaient se marié avant l'automne prochain. Elle eu beau protester, supplier son père, rien n'y fit. Alors, quelque chose de terrible se passa.

    [ Certains secrets se doivent de le rester ... Pour l'instant.]

    Après ce drame, Constance quitta sa famille. C'est ainsi qu'aujourd'hui, elle est réfugiée à ici, à Versailles, ville d'origine de sa mère. Elle est maintenant extrêment liée
    avec Marie-Caroline...



    « Que diable, vous êtes à Versailles ! »

    Même si elle ne fait qu'arriver à Versailles et qu'elle a encore beaucoup à apprendre, Constance s'est déjà familiarisée avec la vie de débauche qui y règne, en partie grâce à sa nouvelle amie et à sa mère qui lui contait la vie à la Cour lors de son enfance. Elle est venue ici dans le but de pouvoir exercer son art et se faire connaître. Elle espère aussi que l'humeur festive de la ville lui fera oublier son tragique passé. Ce qu'elle aime, c'est que, nouvelle ici, elle peut prendre un nouveau départ. Rien ne la dégoûte; elle s'amuse de tout et rayonne depuis son arrivée. Véritable oiseau de nuit, Versailles est pour elle un vrai Paradis ...


    Les mystères forment une grande partie de sa personnalité, Constance y croit dur comme fer. Elle ne connaît encore sûrement pas toutes les rumeurs Versaillaises, mais ces histoires intriguantes attirent son attention. Ne vous étonnez donc pas en entendant bientôt son nom dans un de ses nombreux complots, annodins ou terrifiants ...


    La mystérieuse italienne possède deux personnalité totalements opposées. Sa douceur, sa joie de vivre et sa beauté envoûtante vous ferons pensez à une Colombe, et ses tendres amis vous le confirmerons. Seulement, rebelle dans l'âme, Constance sait être une vrai vipère. Elle a récemment entendu qu'un complot se trâmait contre la favorite, et cela ne l'a pas laissée indifférente ...



    « Plus bas la révérence, plus bas. »

    Marion
    15 ans
    Week-end essentiellement
    Longue vie au Roi !
    Grâce à Marie-Caroline de Chévy
    J'adore !
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