► Âge - 15 ans, Quoi donc, cela vous choque? Ne vous inquiétez pas se n'est que le début
► Titre(s) (ou profession) – Prostituée
► Origines – Province du Royaume de France, née dans le Sud de la Royauté, elle a migré à Paris depuis quelque mois, serte les clients, la noblesse et l'argent coulera plus à flot ici qu'en Province.
► Situation Maritale – Célibataire, Mademoiselle du peuple préfère pour le moment rester célibataire à essayer de gagner quatre sous avant de trouver quelqu'un avec qui faire sa vie dans un endroit minable de Paris, ou même avec quelque peu de chance être la favorite d'un noble, la puta*n du Roi serait le comble. Mais qui ne tente rien n'a rien.
« Il était une fois ... »… Moi, Moi et Moi. Mais cela serait bien trop court pour expliquer l'existence de cette demoiselle sur vitaminé. Comment dire... commençons part le début.
♠ Anne-Marie, une jeune femme pleine de vie depuis sa tendre enfance, ainsi que domestique, tout comme sa mère avant elle ainsi que ses sœurs, pour le comte de Provence, un homme charmant par ce que l'on en dit. Ce travail d'esclave est serte dur, mais au moins on a la couvert et le lit, comme se disait Anne-Marie. Dans sa journée habituelle elle partie chercher le pain au boulanger du village, et chaque jour depuis quelque mois, elle trainait de plus en plus dans l'espoir de voir ce jeune homme qui était fort beau, d'un teint rassurant et d'une allure presque parfaite. Et chaque jour elle le regardait, se cachant derrière son petit panier d'osier, leur seul contact était ce doux sourire qu'ils s'échangeaient à chaque fois. Puis vint un jour, où celui ci, vint à sa rencontre, la saluer et lui dire à quel point elle pouvait être belle. Il venait de Vienne, avait apparemment un goût prononcer pour les belles choses, les belles femmes et le bon vin. Sans de plus de titre, ni d'importance qu'elle, de pauvre enfant du peuple. C'est a l'age de 19 ans que Anne-Marie partie avec Philippe de la maison du comte pour vivre avec lui, elle ne le connait à peine, mais un amour fort venait de s'éprendre entre ces deux petits inconnus. Une vie de misère les attendait, mais aussi plein d'aventure. Philippe n'a pas d'argent en sa possession, ni de famille, il a quitté Vienne pour une chose qui se trouve ici, en Provence, la mer et les bateaux. Il amena sa douce et tendre dans son habitat, un espèce de petit cabanon de bois recouvert de toile, « ce n'est pas Versailles mais c'est mieux que rien », comme il disait. Pendant que Anne-Marie travaillait au champ, Philippe partait en bateau pour vendre les marchandises qui venait du nouveau Monde, il rentré toutes les semaines à la maison et gagné modestement sa vie. Leur premier enfant vint au monde, Pierre qui mourut quelque mois après sa naissance, s'en suivit de Léopold, qui quand à lui était un beau bébé qui se portait bien. Les petites affaires de Philippe marchaient plutôt bien, même si, il ne faut pas se le cacher, les affaires étairnt scrupuleuses et illégales, dans le dos de sa jeune femme qui s'en savait rien. Philippe partait de plus en plus loin et de plus en plus longtemps, ces amis étaient bizarre, ivrogne de rhum et de tabac, la démarche de pirate comme on en parle dans les villages portuaires. La naissance de leur première fille deux ans après celle de Léopold, remplie de joie Anne-Marie qui appela sa nouvelle merveille Marie, Philippe la découvrit à son retour de voyage quelques semaines après sa naissance
♥ 1651, pour être plus précis le 26ème jour de Février, un froid vif s'était installé dans le pays. Ginette Brinon, avait eu la chance d'avoir son papa lord de sa naissance, elle était petite, palote mais avec les magnifiques cheveux blond de sa mère et les yeux bleu de son père. Et la vie reprit son cour, pendant que Maman travaillait, Léopold s'occupait de ses deux jeunes sœurs, Marie et Ginette. La bouillie de blé manquait un peu de temps en temps à table quand Papa n'était pas à la maison, et tous attendait son retour avec impatience, il n'y avait que sa a faire de toute manière, attendre. Quand Léopold était en age de travailler vers cinq ou six ans, il partait avec sa mère faucher le blé et cultiver les terres. Pendant que Marie et sa jeune sœur lavé le linge à la rivière. Le dernier enfant de la famille était un garçon Antoine, né pendant que Anne-Marie travaillait dans le champ.
Lors que Philippe revenait, il avait à chaque fois à manger, des vêtements, des objets couteux. D'ailleurs, Ginette se souvient encore d'une des disputes de ses parents; « Mais d'où sa vient tout cet argent? Et ces objets couteux?! Du vol..? Mais bon sang mais que fais tu sur ces bateaux? » Il n'avait toujours pour réponse, que cela ne la regardait pas, et qu'elle n'avait juste qu'à le remercier d'apporter de quoi nourriture sa famille et que c'était des affaires d'hommes. Ginette était plus proche de son père que sa mère, Léopold était un jeune homme la tête sur les épaules, droit et sympathique en voie de faire de grande chose, le bien matériel pour lui avait une valeurs, il a de l'ambition et à en revendre. Marie, petite fille trop mur pour son age, elle ne vie que pour travailler et ne pense jamais à s'amuser, ni a l'apparence, vivre au jour le jour ce n'est pas pour elle, il lui faut de la stabilité, elle cherchera plus tard un mari et une vie de famille stable, du moins c'est se que pensera toute son existence actuel Ginette. Son petit frère, Antoine est bien trop jeune pour en extraire encore quelque chose, mais une chose est sur Ginette n'est pas comme son frère, ni sa sœur qui ressemble plus à leur mère. Souvent Léopold et Marie récupèrent Ginette dans ces fantaisies et ses absurdités de volerie, et d'imaginaire. Pleine d'excentricité et de rigolade, Ginette est certainement l'enfant préféré de Philippe, il se voit à travers elle, a travers son sourire et son regard. La petite boucle d'or, n'en a que faire de travailler aux champs, elle veut s'amuser, rire, aimer les belles robes et les friponneries, une petite chipie, qui n'en a que faire du bien matériel, qui ne cherche que l'amour le vrai. Pour s'endormir, son papa lui raconte des histoires tout comme à Antoine, des pirates, des sirènes et pleins de compte que l'on raconte en mer.
En 1663, Philippe est arrête à la maison dans la nuit par la garde provincial du royaume pour acte de piraterie, vol et pillage. Devant sa femme, ainsi que ses quatre enfants, mais particulièrement Ginette, qui n'a que douze ans, et tombe des nues face à cette claque monumental. Ils seront là, deux jours plus tard sur la place public à la mise à mort de leur père, sur l'échafaud. Depuis ce jour là, la vie de Ginette a basculé, la dérision est devenu son arme, elle n'a plus aucun amour pour elle même, elle s'était identifier depuis des années en quelqu'un de fourbe et de malhonnête. Peut être qu'en faite elle était comme cela? Une salle petite peste, une fille de rue, rien d'autre qu'une put*n.
♣ Pendant que la famille essaye de remonter la pente, Ginette préfère restait tard le soir, à trainer de hors, pied nu sur la chaussée dégoutante, sa jolie petite robe rouge déchirer regardant ces messieurs de bonne aventure, et puis les sujets pour enfin trouver à l'écart la bourgeoisie et si belle noblesse. Pendant qu'un soir elle baladait sur le quai, un homme l'interpela pour lui demander ces services en temps que.. Jeune femme, si vous voyez ce que je veux dire. Les début ne furent pas prometteur ni glorieux, mais sa rapportait bien. Elle avait besoin d'argent pour aider sa mère, de plus elle était jeune, tout juste treize ans. Elle était très jolie, avec ces longs cheveux blond, sa peau clair et douce. De très jolie yeux fin, d'un bleu pur comme la mer, un regard envoutant plein de coquinerie. Silhouette fine et légère, poitrine forte bien mis en évidence, autant jouer de ces atouts féminins quand on en a. De taille petite, démarche légère mais à la fois vulgaire, Ginette n'a aucune tenu, elle n'a pas d'éducation, elle n'est pas aller à l'école. Elle parle d'une façon un peu vulgaire, malgré sa voix douce et enfantine. Et nous vous attarder pas, lors que son sourire charmeur vous monopolise, ses petits doigts fins dans ces anglaises pour vous faire monter au rideau, avec ces baisers pulpeux à vous en faire oublier votre femme. Après deux ans de prostitution dans les alentours d'où elle habitait en Provence, elle décida de partir pour Paris, autant tenter sa chance à fond. Et puis Paris c'était les soirées, l'argent les hommes, elle gagnera bien plus d'argent la bas que ici, et puis favorite d'un roi ou d'un compte à Paris c'est mieux que maîtresse d'un soir en province. Avec l'aide d'un ami à son père, serte pas des plus fréquentable, il s'arrangea pour la faire partir un soir avec quelque autre personne sur Paris.
Avant de partir, elle laissa une lettre à sa mère pour pas qu'elle ne s'inquiète, même si cela lui faisait mal au cœur de l'abandonner comme cela. Elle prit ses plus belle robes, embrassa très fort son petit frère adoré Antoine, en lui promettant de lui écrire chaque jour, il était son petit rayon de soleil. Elle passa embrasser pendant leur sommeil Léopold et Marie avant de partir pour Paris.
♦ Paris, Versailles .. Tout plein de nouvelle chose à découvrir pour Ginette, un tout nouveau monde, plein de charme et d'hypocrisie. Dès son arrivé dans la capital, la jeune fille trouva un endroit où loger, une petite auberge, pas trop cher qu'elle était sur au moins de payer, pas trop loin des grandes rues de Paris, où elle serait sur de trouver de beau homme plein d'argent qu'elle pourrait servir. Pour l'instant, Ginette essaye de ce faire un nom et de percer si on peu dire, pour attraper un « gros poisson » Pourquoi voir petit quand on a du potentiel
Bon... Okai! En se moment c'est la galère, elle ne connait pas grand monde, ca ne fait que quelques semaines qu'elle est ici, et la vie c'est pas donner, ni toilettes! Même si la moitié du temps, elle porte de vieille robe, n'aillant pas encore les moyens de s'en acheter de très jolie mais surtout des neuves! Mais au fond elle, Ginette n'est rien qu'une enfant qui n'a pas eux d'éducation qui recherche un peu d'amour où elle peut en avoir. Oui, une fille a quinze ans, elle est marié dans une bonne famille et commence a songer au prénom de ces futures enfants près d'un feu de cheminé, ce n'est pas le cas de Ginette qui doit se prostituer pour obtenir la moindre chose, malgré cette image de libertine et de catin, c'est une enfant douce et gentille, qui aidera toujours son prochain et accorde une grande importance aux enfants. Elle en croise beaucoup des plus petit qu'elle, jouer dans la rue, et dans le boue, et elle a mal de repenser à son petit frère, son père sa vie d'avant.
« Que diable, vous êtes à Versailles ! »►
Un paradis ou un enfer versaillais ?Ginette n'a qu'une envie, c'est déjà mettre un de ces petits doigts de pied sur le marbre brillant de Versailles.. rien que ça, sa sera déjà pas mal me direz vous. Elle n'a jamais mit les pieds à Versailles, ni dans un palais de noble, et déjà pour y rentré il faudrait un miracle. Mais les gens, le peuple ne rentre pas comme ça à Versailles!! Sa se saurait, elle y serait déjà. D'après ce qu'elle en sait, Versailles serait un véritable Paradis sur terre, avec une architecture magnifique, remplie de coup bas et d'hypocrisie, le paradis du Diable en quelque sorte. Ginette aimerait vraiment pour voir rentré ne serais se qu'un jour dans ce lieu, qui inspire serte la crainte, mais aussi la royauté, la grandeur et le pouvoir. Ça fait rêver non? Mais bon a part épouser un Noble ou devenir favorite, concubine, ou maîtresse pas grande chance de rentré dans cette forteresse. Et puis sa amuserais bien de visité ces lieux, juste pour rigolait des fanfreluches de certaine femme, c'est une enfant elle ne pense qu'à s'amuser.
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Vérité ou fantasme du complot ?Mademoiselle Brinon, ne pense pas du tout au complot, et pourquoi y penserait elle? Elle vient d'arrivée à Paris, venant de Province, on n'y parle pas de complot contre le Roi, comme ici à Paris. La jeune fille croit en la puissance du roi et de la famille de France, elle en a une grande croyance en eux et ce qu'ils peuvent faire pour le peuple, ces espoirs seront toujours dans le roi, l'envoyer de Dieu pour gouverné la France. Si un complot contre le roi devait se faire, elle serait du côté de la famille royale, elle n'a aucun lien n'étant pas au courent. Quelque rumeur dans les rues de Paris, mais le peuple en on l'air de ne pas y prête grande intention il faut surtout manger ce soir.
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Plutôt colombe ou vipère ?Hum, question intéressante, des ragots, dans les rues de Paris, vous n'y pensez pas voyons...
Sa pullule, c'est comme les rats! Il ne manquerait plus qu'on les écoute, si on devait écouter tout ce qui se dit dans Paris, vous vous aurez surement l'audace de vous croire roi du monde ou même la fille cacher du vicomte de je ne sais qu'elle endroit. C'est minable, Ginette n'écoute pas les rumeurs, les ragots et tout autre, elle a autre chose à faire que de s'attarder sur genre de chose puérile et dépourvue de moralité. Ginette vit sa vie comme elle l'entend, Oui! Mais se fiche pas mal se que l'on pense d'elle et encore moins de ce que l'on dit elle. Le monde peut la regarder comme ce qu'elle est une catin, elle n'en tiendra pas rigueurs. Et sera la première à les ridiculiser avec leur code de savoir vivre. C'est une fille des rues, point. Sinon... C'est vrai que le Roi à une maîtresse?? Oo
« Plus bas la révérence, plus bas. »► Prénom/pseudo – Johanne, sinon c'est Zozo
► Âge – 17 ans
► Présence sur le forum – Mercredi Après midi ( pas sur ) Mais tous les Week End sur =D
► Code du règlement - "Longue vie au Roi"
► Suggestion - Euuuh... je n'ai rien à suggestionner