Invité
Invité
| Sujet: Clara de Andalucia [ Terminé =) ] 17.02.10 22:05 | |
| Clara DE ANDALUCIA _______ ft. Megan Fox
► Vingt-Neuf ans ► Duchesse d'Andalousie ► Portugaise ► Veuve du Duc d'Andalousie « Il était une fois ... »Incipit Un soir de janvier 1637, une femme prénommée Isabella mit au monde une petite fille aux cheveux déjà bien noirs, dans une minuscule maisonnette au toit troué et aux fenêtres si minces qu'elles laissaient passer des courants d'air glacials. Pourtant, malgré la température frigorifiante qui régnait dans ce petit habitacle, l'atmosphère était des plus chaleureuses. En effet, la famille Martinez n'était certes pas des plus riches matériellement, loin de là même, mais sa richesse provenait, et cela va certainement vous sembler un peu stéréotype, du coeur. Pourtant c'était bien la vérité. Preuve en est que les six enfants étaient entassés sur le sol poisseux, fagotés de guenilles, et pourtant ils souriaient au nouveau-né et n'avaient qu'une envie, c'était de partager le peu de chose qu'ils avaient avec elle. L'hiver passa, et Isabella faisait tout pour que ses enfants puissent s'épanouir le mieux possible. Cela marcha, en tout cas pour notre petite Clara qui respirait la joie de vivre. Munie d'yeux bleus, de cheveux d'un noir de jais et d'un petit air malicieux, la fillette possédait une bouille plus que mignonne et tout le monde l'adorait. Son enfance se passa loin des tourments propres aux grandes villes, dans une simplicité qui ne restera pas sienne bien longtemps. Chapitre 1 : En l'an 1654 C'était un été chaud, même brûlant au Portugal et on peut parfaitement s'imaginer toutes ces nobles vêtues de toilettes somptueuses, une ombrelle à la main se prélassant dans leur jardin à l'ombre d'un quelconque arbre, se rafraîchissant à l'aide d'éventails fait de dentelles et autres tissus plus somptueux les uns que les autres, et se désaltérant au moyen de diverses boissons. Oui, mais ça c'est la minorité de la population voyez-vous. La famille Martinez se trouvait aux champs à cette époque de l'année tout simplement parce qu'en bons agriculteurs ils avaient l'éreintante tâche de moissonner ces derniers. Et la demoiselle qu'était Clara à l'époque ne dérogeait pas à la règle. Du crépuscule du matin à ce lui du soir, tout le monde s'affairait pour terminer les récoltes à temps et s'offrir quelques jours de repos bien mérités. Et surtout, de pouvoir participer au petit bal qui allait se dérouler le soir même. Isabelle voulait en profiter pour examiner les jeunes hommes de la région car Clara était en âge de se fiancer. Tous ses fils étaient déjà mariés à des dames de la région. Peu riche, mais solides et travailleuses. Elle rêvassa pendant quelques instants, imaginant sa fille épouser le paysan qui possédait le plus de terres par ici. Mais l'heure n'était pas à la flemmardise, ni à la rêverie d'ailleurs. Non. Il y avait encore tant à faire se disaient-ils tous ! Il se hâtèrent donc de terminer leur travail, et, le soir venu, ils prirent le bain du mois, Clara se para soigneusement de sa plus belle robe, ce qui n'est pas du grand luxe je vous rassure, afin de faire bonne impression même si tous reconnaissaient sa grande beauté. Sa mère ne manqua d'ailleurs pas de l'avertir alors qu'elle se préparait : « Clara, n'oublie pas. Ce soir tu rencontreras ton futur époux et je veux que tu te conduises de la façon la plus irréprochable possible. A 18 ans tu seras mariée. » Clara s'imaginait, tout en enfilant son vêtement, dans 6 mois, fêtant ses noces avec un homme de la terre, à qui elle ferait de beaux enfants et qu'elle élèverait seule à la maison, tout comme sa propre mère le faisait, et les autres paysannes du pays également. Jamais elle n'avait rêvé de palais, de parures élégantes, de parfums raffinés car c'était une jeune femme d'un réalisme pur. Elle se contenta donc de dévoiler sa tenue à Isabella qui sourit avec satisfaction. Elle s'approcha de sa benjamine et lui tapota la joue affectueusement en disant :« Ma fille, tu seras la plus belle ce soir. »Clara répondit en souriant doucement, pressée de découvrir qui prendrait sa main l'année suivante. Tous s'en allèrent sur la place du village, illuminée de torches enflammées de toutes parts, quelques musiciens jouant joyeusement de la viole de gambe, de la musette ou encore du luth. Une petite appréhension traversa son esprit et vint se loger dans son ventre mais elle n'eut pas le temps de se poser une question que le crieur du village se plaça au milieu de la foule avant de déclarer :« Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs. Mes chers villageois. En ce jour de fête, nous avons la grandiloquente surprise de la venue du Duc d'Andalousie, dont on m'a annoncé que le carrosse n'était plus en mesure de poursuivre sa route vers Porto. Et son arrivée est imminente. De plus, je vous avertis qu'il a l'intention de se présenter ici-même afin de palier à son ennui. Je vous saurai donc gré de lui faire l'accueil digne de son rang. Merci à tous. »Dès la fin de ce discours, une atmosphère électrique se répandit partout aussi vite que l'annonce de l'arrivée d'un Duc. Cependant, la reprise des musiques de danse tassa un peu tous les ragots et l'on commença sans plus attendre à inviter les demoiselles à danser. Clara, accostée par le fils Fernandez, un voisin connu et reconnu de la famille, accepta l'invitation avec plaisir et se joint aux côtés du jeune homme aux autres danseurs. Des minutes, voir une heure passèrent et soudain un jeune garçon apparut en courant et tout haletant. Il cria comme il put :« Le...Le....Duc ! Il arrive ! Faites place ! » Tout le monde arrêta le mouvement et s'écarta lorsqu'un magnifique carrosse fit son entrée. Une arrivée qui n'atteint jamais la majestuosité du fait que la voiture était grinçante et qu'une roue allait se détacher si l'on ne la stoppait pas au plus vite. C'est ce que le cocher fit. Tout le monde avait les yeux rivés sur la porte et attendait que le Duc ne sorte. Le silence était religieux. Mais, à l'instant même ou son pieds à brodequin apparut, une enfant s'avança et, après s'être inclinée, offrit une gerbe de fleur à l'arrivant. Ce dernier les pris en souriant. Les jeunes filles se dandinaient, essayant d'attirer l'attention sur elle. Seules quelques demoiselles avaient la décence de ne pas se manifester trop grotesquement. Parmi elles, Clara. Pourtant, dès que le Duc porta son regard sur celle-ci, il fut émerveillée par tant de grâce, de pureté et de beauté. Il s'en approcha, sous les yeux furibonds des autres filles, mortes de jalousie que le Grand Homme, ne les voit pas même une seconde. Quant à Clara, elle n'était certes pas complètement à l'aise, mais ne faisait pas des montagnes de l'arrivée de cet homme de haut rang. Mais sa mère veillant au grain, lui jeta un coup d'oeil évocateur afin de lui faire comprendre qu'elle devait danser avec l'espagnol, flairant une opportunité. Lui obéissant, et répondant à la révérence du Duc, Clara s'inclina à son tour avant de se laisser entraîner par la fermeté des gestes de son cavalier et de la musique. A cet instant, il sut qu'elle serait son épouse pour le restant de ses jours. Chapitre 2 : "Les femmes partagent nos plaisirs, doublent nos tourments et triplent nos dépenses." ( Oscar Wilde ) Nous sommes en 1665, en Andalousie. Une femme se tient sur son tabouret dans une salle ornée de dorures et de moulures fastueuses. Le miroir qu'elle observe nous rend l'image d'une sublime portugaise aux yeux d'un bleu perçant et aux cheveux noirs. On dirait la même que la jeune demoiselle dans son petit village lusitanien. Pourtant, à y regarder de plus près, son regard n'est plus innocent. Il est à présent sûr, et parfois l'on remarque une touche de méchanceté voire de narcissisme à l'intérieur, voilà le principal changement. Quoique ses toilettes sont devenues somptueuses et elle se fait coiffer non pas par ses petites mains délicates, mais par celles d'une des nombreuses servante au service de... Madame la Duchesse d'Andalousie. Mais ça n'est rien en comparaison avec son nouveau comportement. Toutes ces richesses, ces palais, ce petit personnel et le culte que lui fait son mari lui sont montés à la tête et sa simplicité, sa pureté ont disparues petit à petit. Maintenant, elle n'est avide que d'or et de diamants. En se regardant dans la glace d'ailleurs, elle s'imaginait parée du nouveau collier que son époux lui avait promis, tant son amour pour elle était fort. Ce qui n'était pas le cas de Clara. Pour preuve, dès que sa bonne l'eût coiffée, elle sortit sans dire mot de sa demeure et se rendit dans les bois. Un élégant homme l'y attendait. " Bonjour Francesco. Veuillez pardonner mon retard mais mon cher époux n'a cessé de m'importuner. Ce qu'il peut être agaçant ! Je n'en peux plus, je me sens piégée à ses côtés"Elle s'approcha de lui d'une démarche langoureuse avant d'avancer son visage vers celui de son amant et de déposer un baiser sur les douces lèvres de di Venezia. Ce dernier sourit avant de l'attraper rapidement et de la coller contre son corps. Il huma le parfum envoûtant de la demoiselle, le nez dans ses longs cheveux ébènes. Il ricana légèrement avant de planter son regard dans dans yeux de sa belle et de lui annoncer :" Ne vous en faites pas Ma Chère. J'inviterai le Duc à une partie de chasse et le pauvre sera victime d'une balle perdue." Clara fut tout d'abord quelques peu horripilée de la proposition. Après tout, c'était son mari qui l'avait amené à la cour d'Espagne, mais les doutes firent place à une immense satisfaction. Elle serait enfin libre après la mort du Duc et pourrait quitter une vie trop paisible pour découvrir Versailles et ses rumeurs, trahisons, coups bas. Finalement, elle acquieça et le sort en fut jeté. Chapitre 3 : "Que les apparences soient belles car on ne juge que par elles." ( Roger Bussy-Rabutin) Cela faisait déjà quelques mois que la Duchesse d'Andalousie s'était installée à Versailles, en compagnie je vous le rappelle de son amant. Souvent, lors des après-midi durant lesquels il y avait peu d'activités au château et dans ses environs, ils se retrouvaient pour passer des moments plus charnels qu'autre chose. En fait, à part les plaisirs de la chair qu'ils partageaient, il y avait également l'élaboration de plans machiavéliques dans le but de détrôner le roi et d'y installer un autre monarque. Pour essayer d'évincer Louis XIV, Clara devait copiner avec des cibles bien précises et ce jour là d'ailleurs elle se rendait chez une certaine Inès, dame de compagnie de la reine. C'était certes une gentille fille, mais son statut agaçait prodigieusement notre Machiavel au féminin, qui était d'une hypocrisie sans nom dès qu'elle se trouvait en sa présence. Collant un sourire niais sur son visage qui d'habitude était de marbre, elle s'en alla à la rencontre de Inès, qu'elle avait invitée à boire le thé. Elle s'installa dans un salon avec elle et y passa une bonne partie de la matinée, la cuisinant subtilement sur certains sujets de la Cour. Seulement, n'ayant pas plus de temps à perdre, elle prit congé et se précipita hors du château, étant presque en retard pour son second rendez-vous. Ballottée dans sa voiture, elle repensa à la discussion qu'elle avait tenu quelques minutes auparavant et ne put s'empêcher de soupirer. Malgré la sympathie que Inès lui donnait, elle devait la faire surveiller par son fidèle serviteur, Cristiano. Immédiatement après son arrivée en ville, elle lui fit porter ce message" Cristiano,
J'ai longuement conversé avec Inès de Valencia et je crois qu'elle ne m'a pas donné toutes les informations concernant l'état du royaume et de sa milice. Va donc la surveiller de plus près, avec ton agilité et ta discrétion légendaire, il va de soi. Fais-moi au plus vite un rapport de ses agissements et de ses missions pour la reine.
Signé, P. "Clara prenait toujours la précaution de ne signer ni par son prénom, ni par son nom de famille et encore moins par son titre. On ne pouvait jamais prévoir dans quelles mains allaient tomber les missives qu'elle faisait transmettre à Cristiano. P. voulait simplement dire " La Portugaise " et ainsi personne n'aurait de soupçons. Après cette courte pause d'écriture, Clara fila rejoindre Francesco di Venezia, dans une sombre taverne, ayant auparavant pris le soin de troquer dans un coin ses parures somptueuses et richement ornées, bien trop voyantes d'ailleurs, pour une robe beige simple, ainsi qu'il foulard lui couvrant les cheveux et le haut du buste. Ce qu'elle voulait à tout prix, c'est que personne ne la voit ou ne la reconnaisse mais ce fut mal parti car elle rencontra Matthias de Sandras, un mousquetaire du roi. Elle s'empressa de retirer le foulard de sa tête et s'en approcha, souriant à pleines dents, de sa démarche des plus sensuelles. Il ne pouvait plus l'éviter. Elle le salua d'une voix plus que chaleureuse: " Quelle belle surprise de vous voir, Cher Matthias. Ne trouvez-vous pas qu'il fait une chaleur accablante à cette heure de la journée ? "Elle prit son foulard et s'essuya la gorge d'une façon qui ne laissait placer aucun doute sur ses intentions. C'était une attitude évocatrice que nous jouait là Clara. Mais ça lui était égal, son seul but demeurant mettre Matthias dans son lit car ne dit-on pas que les plus noirs secrets sont révélés après l'amour ? La jeune homme pourtant était visiblement pressé et un peu méfiant, ce que repéra Clara tout de suite. Tant pis, de toute façon elle était en retard, et Francesco n'aimait pas attendre. Elle insisterait plus tard. Il répondit simplement, après un baise-main : " Madame de Andalucia, quelle....agréable... surprise de vous voir ici. Je... il est vrai que l'été n'est plus très loin. D'ailleurs, je suis attendu afin de me rafraîchir. Veuillez m'excuser. Mes hommages. "Clara ne put s'empêcher de sourire. Elle l'aurait à l'usure. Tout comme Geoffroy de Bar, un homme haut placé, aux yeux ravissants. Elle évincerait son idiote d'épouse, cette Flor qu'elle ne pouvait s'empêcher de ridiculiser dès qu'elle en avait l'opportunité, espérant pouvoir rejoindre la couche de son mari. Perdue dans ses pensées diaboliques, et après s'être recouvert la tête de son châle, Clara fit son entrée dans la taverne et y retrouva Francesco. De bonnes ou de mauvaises nouvelles pour les Mains de l'Ombre allaient sortir de ses pulpeuses lèvres ? ( La suite, dans le prochain épisode... =P )« Que diable, vous êtes à Versailles ! »► Un paradis ou un enfer versaillais ?Versailles n'est un paradis pour personne. A part les écervelés, pense Clara. Il est évident que quiconque y met les pieds ne sera jamais dans la meilleur des positions durant tout son séjour au château. A présent c'est quelque chose d'évident pour la jeune femme. Mais avant son arrivée, elle n'imaginait pas à quel point il faut se méfier de la moindre roturière, du moindre mot émis qui peut prendre des tournures gigantesques suivant à qui on les répète. Donc Versailles n'est pas un paradis. Mais ce n'est de loin pas un enfer. Il ne faut pas oublier qu'il y a de la vie au moins là-bas, ce qui change Clara de sa Cour espagnole parfois trop morne à son goût ces temps-ci. Et toute cette concurrence féminine l'envoie aux anges. Elle a-dore montrer qu'elle est plus ravissante, qu'elle possède plus de choses que d'autres femmes présentes à la cour. Une folle ambiance, remplie de ragots, d'intrigues et d'autres excentricités il n'y a que ça de vrai ! Du moins, c'est ce que pense la Duchesse d'Andalousie.
► Vérité ou fantasme du complot ?Ne soyez pas naïfs ! Tout monarque est critiqué, tout homme important ne peut être aimé de tous. C'est une évidence et surtout une réalité. Alors évidemment qu'un personnage tel que Louis XIV est soit adoré, soit détesté. Et ça, toute personne saine d'esprit l'aura remarqué. Quant à Clara, elle n'a qu'une envie, c'est qu'il cède son trône et sois humilié devant tous. Elle fait partie du mouvement des mains de l'ombre, et se faufile à la cour afin d'obtenir toutes les informations utiles à l'élaboration d'un plan visant la chute de la monarchie du roi actuel. Tout ceci est très excitant pour elle car vivre dans une légère, très légère peur de se faire pincer lui donne de l'adrénaline. Et puis n'oublions pas qu'elle a déjà fait tuer son mari par son amant car elle s'ennuyait. Elle s'y connait très bien en matière de complots et d'assassinats organisés.
► Plutôt colombe ou vipère ?Il faut avoir l'apparence d'une colombe, mais sous le costume, être une vraie vipère. C'est ce qu'est Clara, faisant semblant d'être mielleuse avec par exemple Inès, et la poignardant dans le dos par après, n'hésitant pas à révéler des choses privées à son sujet. Il y a aussi le plaisir qu'elle prend à rire de tous les agissements de Flore de Bar. Elle se délecte de la honte qu'elle lui cause et du mal qu'elle peut lui faire. Après tout, que ne ferait-elle pas pour obtenir les faveurs de l'époux de celle-ci ? Sinon, être spectatrice des déboires des autres révélés au grand jour lui convient aussi parfaitement : c'est si drôle de voir la réaction des gens lorsqu'ils sont humiliés et qu'ils essaient tant bien que mal de faire bonne figure. Elle se demande en fait qui cela n'amuserait pas. « Plus bas la révérence, plus bas. »► Marie ► 17 Ans ► Présence pratiquement quotidienne ► Code bon (par Steph) ( ou pas dirait Clara... ) ► Pour l'instant aucun commentaire.
Dernière édition par Clara de Andalucia le 22.02.10 22:42, édité 1 fois |
|
Philippe d'Orléans
« s i . v e r s a i l l e s »Côté Coeur: Il a été brisé, piétiné et maintenant celui qui était à mes côtés est devenu mon ennemi. Quelle cruelle destinée !Côté Lit: Le lit de mon palais est si confortable et accueillant !Discours royal:
ADMIN TRAVESTIE Monsieur fait très Madame
► Âge : 27 ans
► Titre : Prince de France, Monsieur le frère du Roi, Duc d'Orléans, de Chartres, d'Anjou, seigneur de Montargis
► Missives : 10014
► Date d'inscription : 03/01/2007
| Sujet: Re: Clara de Andalucia [ Terminé =) ] 22.02.10 21:20 | |
| Bienvenue chère comploteuse !
J'aime beaucoup ta façon d'écrire, tout y est, je ne trouve rien à redire ! Je te valide avec beaucoup de plaisir, tu peux passer à la gestion pour ton logement, liens, ... et amuse toi bien parmi nous ! |
|