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 Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C]

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MessageSujet: Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C]   Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C] Icon_minitime18.04.12 14:31





Françoise


d'Aubigné




(Jennifer Love Hewitt)




«Toute l’invention consiste à faire quelque chose de rien»

    ► Âge : 31 ans
    ► Titre (ou profession) : Dame d'Aubigné
    ► Origines : française
    ► Situation maritale : veuve et fiancée (dans l'ordre, s'il vous plait)
    ► Religion : sujet qui fâche.
    ► Orientation sexuelle : hétérosexuelle



♕ PROTOCOLE ♕
VERSAILLES : PARADIS OU ENFER ?

Ni l’un, ni l’autre. C’est un univers particulier avec ses lumières et ses secrets les plus intimes. Qui n’y est pas préparé se risque à quelques moqueries dès le moindre faux pas. Il faut de la rigueur et de l’aisance pour se faire sa place parmi la société versaillaise. Ma place auprès de mon défunt mari ne m'a pas permis d'y entrer hélas. Cela ne m'empêche pas d'en connaitre les us et coutumes et d'avoir quelques connaissances qui y ont leur entrée. Parfois, je rêve de parcourir de mes petits pieds la galerie des glaces, ou les grands jardins. alors je me contente pour le moment de vivre par procuration, écoutant avec délice lorsque mes compagnons me parlent de ce lieu magique d'apparence. Il est bien entendu que je ne souhaite pas faire partie de ses gens qui y font des messes basses, mais pour le plaisir des yeux seulement. Je suis consciente que mon mariage avec Ferdinand d'Anglerays me ferait entrer dans la haute sphère française. Pour le moment, je parcoure les salons de quelques-unes des grandes familles aristocratiques, remerciant mes bienfaitrices de ne pas m'en éloigner, malgré ma pauvreté.

COMPLOT : VÉRITÉ OU FANTASME PUR ?

Comment ne pas y croire ? Quand on a une place si élevé, si proche de Dieu comme notre roi, il est impossible qu’on ne risque pas sa vie. Des hommes aux cœurs mauvais ont toujours quelque chose à dire, ou à redire, les langues de vipères sévissent partout, et surtout ici. En même temps, s’il existe ce complot, le roi doit avoir les moyens de s’en protéger, j’en suis persuadée, et je l’espère de tout cœur. Et même s’il est difficile d’y croire avec ce que je viens de vous dire, j’ai une révélation à faire : j’ai bel et bien connaissance d’une ou deux personnes qui agissent dans l’ombre. En dehors de leurs idéaux, je ne les juge pas, car ils ont tous quelque chose de caché au fond du cœur qui les pousse à agir ainsi. Moi, si sensible à autrui, comment pourrais-je renier quelqu’un que j’aime pour ses idéaux ? Ne me demandez rien de plus à ce sujet, je risquerais de faire un malaise.

COLOMBE OU VIPÈRE ?

-Savez-vous qu’aujourd’hui Monsieur le comte de …..
Mes yeux ne regardent plus l’interlocutrice, mes lèvres se pincent, d’un air qui prouve que ce genre de sujet m’horripile profondément tout en ayant une oreille attentive à ce que l’on me confie. Je n’ai certes pas cette capacité monstrueuse à colporter des ragots, pourtant, ma nature curieuse m’empêche de me détourner totalement des sujets de la Cour. Il s’agit en fait d’un moyen plus ou moins bien efficace de trouver des âmes à sauver ou de savoir quelle personne fréquenter ou non. Alors oui, je n’aime pas, mais c’est un besoin. Peut-être est-ce de l’autojustification, mais peu importe. Cependant, depuis quelques mois, je m’intéresse de plus en plus à ce que l’on dit sur Ferdinand d’Anglerays, dont l’esprit m’est totalement fermé, puisque énigmatique. Parfois, les lèvres me brûlent de les poser, sans jamais oser. Qui est-il réellement ? A quoi s’intéresse-t-il ? De quoi parle-t-il ? Quelles sont ses passions ? Que cache-t-il ? Tant de questions sans réponses, réponses que j’aimerais avoir avant de mettre ne serait-ce qu’un pied dans son univers.


DES LOISIRS, DES ENVIES A CONFIER ?

# J’ai un large panel de connaissances littéraires que j’ai acquis grâce au salon de mon mari, qui aujourd’hui me vaut ma culture et mon bagou. Car sans vouloir trop le montrer, je possède des qualités orales et de rhétorique digne d’une grande dame, du moins, il me semble. J’aime apprendre et dialoguer, mais ce qui me passionne encore plus, ce sont les discussions enjouées et profondes que j’entretiens avec mon ami Jean Racine.

# Depuis quelques temps, ce génie du théâtre m’apprend l’art de la comédie, chose que j’ai énormément de mal à assimiler, étant trop peu sûre de moi-même et ayant une peur injustifiée de la foule. C’est avec beaucoup de patience, de sérieux et parfois de sourires que j’avance dans ce sens, simplement pour lui faire plaisir, n’ayant pour le moment pas l’intention de monter sur scène. C’est un passe temps agréable dont je ne me passerais aucunement. J’aimerais aussi que Jean soit fier de moi.

# Ce que j’aimerais faire… Oser demander directement à mon fiancé qui il est, ou plus subtilement, lui poser des questions sur lui ; mais cela lui mettrait la puce à l’oreille. Je ne veux pas qu’il croit que je m’intéresse à lui, même si c’est le cas. Alors je me contente d’observer et d’écouter ce que l’on dit de lui, sans pour autant y croire, je veux me faire ma propre opinion.

# Observer et écouter, voilà deux choses que je fais souvent. On me dit dans les nuages ou timide, mais ce n’est absolument pas le cas, j’analyse, je tente de me souvenir de tout ce qui m’entoure. C’est aussi un excellent moyen pour comprendre ce milieu si secret. De plus, on a confiance en une femme que l’on sait silencieuse plutôt qu’une vraie pie, cela encourage les confidences.


♕ HOP, RÉVÉRENCE ! ♕
► Prénom/pseudo : Dadou
► Âge : 21 ans
► Présence sur le forum : La fac, un royaume avec ses exigences... Je dirais, le plus souvent possible ^^
► Code du règlement : Longue vie au roi
► Comment avez vous connu le forum ? Idem que ma chère amie Elsa de Luxembourg, sur l'annuaire de forumactif.
► Suggestions ? Rien à redire ! J'ai été conquise par le thème de votre forum <3 (petites fautes par-ci par là, mais c'est presque invisible xD)







Dernière édition par Françoise d'Aubigné le 29.04.12 15:49, édité 16 fois
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MessageSujet: Re: Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C]   Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C] Icon_minitime18.04.12 15:55

Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C] 1710689894
BIOGRAPHIE

VERSAILLAISE

_________________________________________________

« Le temps d’une renaissance »


« A mon tendre Scarron, vous qui vouliez connaitre l’histoire de ma vie.

Père et Mère ne sont plus. Qui ici pourra juger ma vie, à part vous ? Je vous offre le loisir de méditer sur mon passé, mon présent et mon avenir si vous le désirez. Je ne suis pas là pour me plaindre, seulement pour raconter les faits, tels qu’ils ont été vécus ou perçus par mon entourage et par moi-même.

Il vous faut un début, n’est-ce pas ? Puisqu’il vous en faut un, commençons par le commencement. Ce sont des événements dont je me souviens plus, qui se trouvent au fond de ma mémoire, bien trop profondément enfouis pour ne serait-ce que vous citer une scène, une phrase, une sensation. C’est une période de noir absolu, et que je ne désire pas m'imaginer, car au fond, cela m’effraie plus qu’autre chose. Vous m’y obligez cher époux, cependant je ne vous cacherais rien, même des sujets dont je n’ai aucun souvenir.

Je suis née durant la nuit du 27 novembre 1635 dans la prison de Niort où Père et Mère vivaient. Je dis vivaient mais vous savez bien de quoi il s’agit en réalité. Père était encore dans sa chambre parait-il, il ne lui était pas possible d’en sortir sans véritable raison. Tout du moins, il n’insista pas suffisamment pour m’entendre pousser mon premier cri. On dut même le réveiller pour le prévenir de ma venue en ce monde. J’étais la plus délicieuse des créatures, aux joues rouges et aux yeux pleins de douceur. Je n’ai guère changé, n’est-il pas ? Sage au point que les sages-femmes se sont inquiétées que j’eusse une maladie infantile et que je périsse à quelques heures de ma première bouffée d’air. J’étais trop attendrissante pour que l’on me délaisse et on s’occupa de moi comme si j’étais le trésor de la demeure.

Vous connaissiez sûrement la réputation de Père et de Mère bien mieux que moi, aussi, leurs caractères ne vous ont-ils pas été tenus secrets. Les espérances des hommes sont parfois illusoires, mais rien ne les en détournent, jusqu’à leurs chutes. Ainsi, ils purent espérer quelques libertés et choisirent d’y gouter en Martinique. Il faut savoir qu’une péripétie comme celle-ci peut mettre en péril la vie de n’importe quel passager, il suffisait d’une tempête, d’un orage, et s’en était terminé de notre voyage colonial.

Mes quelques mois ne me permirent pas d’endurer ce périple. Je me suis éteinte, après une forte fièvre qui m’a endormi si profondément au point de ne plus pouvoir respirer. On prit soin de me mettre dans le pavillon du bateau, on a cousu le précieux tissu et on me porta jusqu’au rebord, cet endroit où l’écume frôle fortement le navire, le faisant balancer d’un côté et de l’autre, comme un enfant que l’on veut bercer, innocemment. A ce moment propice, le canon prêt à fêter mes funérailles, Mère d’un ton suppliant voulu revoir mon visage d’enfant. Elle se précipita vers mon faible corps, déchira le drapeau français et me vit, les yeux mi-clos, pleurant doucement ma destinée. Le sel qui flottait dans l’air collait mes fins cheveux à mon visage, et Mère m’embrassa comme si j’étais la seule chose qu’elle voulu aimer. Tous les membres de l’équipage en furent stupéfaits. C’était un miracle, un jour béni.
Je renaissais.»

Première partie d'une lettre adressée à Paul Scarron, retrouvée à la mort de celui-ci.

_________________________________________________

« Confessions »

Le salon n’était pas encore envahi de lettrés et de comédiens, pour la simple raison qu’il était encore trop tôt pour que les hôtes marquent leur présence par les sabots de leurs voitures. Je pris ma tasse de café et but une gorgée, tout en observant d’un regard succinct Monsieur Scarron lisant ses vers, la plume jamais loin de sa main droite. Il était trop loin pour que je sache quel était ce poème, mais je suis persuadée qu’il s’agit d’une nouvelle œuvre. Je baissai les yeux et manquai de soupirer.

" Votre invitation m’a ravie, mais vous êtes aussi silencieuse que votre mari. Voulez-vous enfin parler ?"

Je m’excusai avec telle une ferveur et telle une sensibilité de mon impolitesse et de mon comportement, que cela fit sourire ma tendre amie Marie d’Assérac. Je posai ma tasse, lissai ma robe par simple automatisme et osai enfin la regarder dans les yeux.

" Je vous en prie, vous pouvez vous confier à moi. Vous m’inquiétez grandement ", reprit-elle en un murmure.

Je lui souris de mon mieux et, me penchant vers elle, je lui pris la main et répondis sur le même ton :

" Chère amie, j’ai suivi votre conseil de répondre à l’attente de mon époux. Je lui ai remis hier toutes mes lettres. "
" Vous lui avez enfin remis l’histoire de votre vie ? Lui qui voulait tant vous connaitre ! Il devait en être extrêmement ému. "
" Mais il connaissait mon histoire, je n’avais pas encore compris qu’il voulait que j’exprime mes sentiments à ce propos ! "

Tout dans le visage de mon amie trahissait sa contrariété.

" Vous ne pouvez me mentir, vous m’êtes trop chère pour le supporter. Dites-moi, vous aviez peur, n’est-ce pas ? "

Je fus si choquée qu’elle lise en moi avec une telle clarté et une telle aisance que je restai sans voix un moment.

" Mes doutes étaient fondées, il ne m’a pas adressé ni un regard, ni une parole depuis ce temps, " repris-je enfin.
" Laissez-lui un moment, il en a besoin. Vous aviez beaucoup de choses à dire, et maintenant qu’elles sont dites, votre relation est basée sur un pied d’égalité. Il connait dorénavant votre cœur, votre âme, et ce, si soudainement !"
" J’imagine la tempête qui inonde ses pensées depuis hier. Je lui ai révélé tant de choses… Mais je suis terrorisée à l’idée qu’il me juge. J’ai trop d’estime pour lui, trop d’amitié pour supporter ses critiques à mon égard. "
" Il y a tant de tendresse entre vous deux pour qu’une telle situation advienne. Gardez courage, je vous en prie. "

Ma main fut enveloppée de la sienne et nous restâmes un moment ainsi, imprégnées de nos confidences, un léger sourire aux lèvres. C’était la deuxième fois que je lui avouais mes peurs les plus secrètes et j’étais persuadée qu’elle comprenait sa place privilégiée parmi mes connaissances. Je plaçai une confiance aveugle en cette amie, qui parfois, avait dans ses yeux des doutes sûrement égaux aux miens. Un jour, parviendra-t-elle à exprimer ses pensées les plus profondes ? Comprendra-t-elle que notre relation est fondée sur la réciprocité ? Elle m’est très chère, et je tâcherai de le lui prouver.

" Que faites-vous donc toutes les deux ? Je ne vous pensais pas capables de messes basses. "

La voix érayée de mon mari nous sortie de cet atmosphère de confidence et je me levai dans sa direction, m’arrêtant à hauteur de son bureau.

" Vous savez bien qu’il n’est pas de notre habitude d’un tel comportement, cher époux, " dis-je d’une voix que je voulais assurée, ne parvenant qu’à aggraver mon appréhension.
" Oui… c’est exact. Qu’y a-t-il, Ma Dame ? Poser votre question. "
" Avez-vous… lu mes lettres, Monsieur ? "


Les yeux déjà sombres de Monsieur Scarron se noircirent encore d’avantage.

" Ce n’est pas un lieu pour une telle discussion. "

La rudesse de ses propos me laissa un gout amer. Je sentis une vague d’émotion me traverser de part en part et je fis un effort pour hocher la tête, me détournant pour ne plus le voir en colère. Pendant un instant, je pensai pouvoir atteindre le balcon pour me calmer, mais une main agrippa mon poignet et me fit me retourner.

" Pardonnez-moi… je n’aurais… "
" Monsieur. Monsieur Racine vient d’arriver, "
déclama-t-on à l’autre bout de la salle.
" Faites-le entrer enfin ! "

Puis, me lâchant, il me fit le plus beau des regards.

" Nous en reparlerons en temps voulu, mon enfant. "







Dernière édition par Françoise d'Aubigné le 12.05.12 11:20, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C]   Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C] Icon_minitime29.04.12 20:51

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BIOGRAPHIE

MARTINICAISE

_________________________________________________

D'une cinquantaine de lignes minimum, vous devez rédiger l'histoire de votre personnage. Le style est libre (histoire, forme RP, anecdote ...) mais vous devez y inclure vos origines, votre caractère, votre physique, vos liens et votre vie à Versailles si votre personnage y est installé. Vous êtes libre d'en faire plus bien entendu et de mettre en page comme bon vous semble. N'ayez pas tous une enfance malheureuse ou des rejetés de famille. Pas non plus d'histoire abracadabrantes. Parlez de votre enfance, adolescence, vie d'adulte suivant votre âge, vos amours, vos peines, vos joies, vos souvenirs ... Le choix est large.
Pour les prédéfinis veuillez insérer vos liens dans votre histoire !!!!


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MessageSujet: Re: Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C]   Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C] Icon_minitime29.04.12 21:56

Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C] 689601265
RETOUR

A PARIS

_________________________________________________


"La réadaptation ou la rééducation ?"


U.C


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MessageSujet: Re: Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C]   Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C] Icon_minitime29.04.12 22:24

Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C] 1618797066
LE SALON DE

PAUL SCARRON

_________________________________________________

D'une cinquantaine de lignes minimum, vous devez rédiger l'histoire de votre personnage. Le style est libre (histoire, forme RP, anecdote ...) mais vous devez y inclure vos origines, votre caractère, votre physique, vos liens et votre vie à Versailles si votre personnage y est installé. Vous êtes libre d'en faire plus bien entendu et de mettre en page comme bon vous semble. N'ayez pas tous une enfance malheureuse ou des rejetés de famille. Pas non plus d'histoire abracadabrantes. Parlez de votre enfance, adolescence, vie d'adulte suivant votre âge, vos amours, vos peines, vos joies, vos souvenirs ... Le choix est large.
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Philippe d'Orléans


Philippe d'Orléans

« s i . v e r s a i l l e s »
Côté Coeur: Il a été brisé, piétiné et maintenant celui qui était à mes côtés est devenu mon ennemi. Quelle cruelle destinée !
Côté Lit: Le lit de mon palais est si confortable et accueillant !
Discours royal:



ADMIN TRAVESTIE
Monsieur fait très Madame

Âge : 27 ans
Titre : Prince de France, Monsieur le frère du Roi, Duc d'Orléans, de Chartres, d'Anjou, seigneur de Montargis
Missives : 10014
Date d'inscription : 03/01/2007


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MessageSujet: Re: Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C]   Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C] Icon_minitime02.06.12 22:00

Bonjour,

Où en es-tu dans ta fiche ? Je viens aux nouvelles Clin d'Oeil
Si tu as besoin d'espace supplémentaire, j'enlèverais mon message Clin d'Oeil
A très vite, j'espère !
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MessageSujet: Re: Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C]   Françoise d'Aubigné, pauvre et alors ?[U.C] Icon_minitime

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