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 Angélique de Sancerre [TERMINE]

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MessageSujet: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime10.09.09 19:14

Angélique - DE SANCERRE
_______ ft. Nathalie Portman
Angélique de Sancerre [TERMINE] Nataliep22



    ► 23 années de fantaisie et de fougue
    ► Comtesse de Sancerre
    ► Fille du Royaume de France
    ► N'est pas mariée



    « Que diable, vous êtes à Versailles ! »

    Un paradis ou un enfer versaillais ?

    Qui pourrait le dire ? Aux yeux de ses parents Angélique, la petite diablesse, est une bombe sous capeline. Alors Versailles, vous pensez bien qu'ils furent ravis. Mais c'est la cour de Son Altesse, Oh ma fille, comme je suis fière de vous, comme vous êtes sage Mais ce qu'ils ne savent pas ce sont les raisons de l'arrivée de leur enfant ici. Bien sûr Angélique adore découvrir, ainsi Versailles est un paradis ; mais cet homme étrange Qui est il, que veut-il à sa Majesté ? La court des précieux ne serait-elle pas alors le monde de la bienséance ?
    Paradis ou Enfer ? Dieu seul connaît la réponse...

    Vérité ou fantasme du complot ?

    La question posée il y a quelques mois aurait eu pour réponse un franc Fantasme ! Cependant bien des choses ont changées depuis, et aujourd'hui notre jeune comtesse ne souhaite que démêler le vrai du faux depuis qu'elle a surpris une conversation des plus étrange. L'odeur du complot se lève, qui croire ? Angélique ne croit qu'elle. Et elle dit qu'il y a comme une vague agitation suspecte. C'est bien pour cela qu'elle est là. Démêler le vrai du faux. Mais après tout, qui ne souhaite pas voir tomber son voisin ? Le complot plane dès que l'on place deux Hommes côte à côte. La place la plus convoitée n'est elle pas celle qui se situe juste sous les rayons du Soleil ? Certaines personnes murmures même vouloir devenir le Soleil...

    Plutôt colombe ou vipère ?

    "Elle a le diable au corps" disait sa mère. Elle n'a pas tort. Angélique est une douce colombe pour quiconque est colombe avec elle, serviable et gentille, elle est néanmoins attachée à ses idéaux et toute personne se plaçant entre elle et sa vision du monde se retrouve assailli d'un flot de paroles aussi tranchantes qu'une épée de l'armée de Sa Majesté. Gentille donc, douce donc, mais certainement pas bête et jeune femme effarouchée. Rien ne lui fait peur, et sa curiosité la pousse à tout écouter, peut être même un peu trop... Ainsi est faite la comtesse. Vipère ? Non bien sûr, elle dit juste ce qu'elle pense et tant pis si elle est la seule à le penser. Elle a juste un débit de paroles plus rapide que sa pensée, cependant que l'on ne s'y méprenne pas la comtesse a gardé de son éducation la science du choix scrupuleux de ses mots.


    « Savoir s'entourer ma chère...»

    Raphaël de Sancerre

    "Mon très cher frère, malgré tout l'amour que vous portez à ma personne, c'est avec fierté que je vous annonce mon départ pour la cour de Sa Majesté. Je connais vos pensées, sachez que vous porte en moi où que j'aille.

    Tendrement Angélique."


    Philippe D'artagnan

    *Jamais je n'aurais cru qu'un jour je puisse voir en un étranger un homme qui me serait plus proche qu'un frère. Je ne saurais jamais le remercier pour ce qu'il m'a apporté...*

    Derek de Saxe

    Je vous serai gré Monsieur de ne plus croiser mon chemin et de stopper séant toute entreprise pour tenter de vous trouver parmi mes gens, je ne supporte plus votre seule odeur.

    Marie-Louise de Chevreuse

    *Il faut absolument que j'en apprenne plus, absolument... Mais jamais ne se faire prendre... Jamais.*

    Marianne Pilogue

    "Si rien ne retiens ma tendre amie demain dans l'après midi, j'aurais grand plaisir à l'accueillir parmi la verdure de mon petit jardin pour une de ses si longues discussion dont nous avons le secret.

    Avec amitiés, votre Angélique."


    Chiara di Genova

    Ouh Dieu seul sait comme je hais cette femme. Petite prétentieuse, précieuse et maniérée. Et Dieu seul sait comme je me plaît à porter des pantalons en sa présence, et comme j'aime faire galoper mon destrier près de son obséquieuse cour.


    « Plus bas la révérence, plus bas. »

    ► Elvina
    ► 17 ans
    ► Quotidienne
    Code bon (by Alex)
    ► Non non il est parfait comme cela ce forum Very Happy



Dernière édition par Angélique De Sancerre le 01.10.09 8:27, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime11.09.09 9:04



« Il était une fois ... »

Notre histoire commence un soir sombre, une nuit sans lune, une de ces nuits où même les voleurs hésitent à sortit de leurs tanières. Cette nuit là Marie de Sancerre n’avait pas eu de répit. Peu après l’office religieux du soir, une heure seulement avant le repas du soir, la jeune Marie de Sancerre sentit de fortes pressions sur son ventre. Calme, comme toujours car Madame n’était pas de celle qui cède à la pression, elle se leva, posa un main délicatement laiteuse sur l’épaule forte de son époux.

_Mon mari.
_Que se passe t-il ?
_Votre enfant va naître.


Les secondes qui suivirent furent un tel tumulte de mouvements que cela ressemblait presque à une ruche dérangée dans son sommeil. Les suivantes de Madame coururent vers elle pour la soutenir, les domestiques s’enfuirent chercher seaux, eau chaude, serviette, fauteuil et, bien sûr, médecin. Monsieur de Sancerre lui n’avait pas refermé la bouche, les yeux mouillés par de naissantes larmes de bonheur il ne bougeait plus. On aurait pu croire qu’une poupée de cire avait remplacé le fort Monsieur.

_Monsieur se sent-il bien ?


Une suivante s’inquiéta enfin de son maître. C’est à cet instant que les joues du futur père reprirent couleurs.

_Mais voyons activez vous ! Plus vite. Mon fils va naître !


Il faut alors marquer une pause dans notre récit, laisser l’agitation de la naissance quelques instants pour apporter une petite précision. Durant toute la durée de la grossesse de la comtesse Marie les cancans de vieilles dames allèrent bon train et rares étaient celles qui n’y allaient pas de leur pronostic sur l’identité du petit enfant.

_Mais voyons, soyez réaliste une grossesse si vigoureuse ne peu donner lieu qu’à un garçon. Moi lorsque j’ai mis au monde Marie-Hélène ce fut une délivrance, jamais grossesse ne fut plus désagrébale.
_Un ventre qui pointe vers le bas, c’est un petit garçon que vous donnerait encore une fois ma chère.
_Oh une envie de viande ? Vous nous préparer un fils.


A force d’entendre ces scientifiques des temps perdus parler de fils, le comte et la comtesse de Sancerre finirent par s’habituer à l’idée d’avoir un deuxième fils.

_Vous êtes bien installée ma mie ? Vous désirez quelque chose ? N’avez-vous pas trop mal ?


Marie ne cessait de sourire, son époux, si courageux, si fort, ce maître plein de puissance était dans un tel état dès qu’il s’agissait d’enfant.

Le bébé ne mit pas longtemps à naître en 20 minutes la famille agrandie. Les têtes des suivantes qui avaient aidé à la naissance furent à conserver dans les anales. Leurs mines déconfites méritaient le détour. Bien sûr Frédérique de Sancerre se précipita vers son « fils », un petit qui mit si peu de temps à naître. Son visage aussi fut bien drôle.


_Mais ?! Où est mon fils ? Ce n’est pas un fils !


Amélia, la plus proche suivante de Marie, la plus expérimentée aussi, n’avait cessé de prévenir les parents, « ne faites pas de pronostics trop rapide, la Nature joue de bien beaux tours aux parents pressés », elle sourit aux parents le regard fier :

_Ne vous avait je pas dit d’attendre ? Il faut nommer l’enfant désormais. Baptiste semble inapproprié pour une dame.


Philippe sourit de son erreur et se tourna vers son épouse.

_Angélique, ma fille se nommera Angélique Eugénie Madeleine de Sancerre.


Dernière édition par Angélique De Sancerre le 11.09.09 14:23, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime11.09.09 9:08



« Ce n'est pas entrer dans l'intimité, c'est juste satisfaire la curiosité.»


Carnets intimes de Jeanne-Emanuelle (nourrice des enfants)


« 23 juin 1647

Nous fêtons aujourd’hui l’anniversaire de la jeune Angélique. Je ris quand je pense à ce prénom, la jeune demoiselle n’a d’ange que le nom. Jamais je n’ai vu pareille diablesse, même son frère est plus sage qu’elle, à 9 ans le jeune de Sancerre lit tout ce qu’on lui donne, est poli en toutes circonstances, manie l’épée avec brio. Mais celle là… Peut être n’avait il pas tort de penser à un garçon. Je reste intimement persuadée que le Seigneur avait prévu un fils, mais puisque les parents ont découvert son projet il en a fait une fille. Comment souffrir qu’une demoiselle court la campagne toute la journée en culotte. Je ris moi. Pourtant elle est si attachante. 4 années ont passées depuis sa naissance et elle enchante sa famille, désespère son père pourtant fier de sa fille plus forte qu’un bloc de pierre, sa mère soupire lorsqu’elle rentre toute sale de ces jeux fraternels. Et pourtant tous disent la même chose : La jeune de Sancerre est un ange. Avec une frimousse pareille, comment peut-il en être autrement. Quelle demoiselle de 4 ans peut se pavaner d’avoir une peau si pâle avec des cheveux si bruns et des yeux dont la couleur se rapproche tellement des marrons d’hiver. Et cette voix, si mélodieuse. Pour sûr je suis persuadée qu’elle sera une beauté. »


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Carnets intimes de Marie de Sancerre


« 18 décembre 1655

Mon enfant, ma fille,

Jamais vous ne lirez ces mots et pourtant il me faut les écrire. Vous dire quelle joie et quel effroi vous provoquez en moi. Alors que vous n’étiez pas née, lorsque seul votre frère faisait partit de notre monde je me disais que j’étais vraiment gâtée par les cieux d’avoir un enfant, un garçon, l’aîné, si doux, si beau, si pâle, si bien élevé et si à l’écoute des ordres que nous lui donnions. Et puis je retombai enceinte. Et puis vous êtes née. Jamais je ne vit plus beau bébé, bien sûr, comme vous le dites si bien, toute mère adule son enfant, mais tout le monde pense comme moi. Je suis fière de la beauté que j’ai mise au monde. De si beaux cheveux bruns, de si beaux yeux noisette, une peau si pâle, si douce, une voix si majestueuse. Lorsque je vous regarde, si pleine de vie, avec ce petit éclair de vie au fond des yeux, je ne peux être que fière de mon enfant. Vous n’êtes pas grande, et bien moins ronde que vos consoeurs, la faute à vos escapades à cheval, mais peut importe, votre corps est ferme et souple, délicatement élancé. Un roseau. Je n’en ai jamais vu mais je sais que vous aimez cette plante. Je ne sais pas d’où vous viens votre amour pour l’eau, je ne peut supporter cet élément, mais vous ma fille, vous plongez dans le lac dès que le soleil se montre. Je ne sais pas où vous avez appris à ne pas vous noyez. Cela fait la colère de votre père et la peur du médecin. Pourtant je ne puis m’empêcher de penser que cette délicate odeur qui émane de vous est du à vos baignades quasi hebdomadaires. Les meilleurs parfums s’accrochent à vous et se mêlent à votre odeur naturelle, j’aurais aimé ne pas craindre l’eau pour m’y plonger avec vous. Cependant la seule eau que je tolère est celle de mon bain et cela me suffit amplement. Je suis intimement persuadée qu’aucun homme ne peut vous regardez sans vous désirer. Vous et vos magnifique robes, toujours si claires, si pleines de beauté. Où donc avez-vous appris à marier les tissus avec tant de soin ? Vous fréquentez bien trop notre tailleur, je crois qu’il a sur vous une influence que j’envie. Vos robes sont toujours si pleines de grâce et d’idées. Et vous accordez si bien vos corsets et vos jupons, le tombé des épaules dévoilent agréablement votre poitrine laiteuse, votre gorge naissante est si plaisante à deviner. Votre taille fine semble se jouer des corsets que vous pouvez serrer si fort lors de nos sorties, alors que vous passez votre temps libre en sous robe. Les jupons gonflants vous donnent l’air d’une petite et ravissante poupée, tandis que les jupons transversaux font de vous une dame dans un corps d’enfant. Et le rouge vous va si bien, le blanc vous donne l’air d’un ange, le bleu vous rajeunit, le jaune vous donne l’air d’un soleil, le rose que vous savez si bien portez ne vous donne pas l’air d’une jeune écervelée comme les autres jeunes filles, mais vous donnent un air de déesse descendue du ciel. Et pourtant… Une si belle tête avec un tel chaos. Je ne sais ce que nous n’avons pas fait avec vous que nous avons fait avec votre frère. Peut être votre beauté nous a-t-elle éblouie au point d’oublier votre éducation. Vous, si belle, si angélique mon Angélique, vous êtes un vrai démon. Et je pèse mes mots. Pourtant je ne suis qu’une mère je ne puis que vous aimer. Votre présentation au monde d’hier fait jaser aujourd’hui, une si belle jeun fille, avec de si belles manière, un port de tête si harmonieux, à 12 ans vous voilà une dame. Et pourtant… Ma peine est immense quand je pense que vous avez quitté la grande salle où vous deviez paraître, échappé à ma vigilance, je m’en veux, pour aller, comment disiez vous ? « Prendre l’ardeur solaire » avec vos compagnons. Et alors que les petites filles restaient sagement près de leurs mères, vous, ma fille, vous parliez récits épiques avec les garçons. Jamais je n’ai eu plu honte qu’hier, aller vous chercher parmi les petits garçon, et pourtant jamais je n’eu plus fière que lorsqu’une fois le dos tourné ils furent tous d’accord pour dire que la « petite comtesse de Sancerre » n’est pas comme les autres filles, bien plus intéressante. J’ose juste espérer que votre fougue n’altérera pas votre beauté, cette dernière vous sauvera l’honneur. »


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Correspondances du Comte Frédérique de Sancerre


« 4 avril 1657

Ma fille,

Je suppose votre colère à la lecture du premier courrier de moi. Ma fille, votre colère n’égalera jamais ma honte. Dieu est en remercier que votre frère vous connaisse si bien pour vous protéger et connaître votre pensée mieux que vous-même. Vous enfuir !!! Quelle idiote idée. Voir le monde ? Seigneur mais ce n’est pas à une dame de découvrir le monde, encor moins à une future comtesse. Que faites vous de votre naissance ? De l’honneur de la famille ? Personne n’a entendu parlé de vos frasques, je ne sais pas quel heureux sort et j’en suis ravi. Que diraient les gens s’ils savaient que mon unique fille est plus téméraire que bon nombre de garçons ? Ils riraient ! Ma fille une future épouse et mère se doit d’être comme les jeunes filles de son âge, c'est-à-dire tout ce que vous n’êtes pas ! Ah vous faites les yeux doux à tous mais je ne suis pas dupe. Vous êtes aussi belle que folâtre ma fille. Je suis bien puni d’avoir mi au monde une si belle personne, voilà qu’elle veut voir le monde. Mais le monde chère enfant, ce n’est pas une large bande de couleur à l’intérieur de vos livres d’histoire. Le monde ce sont des brigands, des malveillants, des profiteurs, une jeune fille ne parcourt pas le monde, ou alors, dans un bateau aux côtés d’un homme mais jamais, au grand jamais, seule dans un navire commercial ! Mais personne ne vous a reconnu et Dieu en est mille fois remercié. Vous faites la forte tête ? Et bien à mon tour d’être idiot. J’aurais aimé vous garder près de moi jusqu’à ce qu’un homme vous prenne à moi, mais non, vous voulez être idiote et désobéissante ? Alors je serais idiot moi aussi. Le couvent des sœurs de piété sera votre demeure jusqu’à ce qu’un homme désire vous faire sienne. Voilà votre punition. J’en suis meurtrit mais si c’est le seul moyen pour savoir où vous vous trouvez, si c’est le seul moyen de protéger votre honneur, alors je le ferai, bien que ce soit le choix le plus affreux de mon existence. Votre mère ne cesse de pleurer votre départ. Votre frère préfère m’éviter que de devoir me parler. Vous voyez un peu l’état dans lequel est notre famille avec vos bêtises ? Mais je prends sur moi. Le rôle d’une mère est d’aimer. Le rôle d’un frère est de soutenir. Le rôle d’un père est tout autre, il est d’assurer la destinée de ses enfants, de leur offrir le meilleur, une situation, même si cela doit se faire contre le gré de ses enfants. Un jour vous me remercierez.

Tendrement votre père, Frédérique comte de Sancerre. »


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Correspondances de Soeur Manuela


« 12 novembre 1662

Monsieur le Comte,

C’est avec désarroi que je vous annonce le départ de votre fille. Nous nous sommes aperçu de son départ ce matin, au réveil. Monsieur, veuillez pardonner le peu de manière que je prends pour vous l’annoncer, mais vous y êtes habitué. Depuis son arrivée votre jeune Angélique passe autant de temps dans l’enceinte du château qu’au dehors. Je ne sais pas comment elle parvient à tromper la surveillance accrue de nos sœurs mais le fait est là. Elle disparaît chaque fois, et à chaque retour nos sermons ne font naître sur son visage qu’une fausse honte et qu’un repentit de façade, et les autres jeunes filles tentent de l’imiter. Je ne puis plus souffrir la présence de votre fille. Par amour pour votre famille, par respect pour votre femme, par redevance envers les dons que vous avez offerts généreusement à notre établissement je tairai les faits de votre fille mais, monsieur, si vous la retrouvez je vous serai gré de ne plus la nous la remettre. Si je puis vous parler sincèrement, votre fille monsieur est douée, dotée d’une grande intelligence, d’une immense ouverture d’esprit. Ce qui a fait qu durant ces 5 années je l’ai accueillie malgré ses fuites c’est parce que c’est une personne terriblement intelligente, d’une clairvoyance que beaucoup de personnes d’âges mûrs lui envieraient s’ils savaient. Je garde en moi, comme de précieux trésors, les longues discussions que nous avions elle et moi autours de thèmes aussi divers que la théologie, la bienséance, les contes, la science, l’histoire. Son immense curiosité est aidée d’une mémoire d’autant plus immense et d’un discernement faisant d’elle une personne d’exception. J’ose espérer qu’un jour le caractère impétueux de votre charmante enfant se calme ou bien alors elle donnera toutes les peines du monde à son père et à son époux. Pourtant je n’ai pas encore rencontré de personne plus charmante qu’elle, et bien au-delà de sa beauté physique, cadeau donné par Dieu par je ne sais quel désir, mais d’une beauté intérieure si forte. Jamais je n’ai rencontré une personne si jeune qui fasse la moue pour ne pas finir son assiette et tout rendre aux pauvres lors de nos sorties à l’église. Jamais je n’ai vu de personne plus gentille et généreuse, plus touchée par le malheur d’autrui qu’elle. Elle aurait fait une bien bonne sœur, mais ce n’est pas là son chemin. Si je puis vous conseiller monsieur, si vous me le permettez, laissez donc Angélique vivre sa vie, envoyez avec elle son frère s’il le désire ou bien un compagnon de route, une vieille nourrice peut être, je la sais attachée fortement à Jeanne-Emmanuelle, elle en parle si souvent. Je pense réellement que la soif d’apprendre de votre enfant ne sera calmée que par l’apprentissage. Réellement. Voilà monsieur, je n’ai plus qu’à vous souhaiter tous les bonheurs du monde. Une fois encore sachez que ce n’est pas la colère qui me pousse à refuser votre fille mais mon amour pour elle et l’amour que je porte aux filles qui restent près de moi et dont je préfère taire les envies de fuites.

Avec toutes les amitiés.

Sœur Manuella »


Dernière édition par Angélique De Sancerre le 11.09.09 14:22, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime11.09.09 9:09


« Mais... Qui êtes vous ? »

Angélique, Angélique. Quel merveilleux prénom, et quelle ironie du sort pour ses parents. Une enfant aussi jolie, un vrai ange de par son physique. Oui il est indéniable qu’elle possède un port de tête altier, une vraie princesse, ses gestes sont lents et emprunts de grâce. Son rire est doux et limpide, une cascade lorsqu’elle rit, et elle rit si souvent, de bon coeur, c’est une joyeuse vivante. Et ces yeux… Deux magnifiques fenêtres sur son âme, leur marron passe par toutes les nuances possibles pour prévenir ceux qui les regardent de ce qu’il se passe à l’intérieur de la demoiselle. Un nez si fin, à l’odorat si aiguisé, et une grande gourmande, si elle s’écoutait elle mangerait toute la journée mais heureusement son petit appétit est vite rassasié. La jeune femme est de surcroît une adepte de l’équitation. Mais nous n’en sommes pas encore là, nous parlons pour l’instant de l’apparence de la jeune personne. Pas une seule marque rouge sur le visage laiteux de la dame, aucun problème de boutons, cicatrices ou rougeurs, jamais les cernes ne l’ont inquiétée. Son teint si pâle est uniforme sur l’ensemble de son corps, c’est une beauté d’époque, pâle et gracile. Le seul et unique problème je vous dirait est sa taille, son tour de taille, bien trop mince pour cette époque qui préfère sans conteste les femmes charnues, aux gorges opulentes, aux bras moelleux et aux croupes douces et confortables. Angélique n’est pas de celle là, cette cavalière de talent, cette femme d’extérieure diront nous, est une fine jeune femme, aux bras fins et musclés juste ce qu’il faut pour lui permettre de retenir un fougueux étalon, à la gorge menue certes mais à la taille si fine que sa propre mère lui envie. En effet rare sont celles qui peuvent se permettre de serrer un corset au maximum et y être encore à l’aise, Frédérique de Sancerre, son père lui offrit pour ce faire des corsets sur mesure, faisant d’elle la jeune femme à la taille le plus fine. L’histoire dit qu’une belle femme est celle dans le tour de taille permet à son amant d’en faire le tour complet avec deux mains, si on en croit cette mesure, Angélique est une belle femme. Eblouissante lorsqu’elle porte un de ces corsets si serré et qu’elle semble encore toute pleine de vie et non pas guindée comme de nombreuses dames. Cependant qu’on ne s’y méprenne pas rare sont les occasions où Angélique en porte un, lorsqu’elle reste chez elle, elle préfère de légères robes, surtout l’été, jamais elle ne souffre de porter les kilos de jupons et de crinolines que s’évertue à porter sa chère mère qui aurait bien aimé en faire une poupée de salon, en hiver elle se couvre mais se refuse à porter cerceaux et autres engins de torture. Ainsi, pour le grand malheur de sa famille proche, son frère y compris, Angélique reste chez elle dans les plus légères toilettes.

Après tout quel besoin avons nous de paraître dans nos propres familles ? N’est ce pas là où nous pouvons être seulement nous-mêmes ?


Le corps d’Angélique est donc laissé la plupart du temps libre de tous mouvements et heureusement, dès lors qu’elle a su courir le jardin et la forêt furent explorés, pas un seul bosquets ne fut exploré, pas un arbre ne subit pas les assauts de la jeune de Sancerre. Suivie de près par son frère Angélique n’était plus future comtesse, jeune noble française, elle était un de ces pirates de ces romans, un explorateur, elle découvrait de nouveaux pays, des pays sans lois, sans roi, sans père ni mère, un pays de liberté. Elle découvrit bien vite que ces aspirations devaient restées secrètes.
Fine et agile, voilà donc le portrait d’Angélique. Lorsqu’elle sort dans le monde, parce qu’elle fait partit d’une lignée de noble elle se doit de paraître, Angélique joue le jeu et porte de somptueuses parures, de magnifiques toilettes, et pourtant ce n’est pas tant la robe qui éblouie, mais bien la personne qui la porte, Angélique a la chance de faire partit de ces personnes qui donnent du charme à tout ce qu’elle porte, de ces personnes qui possèdent ce « quelque chose » en plus à toutes les autres, mis à part son physique, c’est quelque chose inscrit au plus profond d’elle-même. Peut être les gens sentent ils en la voyant que c’est une aventurière, une boule de vie, une curieuse, une vivante oui, une vivante, loin des conventions qui la voudrait calme et docile, un charmant objet de décoration pour les hommes de sa vie, Angélique vit par elle-même et c’est peut être cela que les gens sentent lorsqu’ils la voit, toute la vie, toute la fougue de cette jeune femme.

Cette fougue lui a d’ailleurs valu bon nombre de problèmes. Dès ses 12 ans, elle parut au monde, dès ses 12 ans sa demeure, son château entouré de la forêt lui sembla bien trop petit pour elle. Elle rêvait d’autres horizons, lointain, de la liberté qu’elle pourrait acquérir en voyageant. Dès que commença son instruction Angélique sentit que l’école et elle ne serait pas bonnes amies, en effet pour Angélique seuls comptaient les faits, la pratique, l’expérience, toute jeune elle comprit que les heures passées à lire, à réciter, à apprendre toutes sortes de choses inutiles à son goût auraient pu être passées à explorer sa forêt, le château, à inventer de nouveaux jeux avec son frère, Raphaël. Elle passait plus de temps à observer le soleil au travers des fenêtres de la salle d’étude qu’à retenir ces choses. Certaines choses pourtant attiraient son attention, l’art, les poésies et les chants ; la musique, pour laquelle elle se révéla on ne peut plus douée au clavecin ; la lecture, les romans épiques et d’aventures retinrent toute son attention et il n’était pas rare de trouver la jeune comtesse plongée dans des romans de capes et d’épées au lieu de s’entraîner à paraître ; et la géographie, elle avait pour cette matière un intérêt tout particulier, c’était la seule matière pour laquelle il ne lui était pas une torture de retenir, à peine croisait elle le nom d’un pays, ou en voyait elle l’emplacement sur une carte qu’elle le retenait, cette matière nourrissait ces rêves et ces jeux d’antan, par la suite tous ces pays continuèrent de danser en elle pour former le monde, un monde qui lui tardait de découvrir. C’est ainsi qu’à à peine 12 ans la jeune de Sancerre fit ses paquets et partit à cheval parcourir le monde. La première fugue fut un choc pour toute la famille.

_Madame, Monsieur, Oh comme je m’en veux d’entrer ici sans votre permission mais votre fille n’est pas dans ses appartements ![ /b][ /center]

Comme tout bon parent les époux de Sancerre ne pensèrent pas à la fuite, juste à un enlèvement pour une rançon quelconque ou bien à la vengeance d’un ennemi de la famille. Raphaël âgé alors de 17 printemps partit su le champs à la recherche de sa petite sœur. Il al retrouva non loin de la demeure familiale, au village, parmi la foule à parlementer gentiment. Par la suite, l’année suivit la jeune fille prit pour habitude de partir sans prévenir au gré de ses envies. Une de ces ballades l’amenèrent même un jour près des frontières italiennes, une fois encore ce fut Raphaël qui la ramena chez elle. Cette fois là fut la fois de trop c’est alors que son père décida de l’envoyer au couvent des Sœurs de Piété. Ce fut un coup porté à la jeune fille. Mais plutôt que de se laisser abattre elle préféra faire contre mauvaise fortune bon cœur et préféra explorer ce qu’elle adorait faire. Bien sûr cela ne plaisait que peu aux sœurs et aux autres jeunes filles qui y vivaient, cela lui a valu d’houleuses discussions avec ses camarades et également avec la sœur principale. Ce n’est pas qu’Angélique soit une forte tête ou un garçon manqué, loin de là, Angélique est une fille, elle le sait et le fait savoir, elle ne comprend juste pas que, sous prétexte d’être une future mère, elle doive se plier à d’absurdes règlements, alors puisqu’elle n’a pas sa langue dans sa poche et qu’elle se plaît à dire tout haut ce qu’elle pense, après avoir pesé ses mots elle les dit, tout simplement, ce qui, évidemment, ne plaît que peu dans notre monde où bienséance l’emporte sur vraisemblance. Malgré cela la jeune Angélique a sût durant ces 5 années d’enfermement se lier d’amitié avec la sœur principale, la sœur Manuela, à l’accent portugais si particulier. Elle s’en ai fait une amie, une consoeur, avec elle, elle pu continuer d’explorer le monde sur les cartes, supportant mieux son autorité que celle de ses précepteurs passés ou bien de sa chère mère. Elle perfectionna ses acquis avec elle, appris même à cuisiner, ce qui lui permettrait avait elle penser de faire concurrence à leurs cuisiniers une fois rentrée à la maison. A la suite d’une énième fugue, la sœur Manuela ayant réussi à convaincre son père de laisser vivre son enfant, Angélique fut ravie de retrouver sa liberté et prête à en profiter. Elle ne rentra chez elle que pour embrasser ses parents et passer un peu de temps avec son frère qui lui avait tant manqué ces 5 dernières années.

[b][center]_Oh Raphaël comme je suis heureuse d’être de nouveau à la maison.
_Cela vous servira de leçon j’espère.
_Pensez vous ! Parlez moi de vous. Vos amours ? Vous êtes devenus si beaux, vous devez être un vrai bourreau des cœurs, un véritable Don Juan.
_Je vois que vous n’avez pas oublié ces sombres lectures.
_Rien dans la lecture n’est sombre mon frère, tout est apprentissage, il faut garder l’esprit ouvert, pardi.
_Et vous jurez en plus. Ces sœurs n’ont pas plus réussi que nous à faire de vous une dame digne de ce nom.
_Détrompez vous Raphaël je sais me tenir, mais avec mon frère je n’ai aucune envie d’être autre que moi-même. »


Après deux nuits passées chez elle, Angélique pris une fois de plus ses affaires et son cheval et partit laissant une lettre à son père le remerciant de ce qu’il lui a apprit, de l’amour qu’elle avait reçu mais qu’elle voulait désormais vivre.

« Je vous porte en mon sein.
Affectueusement votre fille aimante, Angélique »


C’est ainsi que la jeune comtesse reprit la route sur son bel espagnol, un étalon fougueux, gris comme un ciel d’orage, un monstre de tendresse et de mauvaise foi, Frédérique a souvent eu peur pour sa fille et pour cause, ce cheval là est un véritable fou. Pourtant c’est son dos qu’Angélique décida de partir sur les chemins. Lors de ses voyages, bien qu’elle rencontra énormément de monde, goûta à toutes sortes de plats, qu’elle conciliait dans un carnet à l’attention de ses cuisiniers, son frère lui manquait terriblement, elle lui postait quelques lettres mais depuis que ce dernier était devenu mousquetaire il lui était difficile de le joindre, et sa suivante Marianne, Marianne Pilogue, son unique amie lorsqu’elle vivait chez ses parents, cette charmante jeune femme passait beaucoup de temps avec Angélique, elles avaient même, par jeu, nombre de fois échangé leurs vêtements, leurs titres pour pouvoir, l’espace de plusieurs minutes ou quelques heures être l’autre, voir l’envers du décor ; leurs duo musicaux lui manquaient beaucoup mais il fallait aller de l’avant.
C’est lors de ces escapades qu’elle rencontra son meilleur ami : Philippe d’Artagnan. Leur rencontre fut des plus atypiques, une lourde pluie, un cheval fatigué, une cavalière perdue et mal en point, une vilaine blessure et voilà comment les deux jeunes nobles s’étaient rencontrés. Il la protégeait en la cachant à ses parents dès qu’elle revenait dans la région, lui offrait gîte et couverts et elle lui rapportait ses voyages, les histoires, les odeurs, les tissus ; Angélique la bavarde avait trouvé enfin quelqu’un qui ne voyait pas la future épouse et mère qui devrait se conduire mieux, mais Angélique, simplement Angélique. Il semblait bien être le seul à voir en elle ce qu’elle était. D’autres personnages semblaient eux ne voir en elle qu’une partie de son être. Mais ceci est une autre histoire…

Vouloir être différente, vouloir être soi à l’encontre des lois et habitudes de la société n’a pas réussi à beaucoup de monde. Prenons comme exemple les très célèbres Socrate et Jésus, pour avoir voulu être différents, eux-mêmes ils furent condamnés à mourir. Angélique, bien qu’on ne lui demanda jamais de périr a toujours reçu des commentaires peu flatteurs sur sa personne, trop maigre par rapport aux énormes matriarche que l’on voyait dans les salons, ces femmes si lourde que la voiture penche sur le coté dès qu’elles y montent, si imposante qu’elles prennent un demi banc à elles toutes seules à l’Opéra, les cheveux trop foncés alors que la mode allait vers les cheveux blancs poudrés, trop active pour une jeune femme digne de ce nom, et, bien sûr, pour ceux qui l’avaient trouvé dans ses habits préférés, indigne de sa condition lorsqu’elle portait des vêtements masculins. Son aspect rebelle, cette espèce d’inaccessibilité qui émanait d’elle, cette vie si présente sans son regard en avait repoussé plus d’un. Combien de jeunes hommes étaient venus demander la main de la comtesse de Nancerre alors qu’elle n’avait même pas 12 ans ? Ceux là repartir très vite, chassés par la vision d’une jeune fille en vêtements de dessous, ou chevauchant son cheval comme un homme, ou mis à la porte par l’enfant elle-même. Certains pourtant ne voulaient s’avouer vaincus, le Prince de Saxe par exemple. Rencontré par le hasard d’une soirée mondaine la jeune femme ne supporte plus aujourd’hui que l’on prononce ce prénom en sa présence. Et pour cause ! Ce scélérat est un infidèle, un homme à la vie dissolue, dont les mœurs laissent fortement à désirées. Mais ce qui insupporte le plus la jeune femme c’est la manière si obscène dont lui parle le Prince, ce regard si plein de concupiscence lui donne la nausée, elle le fuit comme la peste et, si jamais le hasard malveillant venait à les mettre face à face, elle ne se refuserait aucunement le droit de lui répondre avec le moins de bienséance possible. Mais nous pouvons également parler de la comtesse de Genova qui est de celles qui pensent qu’Angélique n’a sa place que dans une auberge rustique du fin fond de la campagne, et pas à la cour, les deux jeunes femmes se vouent une haine farouche et entre elles semble se jouer un jeu qui déterminera laquelle colporte le plus de rumeurs sinistres sur l’autre. Chiara ne peut souffrir d’observer Angélique et Angélique préfère quitter la pièce plutôt que d’entendre Chiara. Pourtant ne sont pas rares les fois où les deux femmes se trouvent dans le même environnement, il arrive même qu’elles participent toutes les deux à la même conversations. Malgré la haine qu’elles se vouent, elles se retrouvent souvent aux mêmes endroits.

Ce qui amena la comtesse à Versailles ? La version officielle, celle que vous donnera les époux de Sancerre si vous leur posez la question est que leur fille a décidez de prendre ses quartiers, de trouver un époux, de se rapprocher de la plus belle cour de France, Angélique se serait donc assagie. La véritable version ? Une sombre discussion surprise aux détours d’un couloir entre madame de Chevreuse et un sombre personnage. Alors que la jeune comtesse se promenait seule dans un parc peu fréquenté elle surpris dans le soleil couchant des éclats de voix, des rires étouffés. Piquée par sa curiosité Angélique se pressa alors pour se rapprocher le plus possible des personnages. Elle ne put voir de son poste d’observation qu’une femme qu’elle connaissait bien et un homme au visage masqué par une longue cape. La femme qui chuchotait si fort, avec tant de mouvements de main et cet éclat malsain dans le regard n’était autre que Marie-Louise de Chevreuse. Connue pour ses pensées peu appréciées, la comtesse fut également vue à maintes reprises rodant près des lieux de cultes des messes noires… De quoi parlaient ils ? Angélique en tremble encore. De complots, de poignards, de poisons, de pièges mortels, d’être Roi à la place du Roi… C’est la curiosité d’une jeune femme qui la mène ici. C’est pour éclaircir un mystère aussi épais qu’une journée de nuages qu’Angélique a quitté les routes pour s’installer à Versailles, la cité du Soleil.



Dernière édition par Angélique De Sancerre le 23.09.09 12:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime22.09.09 8:56

Et voilà ^^
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime22.09.09 17:24

Jolie fiche que j'ai surveillé mais tu ne respectes pas le modèle. Tu dois inclure tes liens dans ton histoire et il manque une partie.

Spoiler:
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime23.09.09 12:25

Voilà j'ai inclus mes derniers liens à mon histoire. Par contre pour ce qui est de la partie "que diable vous etes à Versailles" je l'ai remplie dans mon premier message. A moins que l'on attende autre chose.
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime01.10.09 7:43

J'aime beaucoup ta rédaction, c'est très plaisant à lire. Smile

Mais (ouais y'a un mais), le code du règlement est faux ! PIEGEE !!! Mouhahaha !!! Cool Twisted Evil Laughing

Au passage, ton avatar est... I love you
Mon frangin a décidément bon goût ! Razz

Concernant la remarque de Philippe, en fait, tu as séparé ta partie "Histoire" en plusieurs parties. C'est pour ça que ça donne l'impression que le modèle n'est pas respecté. ^^'
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime01.10.09 8:28

Pas bon ? Rah mais enfin... Celui ci est il le bon alors ? J'espère ^^
Merci merci, mais cette fille est vraiment magnifique.
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime02.10.09 7:41

Bon bah, si Monsieur n'y voit pas d'inconvénient, je valide avec plaisir ! Smile

(T'as vu frangin, j'ai validé, tu m'es redevable !!! Razz Razz Razz )

Bienvenue et bon jeu sur Au temps de Versailles, tu peux faire des demandes de rangs, de domiciles, répertorier tes sujets, etc..., flooder mais surtout faire du RP. Wink
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime02.10.09 7:44

Ah ça c'est une bonne nouvelle, je vais me mettre immédiatement à l'installation de la demoiselle. Il me tarde de déambuler dans le grand Versailles.
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime02.10.09 7:48

Oh il me tarde aussi de t'y voir te promener et d'attiser le coeur de mon frère. Laughing
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime02.10.09 7:57

Hihi, ouiil me tarde aussi Siffle Et de faire de grande balades en culotte d'homme sur mon fier étalon, et apprendre le combat d'épée, "et à boire comme un homme et à fumer comme un homme" (réplique de film "culte") fiou quel programme.
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MessageSujet: Re: Angélique de Sancerre [TERMINE]   Angélique de Sancerre [TERMINE] Icon_minitime

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