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 Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE]

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MessageSujet: Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE]   Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Icon_minitime18.11.09 22:02

Lucie Frot
_______ ft. Kristen Stewart
Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Av6vr310



    ► Vingt deux belles années de sa vie
    ► De haut rang, la belle Lucie? Si les titres n'existaient pas, la jeune fille serait alors une grande dame, par sa gentillesse, sa grande valeur l'hônneteté, la solidarité et la volonté. Mais Lucie n'est issue d'une famille assez modeste mais pas pauvre. Fille d'un ancien mousquetaire et d'une dame de compagnie. Fille de peuple avec des rêves pleins des yeux. Elle est maintenant une comèdienne de la troupe de Molière. Quel succès.
    ► Lucie est d'origine Française par le côté de maternelle, mais elle a du sang écossais qui coule dans ses veines du côté de son père.
    ► Lucie ne sait plus qce que c'est l'amour...Trahie par l'être qu'elle a aimé dans sa jeunesse, elle ne sais plus faire confiance aux hommes... Reconnaîtra t-elle un jour les joies de l'amour? Elle attends toujours son prince charmant, sans vraiment y croire.






    « Que diable, vous êtes à Versailles ! »

    Un paradis ou un enfer versaillais ?

    On n'est que plus près du danger, Quand on croit n'avoir rien à craindre.

      Lucie >>Maman..comment est ce Versailles?
      Gabriella >> C'est un endroit magique, ma chèrie.
      Lucie >> Tu es déjà allée?
      Gabriella >> Oui, je devais avoir ton âge. Ton grand père m'avait emmenée un jour..C'était mon plus beau jour de ma vie..enfin après la rencontre de ton père.
      Lucie >> Grand papa était un mousquetaire?
      Gabriella >> Oui, plus brave et séduisant mousquetaire. Il avait été mon héros toute mon enfance.
      Lucie>> Et maintenant ton héros, c'est papa, non?
      Gabriella>> Oui, il le restera à jamais..
      Lucie >> Un jour, j'irai à Versailles, et je rencontrerai mon prince charmant



    Versailles...Cette cité des rêves, elle est synonyme d'espoir pour la jeune fille nommée Lucie Frot. C'est un endroit magique et sensationnelle comme lui répétait souvent sa mère adorée. Elle lui disait que tout pouvait arriver à Versailles. Et elle avait raison dans un sens Elle lui prédit son avenir, réalise son rêve le plus cher. En un mot, Versailles est un vrai "Paradis" avec un grand "P"selon Lucie, une jeune demoiselle si naïve, et si candide. Tellement naïve, qu'elle ne voit jamais le mal, pensant réellement qu'une âme de bienfaiteur existe dans chaque être sur terre.

    Pourtant après les déboires qu'elle a eu avant de son entrée dans le monde paradisiaque de Versailles, Notre belle Lucie a envie de croire que la vie était comme une scène de théâtre une comédie...Tragique? Non plutôt des comédies amusantes, et amoureuses...Elle n'a pas envie de croire que le monde était malsain chez certaines personnes. L'opèra, c'est son monde à elle..Elle est heureuse de vivre à Versailles même si elle n'est pas une noble dame..Elle ne rêve pas d'entrer dans le château pour voir les plus merveilles du monde, car Lucie voit déjà les merveilles du théâtre.


    Vérité ou fantasme du complot ?

      Groupe >> Avez vous entendu les rumeurs au Château? Il y a la duchesse Lavigna, vous savez la belle rousse..Et bien, vous n'allez pas le croire, mais elle aime les filles. J'ai soutirais quelques informations par l'un de ses serviteurs. Elle passe ses nuits avec son amante.
      Une femme >> C'est répugnant! Comment préférer une femme à un homme.
      Lucie >>
      Vous ne devriez pas écouter les rumeurs, elles peuvent être fausses.


    La demoiselle est une rêveuse, elle ne se préoccupe pas des petits potins, des rumeurs de la cours comme ces femmes de la troupe. Elle se fie pas aux histoires bien qu'étranges qui envahissent Versailles. Fine oreille, Lucie avait bien sur entendu des rumeurs sur un certain complot contre le roi. Comment est ce possible? Comment pouvez t-on comploter contre le roi, un être charmant. Même si Lucie ne fréquente pas la cour, elle est persuadée que le roi est un homme bien, juste, honnête et qui plus est, très séduisant. Cela, elle avait pu s'en rendre compte le jour où elle l'avait aperçue quand elle était sur scène. Lucie ne connassait rien en l'amour, mais elle savait reconnaître la beauté de la gente masculine. Il faut vraiment être aveugle pour ne s'en rendre compte. La demoiselle ne comprenait pas que quelqu'un puisse vouloir assassiner un bon roi que fait Louis 14.

    Mais au lieu de chercher plus loin, et de vouloir à tout prix connaître la véritable vérité, notre jeune comédienne préfére rester plonger dans son petit univers de la musique et du théâtre. Elle pense que le monde est tel qu'une pièce de théâtre. Un amusement, une bonne comédie. A vrai dire, la vie serait plus simple, si ce n'était qu'une comédie. Une vie pleines de roses...Quelle rêveuse que fait Lucie.


    Plutôt colombe ou vipère ?

    La pureté est l'inversion maligne de l'innocence...

    Colombe ou Vipère? Lucie est plutôt la pure colombe. Candide, Lucie est blanche comme la neige, comme une colombe. La jeune demoiselle possède la grâce, la pureté même. Un visage d’ange, une douceur mystérieuse refoulant les tourments inconnues de la jeune fille….Un voile de mystère enveloppe cette jeune fille .Malgré son tempérament bien trempé, Lucie cache une grande sensibilité. Émotive, sa fragilité intérieure la rend douce et attachante. Son charisme nature, sa franchise candide sont ses plus grands atouts. Créative et talentueuse, elle n’est jamais à court d’idées. Cette fille est généreuse , attentionnée , protectrice et douce, ce qui lui vaut d'être très vite appréciée et de se faire beaucoup d'amis. Bien qu'elle soit réservée , elle a un petit côté charmeur souligné par le fait qu'elle soit très souriante , qui accentue son coté sensible. Elle est à la fois, déterminée, ce qui montre, qu' elle sait ce qu'elle veut. Elle aime donner sans rien attendre en retour, son calme et son sang-froid, lui permet alors d'agir, de manière réfléchie, comme à son habitude.Elle est attentive et à l'écoute des personnes, ce qui la rend confidente de nombreuses personnes. Lucie n'est pas parfaite, et non , personne n'est parfait. Pourquoi n'est-elle pas parfaite?? Car certaines personnes trouvent qu'elle est têtue et obstinée, ce qui est vrai, mais qui n'empêche en aucun cas la demoiselle d'avoir un grand coeur et de s'investir dans ce qu'elle aime. Elle a la joie de vivre naturellement, enthousiasme.Le petit problème est qu'elle est très sensible. Nullement menteuse, elle est au contraire honnête. D'ailleurs, elle ne sait pas mentir. Le rouge lui monte aux joues dès qu'elle ment. Alors autant d'être honnête enver son entourage et envers elle même. Lucie est donc franche, loyale, romantique, sensible, mais terriblement têtue et indépendante.Si vous avez le bonheur (ou le malheur... au choix) de pénétrer son cœur, Lucie se dévouera corps et âme à cette relation qu'elle soit amicale ou amoureuse. C'est une fille entière, loyale et fidèle pour tout ce qui concerne ceux qu'elle aime. Elle est d'ailleurs à l'écoute des gens, elle est parfaite pour une confidente. Elle n'est pas celle à se moquer de vous, ou de vous poignarder dans le dos, pas comme certaines....
    La demouselle est très indépendante et peut très bien vous convaincre qu’elle n’a besoin de personne pour être heureuse. Elle n’hésite pas à se battre pour ce en quoi elle croit, et va jusqu’au bout de ses convictions… elle sait alors se montrer tenace pour défendre ses projets. Bref, elle n’a pas un caractère des plus faciles, et son côté mystérieux intrigue beaucoup… ce qui fait qu’on a envie de la connaître et une fois fait, elle sait se rendre attachante que ce soit par sa gentillesse, son intelligence ou même son sale caractère. Très attachée a l’amitié, elle pense que l’amitié triomphe de tout. En amour c’est une passionnée, prête à tout pour celui qu’elle aime !


    « Plus bas la révérence, plus bas. »

    ► Alicia
    ► 19 ans
    ► Hum..Régulière, au moins tous les jours.
    ► Longue vie au Roi ( hum pourquoi pas longue vie au peuple Razz bon je plaisante)
    ► J'aime beaucoup le style du forum, un design soigné ectt..


Dernière édition par Lucie Frot le 28.11.09 13:46, édité 33 fois
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MessageSujet: Re: Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE]   Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Icon_minitime18.11.09 22:04



    « Il était une fois ... »

    Quelques jours plutôt avant la naissance de la fille de Morgan Frot.

    Eric Stanley, ami d'enfance et de mètier, entra dans dans la vaste tente où Morgan était étendu, rigide et d'une pâleur mortelle.

    >> Que dirais tu d'une femme pour réchauffer ta couche, Frot? Ses faveurs te remettront d'aplomb?

    >>D'après mon expèrience, capitaine, ce genre d'attentions a souvent l'effet inverse, répondit Morgan à travers une sorte de brouillard. Il essaya sans succés de se redresser et retomba lourdement sur le lit. Le rire bruyant du capitaine le fit grimacer.Il avait perdu la notion du temps. Il faisait chaud et l'atmosphère était confinée. Une flasque lui fut présentée. Morgan la prit et en avala une gorgée. Elle contenait un vin puissant mais pas aussi mauvais que ceux qu'on trouvait en Angleterre.

    >> On est en France?
    Son ami s'accroupit près de lui et en prit une gorgée.
    >>Tu ne te rappelles de rien du voyage?

    Cet effort de reflexion provoqua une vive douleur dans la nuque de Morgan qui laissa échapper un gémissement.
    >> Le bateau...dit-il.
    Brusquement, des images horribles surgirent dans son esprit.
    >> Voilà des semaines que j'attends que tu reprennes tes esprits. Tu es resté étendu, tel un cadavre, gris, raide, respirant à peine et n'ouvrant jamais les yeux. Ensuite tu as eu de la fièvre.Tu ne cessais de gesticuler et de t'agiter en appelant ta femme. C'est touchant d'ailleurs..

    Gabriella...Rien que d'y penser, une bouffée de joie et d'espoir surbmergeait Morgan, effaçant les vision terrifiante du naufrage. Superbe, obstinée, intrépide Gabrielle. Sublime déesse. Avait elle entendu parler du naufrage? Si oui, elle devait être morte de d'inquiètude.

    >> Tu as fait du bon travail, reconnut son ami. Tu vas pouvoir rejoindre ta femme définitivement.
    Il sourit avant d'ajouter:
    >> J'espère d'ailleurs avoir l'honneur de la rencontrer un jour. A t'entendre à l'évoquer dans ton délire, elle est plus que belle et la beauté n'est pas la moindre de ses qualités.

    Morgan allait enfin rentrer chez lui, dans sa campagne pour de bon. Retrouver Gabriella. C'était sa dernière mission en tant que mousquetaire pour un an, ensuite, il reprendra du service. Il dormait d'un sommeil paisible, où il rêva qu'il était chez lui, dans une adorable petite ferme avec Gabriella. Cinq jours plus tard, encore un peu faible mais enfin rétabli Morgan partit à cheval pour Paris, vers son village où demeure sa bien-aîmée...

    Naissance d'un rayon de soleil

    Le 16 Avril 1644, dans la bonne campagne de France.

    Au coeur d'une nuit profonde, au milieu de nulle part.


    Un orage terrible s'abbatait sur la campagne.Le vent balayait les cimes des arbres tandis que des éclairs déchiraient le ciel. Un grondement sinistre précédait le fracas assourdissant de chaque coup de tonnerre. Le paysage semblait comme déchiré de part en part. Si Gabriella Frot avait eu le choix, ce n'est certainement pas cette nuit qu'elle aurait choisi pour donner la vie. Seulement elle, elle n'avait guère d'emprise sur les éléments déchainés qui secouaient la france. Pas plus que sur l'arrivée imminente se présentait mal. Elle était seule, à part bien sur, ses amies, mais il n'y avait pas la présence de son bien-aimé

    Pendant que sa femme accouchait, Morgan Frot arriva,ignorant le mauvais temps, parcourant le chemin sur le dos de son valeureux destrier, sans se douter un seul instant que son épouse était en mauvais point.Il traversa le chemin en arrivant à l'entrée du village quand il aperçu Harry, son ami, assis sur un banc devant la minuscule église du village. Il regardait tomber la pluie d'un air hagard. Une étrange sensation de vide, comme si la vie le désertait saisit Morgan.

    >>Harry?
    Le jeune homme sursauta à l'appel de son prénom d'une voix qui lui semblait si famillière. Il bondit sur ses pieds, le regard figé sur la sihouette famillière, comme s'il venait de voir apparaître un fantôme.
    >> Morgan...!C'est bien toi? Je...je n'en crois pas mes yeux..c'est un miracle

    Morgan se laissa glisser de l'étalon. Il montait à cru, car il avait perdu sa selle.
    >>Que se passe t-il, Harry?
    C'est alors qu'un cri déchira le silence. Morgan sut aussitôt qu'il s'agissait de Gabriella, qu'une force invisible l'avait conduit jusqu'ici pour l'aider.
    >> Elle est là, derrière la chapelle, dit Harry. Elle s'est montrée brave, Morgan, mais...elle a de la fièvre et encore des douleurs terribles...

    Morgan poussa la porte de l'église à deux mains et fit irrumption dans la chapelle où il fut accueilli par un nouveau cri. Il se présenta vers la petite porte derrière l'autel. Elle était là. Sur un lit. A ses côtés, un prêtre murmurait des prières en se signant. Une terreur innommable foudroya Morgan.
    >> Gabrielle! s'écria t-il dans une sorte de sanglot. Le prêtre lui barra le chemin mais ce fut la vue d'un bébé qui gesticulait dans un panier, près de la cheminée, qui l'arrêta.

    La femme d'Harry et l'amie de Gabriella lui prit le bras.
    >> Je t'en prie, Morgan, reste à l'écart et laisse ta femme mourrir en paix. Viens voir ta fille..
    Morgan se dégagea, repoussa le prêtre et s'agenouilla près de Gabriella. Désespéré, il lui prit la main et l'embrassa.Elle était glacée. D'un froid mortel.
    >> Gabriella...Ma doue Gabriella..
    Elle bougea à peine. Sa peau était grise, ses paupières closes. Le prêtre posa la main sur l'épaule de Morgan..
    >>Elle a perdu trop de sang, mon fils. Si vous voulez être utile, allez dans la chapelle et priez.

    Morgan se leva. la tête lui tournait. Il s'approcha de panier et découvrit une petite fille minuscule mais vif, avec un léger duvet chatain sur la tête. Les poings serrés et les pieds s'activaient dans tous les sens et elle criait avec une énergie propre à réveiller un mort. Morgan l'effleura du dos de la main. Après un dernier regard à sa femme, il retourna à la chapelle et s'agenouilla devant l'autel. Il avait oublié comment on priait. Tout d'abord, il demeura silencieux. les larmes coulaient sur ses joues, mais il ne s'en rendait pas compte. Puis il chercha des mots dignes du Seigneur, des mots capables de sauver Gabriella. Dans l'état où il était, couvert de boue et trempé, il se faisait l'effet d'être un mendiant plutôt qu'un noble mousquetaire. Pour que Dieu sache bien à qui il avait affaire, il sortit son épée de son fourreau et la posa à plat et la posa à côté de lui. Ensuite il joignit les mains.

    >>Je ne sais pas comment m'adresser à vous, mon Dieu. Voilà, c'est...ma femme. Elle est là, derrière cette porte, mourrante. Je l'aime plus que ma vie, Seigneur, et nous avons besoin d'elle, ma fille et moi.. Je vous demande de l'épargner, Dieu tout-puissant. j'ai pêché et je n'ai rien à vous offrir que ma promesse de ne plus servir d'autre souverain que vous, désormais.
    Il inclina la tête et se redressa. Chancelant, il retourna auprès de Gabriella. Sa vie ne tenait plus qu'un fil. Un peu pluis loin dans la pièce, Letty chuchotait en berçant le bébé. Morgan posa légèrement son front sur la poitrine de sa femme. Il n'essaya même pas de retenir ses larmes et n'aurait su dire combien de temps avait passé quand il sentit sa main effleurer ses cheveux tel un papillon...Il leva la tête et vit qu'elle avait ouvert les yeux.Parfois les mourrants connaissaient un bref retour à la vie avant d'exhaler leur dernier soupire, il s'empara de sa main.
    >>Reste avec moi, Gabriella, murmura t-il d'une voix étranglée. je t'aime plus que tout, j'ai besoin de toi..Je t'en supplie, ne t'en vas pas...
    Il embrassa ses doigts en répétant ces mots. Gabriella entrouvit les lèvres, parvint à dire son nom dans un souffle et referma les yeux. Eperdu, Morgan posa l'oreille sur sa poitrine. Son coeur battait à peine, mais il battait.Durant les heures qui suivirent, il resta à son chevet, lui appliquant des compresses d'eau fraîche pour faire baisser la fièvre, lui murmurant des mots d'amour, des poèmes, des prières, la retenant de tout son être dans le monde des vivants. Auprès de lui. Il lui parla de tout ce qu'il connaissait, et qu'il devait lui présenter son meilleur ami, Eric Stanley. Quand elle s'endormait, il posa la tête sur sa poitrine et l'écoutait respirer. Un matin, à l'aube, une lègère caresse sur la nuque le réveilla. Gabriella lui souriait. Il crut qu'il rêvait.
    >> Gabriella?
    Elle lui répondit d'une voix faible, rauque mais taquine:
    >> Cela t'en ennuierait de changer d'oreiller,, mon amour? Il se mire à rire, ivre de bonheur.
    >>Je t'aime, Gabriella. je t'aime...balbutia t-il en déposant une pluie de baiser sur son front, ses joues, ses lèvres. Je t'aime!
    >>Calmes toi, mon époux, murmura t-elle tendrement en lui caressant les cheveux. Tu vas réveiller notre fille.

    >>Une fille, Gabriella! Une!
    >> OUi, comment allons nous l'appeler? Voyons, Lucie?
    Morgan sourit.
    >> Choisis le prénom que tu voudras, répondit il en riant, sauf celui de ma belle-mère.
    >> Alors ça sera Lucie...Je t'aime mon amour...





Dernière édition par Lucie Frot le 20.11.09 14:13, édité 16 fois
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MessageSujet: Re: Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE]   Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Icon_minitime18.11.09 22:05

    L'enfance d'une petite fille , haute comme trois pommes..

    Dans les profondeurs de la pleine campagne, en France dans les horizons de Paris, une petite ferme accueillante siègiait sur un grand tapis de verdures, la petite demeure des Frot. Quatre années passèrent, où vivait maintenant une famille heureuse. Morgan et Gabriella étaient heureux avec leurs quatres fils et leur adorable petite fille,Lucie, qui ressemblait plus à un garçon manqué. Lucie avait donc quatre grands frères, Duncan, le plus grand qui avait 18 ans, William & Victor qui sont des jumeaux, âgés de 15 ans, et le petit dernier, Jared, âgé de 10 ans, son préféré. Jared était celui qui s'occupait plus d'elle, même si tous ses frères étaient en adoration devant elle. Issue d'une famille assez pauvre, Lucie ne manquait de rien. Elle possèdait la plus pure des richesses au monde, et la plus importante que d'une poignée d'argent ou de titre, elle avait l'amour de ses parents et ses grands frères. Et c'était le plus important. Nombreuses familles nobles où les jeunes enfants ne pouvaient en dire autant. Leur père, un ancien mousquetaire, Morgan avait arrêté de travailler pour son souverain à cause d'une blessure presque Mortelle. Gabriella, leur mère, avait insisté qu'il arrête de partir dans ses croisades, tellement apeurée qu'un jour, on lui envoi une lettre où elle apprendra la mort de son mari. Morgan ne pouvait rien refuser à sa femme, alors il se décida de devenir fermier.Lucie était le petit clown du village, tous les villageois l'adoraient. Ils s'amusaient rien que de la voir faire ses bétises. Mais elle était jalousées des filles du village, même pour une petite fille âgée de 5 ans. Les jeunes garçon adolescents du village protégeaient leur petite Lucie avec ses grands frères. Et à force de voir les garçons l'entouraient, les filles sont mortes de jalousies. Elles ne pensent qu'à la ridiculiser aux yeux des gens du village.Elles se moquaient surtout de l'accent écossais grossier de Lucie et de son vocabulaire. Mais Lucie, avec son petit air timide affiché sur les traits de son visage angélique, ils fondirent tous à chaque fois, la trouvant attachante. La petite était vraiment la petite favorite du village.

    Le 8 Juin, sur la place du village.

    >> Elle a vraiment l'air d'un garçon manqué dit une jeune fille de seize ans.
    >> Moi j'en bien peur, qu'aucun homme voudra d'elle..
    Le petit groupe de filles éclatèrent de rire devant la petite Lucie, une moue boudeuse affichéé au visage. La petite silhouette était assise sur un banc.

    >> Je trouverai un mari toute seule ! s'écria t-elle au moment où Jared, son plus jeune frère arriva près du groupe.
    >> Qu'est ce qui se passe? demanda t-il, en voyant l'air de sa petite soeur adorée, ,dans un froncement des sourcils, son regard passa de sa petite soeur au groupe de filles. Il les connaissait bien pour leur méchanceté gratuite.
    >> Rien du tout...répondit l'une d'elles, rougissante,et le groupe s'en alla à une telle vitesse, laissant le frère et la soeur.

    >>Alors, ma puce?
    >> Rien du tout, dit-elle grognon.
    >> ça m'étonnerait. Allons raconte moi..
    >> Elles disent que je suis ne pas belle, et aucun homme ne voudra de moi..
    >> Baliverne! Est ce que maman est moche?
    >> Oh non!! fit-elle avec des grands yeux. Elle est aussi belle que le jour..Papa le dit tout le temps.
    >> Et bien, tu lui ressembles.
    >> C'est vrai?
    >> Oui ma puce dit-il en souriant tendrement.
    >> Elles disent que papa ne trouvera jamais un mari pour moi...Tu m'aideras, toi?
    >> Je sais ce qui te tracasse.
    >> Alors comment fais on pour trouver un mari?
    Jared feignit de réfléchir un bon moment avant d'expliquer:

    >>Et bien, une fois ton choix fixé, il te faudra demander à l'heureux élu de t'épouser.

    Deux heures plutard, des invités arrivèrent à la grande place du village..

    Lucie tenait la main de Jared, et elel reporta son attention sur le géant brun. On lui avait maintzs fois dit qu'il était grossier de dévisager les gens, pourtant cet homme la fascinait et elle voulait graver dans sa mémoire chaque détail le concernant. Il dut sentir son regard insistant car, soudain, il baissa les yeux un moment sur elle, la regardant avec attentio. Prise au dépourvu, Lucie décida sur le champ de se comporter en dame de qualité , comme les nobles. Une manière que sa mère lui avait appris. Elle releva sa jupe à la hauteur des genoux et plongea dans une révérence...Ce faisant, elle perdit l'équilibre et faillit tomber face contre terre. mais au dernier moment, elle donna un coup de reins et réussit à atterrir sur ses fesses. Quelle maladroite qu'elle faisait. Les joues empourprées, elle se releva, ignorant les rires des villageois, un sourire timide aux lèvres. Elle leva les yeux vers l'inconnu pour voir ce qu'il pensait de cette marque de civilité. Le géant lui sourit. Et quel sourire! Dès qu'il se retourna, Lucie tira sur le bras de son frère.

    >> C'est lui que je vais épouser! chuchota t-elle.
    >> Parfait, répondit son frère sans la regarder. Lucie hocha la tête. Oui, parfait, c'était le mot. Et maintenant, il ne lui restait plus qu'à obtenir l'accord de l'interessé!

    Que va t-elle nous faire encore...


    La petite courut vers les écuries, décidée de capturer un porcelet. Lucie avait toujours rêvé d'avoir un animal, et plus encore un petit chien. Elle regardait souvent avec envies de ses petites camarade de jeu qui avaient des chiens. Elle entendait bien réparer cette injustice, même s'il lui fallait se contenter d'un cochonnet. La chance joua en sa faveur. la truie ronflait sur le tas de paille, au milieu de l'enclos. Avec milles précaution, Lucie ouvrit la barrière et se dirigea vers la boue. La fillette se figea, lançant un regard inquiet à la truie, mais elle semblait endormie. Les porcelets lui facilitèrent la tâche. Ils étaient roulés en boule l'un contre les autres. Lucie remonta l'ourlet de sa juspe et cacha l'un d'eux dans les replis du vêtement. Comme l'animal se démenait subitement, elle le pressa contre elle. maintenant elle devait le cacher. Lucie sortit de la boue et elle s'apprétait à traverser l'enclos quand son petit prisonnier commença à pousser des couinements. Un grognement furieux s'éleva alors. La fillette ne tarda pas à comprendre qu'elle courait un terrible danger: tête baissée, la truie fonçait sur elle. Lucie ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortit. Trop terrifiée pour penser, elle se mit à courrir , sans làcher son porcelet qui couinait de plus belle. Ayant retrouver l'usage de la parole, elle appela son père au secour. Ses hurlements attirèrent les gens du village qui découvrirent un spéctable navrant. la fille de Morgan, couverte de boue, pourchassée par une truie en colère!

    Tout le monde s'agita en même temps. mais ce ne fut pas Morgan qui sauva Lucie. Ce fut le géant brun, Eric Stanley, qui, au moment prècis où la truie allait la piètiner, saisit la fillette par le col de sa robe et l'enleva dans les airs. Lucie eut l'impression de s'envoler. Elle ferma les yeux, cessa immédiatement de hurler et attendit un instant avant d'oser ouvrir les yeux. Elle se rendit compte qu'elle était toujours dans les bras de son sauveur au dehors de l'enclos. Autour d'eux régnait le plus grand désor. les hommes accouraient, tandis que les femmes hurlaient comme des poules affolées.
    "Il ne faut pas qu'il voit mon cochon songea t-elle effrayée. Celui ci se débattait toujours dans les plis de sa jupe. Le géant brun, sentant tout à coup contre son ventre, adressa à Lucie un regard surrpris. Puis, comme un couinnement s'élèvait, il esquissa un sourire. Lucie si heureuse qu'il ne soit pas fâché qu'elle en oublia sa timidité maladive et lui rendit son sourire.

    >> Est ce que va bien, Eric? demanda l'un des villageois.
    >>Je vous en prie, ne dites rien: souffla Lucie à l'oreille de son sauveur.
    Celui ci rejetta la tête en arrière et éclata de rire. Paniquée, Lucie lui ordonna de se taire, ce qui fait accentuer son hilarité..Il consentit à la poser à terre, si bien qu'elle put détaller à toutes jambes avant que son père n'aie le temps de réagir.
    >> Lucie, reviens ici! cria en vain Morgan.

    Faisant la sourde d'oreille, la fillette fila comme une flèche. Ce n'est qu'une fois en sécurité sous la table de cuisine , son protégé endormi dans ses bras, qu'elle se rendit comtpe qu'elle avait oublié l'essentiel : demander à son futut mari s'il voulait bien l'épouser. Mais bah, elle aurait tout le temps de lui poser la question le lendemain!
    "Et s'il refuse?" lui chuchota une petite voix. Lucie balaya cette objection. Si il se montrait réticent, elel trouvera un moyen de le convaincre. Elle était sur qu'elle ferait une excellente épouse!!

    Et l'anecdote, c'est qu'elle a demandé à Eric Stanley quatre fois s'il voulait l'épouser devant tout le monde. Et bien sur, vous vous doutez bien qu'il a refusé, mais tous les villageois ont bien ri de cette petite scène. D'ailleurs, en grandissant, Lucie, on lui rabvachait très souvent cette histoire. Ce qui la fit largement rougir..Comment avait elle pu faire ça...



Dernière édition par Lucie Frot le 20.11.09 21:53, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE]   Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Icon_minitime20.11.09 21:42

    L'adolescence d'une petite fille..

    Les années passèrent à une telle allure pour la petite Lucie, elle avait maintenant seize ans, une vraie petite jeune fille. la petite demoiselle était intelligente même elle n'avait jamais appris à lire. D'ailleurs, elle n'a jamais mi le pied dans une classe d'école. Dans le village, aucun enfant ne savait lire malheureusement. Intelligente et créative, Lucie était débordée de curiosité, voulant tout apprendre, et tout connaître. Elle passait son temps à jouer la comèdie avec son meilleur ami, Michael, un an son aîné, dix sept ans donc. Ils s'amusaient comme des petits fous. leur loisirs favoris, des chevauchées à cheval dans la forêt. Passionnée depuis son enfance par l'équitation, son grand frère, Duncan, le plus âgé, lui apprit à monter à cheval à ses six ans. Elle était une excellente cavalière, elle apprenait vite et bien. Pour ses seize ans, son père adoré lui avait offert un jeune hongre à la robe alezane, brillante et luisante. Elle l'appela donc Majesty puisqu'il avait une démarche tellement gracieuse.

    A seize ans, Lucie était devenue une belle jeune fille, alors que son corps svelte se formait avec harmonie, gardant toujours sa timidité maladive qui faisant son charme. Les jeunes garçons du village trouvaient cela si charmant et adorable, au point que certains ne regardaient plus les autres jeunes filles du village. Elle se demandait bien pourquoi ils venaient tous vers elle, alors qu'elle se trouvait vraiment quelqonque et vraiment pas interessante. Mais malheureusement, en grandissant, elle ne perdit pas sa maudite maladresse. Chaque, fois qu'un garçon lui adressait un petit sourire, elle sentait rougir,et faisant un faux ou elle faisait tomber quelque chose. Une vraie calamité..

    Un jour, le village organisa un petit bal où tout le monde était invité. mais obligation de ne pas venir seul. Notre Lucie était bien sur tentée d'y aller, mais elle n'avait pas de cavalier et surtout, sa pire crainte était de marcher sur les pieds de son cavalier quand elle serait dans ses bras sur la piste de danse. Tellement maladroite comme elle est, elle n'oserai jamais y aller, alorsqu'elle ne sait vraiment pas danser..Depuis un certain temps, Lucie se sentait observer. C'était un jeune garçon, le plus beau du village, il s'appelait Sebastian, et il n'arrêtait pas de la regarder. Et quand leurs regards se croisaient, il lui adressait des petits sourires en coin, ou il lui adressait un clin d'oeil. A ces moments là, elle rougissait telle une pivoine, brûlante sous ses yeux irrésistibles. Dès qu'il la regardait, elle sentait battre son coeur , terriblemant, se demandant vraiment ce qu'elle avait...Jour et nuit, elle ne pensait qu'à lui, rien qu'à lui...Parfois, il lui offrait une petite fleur devant les jeunes gens, et surtout devant Virginie...Une belle petite blonde au visage angélique, mais sous cette enveloppe d'ange se cache une vraie peste. Elle était atrocement jalouse de l'attention que portait Sebastian à Lucie, elle qui se croyait supèrieur à cette petite chipie.

    Avec ravissement, Lucie accepta avec un plaisir évident à la demande de Sebastian d'être sa cavalière au bal. Encore très étonnée de cette demande, elle réussit à dire oui en balbutant. Tout sourire, Sebastian déposa un petit baiser sur la joue de Lucie, qui rougissait à son contact. Au moment où il se détourna, la laissant seule, Lucie resta plantée, figée, le regard fixé sur le dos de Sébastian, le suivant du regard. Elle n'en croyait pas ses yeux, elle porta sa main à sa joue, à l'endroit exacte où il l'avait embrassée...Le premier baiser, enfin presque...Aucun homme ne l'avait embrassée à part son père et ses frères...Le regard rêveur, elle s'imagina dans les bras de Sebastian, dansant avec lui...Danser? Mais elle ne savait pas danser..Qu'allait elle faire? Courrir après Sebastian qu'elle avait changé d'avis? Non, pas question, elle vvoulait y aller...mais comment faire? ..Elle réfléchissa, et soudain la réponse lui vint à l'esprit. ..Jared..Voilà la solution...Il avait invité Diana, la plus jolies des jeunes filles du village et la plus gentille...Il devait surment savoir danser.

    Lucie alla donc voir son frère, et lui demanda timidement de lui apprendre à danser, lui expliquant que Sébastian lui avait demandée d'être sa cavalère pour le bal. Jared accepta avec plaisir, content que sa soeur soit invitée, mais inquièt tout de même..Sebastian, est il un garçon bien? Son devoir était de surveiller, c'était son rôle de grand frère et il y tenait dur comme fer.

    La jeune fille se dépêcha de raconter la bonne nouvelle à sa mère. Ravie elle aussi mais inquiète, Gabriella connaissait bien les garçons de cet âge. Vigoureux et très impulsive, elle espérait bien que sa fille ferait attention, elle était encore si jeune , si naîve et tellement innocente. Sa mère lui promit de lui faire une belle robe pour la bal. Pendant toute la semaine, Lucie était sur un petit nuage, rêvant de son prince charmant...Tous les jours, Sebastian lui offrait des fleurs, des petits objets sans valeurs mais inestimables aux yeux de Lucie...Elle était enfin tombée amoureuse...Et elle attendait avec impatience qu'il l'embrasse....

    Tous les jours, vers la fin de l'après midi, le grand frère de Lucie lui apprenait à danser dans la forêt sous la demande la jeune fille. Elle ne voulait pas qu'on sache qu'elle ne savait pas danser..Une honte qu'elle ne supporterait pas...Déjà que les filles du village se moquaient beaucoup d'elle, et elle se demandait bien pourquoi d'un tel comportemant venant d'elles. Jared la félicita sur son apparentissage, lui déclarant qu'elle faisait une merveilleuse danseuse. Lucie avait appris depuis ce jour qu'elle adorait danser, et elle avait hâte de sanser au bal.

    Le bal arriva bien assez tôt. Ce soir là, Gabriella aida sa fille à se préparer. Habillée d'une belle robe bleu turquoise; Lucie resplendissait. Cette robe ne valait pas des belles toilettes des nobles dames, mais elle l'aimait plusque tout car c'était sa mère qui l'avait faites. Pour la premmière fois de sa vie, Lucie se trouvait belle, et devait admettre que jared avait raison..Elle ressemblait à sa mère, se dit elle en regardant son image qui reflétait dans le petit miroir. Elle préféra laisser ses cheveux cascader librement sur ses épaules. ...

    Le bal commença, et la plus jolie des jeunes filles était naturellement Lucie. Pour la première fois de sa vie, elle avait l'impression d'exister, d'être importante aux yeux d'un jeune homme qui passait son temps avec elle. Lucie dansait, dansait tout la soirée au bras de son cavalier. Elle ne s'en lassait pas. Vers la fin du bal, Sebastian l'emmena au dehors de la piste de danse, loin de la civilisation. Ils se retrouvèrent tous les deux, seul à seul derrière une petite cabane. Sebastian l'invita à s'asseoir sur un petit banc. Une fois assise, Lucie leva timidement les yeux vers le jeune homme qui s'assaya à ses côtés. Il lui prit sa main tendrement, le regard plongé dans le ciel, gardant toujours son sourire rassurant et tendre.

    >> Lucie....Tu es la plus belle des cavalières ce soir...
    >> Oh sebastian...dit-elle en rougissant
    >>Chut...murmura t-il en posant un doigts sur les lèvres de Lucie. Ne dis rien...
    Le jeune homme effleura légèrement les lévres de Lucie dans un doux baiser. Avec un petit sourire aux lèvres, il lui caressa la joue tendrement.
    >> je t'aime Lucie..et jamais je ne te ferai du mal...
    >>Tu...Tu m'aimes? demanda t-elle, n'en croyant pas ses oreilles, elle avait l'impression de rêver.
    >> Biensur que je t'aime..depuis toujours d'ailleurs, mais j'attendais que tu grandisses et que tu me regardes enfin..
    Lucie se sentit rougir sous ses mots d'amour.
    >> Tu sais ce qui m'a plu chez toi? c'est ta timidité, ton sourire, ta maladresse..Tu es tellement charmante..Tu vaux plus que que cette Virginie et toutes les autres
    Lucie avait l'impression de tomber amoureuse de ce garçon..Avait elle rencontré enfin son prince charmant?
    >> Et toi, tu m'aimes aussi? demanda Sebastian, d'une voix étrangement timide.
    >> Oui je t'aime Sebastian...
    Le jeune homme sourit, dévisageant Lucie, et se pencha vers elle, s'emparant de ses lèvres dans un doux baiser. Il passa ses bras autour d'elle, l'embrassant langoureusement, sans oser aller plus loin.



    Sa vie débute dans de nouveaux horizons...

    Depuis le bal, notre petite Lucie vivait le bel amour avec Sebastian, faisant des envieux et des envieuses. Une relation bien qu'innocente, ils ne faisaient que s'embrasser, d'ailleurs, Lucie rassura ses parents et ses frères..Elle avait toute la vie pour cela. Elle ne passerai jamais le cap attendant le mariage. Cela faisait maintenant bientôt un an qu'ils étaient ensemble et toujours aussi amoureux l'un de l'autre.Un jour, Sebastian vient la jour, avec un air absent. Inquiète, elle lui demanda ce qu'il avait.

    >> Je m'en vais, Lucie.
    >> Quoi? comment ça??Tu pars et où?
    >> je vais à Paris pour chercher du travail. J'ai bientôt 19 ans, il me faut de l'argent pour subvenir à nos besoins.
    >> Nos besoins?
    >> Oui, Lucie. Je veux t'épouser, amis il me serait impossible de le faire si je n'ai pas d'argent..Je t'offrir ce qu'il y a de mieux..
    >> Mais je ne veux que tu me quittes, Sebastian...Je mourrai sans toi au village..
    >> Alors viens moi! Partons tous les deux à Paris...On trouveras tous les deux du travail..Et peut être que tu réaliseras ton rêve
    >> Tu vas trop vite, Sebastian...je ne peux partir comme ça, laissant ma famille derrière moi...
    >> Ecoute Lucie, tu as bientôt 18 ans, tu es grande...C'est à toi de faire ta vie...Tes frères se sont bien mariés...
    >> OUi, mais..
    >> Pas de mais, Lucie...dit-il en posant un doigt sur sa bouche. Je pars, je ne veux plus vivre dans ce village où il n'y a aucun avenir...Je veux une autre vie,, tu comprends...Si tu veux restrer ici, très bien, je ne t'oblige pas à me suivre...mais tu le regretteras toute ta vie...

    La jeune fille le regarda partir, laissant échapper des larmes qui coulaient le long de ses joues. Elle avait l'impression qu'un poing lui serrait son coeur, et qu'il le bisait. Ce soir là, la jeune fille rentra dans sa petite ferme, rejoignant ses parents, en pleur. Inquiète, sa mère vient la voir dans sa chambre, et la serra dans ses bras, lui demandant cer qu'elle avait. Lucie pleura toutes les larmes de son corps, le visage enfoui contre sa mère, se consolant dans ses bras. Une fois calmée, la jeune fille lui raconta ce qu'i s'est passée...

    >> Si tu l'aimes..tu dois y aller..Lucie
    >> Comment?
    >> Suit ton coeur, ma chèrie.
    >> Tu le crois vraiment?
    >> Oui, lui dit-elle en lui caressant ses cheveux. Que te dit ton coeur?
    >> De le rejoindre...
    >> Alors va vite...tu le regretteras sinon...Tu sais, tu es jeune, Lucie, tu as besoin de voir autre chose que ce village..Un autre monde t'attend et t'appelle..Tu réaliseras enfin ton rêve.
    >>je t'aime maman...tu vas tellement me manquer...Je te donnerai de mes nouvelles

    Lucie fit ses adieux à ses parents et à ses frères, leur promettant qu'elle leur enverra des lettres toutes les semaines. Elle pleura dans leurs bras avant de partir en direction de chez Sebastian qui devait surment préparer ses affaires. Tandis qu'elle marchait à vive allure vers la petite ferme des Johansson, Lucie vit Sebastian sortir de chez lui, portant sur son épaule un baluchon.

    >> Sebastian, attends...
    >> Lucie? dit il soudain en se tournant vers elle, qu'est ce tu fais?
    >> je pars avec toi...



Dernière édition par Lucie Frot le 20.11.09 23:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE]   Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Icon_minitime20.11.09 23:57

    Sa vie à Paris...

    Dans la belle ville de Paris, cela faisait maintenant un an qu'elle y vivait avec son compagnon, Sebastian. Comme promis toute les semaines, la jeune fille envoya de ses nouvelles à sa famille, tardant de les revoir, mais c'était impossible maintenant. Depuis une semaine après son arrivée à Paris, Lucie avait trouvé du travail en tant que serveuse dans une petite taverne. Moyennement payée, elle semblait tout de même satisfaite. C'était un établissment respectable. d'ailleurs, la jeune fille avait la permission de chanter pour les clients qui venaient souper. Son patron était content d'elle puisqu'elle faisait venir des clients grâce à sa belle voix. Lucie aimait jouer la comèdie, danser et surtout chanter..Si seulement, elle pouvait rencontrer une troupe où elel pourrait y participer..C'était son rêve...

    Lucie vivait avec Sebastian dans une chambre pas très chère mais confortable et accueillante. Elle était assez satisfaite, et heureuse d'être à Paris avec son compagnon. Elle ne regrettait jamais d'être partie avec lui à l'aventure, même si elle pensait à sa famille qui lui manquait terriblement. Lui aussi, il avait trouvé du travail en tant que cuisinier dans la taverne. Ils étaient tous les deux heureux de leurs nouveaux sorts. Un soir, après avoir chanté une chanson pour les clients, Lucie leur adressa un sourire avant de retourner travailler, elle se dirigea vers un client qui venait d'arriver, déjà assis autour d'une table.

    Lucie>> Bonsoir monsieur...Que désirez vous..lui demanda t-elle avec un souirire affiché aux lèvres.
    Monsieur>>Je voudrais une autre chanson, mademoiselle. Vous possédez une voix merveilleuse.
    Surprise, Lucie ne put s'empecher de rougir face aux compliments de cet étranger.
    Lucie>>..euh..je vous remercie monsieur...
    Monsieur>> Ah je suis désolé, je m'appelle John Roswell.
    Lucie>> Enchantée, Monsieur Roswell, je m'appelle Lucie.
    Monsieur>> Enchanté ma chère....il sortit un papier de sa poche et l'offrit à la jeune fille. Tenait, c'est pour vous.
    Il se leva, et sourit à Lucie. J'espère vous revoir charmante Lucie dit-il.

    La jeune fille le regarda partir, un air perplexe, avant de baisser le regard sur le papir qu'elle tenait en main. Elle se demandait bien ce que c'était, puisqu'elle ne savait pas lire, malheureusement. Il faudra bien qu'un jour qu'elle apprenne à lire. Elle se sentait complétement idiote à ces moments là. Gardant le papier entre ses mains, elle alla voir une amie qui s'appelait Naomie. Heureusement pour elle, elle savait lire, elle au moins. après lui avoir demandé, Lucie était sur un petit nuage..C'était une troupe de comèdiens dirigée par John Roswell, qui cherchait des comèdien. Et la séance se passait demain matin. Lucie était tellement excitée, qu'elle alla voir Sebastian dans les cuisines. Elle lui raconta, enthousiasme. Sebastian avait l'air content pour elle, mais depuis pas mal de semaines, il semblait distant avec elle. A cet instant, Lucie était déchirée entre sa joie de pouvoir enfin jouer dans une troupe, et d'un autre côté, inquiète pour son couple qui semblait partir à la dérive..Elle ne savait que faire...Il ne lui pardonnait pas de l'avoir repoussé. Cette nuit là, il avait voulu lui faire l'amour, mais Lucie avait des principes. Pas avant le mariage.

    Ce soir là, Lucie attendait , allongée dans son lit que sebastien arrive. Mais il ne vient pas. Il n'était pas revenu à la maison. Il avait passé la nuit autre part..Mais où..seposa la question, inquiète..Et si il était avec l'autre fille à la chevelure rousse, qui n'avait pas arrêter de faire des avances à Sebastian. Torturée par ses pensées, Lucie dormit mal cette nuit là. Lucie ne vit pas non plus Sebastian ce matin. Elle ne put l'attendre, elle avait du partir , nullement envie d'être en retard à la répétition de la troupe des comèdiens. Une heure plus tard, elel arriva dans le petit opèra, et aperçu John Roswell.

    >> Ah Lucie, vous êtes venue finalement..s'exclama John, en lui aressant un sourire. Montez sur scène, j'ai envie de vous entendre chanter.

    Et c'est ainsi que Lucie faisait partie dorénavant de la troupe de comèdien. Son rêve commençait à se réaliser..Enfin! Comme elle ne savait pas lire, elle dut répéter plusieurs les phrases qu'elle devait connaître. Lucie était appréciée et acceptée par les autres comèdiens de la troupe, trouvant qu'elle avait énormément de talant malgré sa timidité et sa maladresse.Lucie était vraiment une autre fille sur scéne, elle ne se reconnaissait plus du tout.

    Un soir, elle rentra chez elle, après une répétition qui avait durée assez longtemps. En ouvrant la porte, la jeune fille perçue une étrange odeur, de parfum capiteux..Pas le sien en tout cas. Elle pénétra dans la pièce, incertaine, le coeur battant à tout rompre, quand elle entendit soudain des rires..Le rire de Sebastian et un autre féminion....Il venait de la salle de bain...Glissant son regard sur le lit qui semblait dévasté..comme si..une tornade était venue..mais Lucieue n'était pas idiote, elle avait compris que sebastian l'avait trahie avec une autre fille...Le coeur brisé, la jeune fille retena ses larmes, chercha toutes ses affaires et partie sans plus jamais y revenir...Depuis ce jour, Lucie ne faisait plus confiance aux hommes...Quelqu'un arrivera t-il à réparer le mal que sebastian lui a fait?


    Sa vie ne sera plus comme avant...

    Cela faisait maintenant trois ans qu'elle faisait partie de la troupe de John Roswell. ägée de 21 ans, Lucie était vraiment une belle femme, et aimée de tous. Elle vivait maintenant avec une amie, Rachel, une des filles de la troupe. Elles passaient beaucoup de temps ensembles. D'ailleurs c'est même elle qui faisait réviser Lucie les paroles de son rôle. Elle lui lisait les têtes. Pendant ces trois ans, Lucie avait beaucoup de succès avec son public...Lucie avait gardé son travail en tant que serveuse à la taverne, et elle travaillé également avec la troupe..Double salaire, et elle pouvait comme ça aider son amie, et envoyer de l'argent à sa famille. Elle recevait des lettres de ses parents, de ses frères, lui disant qu'ils étaient fières d'elle, et qu'elle leurs manquait.

    Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] 97a5f4f60287012b829fd70 Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] 10db93f49e5721f1980f5e1

    Yvan Gaultier


    Un soir, dans la taverne, derrière le comptoir, Lucie essuyait les verres. Perdue dans ses pensées, elle se mit à fredonner doucement une chanson de son enfance. Les paroles rassurantes et famillières lui mirent du baume au coeur. Une ombre tombait sur elle. Tournant la tête en sursaut, elle faillit échapper un léger cri, laissa tomber sa serviette, découvrant qu'un séduisant jeune homme se tenait juste devant elle, derrière le comptoir.

    Yvan>> Je suis désolé, mademoiselle, je ne voulais pas vous interrompre. dit-il avec un petit sourire en coin.
    Lucie>> Vous ne m'avez pas interrompue. Vous m'avez juste surprise.
    Yvan>>Vous avez une belle vous savez..
    Lucie sentit ses joues s'empourprer tout d'un coup.
    Lucie>> Merci
    Yvan>> Je m'appelle Yvan..Yvan Gaultier.
    Lucie>> Enchantée, moi c'est Lucie Frot.
    Yvan>>Je viens souvent voir chanter...Vous irez loin Lucie

    Depuis sa rencontre avec Yvan Gaultier, Lucie avait l'impression que ses rêves allaient bientôt se réaliser..Et Yvan avait raison, elle irait loin..C'est un soir, après avoir montée sur scéne et amuser la galerie qu'un homme séduisant, et charmeur vient à sa rencontre. Il se présenta galement, Jean-Baptiste Poquelin en prenant sa main délicatement et lui effleura de ses lèvres le dos de sa main dans un doux baise-main. Elle était charmée et très intimidée puisque personne encore ne lui avait baiser sa main ainsi..Ce nom était étrangement famillier à Lucie. Voyant son petit perplexe, le monsieur sourit, comprenant très bien son dilème, il lui dit qu'on le connaissait de nom de Molière. Comprenant de qui elle était en face, Lucie, les yeux grands ouvert, elle se sentait incapable d'émmettre quelques syllables.

    Molière>> Je souhaiterai que vous veniez demain, à une répétion avec ma troupe. J'ai beaucoup entendue de vous, de votre talent, votre voix..Et ça serait un sublime honneur de faire de vous ma future comédienne dans ma troupe.

    Le lendemain matin, c'est là qu'elle fit sa première entrée à Versailles, le vrai paradis à ses yeux rêveurs. Quelle splendeur, ces rêves devenaient réalité en une seule journée. Elle mettait les pieds à Versailles, et elle allait faire partie de la plus grande troupe de comédie de Versailles...Molière, ce dieu de la poèsie, lui si proche de la cour royale...

    Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Centcentil4Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Parjt3

    Mathilde Even


    En entrant dans les loges des comédiens, Lucie croisa Yvan, qui lui adressa un sourire complice et amicale. Lucie lui répondit d'un sourire timide. Elle avait compris que c'était grâce à lui qu'elle était là, aujourd'hui. On lui avait donné une tenue pour une première réprésentation. Elle entra dans d'une des loges, n'importe laquelle et vit qu'elle était occupée par une belle demoiselle qui, assise sur un petit tabouret, se poudrer le visage face à son miroir, lui tournant le dos.

    Mathilda >> Ah enfin, ce n'est pas trop tôt! Tu as ramené mon costume dit-elle sans se retourner.
    Lucie >>Quel costume...balbuta t-elle.
    Mathilde se tourna, les sourcils froncés, la regardant d'un air hautain.
    Mathilde>> Qui es tu?
    Lucie >> Je suis une nouvelle comédienne de la troupe.
    Mathilde l'observa, une lueur de colère s'afficha dans ses prunelles et de mépris.
    Mathilde>> Je me demande ce qu'il te trouve...
    Lucie resta silencieuse, incapable de parler. Elle ne comprenait pas ce qu'elle avait cette fille envers elle.
    Mathilde >> Je te préviens, petit parasite, que tu ne seras jamais la diva de Molière, c'est moi et moi seul!! Tu as compris?
    Lucie>> oui ...dit-elle d'une toute petite voix.




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    Eric Clint


    Mathide >> Qu'est ce que tu racontes?
    Eric plongea ses prunelles dans celles de Mathilde.
    Eric >>Noble dame, je vous implore de m'accepter comme votre serviteur. Je jure d'obéir à tous vos caprices...

    Molière>> Stop!!! ça suffit dit-il d'une voix énervée...Il marcha en rond autour d'eux. ça ne me plait pas du tout... Mathilde, je n'ai pas l'impression que tu sois entrée dans le personnage, tu ne le localise pas!

    Les bras croisés, Molière réfléchissais, regardant ses deux comédiens sans vraiment trop les voir. Yvan ne perdit pas une telle occasion et vient jusqu'à lui murmurer à l'oreille. Le regard de Molière se glissa tout d'un coup sur Lucie, et un sourire se dessina sur ses lèvres.

    Molière>> Lucie, tu connais le texte de cette partie?
    Lucie >> oui...
    Molière>> Bien..tu vas prendre la place de Mathilde. Aller qu'on se dépêche un peu, je n'ai pas de temps à perdre..dit il d'une voix coléreuse.

    Mathilde jete un regard de mépris à Lucie tandis que celle ci montait sur scéne, rejoignant Eric. Le jeune homme lui sourit dans un sourire rassurant.

    Molière >> Aller on commence...Lucie, tu es Lorelei, tu es en colère envers Philipe alors qu'il t'a abandonné. Philipe revient vers toi, et devant tout public il te demande en mariage.

    Eric vint se poster devant Lucie.
    Eric >> Tu m'en veux n'est ce pas? dit-il.
    Lucie>> Qu'est ce qui te fait penser cela? Rétorqua t-elle, cinglante. J'adore qu'on m'abandonne, figure toi!
    Puis, d'un ton soupçonneux, elle lui demanda:
    Pourquoi es tu venu ici?
    Eric sourit, de ce sourire irrésistible, et lui prit la main.
    Eric>> Si je pouvais gagner ses faveurs, cette ravissante dame me donnerait tant de bonheur que je n'aurai plus besoin d'espèrer quoi que ça soit d'autre.
    Lucie>> Qu'est ce que tu racontes?
    Eric plongea ses prunelles dans celles de Lucie.
    Eric >>Noble dame, je vous implore de m'accepter comme votre serviteur. Je jure d'obéir à tous vos ordres et de me montrer toujours sincère, humble, joyeux et galant...
    Puis mettant un genoux à terre, il ajouta:
    Je vous aime, Lorelei. Epousez moi, et je vous promets de ne plus jamais vous faire de mal. Ni laisser quiconque vous importuner.
    Lucie, resta sans bouger, fixant sans y croire aux paroles d'Eric.
    Prenant un air dérouté, Eric la regarda:
    >> Alors tu ne dis rien?
    Lucie>> Que veux tu que je te dise?
    Eric>> Que tu m'aimes aussi, par exemple. Ce serait une bonne chose, parce que je te ferai remarquer que j'ai l'air d'un parfait idiot, agenouillé devant toi, pendant qu'une bonne centaine de matelots nous observent.
    Lucie éclata de rire. Remplie de bonheur, elle ne devait pas le montrer et de ne pas lui faciliter la tâche. Elle feignit de méditer longuement sa réponse.
    Lucie>> Tu sais...commença t-elle finalement, que je te trouve insupportable d'arrogance...
    le visage d'Eric se décomposa, que Lucie montrer un visage qui savourer son triomphe.
    >> Mais aussi...Irrésistible, ajouta t-elle après un temps. Oui irrésistible, c'est le mot.
    Eric retrouva le sourire.
    Eric>> Et c'est tout?
    Lucie haussa un sourcil.
    Lucie >> Il devrait y avoir autre chose?
    Eric>> Tes yeux disent le contraire..
    Lucie>> Ah bon? Alors, disons aussi que je t'aime. Que je t'aime plus que tout au monde...
    Tout sourire, Eric se leva et la prit dans ses bras pour l'embrasser.
    Eric>> Je suis désolé de t'avoir quittée, mais je te jure de ne plus jamais recommencer.

    Des applaudissements se firent entendre par la troupe de Molière après cette petite représentation. Molière félicita les deux jeunes gens avant de dire à Lucie qu'elle était choisie pour le rôle principale. Elle faisait un merveilleux duo avec Eric. Cet homme charmant qui l'intriguait, mais au fil des mois, Lucie ne s'approchait pas de lui à part pour les répétition. Elle le trouvait irrésistible et très mystérieux..Elle souhaiterai le connaître un peu mieux mais n'ose pas s'approcher, et d'exposer son coeur...Elle avait été une fois brisée par un homme une fois, et ne souhaitait pas que cela recommence.

    Elle savait qu'elle n'était guère appréciée par Mathilde mais depuis le jour où elle avait pris son rôle pour cette comédie, Lucie sentait la haine quand celle ci la regardait. Et elle lui faisait les pires vacheries, et la ridiculiser devant la troupe..Mais Lucie avec son charme naturelle, elle amusait toujours la gallerie.

    Depuis qu'elle faisait partie de la troupe, Lucie était acceptée, et faisait des spétacles pour le roi et ses sujets. Son rêve était enfin réalisé...Elle envoyait de ses nouvelles à ses parents, qui étaient fiers d'elle. Grâce à Yvan, un inconnu, vite devenu un ami qui est maintenant son meilleur ami lui apprit à lire. D'ailleurs, elle montrait tellement d'enthousiasme que cela amusait le jeune homme.

    Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Iconjessicastroupsa10Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Iconjessicastroupsa11

    Mathilda de Cologne


    Mathilda>> Lucie, tiens prends cette robe
    Lucie>>Tu veux vraiment que je mette celle là? C'est ta préférée.
    Mathilda>> C'est justement pour cela que je veux que tu la mettes.
    Lucie>> Je suis génée...
    Mathilda>> Tu n'as pas à l'être..tu seras si belle dans cette robe..
    Lucie>> mais que vais je bien faire dans cette toilette?
    Mathilda>> On va s'amuser un peu..
    Lucie>> Comment ça?
    Mathilda>> On va faire de toi, une vraie dame..
    Lucie>> Impossible
    Et les deux amies éclatèrent de rire.


    Mathilda, une belle amie que Lucie a rencontré tout par hasard pendant qu'elle se promenait dans les jardins de Versailles. Une noble pourtant, mais elle était la meilleure amie de notre Lucie. On les prenait comme des soeurs quand Lucie se déguisait en noble dame. Et personne pensait qu'elle était autre qu'une dame. C'était leur jeu favori.


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    Alessandro Di Milano


    Alessandro>> Je vous en supplie Lucie...
    Lucie>> A quoi?
    Alessandro>> Vous le savez bien..
    Lucie>> Pas que je sache..
    Alessandro >> Belle demoiselle, vous me taquinez!
    Lucie>> Ah bon? Vous le croyez vraiment?
    Alessandro sourit.
    >> J'en suis sur.
    Lucie>> Vous êtes adorable Alessandro..
    Alessandro>> Alors, quand aurais je ma première leçon?
    Lucie>> Je ne sais pas, je ne me suis pas encore décidée.
    Alessandro>> Je vous en prie..Que dois je faire..?
    Il lui adressa un sourire irrésistible.
    Lucie>> Très bien, vous avez gagné, je vous apprendrai la comédie, mon cher Alessandro...

    Voilà après quelques sourires et des cadeaux, la belle n'avait plus résisté au charme du Duc, Alessandro de Milano. Ils se voient souvent pour les leçons dans les appartements du Duc ou ils allaient en cachette à l'Opéra Royale. Ils se voyaient le plus souvent le soir, au lieu de la journée. Personne ne se doutait de ce qui se passait entre eux. Lucie avait maintenant un défi..De faire d'Alessandro, un bon comédien..et elle espère bien d'y réussir..Et elle avait hâte de voir la réaction de Molière!

    Notre belle Lucie avait maintenant 22 ans, et elle avait fait son trou à Versailles. Heureuse et comblée, elle ne demandait rien d'autre de jouer. Elle se fichait de ce qui se passait en dehors de l'Opéra Royal.


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MessageSujet: Re: Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE]   Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Icon_minitime22.11.09 16:50

Merci pour le changement de nom ^^

Alors, normalement, j'ai terminé ma fiche. Razz
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Philippe d'Orléans


Philippe d'Orléans

« s i . v e r s a i l l e s »
Côté Coeur: Il a été brisé, piétiné et maintenant celui qui était à mes côtés est devenu mon ennemi. Quelle cruelle destinée !
Côté Lit: Le lit de mon palais est si confortable et accueillant !
Discours royal:



ADMIN TRAVESTIE
Monsieur fait très Madame

Âge : 27 ans
Titre : Prince de France, Monsieur le frère du Roi, Duc d'Orléans, de Chartres, d'Anjou, seigneur de Montargis
Missives : 10014
Date d'inscription : 03/01/2007


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MessageSujet: Re: Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE]   Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Icon_minitime28.11.09 19:50

Pardon de l'attente, débordement de partout !

Validée !
Tu peux passer à la gestion pour toutes les demandes et bon jeu parmi nous !
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MessageSujet: Re: Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE]   Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Icon_minitime28.11.09 22:22

Je vous remercie, Monsieur *s'incline dans une petite révèrence maladroite* Razz

Je comprends parfaitement Very Happy
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MessageSujet: Re: Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE]   Lucie Frot-- La princesse des Rêveuses [TERMINE] Icon_minitime

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