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| Milena de Cortès, une monté Cristo avant l'heure ! | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Milena de Cortès, une monté Cristo avant l'heure ! 29.11.09 17:46 | |
| MILENA DE CORTES
_______ ft.Monica Cruz
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~ Mes relations ~
►Age : 27 ans ► Titres : Princesse de Cellamare et de Cortès ► Origines : Nobles ► Situation Maritale : Célibataire « Que diable, vous êtes à Versailles ! »► Un paradis ou un enfer versaillais ?Sans aucun doute possible, un enfer ! Je n’ai jamais voulu me rendre à Versailles. Je dois néanmoins subir ! Mais ici contre mon gré, il m’appartient peut-être d’en faire mon paradis. Cependant je ne pourrai l’obtenir qu’en faisant la vie d’une certaine personne, un enfer. Car dans ce lieu si somptueux se trouve ma pire ennemie, et comment vivre sous le même toit qu’elle sans que l’une de nous deux ne soit condamnée à vivre un véritable enfer ? Pour l’instant c’est mon cas mais je compte bien inverser la tendance, qu’importe le rang et le titre de cette personne. Le jour où je la verrai me supplier, où je la verrai vouloir se suicider par ce que je lui aurais fait subir, ce jour là seul je regarderai avec des yeux nouveaux Versailles. Le Paradis au prix de ma vengeance et c’est mon dernier mot ! ► Vérité ou fantasme du complot ?Comment peut-on se venger sans prendre part à un complot ? Il me faudra des alliés afin d’y parvenir et parfois des alliés peu recommandables pour le bien de la Couronne, je le sais bien. Mais neuf ans, cela suffit pour échafauder un complot dont on ne peut se relever. Je tenterai néanmoins de ne pas contrarier le Roi, innocent qu’il est dans cette affaire mais comme il serait capable de sacrifier un membre de sa famille pour le bien du Royaume, je serai tout aussi capable de sacrifier les plus grands pour que ma vengeance s’accomplisse. Elle est mon obsession et ma raison de vivre. Je n’y renoncerai que morte, je ne mets aucune limite à mon calcul et à ma sournoiserie. ► Plutôt colombe ou vipère ?Colombe je fus trop, aussi aujourd’hui que puis je être hormis une vipère ? Mais une vipère néanmoins tapie dans l’ombre depuis neuf ans, que l’on a forcé à se dissimuler dans un buisson attendant son heure. Sortie de ma cachette, il est cependant qu’un seul talon qui m’intéresse à mordre. Pour autant si d’autres se mettent en travers de mon chemin, ils seront mis également hors d’état de me nuire. Pour l’instant je siffle toujours dans les bosquets de Versailles, ou serpentant dans les pièces du château, l’heure où j’infiltrerai mon venin n’est pas encore venue. « Plus bas la révérence, plus bas. »► Prénom/pseudo : Lisa (Oui c’est moi ) ► Âge : 25 ans ► Présence sur le forum : 7/7 ► Code du règlement : Longue vie au Roi ► Suggestion : Pas spécialement, le fofo est très bien comme il est. (Remarque : J'ai bien eu l'autorisation du membre pour faire l'histoire qui suit et ce perso )
Dernière édition par Milena de Cortès le 17.01.10 0:58, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Milena de Cortès, une monté Cristo avant l'heure ! 29.11.09 17:52 | |
| « Il était une fois ... » Le coup partit et résonna au loin, rien de bien étrange penserez vous pour un jour de chasse, hormis le fait qu’aucun sanglier ne fut touché, aucun cerf, aucun gibier, car la blessée ce fut moi … frappée d’une balle mortelle. Je revois encore le regard de la personne qui tenait l’arme et sa main tremblante, je lui souris même, elle ne ferait jamais ça. Mais je m’écroule bel et bien sur la terre recouverte de feuilles que l’automne abat des arbres et j’entends encore ses pas, et ses pleurs.
- Non je n’ai pas pu !
Je ne cesse d’entendre cette phrase dans un écho lointain plus elle s’éloigne de moi … Je sombre dans l’obscurité la plus totale. Vais-je mourir ? Je ne le sais pas, je suis blessée au plus profond de mon être, une larme puis deux coulent sans que je puisse les retenir, car plus que la plaie physique, je souffre d’un autre mal bien plus terrible … C’est ma meilleure amie qui a tiré. Comment aurais-je la force après ça de me relever ? D’ailleurs, dans le silence devenu seul maître de cette forêt, je vois soudain ma vie valser sous mes yeux.
Ma vie débuta il y a de cela dix huit ans. Je suis issue d’une famille alliée des Rois d’Espagne. Cortès ? Ce nom ne vous dit rien ? Je suis sûre que vous vous souvenez de l’illustre Hernan Cortès, le conquistador de l’Empire Aztèque, qui apporta des trésors et des terres immenses au grand roi Charles Quint. Il mourut sans rien et presque en disgrâce mais on ne peut effacer un patronyme aussi célèbre. Ma famille est donc depuis des siècles élevée à de très hautes distinctions, mon père Grand d’Espagne, chevalier de la Toison d’Or reste un fidèle ami de la tête couronnée. Ma mère vient d’une lignée tout aussi prestigieuse et a servi tour à tour, les Reines Elisabeth de France et Marie Anne d’Autriche.
Ce fut grâce à cette fonction que je suis née le 10 septembre 1639 une cuillère d’argent dans la bouche. Ce fut grâce à elle également que je pus me lier d’amitié avec Marie Thérèse, la fille de notre bon Roi Philippe IV. Les points communs entre nous, nous faisaient rire et rendaient notre lien plus fort encore. Tout d’abord nous sommes nées à un an près le même jour, ensuite nos deux prénoms commençaient par la lettre M. Enfin je suis fille unique et bien qu’elle ne l’était pas, ses frères et sœurs morts en très bas âge, nous remplissons chacune le rôle plaisant de grande ou de petite sœur. C’est tout au moins ce que j’ai cru, car j’ai vécu jusqu’à ce jour fatal dans cette idée que rien ni personne pas même nos mariages respectifs pourraient nous séparer. Cruelle et folle illusion !
Dans le délire qui semble à présent s’emparer de mon corps et de mon esprit, combien de minutes ou d’heures se sont écoulées, je n’entends, je ne vois rien. Je porte la main à ma blessure qui meurtrit tout mon ventre, comme pour la soulager mais cela se révèle bien inutile. Mon geste me rappelle le sien. Et je me demande, pourquoi l’a-t-elle commis ?
N’est elle pas fille de Roi, promis à ce Roi de France que l’on dit fort beau ? N’est-elle pas riche ? N’est-elle pas princesse ? N’a telle pas tout ce qu’elle désire ? Alors pourquoi ? Quel intérêt d’ainsi m’abattre ? Que lui ai-je donc fait ? Je n’ai jamais eu pour elle, une seule parole ou une unique pensée offensante. Peut-être est-ce cette quête de compréhension et ce sentiment de révolte qui me pousse encore à vivre. Oui je veux savoir.
- Pourquoi ? Pourquoi ?
Je m’entends moi-même répéter ce mot alors que je pensais mes lèvres incapables de prononcer quoique ce soit. J’essaie alors d’ouvrir les paupières mais j’aperçois un crépuscule éblouissant de rouge, je les referme aussitôt, il me rappelle le sang que je perds goutte après goutte mais aussi également que derrière le rayon qu’illuminait ma vie se cachait cette part bien sombre qui me tue plus le temps passe. A cette pensée, les souvenirs ressurgissent à nouveau.
Je nous revois en ces journées où Vélasquez peignait son portrait afin d’envoyer ce tableau en France. Toujours gênée par son image, je l’aidais à supporter ses angoisses.
- Mais vous êtes magnifique Maria ! Rassurez vous, le roi Louis ne pourra qu’être subjugué par vous.
- Non point, je suis petite je ne sais pas parler français ou très peu contrairement à vous, je suis laide et mes dents sont déjà un peu gâtées par faute de ce délicieux chocolat. S’il devait être subjugué ça serait par vous.
Je ne relevais jamais ce genre de phrases, car elle avait tort de se dénigrer ainsi. Pour ma part je n’aimais pas l’entendre dire de pareilles sornettes. Peut-être aurait-je dû cependant … Me remémorer cette scène me fit m’arrêter sur le détail du ton de sa voix. Il y régnait une pointe d’amertume et comme une pointe de jalousie. Plusieurs autres phrases me submergèrent alors, comme si ce que je n’avais pas pu voir trop aveuglée alors par mon amitié, se révélait à moi.
- Vous n’êtes pas infante Milena mais par votre beauté, votre maintien, votre grâce, la manière magnifique dont vous dansez; vous êtes l’égal d’une Reine …
- Voyez combien de gentilshommes soupirent à vos pieds, je n’en aurai jamais autant …
- Vous savez bien Milena que dès que vous êtes à mes côtés, infante ou pas, faveurs ou non, on ne remarque que vous.
- Parfois mon père semble vous offrir plus d’affection qu’à moi-même …
Tous ces propos que je mettais sur le compte de sa peine ou bien de la gentillesse, je les vis tout à coup sous un nouvel aspect : l’envie. Nombre d’autres phrases similaires me revinrent en mémoire et mon visage en pâlit d’autant plus. Avait-elle durant toutes ces années nourrit plus de jalousie que d’amitié ? Cette fois-ci, ce ne fut pas quelques larmes qui trempèrent mes joues mais un torrent. Car cette thèse venait se confirmer par un ultime souvenir, celui de leur première vraie dispute il y a quelques mois. Celle-ci avait pour origine : Ferdinand de Peñafiel. Maria s’était follement éprise de lui, au point d’oublier Louis XIV, seulement ce courtisan ne voyait que par moi. Pour ma part je n’en avais cure et lorsque je m’adressais à lui, je ne faisais que l’éloge de ma meilleure amie afin qu’il s’intéressât à elle. Hélas mes rencontres furent très mal interprétées.
- Vous pouvez obtenir chaque homme de cette Cour, le seul que je désire vous aime …
Nous nous expliquions et nous fâchions pour quelques jours seulement. Notre amitié paraissait la plus forte, et bientôt nous fîmes la paix. J’oubliais cet incident mais comment ne pas y repenser à cette heure tragique ? Peut-être que l’affaire n’avait pas été oublié pour elle lorsque mon père lança une invitation au Roi sur nos terres. Bien sûr je désirais ardemment la présence de Maria afin de lui faire oublier du mieux possible ses déboires amoureux. Bals, jeux et bien sûr chasses se mêlèrent aux festivités. Au cours de cette chasse nous avions décidé de ne point nous en prendre aux bêtes, nous les aimions trop et nous étions parties vers une direction opposée aux groupes. Erreur fatale … Nous conversions lorsque j’aperçus une fleur rare au milieu des feuilles, je me précipitais pour la cueillir. Maria demeurait derrière moi, lorsque je me retournais, elle tenait son arme à la main … Peut-être aurais je dû réagir mais comment, la balle me transperça avant même que je puisse faire un mouvement. Je revivais cette scène déjà des milliers de fois alors que je la subissais encore. Le pistolet qu’elle avait laissé choir se trouvait à quelques pas de moi encore fumant. De toute façon j’allais mourir, personne ne me retrouverait avec la nuit et je me ferai dévorer par les bêtes peuplant ma propre forêt.
Mais peut-être le Ciel eût-il pitié de moi, car soudain j’entendis un hennissement et un galop, je ne pouvais pas bouger mais il fallait que j’avertisse cette personne avant qu’elle ne reparte.
- Par ici !
J’avais mis toutes mes forces à articuler de façon claire et audible ses deux seuls mots. Aussitôt je vis un homme se ruer vers moi et soulever mon buste. C’était mon père. Horrifié car m’aimant tendrement, il me caressait les cheveux et me berçait.
- Je vais aller chercher de l’aide ma chérie !
Je le retins par ses manches satinées avant qu’il ne fasse un geste.
- Non père, faites moi passer pour morte … personne ne doit savoir que je suis vivante.
J’avais en effet peur que si un autre miracle voulait que je fusse bientôt rétablie, que ça n’empêche pas Maria de vouloir une nouvelle fois me faire du mal. Mon amitié brisée, ma confiance en elle ébranlée, j’étais en droit de me poser la question. Me pensant morte, elle ne pourrait plus me faire du mal, même si je devais pour cela rester cloîtrée pour le restant de mes jours.
- Hormis mère … dites leur que les loups m’ont tué.
Je n’eus pas le temps de tout lui expliquer, je voyais bien qu’il ne comprenait goutte à ce que je lui disais, mais je n’avais plus de forces du tout. Je perdais beaucoup de sang et je m’évanouis sentant comme dernier contact mon père qui me portait dans ses bras. |
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| Sujet: Re: Milena de Cortès, une monté Cristo avant l'heure ! 29.11.09 17:54 | |
| Je ne vécus pas les explications que mon père donna, ni même mon propre et surtout faux enterrement. Je ne sus rien sur l’instant car je restais cachée au cœur d’un pavillon lointain et bien souvent désert à l’autre bout de la forêt et connu que de mes parents et de quelques domestiques. Là un musulman que mon grand père avait ramené enfant en lui sauvant la vie et devenu notre médecin depuis des années, me pansa et quelques semaines plus tard, je pouvais faire mes premiers pas. Je racontai alors toute l’affaire à mes parents et ils se félicitèrent de m’avoir alors dissimulée ici. Mon père fou de rage voulut tenter quelque chose mais je le raisonnais, que peut-on faire contre une altesse royale, fille du Roi très Catholique ? L’accuser d’un crime serait chose grave et nous n’avions aucune preuve.
Lorsque certains jours mon père revenait de la Cour il me donnait des nouvelles de Maria, celle-ci était rentrée dans une grande piété et recevait peu de personnes en audience. Quand elle le recevait lui, elle semblait disait-elle comme mal à l’aise ? Regrettait-elle amèrement son geste ? Je le souhaitais et plus encore vivre recluse comme une morte vivante à cause d’elle, me rongeait l’âme de désirs de vengeance.
Pour échapper à ce morne destin et à ce sentiment que je savais interdit par ma religion et par ce que j’avais toujours été, quelqu’un de généreux et pardonnant facilement, je suppliais mon père de me laisser partir d’Espagne. Il contacta alors un vieil ami à lui aux Amériques, Don Luis de Verdugo qui voulut bien m’accueillir dans son hacienda. J’embarquais à quelques jours de mes 19 ans.
Les années que je passais dans ce pays gorgé de soleil qu’est le Pérou furent heureuses et malheureuses à la fois. Cela dit je n’étais plus obligée de me dissimuler, loin de la Cour, et loin de Maria, je pouvais vivre. Hélas sous une autre identité bien évidemment car j’étais pour tous : Eugenia de Santil, pauvre orpheline recueillie par cet homme si bon qu’était l’ami de mon père.
Malgré une vie paisible donc, j’eus néanmoins encore mon lot de souffrance bien souvent, conséquence directe de ce coup de feu. Je fus courtisée par un noble puissant du Saint Empire Romain Germanique : Frédérik Von Lobkowicz que je ne pus épouser, car fausse orpheline que j’étais je ne pouvais avoir logiquement de dots. Si je n’avais pas été Eugenia mais Milena de Cortès, héritière richissime j’aurai pu prétendre à cette union. Mais au lieu de cela je vis cet homme convoler avec une autre femme. Plus les ans s’écoulaient, et plus je subissais de répercussions dues à son geste criminel, plus ma haine grandissait.
Je ne comprenais pas l’injustice qui régnait entre nos deux vies. Elle était devenue Reine de France, épouse du Roi Soleil et avait donné un héritier à ce pays. Pour ma part, je devais rester loin de ma famille qui me manquait, je ne savais rien d’eux ou presque et un nom qui n’était pas le mien me collait à la peau.
Fort heureusement tout changea il y a un an de cela, mon protecteur tomba alors malade. Afin que je ne demeure pas seule dans ce pays sans rien ni personne, il envoya une lettre à mon père pour que celui-ci vienne me reprendre. Don Luis m’expliqua alors son idée. Lorsque je rentrerai en Espagne, lui Don Luis m’aurait confié officiellement à Don Cortès. Ce dernier ébloui par ma ressemblance avec sa fille morte il y a de cela des années, accepterait aussitôt de m’adopter et je pourrais ainsi retrouver le nom qu’il m’était dû et revivre à la face du monde. Je trouvais l’idée géniale. Mon père également fut de cet avis. Déjà parce que sept ans s’étaient écoulés depuis le drame et qu’un sosie surtout dans un pays aussi éloigné pouvait être tout à fait plausible.
Nous assistâmes à son enterrement profondément touchés par cette mort qui nous séparait ainsi d’un vrai ami et d’un allié. Nous fîmes là bas toutes les démarches de ma fausse adoption. Je redevenais la fille de mon père et une De Cortès. Tous les nouveaux nés ne se souviennent pas du jour de leur naissance, j’eus ce plaisir car ce fut vraiment cette sensation que j’éprouvais.
Désormais Eugenia de Cortès officiellement, je rentrais en Espagne et fut accueillie à la Cour bras ouverts par ma pauvre mère tout d’abord mais aussi par la Cour dont je devins la nouvelle coqueluche. Tout le monde s’ébahissant devant ma frappante ressemblance avec cette décédée. Mon jeu de rôle débutait et me grisait dès que je voyais des yeux s’écarquiller ou des bouchées bée.
Je crus vivre ainsi jusqu’à la fin de mes jours, loin de Marie Thérèse mais le destin me rattrapa encore. Je reçus une invitation de la part de Sa Majesté Louis XIV il y a quelques semaines de cela, qui étant au courant de l’amitié qu’entretenait son épouse avec mon " sosie décédé " voulait lui faire la surprise d’un visage ami. Surtout après la perte de leurs nombreux enfants. Comment refuser au Roi de France ? Malgré un père inquiet et une mère horrifiée, je fis mes malles et montai dans le carrosse qui m’amènerait à Versailles. Je savais très bien au fond de moi-même que de la revoir allait faire ressurgir la haine que j’avais pu calmer tant bien que mal … Je ne serai pas capable de la contrôler ni mon désir de vengeance.
Cela fait neuf ans à présent, le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle sera plus que glacée …
Dernière édition par Milena de Cortès le 09.12.09 23:06, édité 1 fois |
| | | Philippe d'Orléans
« s i . v e r s a i l l e s »Côté Coeur: Il a été brisé, piétiné et maintenant celui qui était à mes côtés est devenu mon ennemi. Quelle cruelle destinée !Côté Lit: Le lit de mon palais est si confortable et accueillant !Discours royal:
ADMIN TRAVESTIE Monsieur fait très Madame
► Âge : 27 ans
► Titre : Prince de France, Monsieur le frère du Roi, Duc d'Orléans, de Chartres, d'Anjou, seigneur de Montargis
► Missives : 10014
► Date d'inscription : 03/01/2007
| Sujet: Re: Milena de Cortès, une monté Cristo avant l'heure ! 02.12.09 19:26 | |
| Quelle histoire ! Rebienvenue parmi nous alors ^^ Tu connais le chemin |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Milena de Cortès, une monté Cristo avant l'heure ! 02.12.09 19:30 | |
| Oui je sais elle fait peur mon histoire ! Merci à toi ! |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Milena de Cortès, une monté Cristo avant l'heure ! | |
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