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 «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC

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MessageSujet: «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC   «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC Icon_minitime25.11.09 21:06

Alaina of CORK
_______ ft. Natalia Vodianova
«Alaina ; une révérence pour un sourire» UC Img-155158b8mxd


    25 ans
    ► "Vous êtes, ma fille, la comtesse de Cork. Tachez de vous en souvenir."
    ► "Irlandaise monsieur."
    ► "J'ai été fiancée vous savez. Mais il est mort, à la guerre.
    Je ne sais même pas ce que je perds, de toute façon on ne me l'avais jamais présenté..."


    « Il était une fois ... »

    « Il était une fois... Une princesse. So british. Irlandaise pour être juste, la petite princesse. Un amour de petite fille, avec une frimousse qui émerveillait ses parents, fiers de leur enfant, et tout ceux qui posaient le regard sur ses bouclettes...
    ALAINA - Blondes ?
    THOMAS - … Non ma puce. Brunes, tirant sur le roux, d'une couleur chatoyante rivalisant avec le plus bel automne. Et ses jolis yeux en amande étaient gris-bleu, chose, soi dit en passant très nouvelle dans la famille. Et...
    ALAINA - Et son nez ?
    THOMAS - Son nez ? J'allais y venir, un petit nez mutin et retroussé évidemment, adorable. Mais si tu me laissais raconter mon histoire princesse, sans m'interrompre à tout bout de champ ? Hm, qu'est ce que tu en dis ?
    ALAINA - J'en dis que je suis d'accord, père, sous condition que la princesse se marie avec un beau et valeureux prince à la fin et qu'ils aient tout plein d'enfants.
    THOMAS - On ne dit pas « tout plein » mais « beaucoup ».
    ALAINA - Beaucoup d'enfant, très bien, et pour le prince ?
    THOMAS - Il ne saurait en être autrement voyons...

    13 years ago...

    La petite princesse à bien grandie, à présent, l'adjectif de petite ne lui convient plus autant qu'avant. Alaina of Cork à tout juste vingt ans, fille unique du Comte Thomas of Cork et de la pieuse comtesse Juliette.

    Alaina s'accordait parfaitement avec la légèreté de cette fin d'automne. Dans les dentelles de sa robe blanche s'accrochait quelques touches cuivrées, les dernières feuilles qui dénudaient jusqu'au prochain printemps les arbres.
    Alaina avait les yeux levées vers un point que le comte, son père ne parvenait point à voir d'où il se trouvait. Ce quelque chose avait l'air de passionner la jeune femme. Ce quelque chose, s'était un tendre petit point vert au croisement de deux branches, un jeune bourgeon qui pointait timidement mais résolument son nez, en avance.
    Le comte le vit quant il s'approcha derrière le dos de sa fille.
    Ses cheveux blonds/roux relevés en un chignon rapide qui dévoilait sa nuque laissaient libre quelques fines mèches folles qui s'enroulaient joyeusement sur elles mêmes, frôlaient le col blanc.
    Machinalement, ses doigts se mirent à jouer avec.
    Alaina sursauta au doux contact sur sa peau et sourit en reconnaissant son père.

    ALAINA – Tu à vu ? Celui ci est en avance.

    Thomas de Cork ne jeta qu'un moindre coup d'œil au bourgeon pressé. Il délaissa soudain la nuque de sa fille pour lui prendre les mains que la jeune femme gardait le long de sa robe et enlaça son enfant tout en les gardant serrées dans les siennes.
    Son enfant, la sienne, cette belle demoiselle.

    Si Alaina fut surprise par le brusque élan d'affection de son paternel, elle n'en montra rien. Néanmoins elle sentait que quelque chose n'allait pas. Le comte n'avait pas pour habitude de montrer ses sentiments, mais il aimait tendrement sa fille. Cet amour passait par des mots, des sourires, des regards tendres. Dans sa pudeur d'homme et de père face à sa petite fille maintenant devenue une jolie demoiselle, il éprouvait une certaine gêne maladroite à serrer contre lui se corps autrefois si familier et à présent si différent.

    Il posa sa tête au creux de l'épaule de sa fille, qui avait maintenant acquis la certitude que quelque chose d'anormal se tramait. Elle sentait une légère anxiété grandir en elle, et attendait avec une inquiétude croissante que son père abandonné contre son épaule veule bien se confier, mais n'osait troubler ce silence teinté de la douce rumeur du vent, et cette étreinte si rare et si précieuse, elle ne manquait pas de la savourer malgré son trouble.

    Thomas releva la tête, entrouvrit la bouche près de l'oreille d'Alaina.

    THOMAS - Je ne veux pas te partager.

    Cette déclaration était si inattendue que la jeune comtesse se tourna dans un sursaut, croisant le regard de ce père tant aimé. Elle se perdit dans son bleu ombrageux, y cherchant vainement les réponses à ces interrogations muettes. Ce regard était brillant d'émotion, il lui sembla un instant y déceler une drôle de supplique.

    ALAINA – Que veux tu dire ?

    Le comte laissa retomber une main pour caresser maladroitement du doigt la joue rosie par la fraicheur du vent, avant de se détacher. Un pas, puis deux le séparèrent de sa chère fille. Il était redevenue l'homme aimant mais timide que Alaina connaissait bien.
    Elle fit un pas avant, scrutant le beau visage auquel elle devait la vie.

    ALAINA – Père...

    Dans ce visage, de la mélancolie, de l'amour et de la tendresse, mais aussi comme une once de colère.

    Thomas of Cork – Rentrons, il commence à faire frais. Il sembla hésiter puis... Ta mère la comtesse et moi même, nous voudrions te parler.

    Il fit volte face et prit la direction du château, laissant Alaina immobile derrière lui. La jeune femme fixa un instant le dos de son père, tournant et retournant dans sa tête toutes les hypothèses possibles et imaginables. Déjà, une s'imposait à son esprit. Elle s'y attendait depuis quelques temps. Et au fond de son cœur, une lueur d'espoir sous forme d'un Et si... ? Vaporeux. Soudain elle se résolue et s'élança à la suite du comte. Juste au moment où celui ci se retournait. Elle arriva à sa hauteur, un sourire franc sur les lèvres qui semblait vouloir dire « Je suis prête ». Thomas lui offrit son bras en secouant fugitivement la tête, avec une mimique signifiant clairement « Pas moi ».
    Puis un sourire en réponse « Si tu es heureuse, je le serai aussi ».

    OoOoOoOoOoOoOoOoO


    Alaina pénétra au bras de son père dans le grand salon, la pièce centrale du petit château des Cork. Là où se tenait le plus gros des réceptions, quand réceptions il y avait. Car les guerres civiles qui fleurissait en Angleterre avait sensiblement ralenti le rythme des fêtes mondaines, et les Cork bien que éloignés du cœur des conflits ne faisaient pas exception à la règle.

    Assise bien droite sur un fauteuil de velours bordeaux, Juliette de Cork, sa mère, lisait. Plongée dans son ouvrage, l'entrée de son époux et de sa fille ne lui arracha pas un mouvement, rien qui puisse indiquer qu'elle les avait entendus.
    La comte poussa doucement sa fille en avant et toussota pour se signaler avant d'incliner rapidement le buste en direction de son épouse qui avait relevée la tête, son livre pendant négligemment au dessus de l'accoudoir.
    Alaina plongea rapidement en une gracieuse révérence et s'avança jusqu'à sa génitrice, se baissant pour lui baiser la main.

    ALAINA – Comment allez-vous mère ?

    Juliette soupira légèrement et sa main se dégagea de celle de sa fille pour venir lui remettre une mèche rebelle en place derrière l'oreille.

    JULIETTE – Bien, ma fille. Je vous remercie. Vous semblez vous aussi en pleine santé comme en attestent ses jolies couleurs sur vos joues.

    La comtesse offrit à sa fille un bienveillant sourire, auquel Alaina répondit de la même façon. Elle était beaucoup moins proche de sa mère que de son père; laquelle avait préféré très tôt déjà se consacrer à Dieu et à la prière plutôt qu'à sa fille. Elle n'était en rien responsable de l'éducation de son enfant, les nourrices et le père s'en était occupée sans elle.
    Alaina ne voyait point souvent sa génitrice, tant elle préférait courir dans les jardins, aider le jardinier parfois et vaquer à une foules d'autres choses dont ne venait la distraire que les cours inévitables de danse, de maintien et de protocoles assurés par les précepteurs de la famille.
    En dehors de ses « corvées », que la jeune femme acceptait néanmoins de bonne grâce, on lui laissait une entière liberté dont elle usait comme elle l'entendait, sans que personne ne voient jamais rien à redire sur ses agissements.

    La comtesse quant à elle passait le plus clair de son temps à la chapelle, où à superviser les taches quotidiennes du domaine, à l'intérieur le plus souvent car sa peau pâle supportait assez mal la brûlure du soleil.

    JULIETTE – Mais trêve de ces futiles mondanités, j'ai à faire et n'ai que très peu de temps à vous accorder.

    Alaina, agenouillée au côtés de la comtesse, le visage levée vers sa mère cessa de sourire. Parfois elle regrettait la déférence volontaire qui les séparaient, l'absence de la tendresse d'une mère creusait à certains moments de petits cratères dans son cœur.

    Juliette – Ma fille, il est temps de vous présenter à votre futur mari !

    Juliette of Cork dit cela d'une voix enjouée, se levant à demi en incitant sa fille à en faire de même. Les deux femmes à présent debout se firent face.

    JULIETTE – Il est grand temps de vous marier, tant que vous possédez une bonne dot. Allons, remerciez moi de prendre soin de l'avenir de notre maison au lieu de rester ainsi muet ! On jurerait que vous venez de l'enterrer, votre fille.

    En effet, le comte resté à l'écart se tenait raide comme un bâton et n'avait pas lâcher un mot de tout l'échange. La comtesse leva les yeux au ciel et enchaina, d'une voix plus douce et d'un ton las.

    JULIETTE – Mon ami, nous en avons déjà assez parler.

    Dans le bruissement de sa robe elle se tourna alors vers sa fille, laquelle semblait avoir était figée dans la pierre. En ce moment, la ressemblance avec son père était frappante...

    JULIETTE – Chérie...

    Alaina sursauta et releva brusquement la tête, soudain bannie de ses pensées pour revenir au monde réel. Un instant encore elle demeura interdite, c'est que, de la bouche de sa maternelle ce mot paraissait tellement irréel...

    Elle la regardait, semblant attendre. Mais quoi donc ? Dans un éclair de raison elle se souvint et plongea de nouveau dans une ample révérence, débitant sur un ton monocorde comme un texte appris par cœur :

    ALAINA – Mère, je ne sais comment vous remercier de prendre soin de ma personne et de mon avenir.

    THOMAS – Enfin ma chérie, c'est tout à fait normal. Madame la comtesse, à défaut d'aimer sa fille, se doit d'aimer la beau parti et l'alliance prometteuse qu'elle représente.

    Le comte, sortant de son mutisme s'était approché pour relever sa fille, avec une douceur camouflant une sorte de brutalité. Il lui prit la main et y appuya un léger baiser. Puis il s'inclina de façon presque imperceptible devant son épouse qui le dévisageait d'un œil torve.

    THOMAS – A présent, ma très chère épouse et ma très chère fille, permettez moi de me retirer. J'ai à faire.

    La comtesse agita vaguement la main, chassant un insecte invisible.

    JULIETTE – Faites mon ami, si cela vous plaît. Vous aussi Alaina, vous avez à faire. Dès demain vous partez pour Londres, rencontrer votre fiancé.
    elle ajouta à voix basse afin d'être seulement entendue de son époux Sachez que vous vous égarez sur mon compte, rien ne me tient plus à cœur que les intérêts d'Alaina.


    THOMAS -
    sur un ton tout aussi bas Ses intérêts, oui, comme je le disais.

    Alaina émit un cri étranglé.

    ALAINA - Si tôt ?!

    Le comte qui déjà faisait quelques pas en direction de la sortie se roidit visiblement, tandis qu'un sanglot l'interpellait.

    ALAINA – Oh, père !

    La jeune femme rassemblant les jupons de sa robe s'élança à la suite de son père, se jetant à son cou.

    ALAINA – Je ne veux point partir, je veux rester ici. Avec vous, père, allez vous donc me chasser ?
    Ce fiancé, je n'en veux pas. Un riche vieillard en manque de jeune femme et d'héritier sans aucuns doute !

    Thomas of Cork prit fermement sa fille par les coudes, lui déposant un furtif baiser sur le front. Mais son regard s'était fait dur, ses traits impénétrables.

    THOMAS – Ma chère, c'est votre destin, ainsi que le mien. Du reste détrompez vous, ce fiancé n'est point si laid que vous le décrivez. Je gage qu'il saura vous comblez, et vous oublierez vite votre vieux père. Adieu.

    Il la relâcha et se détourna, disparaissant bientôt dans l'encadrement de la porte. Saisie, Alaina plongea son visage dans ses mains. D'où elle était demeurée, la comtesse ne voyait plus que deux frêles épaules vêtues de blanc se secouant au rythme des sanglots.

    JULIETTE – Décidément, je crois que l'on vous a accordé beaucoup trop de liberté jusqu'à présent...


    OoOoOoOoOoOoOoOoO


    Les rayons de soleil matinaux s'engouffrèrent joyeusement par la fenêtre ouverte.
    Oui, s'était une journée magnifique – pensa Alaina tout en inspirant profondément. Un frais parfum d'automne lui chatouilla le nez.
    Magnifique... Son moral, en revanche l'était moins.

    La jeune femme était seule dans sa grande chambre, sa camériste qui l'avait aider à se préparer s'était retirée. Camériste qui l'avait trouvée résolument abîmer dans un profond sommeil, alors qu'elle aurait due être debout depuis longtemps déjà.
    Car aujourd'hui, pas de longue promenades en forêt au bras de son père, pas de cour d'équitation aujourd'hui, rien de tout cela.
    Ce matin la comtesse de Cork et sa fille prenait la route en direction de Londres afin de rencontre le fiancé d'Alaina.
    Fiancé dont elle ne savait rien, ou presque, ses parents ayant toujours veillés à ce qu'elle en sache le moins possible.
    Elle y était néanmoins enchaînée, depuis ses quinze ans.

    La jeune femme, la mort dans l'âme se laissa tomber au bord du grand lits à baldaquins qui avait tant bercé ses rêves. Bientôt elle ferait ses adieux au château des Cork.

    Confusément, la rumeur sourde de pas rapides dans l'escalier arriva à ses oreilles, finissant par lui faire lever la tête. Le temps d'un boitement de cœur plus tard, sa femme de chambre, son ancienne nourrice pour laquelle elle avait beaucoup d'affection déboulait, affichant son imposante silhouette dans l'embrasure de la porte.
    Intriguée, la jeune femme se leva, dévisageant la femme qui l'avait tant prise sur ses genoux pour lui raconter des histoires dans son enfance. Ce souvenir appela une douloureuse bouffée de nostalgie, et c'est les yeux humides, sans plus grande curiosité qu'elle attendit que son ancienne nourice reprenne son souffle.

    BEATRICE – Ah... ma chère enfant... Si vous saviez...

    Alaina darda un œil résigné sur la femme.

    ALAINA – Oui ? Si je savais, quoi donc ?

    La bonne Béatrice haletait.

    BEATRICE – Si vous saviez...

    Elle avança au niveau de sa protegée, lui prenant soudainement les mains et les lui enserrant dans les sienne. Alaina faillit protester contre ce mauvais traitement et se contenta de pousser un petit gémissement.

    BEATRICE – Votre fiancé, à été appelé pour combattre au coté du Roi d'Angleterre. Le voyage est annulé ma chère, vous ne partez pas. Votre rencontre est reportée. Inutile de vous dire que la pauvre comtesse est dans tout ses états ! Imaginez, la guerre ! Il risque de se faire tuer !

    Alaina resta muette, assimilant doucement toutes ses informations. Dieu, c'était une farce ? Elle ne partait pas ! Elle eut tout d'un coup l'impression qu'un grand poids s'envolait de ses épaules et sans pouvoir s'en empêcher, éclata d'un grand rire cristallin qui résonna dans la pièce comme un coup de tonnerre.

    BEATRICE, choquée – Mais, mais mademoiselle, vous riez ! Avez vous bien saisi ce que je viens de vous dire ? Il est à la guerre !

    La nourrice, un air toujours plus épouvanté sur son visage en sueur dévisageait la jeune femme d'un regard nouveau. Alaina quant à elle secoua joyeusement les mains de la bonne femme, toujours rieuse.

    ALAINA – Oh, Béatrice ! C'est merveilleux !

    Elle lui plaque un baiser sur chacune des joues avant de s'élancer telle un courant d'air enfin libérée par la porte ouverte. Son rire résonna encore longtemps dans les oreilles de la nourrice, amenant finalement un sourire hésitant sur ses lèvres, sa main sur sa joue caressant le souffle chaud des vestige du baiser.



    EPILOGUE

    Un mois est passé, les arbres se sont remplumés sous le joug du printemps. Et Alaina à fini par partir, par quitter son Irlande natale et son cher père. Cependant, pas pour les raisons prévues initialement, pour la jeune beauté, pas de mariage en vue, qu'il soit arrangé ou non.
    C'est Versailles qui se dessine sur l'horizon de son avenir.
    Versailles et ses vices, ses complots et ses fantasmes.

    « Sa pureté ne restera pas blanche très longtemps »

    Plus de prince charmant. La guerre à finie par remplir son office, la mort s'est emparée de sa vie.
    Et le comte et la comtesse ont à l'épilogue d'une longue période de débat pris la décision d'envoyer leur fille unique en France, à la cour du « roi soleil ».
    Pour la tenir à l'écart des turbulences Anglaises, pour que la pauvre jeune femme « s'en remette », et car à la plus grande cour d'Europe se rassemble un éventail de nobles bons partis, tous plus en vogue les uns que les autres. Et puis il faut y aller, au moins une fois dans sa vie.
    A peine arrivée, l'innocence d'Alaina s'émerveille de ce décor de rêve.
    Mais là où elle va l'innocence ne perdure jamais très longtemps...
    Versailles l'envoute et la charme, et la jeune comtesse Irlandaise n'ayant connu en tout est plus que la calme de son petit château plonge avec délice dans ce bain de paillettes et de couleurs acidulées.
    Si bien qu'elle ne veux plus repartir...
    Retourner se terrer au fond du comté de Cork, l'idée même la fait frissonner d'ennui. Quand on a goûté à Versailles tout en comparaison paraît fade, jusqu'aux promenades en forêt qu'elle aimait tant. Jusqu'à son père adoré... Thomas of Cork est bien la saule personne qui aurait pu la convaincre d'abandonner la cour, mais même lui ne présente pas un attrait suffisant en rapport à sa nouvelle vie.




    « Plus bas la révérence, plus bas. »

    ► {Pseudo} "Have you see a devil's smile ?" NIARK NIARK...
    ► {Age} 15 jeunes années I love you I love you I love you C'long quand même...
    ► {Présence sur le forum} Tout dépens... De mon humeur.
    ► {Code du règlement} Longue vie au Roi
    ► {Suggestion} Euh, distribuer des nougats aux nouveaux membres !? *_*


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Dernière édition par Alaina of Cork le 15.12.09 19:40, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC   «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC Icon_minitime29.11.09 18:23

    « Que diable, vous êtes à Versailles ! »

    Un paradis ou un enfer versaillais ?

    Un enfer ? Voyons, c'est un paradis ! A Versailles tout n'est que luxe et félicité, pensait éperdument la jeune comtesse en ses débuts à la cour. Richesse et Raffinement, elle ne voyait pas le fiel et l'hypocrisie cachée derrière les lourdes tapisseries. Amour et Vertu, le Diable sous les draps cousus de fils d'or lui était inconnu. Animation, Chaleur, Flatterie... La jalousie et les racontars dansaient devant ses yeux sans qu'elle s'en aperçoive, tout à son excitation de débutante.
    Et maintenant ? Voilà déjà deux ans qu'elle est à Versailles, et la douce colombe se recouvre imperceptiblement d'écailles. Elle sait à présent qu'à la cour tout n'est pas qu'or et sucre, cependant elle... ferme les yeux. Elle a pris goût elle aussi, bien qu'il soit encore très modérée, aux vices.

    Vérité ou fantasme du complot ?


    Plutôt colombe ou vipère ?


Dernière édition par Alaina of Cork le 19.12.09 14:02, édité 1 fois
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Alexandre D'Artagnan


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MessageSujet: Re: «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC   «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC Icon_minitime07.12.09 18:10

Bienvenue sur Versailles.

Bonne continuation pour ta fiche ! Wink
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MessageSujet: Re: «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC   «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC Icon_minitime10.12.09 21:04

Merci beaucoup ! ^^
Désolé, je suis longue à finir Embarassed
J'essayerais de finir demain, ou au plus tard ce week end !
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MessageSujet: Re: «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC   «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC Icon_minitime18.12.09 22:52

Tu avances ? Smile
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MessageSujet: Re: «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC   «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC Icon_minitime19.12.09 14:04

Désolé, avec les vacances et Noël, en ce moment je n'ai plus beaucoup de temps pour le rp. Et je ne voudrais pas bâcler ma fiche, enfin, j'essaie de finir au plus vite. u.u

EDIT : Après avoir bien réfléchi, je fais en ce moment une pause rp. Je n'ai plus beaucoup d'inspiration et un tri parmi mes forums rpg s'impose, il y en a trop, et j'ai de moins en moins de temps pour.
Bref, j'abandonne Alaina, vous pouvez supprimer mon compte.

Bonne continuation ! ^.^
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Amy of Leeds


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MessageSujet: Re: «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC   «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC Icon_minitime31.12.09 12:07

D'accord c'est dommage mais nous comprenons !

Bonne continuation à toi ! Smile
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MessageSujet: Re: «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC   «Alaina ; une révérence pour un sourire» UC Icon_minitime

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