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 Francesco Di Venezia | Starry, starry night

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Francesco Di Venezia | Starry, starry night Empty
MessageSujet: Francesco Di Venezia | Starry, starry night   Francesco Di Venezia | Starry, starry night Icon_minitime04.09.10 22:03

Francesco - DI VENEZIA
_______ ft. Ian Somerhalder
Francesco Di Venezia | Starry, starry night 62253430


    ► 26 ans
    ► Ambassadeur de Venise, fils du Doge - Pourquoi croyez-vous qu'il soit devenu ambassadeur si jeune ? Les relations chers amis, les relations.
    ► Italienne
    ► Célibataire


    « Il était une fois ... »

    - La capitale du Royaume d'Angleterre ?

    Le jeune Francesco, alors âgé de 10 ans, s'ennuyait fortement. Cette leçon de géographie était plus épouvantable qu'il n'y paraissait. Ce n'était pas difficile, bien au contraire, et c'était justement cela le hic. L'histoire, les mathématiques, la musique et tout ce qui se rattachait à l'art, voilà ce qui l'intéressait ! Mais pour l'amour du ciel, pas la géographie.

    - Messer, pouvons-nous arrêter là pour aujourd'hui, marmonna le jeune Francesco d'une voix suppliante.
    - La capitale du Royaume d'Angleterre, répéta le précepteur, d'un ton sec.
    - C'est Londres.. et maintenant excusez moi.

    Et le brun se leva, abandonnant là le vieil homme quelque peu choqué par tant d'insolence. Dès son plus jeune âge, Francesco faisait déjà preuve d'un caractère bien trempé. Moqueur, insolent, têtu, il rendait fou une bonne part des serviteurs du palais des Doges, dans lequel il a grandit, ceci grâce au dogat exceptionnellement long de son père, élu Doge à 42 ans, ce qui est très jeune pour acquérir un tel titre. Le jeune brun descendit quelques marches et atterrit dans la cour intérieure du palais. Il regarda tristement les grilles qui le séparaient du monde extérieur. Un Doge se devait d'être cloîtré dans sa prison doré, ne sortant que pour le discours traditionnel du très célèbre Carnaval de Venise. Cette règle de l'enfermement s'appliquait donc également à la progéniture. Le petit garçon donna un coup de pied dans un caillou se trouvant là et alla s'asseoir sur le rebord de la fontaine. Au milieu de la source trônait une sculpture de celui qui, selon toute logique, aurait été le tout premier doge de Venise, à savoir Paolo Lucio Anafesto, élu en 697. Francesco soupira et plongea sa main dans l'eau fraîche. Il n'y avait aucun bruit, hormis le clapotis que provoquait l'appendice du jeune garçon. Quelques instants plus tard, des bruits de pas se firent entendre. Léger certes, mais néanmoins, les hauts murs, protégeant le palais de tout bruit extérieur, amplifiaient le son. Soudain, deux mains, petites et douces, se posèrent sur ses yeux.

    - Indovina*, s'exclama en italien une voix de petite fille rieuse. *Devine
    - Je sais que c'est toi Sofia, râla Francesco en retirant les mains de la petite fille de ses yeux.

    Le petit brun se leva et scruta la jeune princesse de Parme de ses yeux bleu-verts. Sofia Di Parma avait un an de moins que lui, et même si le fils du Doge n'était peut-être pas encore en âge de comprendre totalement ces choses, il trouvait que la petite fille était la plus belle princesse qu'il avait jamais rencontré
    .

    - Tu n'es pas drôle, bouda la petite. Moi qui voulait te faire une surprise.
    - Oh, mais je suis très surpris, ironisa Francesco avec un sourire moqueur.

    Sofia fronça les sourcils, lui tira la langue et partit au pas de course, son rire retentissant dans la cour intérieure. Francesco partit à sa poursuite.


    ____________

    - Non, Francesco, lâche moi !
    - C'est toi qui l'a cherché


    Des rires, des bruissements de soie sur un sol en bois poli. 7 ans ont passés. Francesco était désormais âgé de 17 ans. Et tout le monde s'accordait pour dire qu'il s'était embellit avec les années. Grand, brun, un visage d'une beauté envoûtante malgré des traits assez carré, toutes les jeunes servantes du palais ne pouvait s'empêcher de rougir lorsqu'elles croisaient son regard turquoise. Son intelligence et son visage d'ange masquait son arrogance qui s'était développée au fil des années. Toujours aussi insolent, il a appris à être dépensier comme personne, n'ayant aucune responsabilité à part celle d'être un bon fils en apparence.

    Il saisit la brune par la taille et la posa délicatement sur le lit. Le rire de la belle Sofia emplissait la pièce et enivrait les sens de Francesco. Il se pencha sur elle et lui vola un doux baiser.


    - Tu m'aimes ? questionna la princesse en passant tendrement une main dans les cheveux de l'homme qui faisait battre son cœur.
    - Comme un fou, répondit Francesco avec un sourire malicieux, soulevant petit à petit l'ample robe de soie de la brune.

    Un amour aussi passionné que naïf. Il faut dire que depuis son plus jeune âge, Francesco éprouvait une attirance très poussée pour la brune. Cependant, le jeune brun se rendit vite compte qu'il existait de très nombreuses jeunes et belles demoiselle à conquérir. Certaines étaient même plus que disposées à entrer dans le lit du brun. A 19 ans, Francesco fut nommé ambassadeur de Venise par son père et le jeune homme commença alors diverses missions à travers toute l'Europe. Francesco mettait de plus en plus Sofia à l'écart, profitant de ses nombreux voyages pour parcourir les lits de diverses jeunes femmes. La princesse de Parme finit par découvrir tout ce qui se tramait dans son dos et leur liaison se termina brutalement.


    ____________

    Andalousie, 1661

    - Je vous présente ma femme, Clara.

    Francesco s'inclina avec respect et déposa un baiser sur la main de la superbe jeune femme qui se tenait devant lui. Le brun avait à présent 21 ans. Clara de Andalucia avait 3 ans de plus que lui, ce qui ne rendait le défi que plus agréable à relevé pour Francesco. De façon étonnamment rapide, une relation plus que passionnelle naquit entre les deux jeunes gens. Clara avait l'habitude de se confier sur son manque de liberté ici, en Espagne. Son mari aux préférences sexuelles douteuses, les gens insipides qui l'entouraient.

    - J'étouffe, disait-elle souvent.

    Francesco écoutait en silence, un sourire aux lèvre, qui ne présageait rien de bon. Avant de rentrer en Italie, il déposa un baiser sur le front de la belle brune, dont le regard était si semblable au sien et lui promit de revenir bientôt la chercher.


    ____________

    Versailles, 1662

    Francesco était à la cour du Roi de France depuis quelques semaines déjà. Mission diplomatique pour la forme, débauche et conquêtes féminines pour le fond. Le jeune brun se plaisait énormément à Versailles. Il espérait bien se forger plusieurs relations solides. Ce qu'il réussissait à faire avec brillot, son charme et son caractère y faisant pour beaucoup. Au détour d'un couloir il avait eu vent d'une rumeur, selon laquelle, un complot se tramait contre Louis XIV. On voulait renverser le Roi et mettre un certain Hector de Valois sur le trône. Petit à petit, il se renseigna donc sur cet homme. Plusieurs pots de vin furent échangés, menaces, meurtres discrets, tout cela pour en savoir un maximum. Francesco avait fait l'agréable découverte qu'il y avait beaucoup à gagner pour lui dans ce complot. Sa fortune aidant, il finança toutes sortes de petits complots, espérant se démarquer si le Roi venait à disparaître. Mais la moitié de tout ceci n'aurait pu voir le jour sans l'aide d'une certaine Claire Ornelle. En vérité, cette jeune femme n'avait pas d'autre choix que d'aider le jeune ambassadeur italien, celui-ci étant au courant des petits secrets de la jeune femme. Il détenait la vie de la jeune femme entre ses mains en quelque sorte, la seule relation qui existait entre les deux reposait sur un chantage odieux, mais nécessaire pour Francesco. Espionnage pour son compte, messages plus que secrets, la pauvre Claire n'avait pas d'autre choix que de plier.

    ____________

    Andalousie, 1663

    - Alors, c'est vrai ? Tu m'emmènes.

    Francesco acquiesça et prit la belle brune dans ses bras. Il déposa un délicat baiser dans le cou de la jeune femme. Cela avait été assez éprouvant, mais il avait finalement réussi, et ce, sans éveiller aucun soupçon. Il avait dû dépenser pas mal d'argent en hommes de main pour réussir à faire assassiner le mari de Clara. Mais à force de temps et d'argent, l'opération s'était déroulée avec succès et sans anicroches. Il emmena donc sa maîtresse en France, Francesco s'étant déjà forgé une solide réputation à Versailles, et s'étant attiré les faveurs de certains grands personnages de la Cour du Roi de France.

    Versailles, 1663

    Le Roi avait organisé une petite fête pour la réussite d'un quelconque traité. En fait, Francesco n'en avait que faire. Pour une fois, quelque chose le perturbait. Depuis quelques temps, il était sujet à un échange épistolaire avec Clorinda Di Toscana, une vieille connaissance qui lui demandait sans cesse de la faire entrer à Versailles, ce qu'il fera quelques années plus tard. Même si ils entretenaient des relations plus qu'amicales en forme, ils ne s'appréciaient guère dans le fond. En vérité, Francesco n'a qu'une seule idée en tête, c'était que Clorinda se retrouve dans ses draps, purement et simplement. Francesco soupira et réajusta sa veste en lin bleu, brodé de fil d'or. Il passa négligemment une main dans ses cheveux et se dirigea vers une jeune fille blonde, cachée derrière son éventail. Il s'inclina et lui décocha son sourire le plus charmeur.


    - Mademoiselle, me feriez-vous l'honneur de danser en ma compagnie.

    La blonde rougit et agita frénétiquement son éventail. Elle répliqua qu'elle hésitait et rougit encore plus devant le regard insistant du brun. Sa réputation d'homme fougueux et passionné le précédait-elle déjà ? Il allait encore une fois ouvrir la bouche avant qu'une voix dure et moqueuse avec un léger accent allemand ne se fasse entendre.

    - Ne voyez-vous pas que vous dérangez mademoiselle.

    Francesco se retourna et fit face pour la première fois à Derek de Saxe, celui qui allait être l'homme à abattre. Rivaux en tous points, que ce soit amour ou luxe, Francesco était, oui il pouvait le dire non sans honte, jaloux de cet impétueux qui était de deux ans son cadet. Depuis ce jour, l'italien fait tout pour discréditer le prince de Saxe, lui montrant que c'était lui qui possédait le plus de richesses et qui plaisait le plus aux femmes.

    A l'aube de ses 25 ans, Francesco acheta une résidence en bordure de Paris, pour y organiser de superbes fêtes une fois que les beaux jours pointaient le bout de leur nez. Dépensant sans compter, l'aspect plus que fastueux de ces bals parvint aux oreilles de quelques nobles à la cour. Des tapisseries orientales qui recouvraient les murs, des couverts d'or, des tapis persans, les lustres qui éclairaient la maison jours et nuits, le vénitien ne lésinait pas sur les moyens. C'est donc durant l'une de ses fêtes que Francesco rencontra Karl de Bavière. Grand, blond, un charme ravageur, Francesco voyait en lui son contraire et en même temps il semblait si similaire à sa personne. L'italien dû prendre sur lui quelques temps avant de finalement accepter son attirance pour Karl, un an plus jeune que lui. Les deux jeunes gens devinrent donc rapidement amants. Étrangement, c'est à chaque fois Francesco qui venait trouver le blond, vidant son sac lorsqu'il en avait besoin, débitant des flots de paroles sur tout ce qui n'allait pas. Peut-être le fait que Karl ne se révélait pas très bavard poussait le brun à se confier autant.

    Luxe, opulence, femmes, richesse, gloire, ambition, autant de mots qui ne suffisent pourtant pas à décrire pleinement le jeune Francesco. Pour amuser la galerie, il raconte souvent une petite anecdote qui s'est déroulée lors de son passage au titre d'ambassadeur.

    Venise, 1659

    Le grand salon du palais des Doges était imprégné d'une ambiance solennelle. Francesco était assis sur un fauteuil de velours bleu, les jambes croisées. Pour l'occasion, il portait un pantalon bouffant en soie rouge avec des motifs en fils d'argent. Sa chemise blanche était quelque peu ouverte sur son torse et sa lourde veste de brocard rouge entravait ses mouvements. Les couleurs criardes du jeunes hommes détonnaient dans la pièce où le bleu et le vert étaient les couleurs dominantes. Il bu une petite gorgée d'eau et reposa le gobelet d'or sur la petite table d'acajou devant lui. Entrèrent alors deux hommes vêtus de façon cérémonieuse. Francesco soupira et se leva par simple politesse avant de retomber mollement dans son fauteuil. Les deux hommes aux temps grisonnantes devant lui restèrent un long moment silencieux, plongeant la pièce dans une atmosphère tendue. Seul le bruit de la plume frottant contre le papier empli l'air quelques instants. Le vieil homme finit par relevé la tête et scruta de ses yeux gris et fatigués le jeune adolescent plein de vie.


    - Francesco Di Venezia, me permettez-vous de vous poser quelques questions ?
    - Mais faites donc.
    - Bien…
    le vieil homme prit une profonde inspiration, comme si il craignait la question qu'il allait poser. Première question. Croyez-vous en Dieu ?

    Un sourire indescriptible étira les lèvres de Francesco. L'italien se pencha, appuya ses coudes sur ses genoux et posa délicatement son menton sur ses mains jointes. Il planta son regard azur et vert dans les yeux ternes de son interlocuteur et sa voix moqueuse fit frissonner d'horreur les personnes présentes.

    - Mon cher, il ne manquerait plus que je doute de moi.


    « Que diable, vous êtes à Versailles ! »

    Un paradis ou un enfer versaillais ?

    Somptueux, rayonnant, artistique. Francesco avait reçu une image plutôt positive de Versailles. Cependant, il s'attendait à quelque chose de plutôt ennuyeux, il est vrai. La première fête à laquelle il fut convié balaya de suite ses idées reçues sur l'ennui qu'il éprouverait à la cour du Roi Soleil. Il fut impressionner par l'ambiance, l'atmosphère de joie qui imprégnait chaque lieu de Versailles. Et même lorsqu'il ne s'agissait pas de fête, on ne s'ennuyait jamais à Versailles. Ça mêlé à la splendeur architecturale, on peut dire que Francesco est quelque peu tombé amoureux de Versailles. Il ne comptait plus les heures qu'il avait passé à se promener dans les jardins en compagnie de femmes plus belles les unes que les autres. Une grande partie de ce qu'il se passe au château le fascine. Le reste tout ce qui est politique, économique ou autre, il ne s'en préoccupe pas, peu de chose le rebute, pour ne pas dire que rien ne le dégoute vraiment.

    Vérité ou fantasme du complot ?

    Bien évidemment, Francesco croit en cette théorie de complot, puisqu'il y participe. En effet, l'italien a beaucoup à gagner et très peu à perdre. Il finance donc généreusement quelques infimes parties de ce complot en la faveur d'Hector de Valois, qui est, d'après ce qu'il a entendu, l'héritier direct de Henri IV. L'italien aime cette vie en double face et il estime qu'il aura droit à une large part du butin si tout se passe comme prévu et que ce complot pour renverser le Roi arrive à son terme. Francesco n'éprouve pas une rancœur personnelle envers le monarque, mais ici c'est la loi du plus offrant qui l'emporte. De plus, Francesco possède quelques relations qui l'amène à savoir avec plus ou moins de précision l'avancée du complot, ce qui selon lui, est un atout non négligeable dans cette guerre secrète.

    Plutôt colombe ou vipère ?

    - Mon Dieu, vous en êtes sûre ?
    - Mais puisque je vous le dit mon cher. Cette situation est tout à fait cocasse.


    Voilà ce que l'on peut entendre le plus souvent au détour d'un couloir ou bien lorsque l'on se promène dans les jardins de Versailles. Les commérages forment à eux seuls une grande part de la vie versaillaise. Francesco éprouve néanmoins un grand plaisir à les écouter et s'en délecte même parfois. Cependant, il ne ressent pas l'utilité de les colporter ni même d'en créer. Certains stimulent l'imagination fantasque du brun, comme la fois où un jeune noble lui avait raconter qu'il avait surpris deux femmes de chambre dans le même lit, se livrant à quelque amour saphique. Loin de le rebuter, certains ragots l'amusent même au plus haut point, ne se lassant jamais d'en écouter.

    « Plus bas la révérence, plus bas. »

    ► 404 not found
    ► 18 ans
    ► Ça va dépendre mais régulière je dirais.
    (Ok by Steph) (ne me lapidez pas, mais ça me fait penser au Roi Lion, quand les hyènes crient Longue vie au roi ! *sors*)
    ► //
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Philippe d'Orléans


Philippe d'Orléans

« s i . v e r s a i l l e s »
Côté Coeur: Il a été brisé, piétiné et maintenant celui qui était à mes côtés est devenu mon ennemi. Quelle cruelle destinée !
Côté Lit: Le lit de mon palais est si confortable et accueillant !
Discours royal:



ADMIN TRAVESTIE
Monsieur fait très Madame

Âge : 27 ans
Titre : Prince de France, Monsieur le frère du Roi, Duc d'Orléans, de Chartres, d'Anjou, seigneur de Montargis
Missives : 10014
Date d'inscription : 03/01/2007


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MessageSujet: Re: Francesco Di Venezia | Starry, starry night   Francesco Di Venezia | Starry, starry night Icon_minitime04.09.10 22:51

Bienvenue cheers

L'histoire est très bien, j'adore la conclusion "Mon cher, il ne manquerait plus que je doute de moi" est excellente ^^

Hé bien, nous avons un méchant de plus ! feux enfer Je te valide et tu peux aller à la gestion pour des liens (je pense que certaines filles tomberont dans vos bras, mon cher Siffle ), logement, rang ... et jouer, bien sûr Clin d'Oeil
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MessageSujet: Re: Francesco Di Venezia | Starry, starry night   Francesco Di Venezia | Starry, starry night Icon_minitime04.09.10 22:54

Merci beaucoup ;D
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Amy of Leeds


Amy of Leeds

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Côté Coeur: Mère enfin apaisée et femme comblée mais pour combien de temps encore ?
Côté Lit: Le Soleil s'y couche à ses côtés.
Discours royal:



♠ ADMIRÉE ADMIN ♠
Here comes the Royal Mistress

Âge : A l'aube de sa vingt septième année
Titre : Favorite royale, comtesse of Leeds et duchesse de Guyenne
Missives : 7252
Date d'inscription : 10/09/2006


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MessageSujet: Re: Francesco Di Venezia | Starry, starry night   Francesco Di Venezia | Starry, starry night Icon_minitime04.09.10 23:17

Bienvenu très cher !

Encore un méchant dans la place ! Où sont les gentils ? What a Face

On va se faire bouffer là les gars ! Razz
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MessageSujet: Re: Francesco Di Venezia | Starry, starry night   Francesco Di Venezia | Starry, starry night Icon_minitime

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