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 ♦ Henry Stuart ♦ insaisissable anglais

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Morgan Stuart


Morgan Stuart

« s i . v e r s a i l l e s »
Côté Coeur: Cela peut vous paraître étrange mais j'en ai un. Il est bien caché, je le réserve à qui m'aimera vraiment. Et pour mes enfants.
Côté Lit: Vous voulez une liste ? Ce sera même un recueil !
Discours royal:



ϟ TURN OUT THE LIGHT ϟ
show me your dark side

Âge : 30 ans
Titre : Duc de Richmond, de Lennox, de Gloucester, Comte de March, cousin de Charles II d'Angleterre
Missives : 720
Date d'inscription : 15/02/2012


♦ Henry Stuart ♦ insaisissable anglais  Empty
MessageSujet: ♦ Henry Stuart ♦ insaisissable anglais    ♦ Henry Stuart ♦ insaisissable anglais  Icon_minitime09.09.12 23:00


Henry Stuart


(Kit Harrington)


Libre Réservé Pris


► 26 ans
► Comte de Cambridge
► Anglais
► Veuf
► Protestant
► Hétérosexuel ou bisexuel
► Noblesse étrangère (groupe)

♦ MAIS QUI ÊTES VOUS ? ♦
Henry est le fils d'Eleonor du Portugal et de Robert Stuart (frère du roi Charles Ie d'Angleterre) et a comme aînés ses frères Andrew et et Morgan, ainsi que Catherine, qui ont respectivement 8, 4 et 2 ans à sa naissance, s'en suivra Mary deux ans après lui. Né aux débuts des troubles en Angleterre, sa famille tente de le protéger mais lui ne se rend compte de rien, il passe son temps à jouer avec son cousin et homonyme Henry, duc de Gloucester, qui a le même âge.

Mais en 1646, alors que la famille Stuart fuit la révolution, quatre d'entre eux sont capturés : sa sœur Catherine, sa cousine Élisabeth, son cousin Henry et lui. Les quatre enfants sont enfermés à la tour blanche de la Tour de Londres et sont sous haute surveillance. De cet enfermement qui durera six ans, Henry en gardera un très mauvais souvenir puisqu'il ne supportera ensuite d'être enfermé ou être dans le noir. L'air humide de la tour lui donneront une santé fragile. De la Tour de Londres, les quatre enfants partirent pour Syon House, en campagne londonienne, plus agréable à vivre. Le caractère du jeune Henry se construit, agité et rebelle, n'aimant pas l'autorité de ses geôliers. Cela ne l'empêchait pas de recevoir une éducation digne d'un prince, de se passionner pour la géographie et l'histoire et de recevoir une éducation religieuse protestante, loin du catholicisme de certains membres de la famille. C'est à cette époque qu'Henry garde rancune contre son père et son frère Morgan : ils sont venus en 1649 en Angleterre mais n'ont pu faire libérer Henry. Puis après l’exécution de Charles Ie, il dut partir avec les 3 autres au château de Carisbrooke. Sa cousine y mourut en 1650, laissant un profond vide dans la vie d'Henry qui adorait Élisabeth qu'il considérait aussi comme sa sœur.

En 1652, on les relâcha enfin et ils partirent pour Paris, là où se trouvait la Cour en exil. Toute la famille royale anglaise habitait donc au château de Saint-Germain en Laye. Henry tente de reprendre un semblant de vie normale, à profiter des activité en extérieur, de prendre toujours des risques dans ses jeux. Sa mère s'en inquiétait, tout comme sa tante Henriette-Marie, toutes deux ferventes catholiques car la conversion au protestantisme d'Henry fit un grand scandale dans la maison, tout comme celle de Catherine. Si Andrew, Morgan et Jacques d'York, leur cousin, tentaient de tempérer la situation, rien n'y faisait, Eleonor faisait une crise de savoir son fils dans « les bras de Satan » comme elle le disait. Henry trouvait un peu de réconfort grâce à Morgan et Jacques, les seuls à qui il pouvait parler sans se faire houspiller. Mieux, ces derniers tentaient de satisfaire ses caprices en lui trouvant des livres de sciences ou à l'emmener à la chasse au gros gibier alors qu'il était encore bien jeune. Les années françaises furent les meilleures pour Henry qui retrouvaient un équilibre après des années d'enfermement.

Quand la Cour anglaise partit pour Cologne puis Bruges, Henry resta avec son homonyme cousin et Jacques, les deux s'étant engagé dans l'armée française sous les ordres de Turenne. Henry tenta et puis jeta l'éponge, il ne supportait définitivement pas les ordres qu'on lui imposait, bien qu'excellent épéiste, préférant s'enfermer à lire ou mettre en place des expériences. Pire, quand en 1658, Charles II demanda aux trois anglais de venir à Bruges combattre de son côté, Henry prit une autre direction. Il embarqua sur un navire et prit la mer en tant que moussaillon, il avait alors dix-huit ans. Il avait rejoint les colonies français et, loin de tout ordre et surtout de sa famille, Henry pouvait enfin se construire comme il l'entendait. Ces deux années là, le jeune homme vivait à deux vitesses : tantôt heureux de vive, euphorique, tantôt des cauchemars, des crises d'angoisse et faisant preuve de grande violence lors de ses colères.

En 1660, l'Angleterre revenait sous la coupe des Stuarts et Henry rentra au pays, un peu à reculons mais il y retrouva son cousin Henry et le reste de sa famille. Mais à la fin 1660, son cousin et frère de cœur mourut de la variole. Inconsolable, il resta dans un long mutisme durant plusieurs mois. Il est peut être le seul à avoir un regard objectif sur la famille : Henry ne comprenait pas pourquoi il fallait garder son frère aîné Andrew, gravement handicapé depuis 1659, enfermé et que tout le monde le croit mort, il s'indigna fortement du mariage de Morgan avec une femme vénale de petite noblesse. Pourtant, le jeune homme n'était pas vraiment mieux, il entretenait une maîtresse, une comédienne anglaise à la réputation sulfureuse.

Charles II, son cousin, décida de l'envoyer dans les colonies anglaises en guise de gouverneur pour qu'Henry puisse prendre un peu l'air. C'est là-bas (au choix : Caraïbes ou Inde) qu'il se maria à une femme avec qui il avait eu deux enfants avant qu'elle ne meurt d'une mauvaise fièvre. Pour tenter de s'occuper, Henry passait son temps à la chasse, dans ses expériences avant de se décider à revenir à Londres où il se décida à écrire une histoire sur les Stuarts mais aussi des récits de voyage, de ce qu'il avait vu, ou qu'on lui avait raconté.

Toujours aussi agité à 24 ans, Henry passait son temps à la chasse ou toute activité visant à l'occuper. Il avait commencé à écrire une histoire sur les Stuarts mais aussi des récits de voyage, de ce qu'il avait vu, ou qu'on lui avait raconté avant de suivre son frère Morgan en France, ce dernier partait à la recherche de son épouse. La cohabitation n'est pas chose facile, les deux frères ont leurs caractères mais surtout ont leurs défauts. Henry ne supporte pas de voir son aîné s'étourdir sous l'alcool et Morgan est pris de panique dés que son frère fait des cauchemars ou pique une colère. La guerre les divise davantage : Morgan doit partir puisqu'il est militaire et est un fervent patriote mais Henry refuse de faire la guerre ni de quitter la France. Mais l'aîné eut gain de cause, emmenant de force son jeune frère à Nancy. Autant dire que ça ne plait pas du tout au jeune homme qui rejette sa colère sur son frère et parfois sur son entourage. Et si, finalement la Lorraine l'aidait à se calmer ? Et si, pour se canaliser, il prenait les armes, sur terre ou sur mer ? Il serait peut être temps de mettre ses rancœurs de côté et de grandir ...


♦ ET QUI CONNAISSEZ VOUS ? ♦
♦ Morgan of Richmond
grand frère chaotique
Même s'ils se considèrent comme totalement différents, les deux Stuarts sont bien plus similaires qu'ils ne le pensent : brisés à l'intérieur, doté d'une grande fierté et cherchant à évacuer par les moyens du bord (la colère pour Henry, la boisson pour Morgan). Pourtant leur relation est à couteaux tirés. Morgan tente de jouer les grands frères, voire même le père de substitution mais étouffe un peu son cadet qui en a assez qu'on le prenne pour un gamin, et les rancœurs du passé n'aident pas Henry à vouloir discuter avec son frère. Alors souvent cela éclate en disputes : Henry lui reproche souvent de l'avoir abandonné, de n'avoir jamais tenter de lui porter secours lorsqu'il était capturé par les partisans de Cromwell. Morgan a eu beau lui expliquer l'histoire, son cadet ne veut rien entendre et Morgan est devenu un peu la cause de tous les maux du jeune homme. Trop instable, Morgan cache ses armes et tout ce qu'il pourrait tenter Henry de faire une bêtise, tente toujours de le rattraper, le recadrer mais il le fait bien mal. Heureusement qu'il y a des bons jours où les deux arrivent à tenir une banale discussion, à s'entendre l'espace de quelques heures. Morgan tient à sa famille et voudrait tellement aider son petit frère mais ce dernier ne le laisse pas s'approcher et cela décourage Richmond qui se sent impuissant face à la situation. Il espère tellement aider Henry ...
♦ Éléonore Sobieska
source de quiproquo
En 1652, quand Henry est revenu à Saint-Germain, il était d'un côté couvé par Morgan qui s'en voulait et rejeté par sa mère à cause d'un différent religieux. La seule personne qui ne le jugeait pas et le traitait normalement était Eléonore, cette polonaise de 16 ans qu'il adorait et suivait partout, Henry entrait dans ses jeux et allait à la chasse avec elle, il devenait joyeux en sa présence, ses maux s'apaisaient. Alors quand elle est partie comme une voleuse l'année d'après, Henry s'est senti trahi et lui en a voulu. Quand Éléonore est revenue secrètement quelques mois plus tard, il a assisté, caché dans un coin, à l'entretien entre son cousin Jacques et Éléonore enceinte, n'entendant que des bouts de conversation qui l'amenèrent à penser qu'ils étaient amants, alors que la jeune femme vivait une idylle avec son frère Andrew. Elle trahissait donc la famille Stuart qui l'avait si gentiment accueilli ! Henry fit une crise terrible, menaçant de tout avouer à Andrew (sur la liaison, fausse bien entendue) alors que Jacques et Morgan lui supplièrent de se taire (croyant qu'il parlait de la grossesse d’Éléonore). Il n'a jamais voulu entendre reparler d'elle depuis. Alors la revoir à Versailles lui fait à nouveau la détester, sans savoir que c'est un énorme quiproquo ! Que se passera t'il quand l'abcès sera crevé en Lorraine ?
♦ Alfie of Surrey
ami qui veut du bien
A la base, ce n'était qu'une mission pour qu'Alfie s'éloigne du camp. Morgan lui avait demandé de monter sur Nancy prendre des nouvelles d'Henry, qui ne répondait pas aux missives de son frère. De ce qu'il avait entendu du cadet Stuart, Alfie eut peur de tomber sur un dépressif colérique et qu'il finirait mort dans l'heure. Mais loin de tout préjugé, Alfie découvrit un garçon attachant et écorché vif, qui avait besoin qu'on s'occupe de lui, qu'on ne le juge pas et qui avait besoin de s'amuser. Alfie n'était pas le mieux placé pour remonter le moral des autres mais tenta de faire sortir Henry dans Nancy. Ce fut assez catastrophique : ils tombèrent dans un endroit malfamé et durent courir pour fuir leurs assaillants. Si Alfie prit cette sortie pour un échec, Henry le remercia, il ne s'était pas autant amusé depuis longtemps. Content d'avoir réussi quelque chose, Alfie se mit en tête d'aider vraiment son nouvel ami, à la fois pour le sortir de son mal-être et pour prouver à Morgan qu'il n'est pas idiot !
♦ Helle de Sola
psy à ses heures perdues
Lorsqu’Henry s’est lancé dans l’écriture de l’histoire de sa famille et de ses voyages, il s’est vite rendu compte qu’un peu d’aide ne serait pas de refus. C’est donc naturellement qu’en entendant parler de cette femme de lettres danoise, il s’est tourné vers Helle de Sola. La baronne, très enthousiasmée par le projet, a aussitôt accepté de lui prêter main forte. Curieusement, Henry s’entendit bien avec la jeune femme qui semble toujours prête à écouter ce qu’il a à dire. Lui qui n’a jamais eu l’occasion de parler de son histoire ou de ses problèmes ouvre enfin son cœur à une autre personne… Et ce constat le soulage autant qu’il l’effraie. Effrayé par la possibilité qu’Helle ne l’écoute que pour s’inspirer de lui pour ses propres histoires, il lui arrive de faire des crises de paranoïa ou de s’emporter contre elle. Heureusement, Helle a conscience des difficultés de son nouvel ami et de son instabilité et parvient toujours à lui prouver qu’elle ne cherche qu’à l’aider… Mais pour combien de temps






Dernière édition par Morgan of Richmond le 11.10.12 23:45, édité 2 fois
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Morgan Stuart

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Côté Lit: Vous voulez une liste ? Ce sera même un recueil !
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Date d'inscription : 15/02/2012


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MessageSujet: Re: ♦ Henry Stuart ♦ insaisissable anglais    ♦ Henry Stuart ♦ insaisissable anglais  Icon_minitime09.09.12 23:03


Allez, peuplons le forum de Stuart Razz
Ce petit bonhomme est définitivement le mouton noir de la famille et comme il est inspiré de la vraie vie des Stuart (même si la branche de Robert Stuart est le pur fruit de mon imagination), il serait vraiment intéressant à jouer. C'est mon petit frère et promis, je le martyriserais pas trop **

Si vous avez des questions, n'hésitez pas à les poser. Et si vous le prenez, je vous aime Razz

Quant aux schizos qui veulent des liens, MP et MSN sont nos amis What a Face



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