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 ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle

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MessageSujet: ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle    ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle  Icon_minitime04.08.15 15:51



   
Elodie de Froulay

   
(ASTRID BERGES-FRISBEY)

   

   ♔ 21 ans ♔ Mousquetaire/Mademoiselle de Froulay ♔
Française, de la branche cadette de la famille de Froulay
♔ Célibataire ♔ Catholique ♔ Hétérosexuelle ♔ Mousquetaires ♔
   

   
(Je suis venu(e) à Paris avec quatre écus dans ma poche, et je me serais battu(e) avec quiconque m'aurait dit que je n'étais pas en état d'acheter le Louvre)

   

   
Quelques questions de protocole ...  


   
♔ ÊTES PLUTÔT PARIS OU VERSAILLES ?

 En dix lignes minimum, exprimez ce que votre personnage pense des deux villes, celle qu'il préfères. Ses illusions avant son arrivée, comment il perçoit cet environnement, ce qu'il aime, le dégoûte. S'il n'a jamais mis les pieds à Versailles, inscrivez ses attentes, ses rêves. A Paris, dites où il aime aller, ses habitudes ...

   
♔ CROYEZ VOUS AU COMPLOT ?

   En cinq lignes minimum, dites si votre personnage croit ou non à la théorie du complot. Si oui, expliquez s'il a été impliqué de près ou de loin et si c'est un espion (peu importe le camp), parlez de sa mission et de son engouement pour celle-ci.

   
♔ VOUS SENTEZ VOUS PLUS COMME UNE DOUCE COLOMBE OU UNE GROSSE VIPÈRE ?

   En trois lignes minimum, parlez des ragots que votre personnage a pu entendre, s'il y participe, les rapporte et en crée, ou bien s'ils les répugnent mais en connaît quand même sur l'entourage.

   
♔ QU'AVEZ VOUS A DIRE SUR LA GUERRE ?

   En cinq lignes minimum, racontez où était votre personnage durant la guerre franco-lorraine. S'il était sur le front,  l'arrière, resté à Versailles ... et qu'y a t'il fait. Tout le monde fut concerné par la guerre (parent au front, morts, annonces dans Paris et ailleurs ...) et a tout de même eut un impact.

   
♔ QUELS SONT VOS LOISIRS ? AVEZ VOUS UN BUT PRÉCIS ?

   Sans minimum de lignes, vous rédigerez les loisirs de votre personnage, pourquoi pas ce qu'il aimerait faire. De préférence en liste mais la forme est libre.

   
   

   
Derrière le masque ...
♔ Prénom/Pseudo ♔ Âge ♔ Présence sur le forum
   Code du règlement ♔ Comment avez vous connu le forum ? ♔ Quelque chose à dire ?

       


Dernière édition par Elodie de Froulay le 15.08.15 16:54, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle    ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle  Icon_minitime04.08.15 15:51



Mémoires du Grand Siècle


PROLOGUE

Il était une fois, sur les terres de Mayenne, en Pays de Loire du Royaume de France, une petite fille qui naquit, à la joie de ses parents et de son frère aîné, dans le vaste et imposant château de Montflaux.

Tous ceux qui prenaient la route de Carelles depuis Laval en direction de Saint-Denis de Gastines, ne manquaient jamais une occasion de contempler, non sans quelque envie, cet ancien manoir et logis battit à l'antique, entouré de douves au dessus desquelles un pont-levis permettait d'entrer dans la cour d'honneur. Labyrinthe, orangerie et bosquets constituaient les extérieurs, cependant qu'au centre s'élevait une jolie chapelle où l'on disait la messe ainsi que les fêtes pour les habitants des environs, toujours nombreux à venir saluer la seigneurie. Outre les deux ailes peu profondes, deux pavillons sous toits distincts garnissaient les angles intérieurs, et un pavillon en avant-corps se terminait en un toit pointu muni d'une horloge. Au-dessus des fenêtres des deux étages s’ouvraient dans le toit des lucarnes alternant avec des œils-de-bœuf, tous donnant sur le clairet ruisseau affluent de celui de la Tête de Louvrine.

Traditionnelle résidence de la puissante famille de Froulay, dont les origines remontaient au XIIème siècle, le château avait quelques années auparavant été délaissé au profit de celui de Vernie, dans le Haut-Maine, acquis suite au mariage célébré en grande pompe entre le comte André de Froulay et la belle Thomasse de la Ferrière, fille du baron de Vernie. Voulant faire honneur à son épouse, autrement accoutumée à des paysages moins broussailleux, André avait décidé de laisser aux bonnes grâces de son frère cadet, René de Froulay, la charge du château de Montflaux. On eut pu croire que dans ce geste un rien dédaigneux, René y ait vue une énième façon de traiter différemment les branches principales et cadette de cette famille qui, si elle n'était pas de grande renommée à Paris, jouissait de ce prestige que seules peuvent connaitre les vieilles noblesses de province. Mais pour René, le calme de Montflaux ainsi que le plaisir particulier de vivre sur les terres ancestrales de sa famille, valait tous les baronnas du monde. Il savait qu'en second né, il ne contribuerait guère à la vaste conquête des terres voisines, principale source de richesse des Froulay qui, depuis quelques décennies, avaient fait des mariages prestigieux leur Saint Graal de l'ascension mondaine. De tout plus enclin à faire fructifier les terres primaires de son ancêtre Jean de Froulay, René s'était attaché à faire des miettes de son ainé un havre de paix et de prospérité. Aussi, c'est non sans une joie libératrice qu'il y avait installé sa gracieuse épouse Marie, la jolie dame de Raveton rencontrée un soir dans les salons champêtres de son autre parent, le vieux Gilles de Brées. Unis par amour véritable, ils y élevaient leurs deux enfants : François, et Elodie.

Et la petite fille de ce château, cette Elodie, petite dernière d'une branche quelque peu malmenée par le reste de la famille de Froulay, qui connaissait chaque recoin de ce château de Montflaux, et qui n'avait comme idée du bonheur absolu que ce que le cocon familial lui en représentait, c'était moi.


CHAPITRE I

Les années passèrent, et sous une chevelure brune perpétuellement emmêlée, le minois de souri constellé de tâches de rousseur, la petite fille grandit.

On ne pouvait imaginer enfance plus heureuse. Dans l'ombre rassurante des murs de Montflaux, éloignée du tumulte de la Cour et des aléas politiques qui secouaient le Royaume, la vie calme et paisible en pleine campagne était tout ce dont j'avais besoin. L'air pur et le vent emprunt de l'odeur des champs me donnaient une liberté telle, qu'elle avait cela de dangereux qu'elle pouvait facilement monter à la tête. Ainsi, et d'aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais vraiment été une fille comme les autres : je détestais le point de croix, les corsets me faisaient horreur, et de façon générale, je fuyais tout ce qui s'apparentait de près ou de loin à un salon. Au contraire, j'avais la parole facile, disais toujours ce que je pensais, et n'hésitais pas à questionner convenances et traditions. Tolérée, amusant les miens, ma hardiesse n'a jamais véritablement été punie. En revanche, il y avait toujours quelqu'un pour me rappeler que je n'étais pas de ces créatures de contes de fées, vivant pieds nus dans les bois sans souci du lendemain. J'avais beau être la petite dernière, à laquelle on ne refuse rien et pour qui tout est permis, il venait toujours le temps où je me devais d'être Mademoiselle de Froulay, fille des seigneurs de Montflaux mais surtout, nièce du comte de Froulay. Et pour aller à Vernie, il fallait me trainer par mes boucles fraichement faites pour l'occasion, et tenir à l'abri de toute issue mes mains tandis que le petit carrosse familial nous y emmenait.

Dieu sait que j'ai essayé d'être ce que l'on attendait de moi, quitte à enfoncer bien profondément mes ongles rongés dans mes paumes pour me retenir de ne pas hurler. Mais chassez le naturel, il revient au galop ; et quand j'avais le malheur de dire une parole de travers, ou de faire un geste déplacé, le regard supérieur et narquois de mon oncle André me glaçait le sang. J'aurais très certainement pu m'assagir avec le temps et les visites à Vernie, d'autant plus que mon père ne manquait jamais une occasion, ne serait-ce qu'en riant, de me parler de mon futur mariage, de ma future douzaine d'enfants, et des futures mondanités parisiennes auxquelles j'aurais peut-être le privilège d'assister si par chance, mon futur époux était de noblesse d'épée. Mais même à Vernie, petite réplique de la vie que j'imaginais être celle des courtisans de Versailles, il y avait ce petit quelque chose qui me laissait à penser que peut-être, une autre voie était possible. Car à en juger par les sourires complices et autres clins d’œil de ma tante Thomasse, qui avait pour habitude de prendre ma défense avec cet aplomb que seul donne un titre, ma différence n'était pas tant contre nature que cela.

Mais surtout, il y avait François. Personne ne pouvait rêver meilleur frère, meilleur compagnon de jeu, meilleur confident. Mes premiers souvenirs d'enfance, ce sont ses mains prenant fermement les miennes dans nos courses à travers champs, ou lors des danses paysannes données au château. Il me connaissait par cœur, et il avait longtemps avant les autres deviné que je serai tout, sauf une demoiselle ben comme il faut. Mes parents, trop souvent confrontés aux nouvelles de quelques querelles fratricides, ne cherchèrent pas à nous séparer ; le plus beau cadeau qu'ils m'aient fait, mais certainement la plus grande de leur erreur à mon égard. Car si malgré une éducation libre, mon chemin de jeune châtelaine était tout tracé, et m'éloignait inévitablement de François qui lui, se destinait à la vie de soldat. Il fallait dire qu'il en avait le courage et le talent ; et parce qu'à un ainé, par plus encore à un garçon, on estime dû les moyens employés à ses désirs, il ne fut pas lésiné sur son apprentissage des armes. J'avoue que j'en était jalouse, et que malgré la joie de le voir pouvoir réaliser ses rêves, je mourrai d'envie d'être à sa place. D'abord parce qu'il me paraissait injuste qu'un homme puisse faire tout ce qu'il était interdit à une femme. Et puis après, parce qu'il me fit découvrir son art. Aussi, s'il m'arrivait de me coller contre la fenêtrer et observer ses leçon d'escrime, il n'était pas rare qu'il s'entraina directement avec moi. Je me souviens encore de la première fois où il mit un bâton entre mes mains, m’initiant au maniement du fleuret avec de merveilleuses expressions comme "ouvrir la garde" ou "partir en septime" qui très vite, eurent pour moi la beauté que l'on donne généralement à la poésie. Des nuits entières, je restais éveillée au pied de mon lit, contemplant les lames accrochées au blason familial, dont le reflet me renvoyait l'image d'une silhouette fluette et agile, et dont seule la chevelure trahissait la féminité. Avec quelque prouesses de coiffe, et un habit de garçon, qui pourrait bien voir la différence ? Pouvait-on dès lors s'étonner que dès ma tendre enfance, je rêvais à une autre vie ? Une vie de duels, de dangers, de sacrifices, de prouesses ? En somme, une vie de légende.

C'est ainsi, dans l'insouciante bienveillance parentale, et avec les entrainements involontaires d'un frère toujours présent, qu'Elodie fit le vœu secret qu'un jour, elle aussi aurait pour vocation de manier l'épée.


CHAPITRE II

uc
   
   


Dernière édition par Elodie de Froulay le 16.08.15 17:02, édité 15 fois
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Philippe d'Orléans


Philippe d'Orléans

« s i . v e r s a i l l e s »
Côté Coeur: Il a été brisé, piétiné et maintenant celui qui était à mes côtés est devenu mon ennemi. Quelle cruelle destinée !
Côté Lit: Le lit de mon palais est si confortable et accueillant !
Discours royal:



ADMIN TRAVESTIE
Monsieur fait très Madame

Âge : 27 ans
Titre : Prince de France, Monsieur le frère du Roi, Duc d'Orléans, de Chartres, d'Anjou, seigneur de Montargis
Missives : 10014
Date d'inscription : 03/01/2007


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MessageSujet: Re: ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle    ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle  Icon_minitime04.08.15 23:09

Bienvenue à toi Elodie **

Très bon choix de PV, tu vas faire des heureux parmi tes liens Green D'ailleurs n'hésite pas à aller lire leurs fiches ou les contacter, notamment les joueurs de Cédric et Philippe qui sont des liens rajoutés d'il y a peu Very Happy

Ne t'en fais pas si personne te souhaite la bienvenue, on préfère attendre la validation, juste une histoire de gestion rpgique, que les message des admins ne se perdent pas dans la masse Clin d'Oeil Si tu as des questions, n'hésite surtout pas !

A très vite j'espère Very Happy
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MessageSujet: Re: ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle    ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle  Icon_minitime05.08.15 9:38

Merci beaucoup pour cet accueil, Philippe **
Le personnage fait tellement Alexandre Dumas que je ne pouvais pas résister Bave Et puis, quand un personnage RP a le même prénom que moi, je me sens tout de suite visée de toute façon :guh:

Et pour ce qui est de contacter mes liens présents sur le forum, je comptais le faire de toute façon Clin d'Oeil

Elo Green
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Philippe d'Orléans


Philippe d'Orléans

« s i . v e r s a i l l e s »
Côté Coeur: Il a été brisé, piétiné et maintenant celui qui était à mes côtés est devenu mon ennemi. Quelle cruelle destinée !
Côté Lit: Le lit de mon palais est si confortable et accueillant !
Discours royal:



ADMIN TRAVESTIE
Monsieur fait très Madame

Âge : 27 ans
Titre : Prince de France, Monsieur le frère du Roi, Duc d'Orléans, de Chartres, d'Anjou, seigneur de Montargis
Missives : 10014
Date d'inscription : 03/01/2007


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MessageSujet: Re: ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle    ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle  Icon_minitime08.09.15 22:26

Bonsoir Very Happy

Ca fait quelques temps que tu as posté ta fiche, comptes tu la finir ? sunny
Le début est prometteur en tout cas **

Sans nouvelles de ta part, nous devrons malheureusement supprimer ton compte. Mais si tu as besoin d'un délai, n'hésite pas !

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MessageSujet: Re: ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle    ELODIE DE FROULAY ◊ une pour tous, tous pour elle  Icon_minitime

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