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 ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.

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♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.  Empty
MessageSujet: ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.    ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.  Icon_minitime27.03.11 18:13

Clara De Andalucia
_______ ft. Megan Fox
♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.  Sans_t33


    ► 29 ans
    ► Duchesse d'Andalousie
    ► Née à Braga, Portugal
    ► Veuve du duc d'Andalousie, en relation libre.


    « Il était une fois ... »

    ♣ Certaines histoires commencent comme dans les contes ... ♣
    Les plus belles histoires commencent bien souvent dans le malheur, l’adversité, et l’infortune. Ces contes dans lesquels l’héroïne n’avait rien pour elle, jusqu’au jour ou elle croise la route d’une personne qui change son destin, et termine princesse dans le plus beau des palais. Et si, au grand contraire, les pires histoires pouvaient commencer dans un halo de douceur, de bienfaisance, telle une caresse, avec une suavité non feinte ? C’est dans ce monde que commença la vie de Clara de Almeida, née dans une ville du nord du Portugal, dans une famille modeste et plutôt effacée dans le pays. Son père, un petit noble portugais sans grande prétention, la regarde grandir sans réellement y prêter grande attention. Lui, avait toujours désiré un fils, et avec Clara, son vœu ne fut hélas pas exaucé.

    La petite fille grandi donc avec une mère aimante, qui s’occupa d’elle au maximum qu’elle le pu pour combler le profond manque de la présence paternelle dont avait besoin l’enfant. Mystérieuse, calme, Clara est une enfant distante avec le monde l’entourant. Elle est instruite par d’excellents professeurs, et à 15 ans, elle est l’une des jeunes filles les plus cultivées de sa ville. Néanmoins, elle reste dans son monde, réfugiée dans ses livres pour oublier la souffrance que lui provoque le regard vidé d’amour de ce père qu’elle aurait tant voulu impressionner au moins une fois dans sa jeune vie. Elle ne parlait que très peu, et quand elle daignait s’adresser aux quelques personnes engagées par la famille De Almeida, chacune de ses phrases paraissaient tout droit sorties des plus beaux recueils de poème. Un carillon, sa voix plus claire que le cristal, et le tout accompagné d’un visage exquis. Cette petite fille avait tout pour elle, étant à la fois adorable et belle. Seulement, peu de personnes parvenaient à décrypter les pensées de Clara. Une jeune fille aussi grave dans son comportement que fragile. Mais personne ne prêtait réellement attention à cette fleur du Portugal, renforçant la carapace se formant autour d’elle depuis sa naissance. Mais tout cela changea lorsqu’elle eut dix-sept ans.

    Ce jour là, la famille entière était plongée dans l’allégresse, à l’idée d’ajouter une année à la fleur de la famille. Clara. Celle-ci, enfermée dans sa chambre, s’ennuyait profondément. Chaque année, c’était la même pièce de théâtre qui semblait se rejouer, la même comédie sans une once d’humour véritable. Tous les ans, tout le monde était heureux, sauf Clara. Car la jeune femme, elle, haïssait le jour de sa venue au monde. Elle maudissait ce jour funeste durant lequel elle avait vu le jour, car elle savait qu’elle était vouée à un destin de souffrance et de solitude. Alors, une fois vêtue de sa robe, étouffée dans ce corset inutile, et sa nourrice l’ayant quittée, la jeune fille à la silhouette gracieuse se leva et couru hors de sa demeure, sa chevelure noir ébène flottant au vent au fur et a mesure qu’elle s’enfonçait dans les arbres bordant l’endroit où sa famille résidait. Pendant que tout le monde paniquait, elle, se promenait, sans parler, sans sourire. Une poupée de porcelaine lassée de sa vie de château. Alors, elle croisa le chemin d’un envoyé espagnol s’étant égaré sur les routes portugaises. Ce dernier fut foudroyé par la beauté de Clara : Sa silhouette élancée et ses formes harmonieuses, sa chevelure longue et ondulée, d’une couleur sombre à en faire pâlir tous ceux de la cour, encadrant un visage doré et somptueux, souligné de deux grands yeux d’un bleu plus profond que les océans inexplorés. Frappé par tant de beauté en une seule personne, il demanda à la créature enchanteresse son nom. Elle entrouvrit ses lèvres roses et magnifiques, et sa voix raisonna comme la plus douce des mélodies. « Je me nomme Clara de Almeida, fille du conte de Almeida de Braga, monsieur. »

    Elle rougit légèrement à ses paroles, flattée que pour une fois un homme daigne porter un regard intéressé sur elle. Celui-ci, après lui avoir demandé sa route, s'empressa de retourner en Espagne pour répéter au duc d'Andalousie et même à tout son pays qu'il venait de croiser la plus délicieuse des femmes, en la personne de Clara de Almeida. Les mois s'écoulèrent sans que la jeune femme n'en sache rien. Elle s'était contentée de retourner chez elle, de supporter les cris de ses parents soi-disant "fous d'inquiétude" suite à son départ, et sa vie de femme transparente continua.

    « Mademoiselle, quelqu'un demande à vous rencontrer dans les jardins de la demeure. Votre père a autorisé cette rencontre, vous devez y aller dès maintenant. » Intriguée par les paroles de sa nourrice, Clara s'était levée, pour se précipiter vers les jardins de la résidence des Almeida. Un homme entouré d'autres se tenait là. Il se présenta comme le duc d'Andalousie, et apprit à la belle lusophone l'histoire circulant dans toute l'Espagne, disant qu'une femme superbe répondait à son doux nom. « Jeune Clara, de toute mon existence je n'ai jamais vu de femme comme vous. Je vous demande de me rejoindre dans mon immense demeure, et de devenir ainsi ma femme, duchesse d'Andalousie. » Les yeux brillants, le duc avait été droit au but. Il devait bien avoir la trentaine, si ce n'est plus, et, bien que touchée par l'intérêt qu'on lui portait en Espagne, elle hésita. Comment être sûre que c'était là la vie qui lui conviendrait, celle de duchesse? Mais à ce moment, Clara croisa le regard de son père. Un regard rempli d'espoir et elle cru y déceler de la fierté. A moins que ce ne soit simplement un espoir d'enfin savoir quoi faire de cette fille qu'il n'a jamais voulue, et de s'enrichir sur son dos. Alors, simplement d'un hochement de la tête suivi d'une révérence, elle accepta. Après tout, peu lui importait de devenir une duchesse, pour elle, son avenir n'aurait rien de glorieux, comme toujours.

    ♣ ... Et terminent comme la plus belle des tragicomédies. ♣

    Les choses s'enchaînèrent à une vitesse folle. Un mariage grandiose, et Clara fut précipitée en haut d'un piédestal, admirée par tous ceux l'entourant pour sa beauté et son air inaccessible. Le duc, fou amoureux de sa douce, ne cessait de l'exposer comme un trophée, sa plus grande réussite dans sa vie.

    Puis les années passèrent. Au départ, Clara fut une duchesse timide, mystérieuse, calme. Elle souriait peu, du moins moins sincèrement que faussement. Mais avec le temps, elle découvrit un autre monde que celui qu'elle avait espéré. Elle comprit que le duché était vaste et riche, les toilettes, robes et parures toutes aussi belles les unes que les autres, et ses entrées à la Cour d'Espagne, toujours admirées par les autres femmes autour du Roi d'Espagne. Tout cela lui fit tourner la tête, et en à peine cinq ans, Clara de Andalucia changea du tout au tout : Mesquine, libertine, elle s'éloigna de son doux époux, trop ennuyeux à son goût. Elle le trompa de nombreuses fois, se moquant éperdument de cet homme qui fut le premier à l'aimer. De toutes manières, si aujourd'hui elle en était là, c'était pour son père et lui seul. Et aujourd'hui, une épidémie l'avait tué, lui, sa mère, et ses frères et sœurs cadets. Plus rien n'avait d'importance pour la belle Andalouse. A la cour, elle devint celle à la fois que l'on admirait et que l'on détestait. Et le pire, c'est que Clara trouvait de la joie à éprouver lorsqu'elle croisait les regards empli de mépris de ces femmes trompées ou jalouses tout simplement.

    Cinq ans plus tard encore, et bien des conquêtes plus tard, Clara fit la rencontre de Francesco, un italien. L'homme parfait, son sosie diabolique au masculin. Il devint rapidement son amant, et leur relation devint étrangement durable, étant donné le fait qu'ordinairement Clara changeait de conquêtes comme de robes.
    Des mois s'étaient écoulés depuis la première fois que Clara avait croisé le regard limpide et aguicheur de Francesco, et il se révéla être un des amants qu'elle vit le plus souvent, voire presque le seul. Une attraction sans limites liait ces deux amants interdits, une irrésistible proximité dont Clara était loin de se plaindre, bien au contraire. Le plaisir de la chaire étant une de ses activités favorites, et également un loisir n'ayant plus de secrets pour elle, elle multiplia les rencontres avec l'Italien, secrètes et passionnées, dans tous les lieux où le duc n'était pas susceptible de se trouver.
    Jusqu'au soir où, rentrant à leur demeure, elle trouva son époux, assit, l'attendant. Son regard noir de colère trahissait le doute l'habitant quant à l'infidélité de sa femme. Une violente dispute éclata au sein du "couple", et le pire arriva : Le duc frappa son andalouse, et la projeta face contre terre, prononçant ces quelques paroles : « Vous n'êtes qu'une putain, Clara de Almeida, et rappelez vous que sans moi, vous seriez encore pendue aux genoux de votre père. » Pour la jeune femme, ce fut la remarque de trop, et elle quitta sa chambre dans la nuit, a l'insu de tous, pour rejoindre celle de Francesco. Cette nuit là, elle s'abandonna aux larmes et a ses passions violentes dans les bras de son amant, une nuit comme jamais ils n'avaient vécu avant. Ce soir là, Clara comprit que Francesco serait celui qui la libérerait de sa prison dorée, de sa captivité en tant qu'épouse du Duc d'Andalousie. Car en effet, dans cette nuit froide, tandis qu'il observa la belle portugaise, nue enveloppée dans les draps fins, Francesco lui jura de tuer le duc « Vous pouvez me faire confiance, belle duchesse, demain vous serez miraculeusement devenue une veuve. Et ce fardeau ne sera plus rien qu'un mauvais souvenir pour vous. » - lui avait-il dit en lui baisant la main du bout de ses lèvres chaudes. Personne -en dehors de Clara et le bel italien- ne su qu'il s'agissait d'un assassina. Accident de chasse, dit-on dans la cour d'Espagne.
    Pendant plusieurs mois, Clara passa pour la veuve éplorée, désespérée. Ses traits tirés par une fausse tristesse, elle paraissait en public comme la jeune duchesse ayant perdu son époux trop tôt, trop soudainement. Quelle tragédie, pour une jeune femme de seulement vingt-sept ans, ne trouvez vous pas?
    « Accompagnez-moi à la cour de France, Clara. Partons ensemble découvrir les joies de la liberté dans ce pays, quittons l'Andalousie. » Ces paroles furent prononcées par Francesco avec tellement d'ardeur que la belle duchesse ne put qu'accepter, émerveillée par les propos que l'italien tenait à propos de la France, ce pays dont elle n'avait encore jamais parcouru les terres. Elle se dit soi-disant trop "hantée par de douloureux souvenirs en Espagne", et laissa le frère du duc s'occuper du domaine, pour quitter le pays, en compagnie de son amant bien entendu.

    ♣ Et Versailles apparu, majestueux palais de lumière .. ♣


    Après une année vécue de libertinage et de coups bas, elle arriva à la Cour de France avec Francesco, où, très rapidement, elle infiltra le réseau du complot contre le roi de France. Pour elle, le seul véritable roi de France se nommera Hector de Valois, et non pas Louis XIV. Clara devint très vite une parfaite infiltrée à la cour, avec Francesco. Ses courbes magnifiques et son regard envoûtant son des atouts précieux. Intelligente, plus futée qu'un renard et perspicace, Clara met tout en œuvre pour parvenir à ses fins, comme elle l'a toujours fait. Aujourd'hui, elle est l'une des femmes les plus audacieuses et les plus efficaces dans le complot, grâce à son charme et ses paroles envoûtantes. Seulement, elle sait qu'il faut qu'elle demeure vigilante, car en effet, la noblesse étrangère rode à la cour de France, ce qui rend la belle duchesse andalouse loin d'être inconnue. Parmi ses "relations" notamment, se trouve Inès de Valencia, comtesse de Castellón mais également cousine par alliance de la jeune femme au regard bleu. Cette jeune comtesse n'a que vingt ans, et en plus d'être ennuyeuse, c'est une petite vierge qui s'horrifie de tout ce qui l'entoure. Un véritable spectacle comique à elle toute seule. Attirée uniquement par sa richesse, Clara ne manqua pas toutefois de se rapprocher de cette cousine, par pure stratégie. Seulement, caractère mesquin oblige, la portugaise ne peut parfois se retenir de se moquer d'Inès, la considérant comme naïve et incroyablement idiote. Mais ces derniers temps, la jeune femme semble de plus en plus agacée par le caractère de Clara. « Continuez à rire, Clara, de mes relations et de ma jeunesse, mais sachez que vous ne serez pas toujours à l'abri derrière votre mesquinerie. » , avait déclaré cette cousine insolente à l'intention de la portugaise, un jour, lors d'une sortie à la cour. Une remarque qui ne manqua pas de faire rire Clara : La comtesse est non seulement idiote, mais, de plus, semblerait-il qu'elle se surestime. Car en plus d'avoir des amis, la brune volcanique possède surtout des compères. Parmi eux, Cristiano Santani, qu'elle rencontra dans une rue de la ville. Un jeune homme du peuple, malin, aux allures espagnoles, pays d'où Clara vient en quelques sortes. Immédiatement, la demoiselle offrit à Cristiano d'œuvrer à ses services. En échange d'une forte somme d'argent, tout ce que Cristiano a à faire, c'est trouver des informations sur ce que Clara lui dit. D'un air enjôleur, le jeune homme ne put qu'accepter « On ne dit pas non à une jolie femme. » ... Ni a tant d'argent. Depuis, elle le paie souvent quand elle a besoin de quelque chose. Et parfois, même, le remercie à sa façon, ce qui est loin de lui déplaire.

    Des ennemis, des complices ... Que manque-t-il encore au palmarès de la belle duchesse andalouse .. ? Des proies ! Et Clara en a une en tête de liste : Un charmant mousquetaire nommé Mathias de Sandras. Elle le croise souvent, Mathias : Charmant, beau, grand, fort ... Toutes les qualités parfaites pour terminer dans le lit de la jeune femme ! Alors, dès qu'elle le croise, Clara ne manque pas de faire des approches directes. Les avances qu'elle lance au grand brun sont nombreuses, mais celui-ci semble être méfiant. Mais voyons, pourquoi tant de haine ? Quoi qu'il pense, quoi qu'il veuille, il est son objectif. Clara obtiendra Mathias à un moment ou un autre.
    Une autre cible : Gianluca di Modena. Un homme qu'elle ne connaît pas encore, mais si elle le veut dans son lit, c'est pour une raison toute simple : Rendre folle de jalousie son ennemie à la cour, Angela di Santa Fiora. Entre elle et Clara, la guerre est ouverte depuis qu'elle a mit un pied à Versailles. Les deux demoiselles se haïssent, alors forcément, pour se venger, Clara compte bien attirer son mari dans son lit. Mauvaise, mesquine, vous dites? Ne lui en voulez pas, elle ne changera pas pour autant.

    Mais il ne faut pas toujours en vouloir à Clara, et la voir comme une traitresse sans amis. A la cour, elle s'est attachée seulement à une jeune femme, Enola of Dorset. Cette jeune Lady la fascine, autant par sa fragilité que par sa force de caractère. Alors, Clara essaie de la conseiller, mais ces conseils de femme libertine troublent la jeune anglaise, qui finira par avouer a la duchesse qu'elle est encore vierge. Toujours vierge ? Excellent, Clara s'est donc décidée à faire changer cela, en lui conseillant de séduire Thibault de Treil. D'abord, parce qu'il faut l'avouer, ces deux là sont coincés, et se ressemblent. Mais aussi, d'une certaine façon, cela permettra peut-être à Clara de se rapprocher de Mathias de Sandras, qui est le père adoptif du jeune mousquetaire ... « Êtes-vous là convaincue que c'est la démarche que je devrais adopter, duchesse? Celle de séduire cet homme? », demanda un jour la petite lady à son amie. Bien sur que oui, il faut enfin qu'Enola devienne une femme, et une vraie ! De son sourire et de sa voix les plus bienveillants, elle lui répondit en lui prenant la main : « Je vous assure, jolie lady, c'est le meilleur à faire. Vous devenez une femme, il est temps pour vous de grandir définitivement. » Un des défauts de Clara ? Celui de se servir de tout le monde, même de ses amis. Elle trouve toujours un côté pratique à utiliser les gens, pour que ses relations ne soient pas toujours inutiles. Il lui arrive d'avoir des amis sincères, mais c'est très rare, lorsqu'on connait la duchesse andalouse, qui garde toujours autour d'elle une part de mystère. Sauf peut-être avec Francesco, mais en même temps me direz vous, quand on a planifié un meurtre avec son amant il y a de cela des années, et quand on connaît l'attirance régnant entre Clara et l'italien, il est compliqué d'imaginer de créer des secrets entre les deux amants.

    Conclusion, prenez garde si vous décidez de côtoyer Clara de Andalucia. Celle-ci est une femme redoutable, et plus encore lorsque vous vous trouvez être son ennemi. Parce qu'a partir de là, vous êtes toujours en danger.



    « Que diable, vous êtes à Versailles ! »

    Un paradis ou un enfer versaillais ?
    En arrivant à Versailles, les yeux de Clara brillaient. Francesco lui avait promis une cour d'une beauté sans égal, et cette promesse ne fut que trop bien illustrée par toutes les lumières du palais, qui miroitaient dans le regard azuré de la jeune femme de vingt-neuf ans. Cet endroit splendide, mais aujourd'hui encore sous la tutelle d'un roi qui ne méritait pas de l'être. Un jour, cette cour appartiendrait à Hector de Valois, mais en attendant, la beauté de Clara lui valait d'être la parfaite espionne à la cour des Bourbon.
    La duchesse veuve n'avait aucune ambition en arrivant à Versailles, aucun rêve. Elle SAVAIT déjà qu'elle y serait acceptée et admirée, sa beauté et son intelligence, ainsi que ses paroles habiles lui avaient toujours ouvert toutes les portes, même les plus fermées. Aujourd'hui, la cour de Versailles est le terrain du jeu d'échec géant de Clara. Elle y fait avancer un a un ses pions, partage le lit de certains hommes mariés, fait enrager leurs femmes, bien moins belles et gracieuses que la belle duchesse au regard chaud comme la braise.
    Qui saura lui résister?

    Vérité ou fantasme du complot ?
    Le complot portant sur la famille Bourbon ? A peine arrivée à la Cour de France avec son amant, Clara apprit le diabolique plan d'Hector de Valois, et elle devint avec son compagnon de lit l'une des plus ferventes partisanes du "futur roi". Pour la jeune femme, le roi actuel était une histoire ancienne, passée, inutile même à noter dans les livres. Inintéressant, tout simplement.
    Aujourd'hui doit être une nouvelle ère pour la France, gouvernée par un nouveau roi. Alors, Clara s'est alliée à sa cause, jouant de ses charmes à la cour pour en apprendre le plus sur Louis XIV et le reste de la famille Bourbon. Elle engage des malfrats, couche avec les proches du roi, et même ses ennemis. Elle est maline, et c'est un atout précieux pour le complot se préparant lentement contre le roi de France.

    Plutôt colombe ou vipère ?
    Avec Clara, tout se sait, tout se partage, et surtout, tout peut être aussi vrai que faux ! Aussi vile que manipulatrice, pour parvenir à ses fins, la belle jeune femme est capable de répandre les pires des rumeurs, ou de faire savoir les plus sombres histoires. Tant que cela lui permet d'obtenir ce qu'elle veut, bien entendu, cela reste évident. Ce qu'elle ne veut pas ébruiter ne s'ébruite pas, ce qu'elle veut que la France entière sache, la France entière le sait. Car se faire des amis, pour le complot, c'est bien, mais se créer des ennemis à toujours eu un côté assez "jouissif" pour la belle libertine aux allures de panthère.
    La nouvelle rumeur ? Enola of Dorset serait vierge, et la jeune femme vient de lui confirmer suite à une habile conversation qu'il s'agit bien de la vérité. Depuis qu'elle a apprit cela, Clara s'est fixée pour cible, pour mission, de dévergonder une bonne fois pour toute cette jeune brune aux allures trop sage ...

    « Plus bas la révérence, plus bas. »

    ► Prénom/pseudo ♣ Melany
    ► Age ♣ 17 ans, bientôt 18.
    ► Présence sur le forum ♣ La logique voudrait que je sois présente sept jours sur sept, hors les moments où je me trouve en voyage.
    ► Code bon by Lisa
    ► Comment avez vous connu le forum ? ♣ Par hasard, en naviguant sur le web.
    ► Suggestion ♣ Je découvre seulement le forum, j'estime par conséquent que je n'ai rien à dire pour le moment !


Dernière édition par Clara De Andalucia le 30.03.11 14:13, édité 4 fois
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Amy of Leeds


Amy of Leeds

« s i . v e r s a i l l e s »
Côté Coeur: Mère enfin apaisée et femme comblée mais pour combien de temps encore ?
Côté Lit: Le Soleil s'y couche à ses côtés.
Discours royal:



♠ ADMIRÉE ADMIN ♠
Here comes the Royal Mistress

Âge : A l'aube de sa vingt septième année
Titre : Favorite royale, comtesse of Leeds et duchesse de Guyenne
Missives : 7252
Date d'inscription : 10/09/2006


♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.  Empty
MessageSujet: Re: ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.    ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.  Icon_minitime29.03.11 10:23

Bonjour et bienvenue parmi nous ! Very Happy

Ta fiche est très bien, il y a juste un petit bémol, c'est que tu n'as pas développé tous tes liens prédéfinis dans ton histoire, comme Mathias de Sandras ou Inès etc etc. Nous ne te demandons pas un roman bien entendu, mais juste un petit paragraphe pour chacun d'eux, où tu reprendrais tes intentions et peut-être votre rencontre.

Tu as très bien introduit Francesco, donc je te fais confiance Smile

Concernant Enola que tu as introduite dans la partie Vipère ou colombe, tu peux laisser si tu y tiens, mais idem il faudrait que tu en parles également dans ton histoire. ^^

Dis moi lorsque tu auras modifié ta fiche Smile

A très vite Wink
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MessageSujet: Re: ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.    ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.  Icon_minitime30.03.11 14:15

Merci beaucoup, chère favorite, de cet accueil chaleureux que vous me faites Reine

En effet, je songeais à développer ces liens au plus vite, et voilà chose faite, je viens de les intégrer à ma fiche. Je cherchais seulement comment les présenter, suite à mon arrivée à Versailles.
En espérant que cela vous convienne, en cas de problème je m'engage à éditer cela immédiatement !
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Amy of Leeds


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Rebonjour Smile

Merci d'avoir rajouté tes liens, me concernant ça me va tout à fait. Je n'ai rien à redire ! Tout y est et respecté !

Je te valide donc Smile

A nouveau, je te souhaite la bienvenue et un très bon jeu parmi nous !

Je te laisse prendre le chemin de l'administration monarchique pour les rangs, logements, et fiche de liens Wink

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MessageSujet: Re: ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.    ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.  Icon_minitime30.03.11 21:14

Bonsoir, merci beaucoup Amy, et je vais de ce pas me charger de tout ce qui concerne sujets et liens !
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MessageSujet: Re: ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.    ♣ Clara de Andalucia ♣ Rien n'est affreux en libertinage, parce que tout ce qu'il inspire, l'est également par la nature.  Icon_minitime

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